Le temps qui coule ne coule plus entre un ”passé” et un ”futur” totalement prisonnier de la ”raison” et de son ”libre arbitre-opinion”.
Le GATE du Gate Gate(1) c’est la PURETÉ D’INTENTION : sans calcul, spontanée ; de même, les motifs qui ”animent” l’intention ou le spontané semblent jaillir d’une seule et même source, d’un seul et même principe, celui de L’AMOUR-GRATUITÉ, ce qui fait qu’ON NE SORT PAS DE L’UNIVERS POUR LE VOIR, NOUS SOMMES DEDANS.
Nous sommes alors en MULTIDIMENSIONS-DÉFINITION, le Point et le TRAIT D’UNION DE LA COÏNCIDENTIA OPPOSITORUM.
Quand le mental de l’humain tombe dans un état particulier hors de la conscience « normal » (conscience routinière et automatique, celle qui calcul tout), IL EST ÉVIDANT QU’IL RELIE LES CHOSES DE FAÇON MAGIQUE QUE LA RAISON (le calcul, la projection) SERA INCAPABLE D’ANALYSER, EN MODIFIANT CES CHOSES DANS LE SENS OU PRÉCISÉMENT IL TEND. Le corps peut émettre des ondes, électriques ou autres, qui perturberont l’environnement. (Le scribe de la page a vécu ces faits en circonstances particulières en traversant en diagonale la place Victor-et-Hélène-Basch [carrefour Alésia] où une noria de voitures circulaient sans me faire renverser, quasiment en fermant les yeux, en pensant fermement que rien ne pourrais m’arriver…)
On ne ”sort” pas de l’Univers parce que les mondes INSOUPÇONNÉS sont tous imprégnés de la même ”intention” (harmonie comme le LA en musique à plusieurs musiciens accordés sur le même LA). Le ‘Un est le Tout’, et ‘rien dans le TOUT et tout dans le RIEN’.
Cet AMOUR-GRATUITÉ, ce SPONTANÉ, N’EST PAS le citoyenisme, le consommateur du monothéisme unilatéral républicain, le consommateur n’est pas un infini puisqu’il est limité par ce qui le différencie de l’autre consommateur.
Le monothéisme unilatéral républicain et ses industries technologiques du capitalisme VOUDRAIT RENDRE ILLIMITÉ LE CONSOMMATEUR EN LE ROBOTISANT PAR LE TOUS CONNECTÉS DES INDUSTRIES CAPITALISTES DE L’INFORMATIQUE, comme par exemple avec le 6G des ”objets-connectés” dont les premiers ”objets” sont évidemment les humains, les consommateurs : le monde cablé en NOUVEAU SOCIALISME OU NOUVEAU COMMUNISME DE L’URSS FAÇON ÉLECTRONIQUE, FAÇON VIRTUEL DONC ENCORE PLUS DANGEREUX, ENCORE PLUS ”SORTIE DE L’UNIVERS”.
Le LA musical de demain : la 6G après la 5G ? La 7G, le 8G, etc. ? jusqu’au Grand ”Boum” ?
Le LA musical de demain sera le TOUS CONNECTÉS AUX INDUSTRIES INFORMATIQUES DU CAPITALISME, ce seront eux qui donneront le LA, donc qui décideront de qui doit vivre et qui doit mourir. Tout ce futur aura un effet de plus en plus catastrophique sur le NATURE, par les ondes et le nombre de machines informatiques (serveurs), les autres machines pour amplifier les signaux et pour climatiser les bâtiments (centres de données) contenant ces machines (”Impact environnemental du numérique”).
Pureté absolue du Gate Gate soulève des montagnes = le Gate Gate du ‘Je’ ou SENTIMENT OCÉANIQUE :
Le sentiment océanique englobe toutes choses, pareil au ”cent mille cours d’eau différents” qui tous sont l’eau de l’Océan à saveur unique mais comprenant toutes les saveurs, tel le Centre est nulle part et la Circonférence est partout. Celui qui demeure dans le sentiment océanique se baigne dans TOUTES LES EAUX : LES EAUX PRIMORDIALES.
