Naissance du monothéisme républicain qui assigne tous les citoyenisés (les urbanisés), à la sainteté en masse.
Ce sera ce NOUVEAU CONFORMISME APPELÉ ICI EN FRANCE « VALEURS RÉPUBLICAINES » : conformisme de la révolution en politique étatique, en morale, en philosophisme, en économie, en art, etc. Cette tentative en singerie christique tentant d’unir dans une même harmonie l’anticonformisme et le ”bon sens” ! Car l’aliénation républicaine consiste à exiger de tous l’impossible, dont l’infini dans le fini du spatio-temporel, le bonheur dans les contradictions de la démocratie et de l’ego et ses conflits à l’état de veille, et finalement le divin dans l’identification au corps et à la bouffe et aux pensées.
EXACTEMENT ce que le BLANC DE L’INSTANT nous DONNE, C’EST GRATUIT, POUR TOUS ET SANS CONDITION : « Le royaume des Cieux est en vous », mais le Royaume n’est certainement pas le ”Vous ne posséderez rien et vous serez heureux”.
PARADOXE DU VRAI HUMAIN : Il ne s’accomplit entièrement qu’en se dépassant, c’est-à-dire en se libérant de son ego, qui n’est pas une (id)entité, et par là même sans ego il n’a pas de limites, c’est le GATE GATE (”Gate gate pâragate pârasamgate bodhi svâhâ” du Soûtra du Diamant : Allé, allé, allé au-delà, allé complètement au-delà, l’Éveil, ainsi).
L’être humain étant dans le BLANC DE L’INSTANT : IL N’EST QUE CELA, c’est pourquoi tel le Centre qui est nulle part, l’humain est PARTOUT comme la Circonférence est partout : au-delà de tout, en GATE GATE. C’est-à-dire que celui qui cherche le Soi le trouvera partout, à condition de ne s’arrêter nulle part, donc à condition de rester en GATE GATE, SANS POSSESSION (évidemment pas à la façon consommateur du ”Vous ne posséderez rien et vous serez heureux”….). GATE GATE Principe alchimique du ”tic-tac” du SOLVE-COAGULE.
RESTER EN GATE GATE RESTER DANS L’INSTANT.
Il n’y a pas de démocratie moderne sans SOCIÉTÉS SECRÈTES (ni sans partis ou courants politiques) : en Europe l’Alchimie commence à être défaillante à l’époque de la Renaissance, de la boussole, de Galilée, de l’imprimerie et de la Réforme (Protestantisme) : les sociétés secrètes abondent, avant tout les Rose-Croix, la meilleure preuve que le Mystère de l’Alchimie s’était épuisé ; car la raison d’être des sociétés secrètes est de sauvegarder le plan métaphysique : la Réalisation de son Soi, qui passait ainsi de l’Alchimie authentique, individuelle, dans le sens de la CONSCIENCE FONDAMENTALE QUI N’EST QU’INDIVIDUELLE – au plan des sociétés secrètes qui continuaient a exercer cette Réalisation du Soi, mais très occultement ET DE FAÇON CONVENTIONNELLE EN UN INCONSCIENT COLLECTIF DIRIGÉ VERS UNE CONSCIENCE COLLECTIVE QUI ALLAIT DEVENIR LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE DE 1789 À CE HUI ET SON ”VIVRE ENSEMBLE”. Bref, UN DÉBUT DE MONDIALISATION surtout depuis les Conquistadors espagnols et portugais. Il est signification que l’enseignement ésotérique, caché, de l’actuelle judéo-maçonnerie spéculative se réfère à un ORGANISATEUR, un CONSTRUCTEUR EN DUR : HIRAM(1), ET L’URBAIN (le Temple), LE CITOYENISME NE POUVAIT QUE PROVENIR DE LUI.
Cela allait produire la castration du sens métaphysique en allant vers un CONSENSUS SOCIAL EXCLUSIVEMENT TOURNÉ VERS L’IDENTIFICATION AU CORPS ET AU MENTAL, et par conséquence tourné uniquement vers L’EGO, LA POSSESSION, ce qui a été réalisé le plus profondément en FRANCE et en Occident européen par le SOCIALISME, la DÉMOCRATIE (demos : peuple), et ça allait s’amplifier aux États-Unis : où la mystique protestante de l’utilitarisme et donc de l’argent et de la technologie et du commerce s’était si bien communiquée à toute la société, que l’égalitarisme républicain et socialiste pouvait devenir le WINNER en un MELTING POT caractéristique du mondialisme et de la technologie du capitalisme : LE SMARTPHONE C’EST À CE HUI DEVENU LA CROIX DU CHRIST : LA LIAISON, L’ARCHE D’ALLIANCE DE LA MYTHOLOGIE ABRAHAMISTE ET BIBLIQUE.
- L’urbanisation de la planète commence avec le ”grand architecte de l’Univers” du compas-équerre et sa géométrie parfaite mise en VALEUR DU TEMPS. Un certain ”Docteur Olivier” au 19è siècle cité pages 21-22 par C.W. Leadbeater et 33è degré judéo-maçonnique spéculatif, dit que l’actuelle ”Franc-Maçonnerie” est « le seul vestige authentique de la foi des patriarches d’avant le Déluge [lequel ?] – les antiques Mystères d’Égypte n’étant d’ailleurs, malgré leurs similitudes, que des versions altérées par les hommes de l’unique et pure tradition originelle [laquelle ?] ». (Réf. Rites mystiques antiques – Une brève histoire de la Franc-Maçonnerie).
