666

666
NOMBRE DU POUR-VOIR ou POUVOIR ET DONC DÉSIGNE L’ÉTAT DIVISÉ, DE NOS JOURS : LA FRANCE DEVENUE ELLE-MÊME LE 666. 6 le chiffre de la Création, le 7 en devient le SILENCE. 3+3=6 des deux TRIANGLES équilatéraux tête-bêche (69 puisque le 6 à l’envers devient le 9), forment ce que certains y voit la Coïncidentia Oppositorum (Union des contraires), abîmé par le drapeau de l’entité sioniste qui en fait sa représentation, tragique, car comme ”union” c’est plutôt la division de millénaires en millénaires…… PAR LE SANG-SACRIFICE-HOLOCAUSTE-VIANDE-GRILLÉE. (Lee Hébreux-juifs n’étant pas végétariens, et leur copie, le musulmanisme non plus !)…

« Dieu créa l’homme ; et l’homme créa Dieu.
Ils sont tous deux les créateurs des noms et des formes. Mais en réalité, ni Dieu ni l’homme n’ont été créés ».
Ramana Maharshi, entretien 264, du 20 octobre 1936.

DIEU ET L’HOMME SONT TOUS DEUX DES IGNORANTS (voir plus bas l’entretien 633 de Ramana Maharshi).

La Vacuité dénonce ce qui est en soi et par soi, donc en partie l’ego et son monde fictif à l’état de veille et de rêve. Car RIEN n’est en soi et par soi, le fameux ”responsable”, le consommateur ou celui qui est devenu le ”roi”, le ”spécialiste” depuis le 1789 français suite au siècle des loupiotes des riches perruques poudrées : les philosophistes.
RIEN n’est en soi et par soi dans l’univers décrit par Ramana Maharshi cité en début de page : TOUT EST VIDE, TOUT EST DONC PUR ET SEUL RÉEL.

ALORS, POURQUOI TIQOUNISER OU CHERCHER À RÉPARER, CHERCHER À FAIRE ”MIEUX” ET TOUJOURS PLUS, SI CE N’EST UNIQUEMENT POUR COM-mercer ?
POURQUOI LA SOUFFRANCE, SI LA FÉLICITÉ EST NOSTRE ÉTAT NATUREL ?
POURQUOI DONC LA F(R)ICTION ? QUEL ÉVEIL OU QUEL ”MIEUX” CHERCHER ?

Même Ramana Maharshi semble paradoxale à propos de cette Félicité naturelle quand il dit à l’entretien 633 du 23-2-1939, SAUF QUE, SAUF qu’il parle d ela souffrance concernant l’IDENTIFICATION AU CORPS-MENTAL :

  • – M. : Vous dites que le corps et l’esprit souffrent. Mais est-ce eux qui se plaignent ? Qui est celui qui pose ces questions ? N’est-ce pas celui qui est au-delà du corps et de l’esprit ?
    Vous dites que le corps souffre en cette vie, que la cause réside dans la vie précédente et que la cause de celle-ci réside encore dans celle d’avant et ainsi de suite. Comme dans le cas de l’arbre et de la graine, il n’y a pas de fin aux successions causales [la chaîne sans fin de causes et d’effet(1)]. Il faut comprendre que toutes les vies ont leur cause première dans l’ignorance. Cette même ignorance est présente aussi maintenant, c’est elle qui formule cette question. Elle doit être éliminée par le jnâna [Connaissance, Sagesse : ÇA JE ESTRE].
    Si vous vous posez la question : « Pourquoi et à qui cette souffrance est-elle
    survenue ? », vous découvrirez que le ‘Je’ est distinct du mental et du corps, que le Soi est le seul être éternel et qu’il est félicité éternelle. C’est le jnâna(2).
    – Q. : Mais pourquoi devrait-il y avoir souffrance ?
    – M. : S’il n’y avait pas la souffrance, comment le désir d’être heureux pourrait-il s’éveiller ? Et si ce désir ne s’éveillait pas, comment la quête du Soi pourrait-elle être menée à bonne fin ?
    – Q. : Alors toute souffrance est bonne ?
    – M. : Exactement. Qu’est-ce que le bonheur ? Est-ce avoir un corps beau et sain, une nourriture assurée ou quelque chose du même genre ? Même un empereur en excellente santé n’est pas exempt de soucis. Ainsi, toute souffrance est due à la fausse notion « je suis le corps ». S’en défaire, c’est le jnâna.
    (Ramana Maharshi 633, 23-2-1939).