Le sentiment océanique du ‘Je’-‘Je’ ininterrompu est l’océan infini ; l’ego, la pensée ‘je’, n’est qu’une bulle à la surface de cet océan ; on l’appelle jîva ou âme individuelle. De même, la bulle d’eau, lorsqu’elle éclate, ne fait que se mêler à l’océan ; et quand elle est bulle, elle fait toujours partie de l’océan. (Réf. à Ramana Maharshi 92 du 7-11-1935).
« Tout comme les fleuves, en se déversant dans l’océan, perdent leur individualité et qu’ensuite les eaux de l’océan s’évaporent pour retomber en pluie sur les montagnes, puis s’écouler en rivières et retourner à l’océan, ainsi les individus, qui entrent en sommeil, perdent leur individualité et reviennent comme individus, selon leurs vâsanâ (tendances) antérieurs, sans en être conscients. Par conséquent, même dans la mort, le sat [réel, juste, existence absolue] n’est pas perdu ». (Ramana Maharshi, entretien 108 du 29-11-1935).
Voir aussi la page : Sentiment océanique Sahaja.
Ainsi, il n’y aura sur cette planète de VRAIE PAIX que par La Pureté absolue du Gate Gate soulève des montagnes, Pureté Absolue du ‘Je’-‘Je’.
- « Le ‘Je’-‘Je’ est toujours là. Il n’y a pas à le connaître. Il n’est pas une connaissance nouvellement acquise. Or, ce qui est nouveau et qui n’est pas ici et maintenant ne peut être qu’évanescent. Le ‘Je’ est toujours là. Il y a obstruction à sa connaissance et cela s’appelle ignorance.
Éliminez cette ignorance et la connaissance resplendira. En fait, cette ignorance et même la connaissance ne concernent pas l’âtman [le Soi, le soi]. Ce ne sont que des excroissances qu’il faut couper. C’est pourquoi il est dit que l’âtman est au-delà de la connaissance et de l’ignorance. Il demeure tel qu’il est naturellement. C’est tout ». (Ramana Maharshi, entretien 49 du 24-4-1935).
AMOUR-GRATUITÉ = PUTRÉFACTION-RENONCEMENT OU DÉTACHEMENT (le Plomb-pesanteur est détruit, ou plutôt TRANSMUTÉ EN OR-SOLEIL DU VRAI CHRIST transmutant la découverte du feu vulgaire et de sa thermodynamique et de sa métallurgie destructrice (chimie, guerres, etc., et forcément le COMMERCE !)
AMOUR-GRATUITÉ = SORTIR DE L’ACTUELLE INFERNALE DUALITÉ WINNERS-LOSERS qui a encore court dans les écoles du judéo-maçon spéculatif Jules Ferry. Cette infernale dualité qui met en valeur le temps surtout en Occident en plaçant la cause AVANT l’effet et ”Circulez ya plus rien à voir, consommez !”
« Le ‘Je’-‘Je’ ininterrompu est l’océan infini ; l’ego, la pensée ‘je’, n’est qu’une bulle à la surface de cet océan ; on l’appelle jīva ou âme individuelle. De même, la bulle d’eau, lorsqu’elle éclate, ne fait que se mêler à l’océan ; et quand elle est bulle, elle fait toujours partie de l’océan. Dans l’ignorance de cette vérité simple, d’innombrables méthodes, sous différentes dénominations, telles que yoga, bhakti, karma, etc., ont été enseignées. Chacune apportant de nombreuses modifications, elles ont été enseignées avec beaucoup d’habileté et des détails compliqués seulement pour séduire les chercheurs et semer la confusion dans leurs esprits. Il en va de même pour les religions, les sectes et les dogmes. À quoi servent-ils ? Uniquement à faire connaître le Soi. Ce sont des aides et des pratiques dont on a besoin pour connaître le Soi [concernant les religions à y ajouter le politisme galopant actuel ne sont plus valables pour ”connaître le Soi”] ». (Ramana Maharshi, entretien 92 du 7-11-1935).
« Lorsque l’ego disparaît, un autre ‘Je’-‘Je’ se manifeste spontanément dans toute sa gloire… » Et Ramana Maharshi cita encore la Skandar-anubûthi : « Ni réel ni irréel ; ni obscur ni lumineux, C’EST ». (Entretien 122 du 1-1-1936).
« Tourner le mental vers l’intérieur est le plus important. Les bouddhistes considèrent que la prise de conscience du courant de la pensée ‘je’ constitue la Libération ; là où nous disons qu’un tel courant provient du substrat sous-jacent, la seule Réalité.
Pourquoi devrait-on méditer sur « Je suis le brahman » ? Seule l’annihilation du ‘je’ est Libération. Mais on ne peut y parvenir qu’en gardant le ‘je’-‘je’ toujours en vue. C’est pourquoi l’investigation sur la pensée ‘je’ est nécessaire. Si on ne lâche pas le ‘je’, aucun vide ne peut se présenter au chercheur. Autrement, la méditation conduit au sommeil.
Il n’y a qu’un ‘je’ tout au long du chemin et ce qui s’élève de temps en temps est la fausse pensée ‘je’. Alors que le ‘Je’ intuitif brille toujours de sa propre lumière, avant même que le faux ‘je’ ne se manifeste.
La naissance du corps physique n’est pas la naissance de chacun. La naissance de l’ego est la vraie naissance.
Quant à la libération, il n’y a rien de nouveau à gagner. Elle est l’état originel qui demeure toujours inchangé [pas de tiqounisme] ». (Ramana Maharshi, entretien 139 du 19-1-1936).
« Juste au moment du réveil et avant d’avoir pris conscience du monde, il y a ce pur ‘Je’-‘Je’.
Accrochez-vous-y, sans dormir et sans laisser les pensées s’emparer de vous. Si Cela est tenu fermement, alors peu importe que le monde soit perçu ou non. Le sujet n’est plus affecté par les phénomènes ». (Ramana Maharshi, entretien 196 du 9-6-1936).
« Lorsqu’on remonte à la source du ‘je’, seul le ‘Je’-‘Je’ primordial subsiste ; et c’est inexprimable. Le siège de la Réalisation est à l’intérieur et le chercheur ne peut pas le trouver comme un objet, extérieur à lui. Ce siège est la Félicité, le centre de tous les êtres. C’est pourquoi on l’appelle le Coeur [Centrum Centri]. Le seul but utile de cette naissance présente est de se tourner vers l’intérieur et de le réaliser.
Il n’y a rien d’autre à faire ». (Ramana Maharshi, entretien 219 du 30-6-1936).
NOUS SOMMES L’UNIVERS, les Eaux Primordiales ou Sentiment Océanique : TOUT EST LIÉ.
Et ce ”Tout est lié”, le régime du monothéisme unilatéral républicain et de ses industries informatiques du capitalisme veulent en FABRIQUER UNE FAUSSE LIAISON VIRTUELLE, un FAUX « VIVRE ENSEMBLE », un FAUX SENTIMENT OCÉANIQUE, un TOTALITARISME TECHNOLOGIQUE, UN TOTAL MATHÉMATIQUE des consommateurs rendus indifférenciés, groupés comme des billes dans un sac. Ce sera l’État mondialiste, ou Nouvel Ordre Mondial du monothéisme unilatéral républicain idéal dont les tenants du Pour-Voir dicteront la ”vérité du jour” et ce que sera celle du lendemain, ces Pour-Voir du régime décideront du dogme à tout moment remis en question. C’est Sisyphe qui pousse son rocher. C’est une religion inversée.