La souffrance légitime : celle de l’État, supérieure par rapport à la souffrance infligée par un criminel consommateur. Il y a donc un PROBLÈME, CELUI DU POUR-VOIR OU POUVOIR. « Qu’est-ce qui a poussé l’assassin à commettre le crime ? Le même pouvoir lui infligera également la punition. Que ce soit la société ou l’État, tous deux ne sont que des instruments entre les mains de ce pouvoir. Encore ne parlez-vous que de la suppression d’une seule vie. Que dire alors des millions de vies qui disparaissent durant les guerres ? » (Ramana Maharshi 17, 27-1-1935). ET QUI ORGANISE LES GUERRES ?

TOUT étant VIDE, IL N’Y A PAS DAVANTAGE DE RÉEL EN SOI ET PAR SOI OU PAR QUOI QUE CE SOI : affirmer que tel ou tel chose est ”réel” c’est simplement OPINIONER, SAISIR, COM-prendre ; et la justice des humains fabrique le réel et cherchant « la vérité » !!! Et c’est d’ailleurs ce que fait l’”intelligence” artificielle construite par le mental humain : IDENTIFIER-NUMÉROTER, saisir, calculer EN SINGERIE DE COM-prendre ET DE BIDOUILLER.
Bien entendu le Seul Réel est le Seul Réel au sens des ESSENCES(3) quand il fait jaillir de la FOUDRE-ÉCLAIR des RÉALITÉS ou ESSENCES dont l’aspect est nécessairement l’ABSOLU.

C’EST CE MONDE QUI DIT QU’IL EST « RÉEL », QUI OPINIONE QU’IL EST « RÉEL ». IL FANTASME, IL F(R)ICTION DONC, IL FAIT DE L’HISTOIRE, DE LA MISE EN VALEUR DU TEMPS EN FAISANT DANS LE CONVENTIONNEL : LE MÊME SENS POUR TOUS A-FAIM DE RÉCOLTER LA PAIX DU COM-merce et du COM-prendre, AFIN DE TUER LE SAINT CHAOS.

LA PAIX DU COM-merce et du COM-prendre = LE GAZA DU TRUMP US.

LE SAINT CHAOS, LE NUMINEUX (l’Essence provenant naturellement du Divin) LE SENS DE LA VRAIE VIE : en ce non-espace-temps ou ÂGE D’OR, régnait le surnaturel et la banalité des métamorphoses. Les miracles étaient la banalité de l’état primordial ou Saint Chaos. Les objets et les êtres pouvaient voler comme ils voulaient, les animaux pouvaient se métamorphoser en humains et réciproquement. Les cultures germaient spontanément et la chair des animaux dépecés repoussaient dans l’Instant.
Mais un jour arrive le COM-prendre, le ”Mieux”, l’ORGANISATION, l’ORDRE……. Bref, l’identification au corps-mental.

– Paradoxe du SACRIFICE-SOUFFRANCE = RENONCEMENT-PUTRÉFACTION , le soi-disant winnerisme de l’animalité de l’humain RE-trouvant son origine d’HOMO RELIGIOSUS, LE SOUMIS À LA DUALITÉ PUR-IMPUR, « COMME SI » IL AVAIT BESOIN D’ÊTRE « CUIT », LA RÉALITÉ ÉTANT TROP CRU-EL, INDIGESTE, IL FAUT DONC LA FAIRE CUIR(E) (chair, peau) POUR SE L’ASSIMILER. Encore une fois tout cela ne peut dater que depuis la découverte du feu vulgaire….

Lié au sens de TRANSMUTATION. Évidemment non perverti par la magie noire ou blanche c’est la même chose que la saisi ou le COM-prende.
Paradoxe du SACRIFICE-SOUFFRANCE = « la victoire intérieure », ”COMME SI” il fallait combattre pour obtenir quelque chose, la Liberté, ALORS QUE NOUS SOMMES DÉJÀ LA FÉLICITÉ du Soi. ”COMME SI” IL FALLAIT FAIRE CUIR(E) pour rendre digeste.
« Vous êtes le Soi. Vous êtes déjà Cela. Le fait est que vous ignorez votre état de Félicité. L’ignorance survient et étend un voile sur la pure Félicité. Les efforts servent uniquement à dissiper cette ignorance. L’ignorance consiste en une fausse connaissance. Et la fausse connaissance consiste en une fausse identification du Soi avec le corps, le mental… Cette fausse identification doit disparaître. Il ne restera alors plus que le Soi ». (Ramana Maharshi 251, 29-9-1936).