Voilà pourquoi le mot à la mode : ”TRANSITION” est si important pour le régime de son monde LUCIFÉRIEN ou PROMÉTHÉEN = MAIS NOUS POUVONS ENCORE CHOISIR :
– Ou bien la victoire de ce monde Luciférien, où toute évolution vers la Félicité naturelle sera interrompue, et il sera procréé à la place une ”évolution statique”, artificielle, dans le Minéral, le Végétal, l’Animal et l’Humain.
– Ou bien le Monde Originel : « la Félicité, le centre de tous les êtres », comme l’énonce plus haut Ramana Maharshi.
Dans un cas comme dans l’autre le mot ”Bien” disparaît, et seule demeurera : où bien la victoire winneriste de ce monde actuel Luciférien, ou bien l’Unité Originelle.
[En haut de page : Arunâchala Axe, Axis Mundi. Le Pilier ou Poteau du monde, la Colonne de Feu sans racine ni sommet (Elle n’est pas dans l’évolutionnisme commercial).
Cette Colonne de Feu, le linga, symbolise l’Absolu, l’Immanence (Tout est dans Tout) :
« Existe-t-il un seul endroit où Il n’est pas ? »
Pour Ramana Maharshi (entr. 492 du 08-05-1938), la Colline d’Arunâchala (photo en haut de page) est le linga de Shiva, avec l’Absolu, et l’Être parfait. « Originellement, Shiva apparut sous la forme d’une Colonne de lumière. Lorsqu’Il fut prié de se manifester concrètement, la Colonne de lumière disparut dans la Colline et se manifesta sous la forme d’un lingam. Les deux, lumière et lingam, sont Shiva ».
La Montagne forme le Triangle ou Première Figure fermée. Elle est le séjour des Dieux et des Réalisés ou Bienheureux. Comme pour l’alpinisme ou l’ascension d’une Montagne dans le spatio-temporel, il y a des précautions à observer : une ascension qui ne serait pas préparée par les méthodes spirituelles ouvre la Stargate à tous les dangers. L’ascension ce n’est pas l’évolutionnisme et son commercial « toujours plus ». L’ascension appartient au « QUI SUIS-JE ? » ; et pour entreprendre quelque chose d’exceptionnel, on doit prendre des précautions exceptionnelles, ou observer une extrême prudence dans les DÉBUTS et les PRINCIPES (d’après le Yi-King). De même dans les Arts honnêtes “l’expérimentateur” fait UN avec son “expérimentation” (c’est aussi une autre définition de l’Adepte).
« Aruna : rouge, brillant comme le feu.
Ce feu n’est pas le feu ordinaire, qui n’est que chaud.
Il s’agit ici du jnanâgni (le feu de la sagesse) qui n’est ni chaud ni froid.
Achala : colline.
Arunâchala signifie donc Colline de la Sagesse. [Ramana Maharshi, entretien 216, 22-6-1936]]
Note.
1. « Gate gate pâragate pârasamgate bodhi svâhâ » du Soûtra du Diamant (Allé, allé, allé au-delà, allé complètement au-delà, l’Éveil, ainsi). S’accompagne nécessairement de la Connaissance transcendante par le Principe du ”N’EST PAS X” : revient à dire que les choses ne sont que des désignations, des pointages sur les choses, de simples imputations nominales (en tibétain : tha-snyad), elles sont dépourvues d’être en et par soi, ELLES NE SONT PAS POSSÉDABLES PAR LE MENTAL, ON NE DOIT PAS EN FAIRE UNE VALEUR POSSÉDÉE (genre ”valeurs de la république” ou ”ordre républicain”, ou ”notre démocratie”). Non possession tel l’avertissement traditionnel de ne point se fixer ou se ”coaguler”.