La religion des Hébreux-Juifs et des Chrétiens étant celle du SALUT, elle est la religion du SACRIFICE (modèle abrahamisme avec Isaac, modèle de l’HOLOCAUSTE, qui ne pouvait avoir sa naissance QU’AVEC LE DÉCOUVERTE DU FEU VULGAIRE : HOLOCAUSTE, du grec hôlos : entier, et kautos : brûlé, soit un sacrifice religieux où l’offrande est entièrement consumée par le feu vulgaire, CELUI QUI CUIT LA VIANDE…. Jusqu’à « brûler des herbes odorantes » parce que les Dieux aimeraient les bonnes odeurs….. ON COM-merce avec les Dieux pour leur être agréable….. Le « temple de l’holocauste récent » est le « tribunal de Nuremberg » et son nombre symbolique des « 6 millions de Juifs et de millions d’autres », ÉGRÉGORE, ÉGRÉGORE AUTONOME MAINTENANT. Que dire alors des millions de Russes morts dans l’institution étaticommerciale du GOULAG ? Holocauste russe qui ne verra jamais le jour dans un film du républicaniste Steven Spielberg !

Seul le messianisme peut tuer, avec pour principe des religions abrahamistes : LE SALUT, la limite attribuée à l’autre, au Dehors, doit rester la POSSESSION DE L’AUTRE. La Caverne de Platon précise : le spectacle de la Lumière ou du Seul Réel demeure L’INSAISISSABLE DU RÉEL : le prisonnier de la caverne s’il sortait serait aveuglé par la lumière, ainsi il désirerait re-gagner aussitôt la pénombre de sa caverne. ÇA S’APPELLE LA LOI DE SUCCION; ou POUR-VOIR les choses que l’on peut SAISIR, POUR-VOIR OU REGARDER. Ainsi le moteur du messianisme consiste à ce que le messie n’arrive JAMAIS, s’il par malheur il arrivait, LE MOTEUR SERAIT CASSÉ, LA CAROTTE (attachée à distance de la tête de l’âne pour le faire marcher) SERAIT MANGÉE. Messianisme = mise en valeur du temps : une fin du monde peut en tout confort être opinionée sans effet sur le cours du monde, une extinction inéluctable de toutes choses qui ne compromettait dans l’Instant aucune chose en particulier.
L’INNOMMABLE, DIEU, L’EXCRÉMENT, L’INSAISISSABLE, L’OR EST CACHÉ….. D’OÙ LE CONCEPT DE VALEUR ET DE SACRIFICE, LE CONCEPT DE LOI DE SUCCION OU ATTRACTION « UNIVERSELLE »……

L’OUROBOROS illustre l’Éternel Retour AVANT la découverte du feu vulgaire.
L’OUROBOROS l’anti chaîne sans fin de causes et d’effets dans la géométrie euclidienne de la ligne droite qui ne boucle jamais sur elle-même.
L’OUROBOROS qui se ferme la bouche symbolise le Vrai Langage, le Silence, et n’est pas symbole du samsâra : cycle des naissances et des morts, monde phénoménal des noms-les-formes, comme pourrait le laisser penser l’Ouroboros qui « avale » sa queue dans un cercle l’empêchant toute ouverture.

Notes.
1. L’idée de « création » ne peut venir que dans la dualité SUJET-OBJET ou CAUSE-EFFET !!! « C’est parce que vous dites que vous êtes né, que les Écritures [abrahamisme] vous disent « d’accord » et ajoutent que Dieu vous a créé » (Ramana Maharshi, entretien 238).
Avec un Dieu créateur on fabrique une sanctification de la dualité. C’est ce que symbolise parfaitement Jean Coulonval dans son livre Synthèse et Temps Nouveaux, dans « L’œuf et la Poule » : « Une jeune cousine, élevée par les bonnes sœurs, me disaient un jour : ”Pour avoir un œuf il faut une poule et pour avoir un monde il faut un Dieu”. À quoi je répondais : ”Pour avoir une poule il faut aussi un œuf. Tu t’enfermes dans une chaîne de causes et d’effets dont les deux bouts ne se rejoignent pas, et que tu peux allonger à l’infini, sans que ton raisonnement soit valable” ». >>>>>Notre monde malade actuel fonctionne de cette façon : l’évolutionnisme en une course sans fin (ou vers la Super Carotte « fin des temps »). « Pourquoi une ligne aurait-elle une fin, puisque après un pas je peux en faire un autre ? ». Je « progresse », donc je « construis » (Faire/Fer), JE CAPITALISE…

2. JNÂNA : Seul celui qui ne cherche plus à COM-prendre peut DÉCOUVRIR, CON-naître : naître avec, car, comme son nom l’indique, la fin de la dualité connaissant-connaissance se fait DANS L’INSTANT (con = avec) par émission de la Partie ou Essence du TOUT nécessaire HORS du tréfonds (3 états veille-rêve-sommeil profond) même du ‘je’ ou ego, et non par bagage culturel ou accumulation d’infos comme le procède une actuelle ”intelligence artificielle”.