”Allé, allé, allé au-delà, allé complètement au-delà, l’Éveil, ainsi”, ou : ”Parti, parti, passé au-delà, traversée la rive, Éveil, Salut !”, ou encore : ”Venant, venant par-dessus, venant directement, Éveillant, Bienvenu !”
SORTIR DE L’ABSOLU = S’ATTACHER À.
Qu’il faille s’attacher à certain Instant, c’est certain, Mais SANS fixation, sans coagulation conformément au principe du « Gate gate pâragate pârasamgate bodhi svâhâ » du Soûtra du Diamant (Allé, allé, allé au-delà, allé complètement au-delà, l’Éveil, ainsi). S’attacher à un Instant comme on se promène dans un Paysage. S’attacher = cultiver pour soi-même, coaguler, fixer ou concentrer, stocker, CELA MÈNE AU POUR-VOIR, LE POUVOIR DES VOYEURS : UN CONSOMMATEUR DE CONCENTRATION DEVIENT UN BÉNÉFICIAIRE : IL S’ATTACHE, IL FABRIQUE UNE DURÉE DE CONCENTRATION.
LA CONTINUITÉ DE LA PRÉSENCE CULTIVÉ OU ARTIFICIELLE D’INSTANT EN INSTANT DEVIENT, EN ELLE-MÊME, SUSPECT, CAR CHARGÉ D’EFFORT DE SPATIO-TEMPOREL : ÉCHO DU VIOL PAR L’EGO, D’OÙ L’AVERTISSEMENT TRADITIONNEL : « NE PAS ATTACHER UN INSTANT QUI PASSE À UN AUTRE INSTANT ».
Lorsque l’état d’attention divisé en sujet-objet dissout le centre fictif : le ‘Nous’, là commence le SUBJECTIF en forme du CHAHUT DE L’EGO qui peut se confondre avec ZÉRO INDIEN en une sorte d’ENTRE-DEUX chargé de promesses. C’est là qu’entre la clé principale : LA SIMPLICITÉ. Clé qu’IL NE FAUT JAMAIS PERDRE. La concentration fuit le compliqué et le winnerisme et les originalités. C’est pourquoi il n’est rien de plus difficile, surtout à nostre époque de Big Brother et de tous connectés, QUE LE SANS TRACE, de plus délicat que la légèreté dans ce monde du PLOMB-PESANTEUR ou loi de succion vulgaire : comment ne pas laisser de trace dans une neige vierge qui se dépose sur la POINTE de l’Instant ? (Les Artistes-Artisans autrefois NE SIGNAIT PAS LEURS ŒUVRES, le commerce n’était pas installé).
Il y faut l’habit de la PUTRÉFACTION, DE L’INSAISISSABLE, DU NON-DÉSIR.
LE PONTIFE, CELUI QUI FAIT PASSER LE PONT À L’ADEPTE, DÉCLARE : NE VOUS PLANQUEZ PAS MÊME DANS LE SANS TRACE ; ce qui correspond au Principe du GATE GATE et du VOLATIL par rapport au COAGULE (du Plomb). Se planquer, se réfugier = se coaguler….
Le sentiment océanique englobe toutes choses, pareil au ”cent mille cours d’eau différents” qui tous sont l’eau de l’Océan à saveur unique mais comprenant toutes les saveurs, tel le Centre est nulle part et la Circonférence est partout. Celui qui demeure dans le sentiment océanique se baigne dans TOUTES LES EAUX : LES EAUX PRIMORDIALES.
Le sentiment océanique du ‘Je’-‘Je’ ininterrompu est l’océan infini ; l’ego, la pensée ‘je’, n’est qu’une bulle à la surface de cet océan ; on l’appelle jîva ou âme individuelle. De même, la bulle d’eau, lorsqu’elle éclate, ne fait que se mêler à l’océan ; et quand elle est bulle, elle fait toujours partie de l’océan. (Réf. à Ramana Maharshi 92 du 7-11-1935).