3. Le VRAI CONVENTIONNEL, le COMMUN, ne peut qu’être l’ESSENCE au sens de Jean Coulonval dans Synthèse et Temps Nouveaux, lettre 47 : « C’est que je veux bien fabriquer, ce que j’ai fait toute ma vie. Mais je ne veux pas être « fabriqué ». Je veux être soumis aux Essences mais non aux accidents [le spatio-temporel et les opinions, l’histoire, LA LOI]. C’EST CELA LA LIBERTÉ ».
Les Essences en Dehors du spatio-temporel, en Dehors des ”ismes” (social, éducatif, sentimental et conventionnel), en Dehors du monde des accidents. Le ”isme” fabrique la LOI avec les êtres coulés dans un moule, une matrice imaginée par les « têtes d’œufs », un monde qui n’est rien de plus qu’un complexe social d’opinions depuis la découverte du feu vulgaire et la naissance de la MAÎTRESSE DE MAISON (L’ÉCONOMIE), et FEU PREMIÈRE LOI SOCIALE : ÇA BRÛLE, ÇA VIANDE GRILLÉE….
Le règne de l’opinion arrivé à sa maturation, prend le masque de l’Universel, telle sa ”république universelle”, en renversant les rôles : ce sont les accidents, l’identification au corps-mental et aux sens, qui engendrent les Essences. Tout est donc inversé, comme l’envers d’un cuivre repoussé. C’EST CE MONDE QUI DIT QU’IL EST « RÉEL », QUI OPINIONE QU’IL EST « RÉEL ». IL FANTASME, IL F(R)ICTION DONC, IL FAIT DE L’HISTOIRE, DE LA MISE EN VALEUR DU TEMPS EN FAISANT DANS LE CONVENTIONNEL : LE MÊME SENS POUR TOUS A-FAIM DE RÉCOLTER LA PAIX DU COM-merce et du COM-prendre, AFIN DE TUER LE SAINT CHAOS.

Que les humains viennent de l’Orient ou de l’Occident, les ESSENCES sont uniques, ou les ENSEIGNEMENTS sont uniques. Quant à la mise en valeur du temps : le graduel et l’instantanéité, l’Essence ou le Réel est unique, mais le mental humain peut en avoir une vision plus ou moins vive. Mais le Réel, les Essences, ignorent le concept de temps. Ce sont les corps ou les identifications qui font des humains rapides, et d’autres obtus et lents.

ESSENCE : dans le sens par exemple du principe de l’outil appelé tour : déplacer un outil coupant sur une pièce qui tourne, produisant des copeaux. N’existerait-il rien au monde, pas même la Création, que ce principe SERAIT, Essence éternelle du tour ; mais ce qui ne serait pas, c’est le tour concret, et on peut en réaliser une infinité de modèles à partir du principe ou Essence : l’ex-istant. Un tour ne peut engendrer son principe, ni aucun machine, même construite par un transhumaniste : la recherche ou le bricolage peuvent éveiller l’idée d’un principe, elles ne le créent pas.…. Quand un humain découvre un principe, c’est qu’il le portait déjà en lui, comme une plaque photographique non révélée, dans les structures intimes de son être.

ESSENCE : ce qui existe de toute éternité à l’état latent, en Vraie Télépathie, et qu’on a appris à connaître au fur et à mesure de l’évolution de notre cerveau. Ce qui n’a pas l’Essence ne peut produire l’Essence. « L’essence qui voit est la seule chose qu’on ne puisse attribuer à rien » dit Le Secret de la Fleur d’Or. « Mais, lorsqu’on voit le voir, si ce voir n’est pas le voir, l’essence qui voit est alors aussi attribuable à quelque chose. Cela renvoie à l’essence qui voit, telle qu’elle s’exerce dans la continuité répétitive de la conscience habituelle – ce que les Écritures bouddhiques évoquent en ces termes : « Faire usage de la conscience habituelle et répétitive, c’est faire erreur ».

Ne pas confondre Essences, ”bon sens” et égrégore. Le ”bon sens” comme son nom l’indique relève du savoir-faire, de la technique par apprentissage, par CONVENTIONNEL. Quant à l’égrégore, il relève de la conscience collective réussissant à terme à former une forme-pensée émettrice qui pourrait au final devenir une entité incontrôlable : un égrégore de la conscience collective, comme de nos jours l’idée, l’opinion récente de ”démocratie”, ou l’opinion récente de salarié soumis à son employeur, donc, une forme de ”bon sens” identique au CONVENTIONNEL, au « contrat social ».

  • Comme tout est conscience, y compris les objets ou le monde extérieur, et qu’il n’y a pas de conscience sans un monde ou sans des objets extérieurs, RESTE À RE-TROUVER CE QUI EST ESSENCE OU CONSCIENCE INFINIE SEULEMENT (à retrouver par le « QUI SUIS-JE ? »).

LES ESSENCES = CE QUI N’EST NI ILLUSION NI F(R)ICTION.

 

Ce contenu a été publié dans Les News, avec comme mot(s)-clé(s) , . Vous pouvez le mettre en favoris avec ce permalien.