Le créationnisme dans la mise en valeur du temps commence évidemment avec ADAM : « Notre parent originel, créé à l’image de Dieu [lequel ?], le ”grand Architecte de l’Univers”, devait avoir les Arts libéraux [sic] gravés dans son cœur – et en particulier la géométrie », écrit le James Anderson dans la première édition de ses Constitutions (énième mouture des ”Commandements” et autres ”droits de l’homme” de la logique compas-équerre anti Saint Chaos, cette LOGIQUE QUI RASSURE, CONFORTE, CONVENTIONNELLE, SOCIALISE, BÉTONNE, BOULONNE, COUVRE, MASQUE : CONSTRUIT DES « ISMES »).
Compas-équerre, pour, ENFIN, construire une ”existence identique à elle-même” ? et non pas l’existence des Juifs qui veulent foutre tout le monde À LA FIN DE LEUR LA MISE EN VALEUR DE LEUR TEMPS puisqu’ils ignorent le RETOUR AU MÊME (page 18 du livre de Jacques Attali : Les Juifs, le monde et l’argent)
PROBLÈME : équerre et compas sont du PUR CONVENTIONNEL……. comme un smartphone, comme une pelle et une pioche.
REFRAIN : la mise en valeur du temps, c’est la CAROTTE attachée à distance de la tête de l’âne pour le faire avancer, et si la carotte est bouffée par l’âne il n’avance plus, ce qui faisait dire à Marcel Proust, qui détestait l’Instant, le Ici et Maintenant : « Tant de fois au cours e ma vie, la réalité [l’Instant, l’atemporel] m’avait déçu parce qu’au moment où je la percevais, mon imagination, qui était mon seul organe pour jouir de la beauté, ne pouvait s’appliquer à elle, en vertu de la loi inévitable qui veut qu’on ne puisse imaginer que de qui est absent », donc comme la CAROTTE DE L’ÂNE, et réf. Le Temps retrouvé, de Marcel Proust.
« Le moksha [la libération] consiste à savoir que vous n’êtes jamais né. « Reste tranquille et sache que je suis Dieu ».
Rester tranquille veut dire ne pas penser. Ce qu’il faut, c’est savoir et non pas penser ». (Ramana Maharshi 131, 6-1-1936).
PROUST FAIT DANS LE CONTRAIRE DE RAMANA MAHARSHI ET DE L’ESSENCE DU YOGA VASISTHA : « L’apparence de ce monde est une confusion ; de même que le bleu du ciel est une illusion d’optique. Mieux vaut ne pas s’y intéresser et l’ignorer » (Yoga Vasistha, YV I, 3). Ce qui ne dépend pas d’un choix, mais de la PARTICIPATION SPONTANÉE de l’Être (et non par calcul, par choix, par utilitarisme de volonté). Dans un Trou il n’y a rien d’autre que le Trou, donc pas de Trou à voir.
PROUST COMME LES JUIFS PRÉFÈRENT LA CAROTTE, LE MESSIE, LE TEMPS, À LA PLACE DE L’INSTANT : ILS PRÉFÈRENT LE « VICE » : L’APTITUDE D’ÊTRE « À LA PLACE DE », DONC NE PAS ÊTRE SOI-MÊME, ÊTRE ALIÉNÉ : CE MONDE EST UN MONDE D’ALIÉNÉS, SURTOUT SA CHEFFERIE PUISQUE À LA PLACE DES AUTRES : sa chefferie possède l’aptitude égoïste de tenir lieu du même tout en étant l’autre, et c’est le « COMME SI ».
Note.
1. HIRAM ABIFF : personnage biblique ; constructeur habile et « Fils de la Veuve », que le supposé roi Salomon fit venir de Tyr pour diriger la construction du Temple, et qui, par la suite, est devenu un personnage maçonnique, le héros autour duquel tourne tout le drame, ou mieux le jeu, de la troisième initiation maçonnique. La Cabale [ergoteries en tous genres] attache beaucoup d’importance à Hiram Abiff. (Glossaire Théosophique, de H.P. Blavatsky).
Le rituel d’initiation franc-maçonnique est basé sur l’allégorie biblique de la construction du Temple de Salomon, « les Francs-Maçons oubliant à propos, ou ignorant peut-être, le fait que cette dernière allégorie est composée d’après le symbolisme égyptien et d’après d’autres symbolismes plus anciens encore », écrit justement H.P. Blavatsky, dans : La doctrine secrète.
Le Hiram de l’actuelle judéo-franc-maçonnerie spéculative née en 1717 à Londres est : Hiram Abiff (l’artisan ou ouvrier). Les Juifs parlent d’un habile ouvrier, c’est bandant pour tous francs-maçons, surtout en politique où tout ne vit que par calcul. À cela il ne faut point oublier le père Moïse plus ou moins en couple avec Osiris. L’autre Hiram est Hiram de Tyr. Le franc-maçon du 33è degré, C.W. Leadbeater écrit dans : Le côté occulte de la Franc-Maçonnerie, que celle-ci vint aux Juifs par l’Égypte, « quelle que soit l’influence, certaine d’ailleurs, exercée plus tard sur elle par le culte de Tammouz pratiqué par les nations voisines ».
Le roi Salomon ou Sol-om-on ; Sol (Soleil-monte) ; Om (mot sacré des Hindous ; mais mot substitué, car le véritable mot est énergie) ; On (existence absolue). Interprétation indiquée par Leadbeater.
Leadbeater explique encore que, Hiram Abiff s’écrit parfois Huram, et peut devenir khairoum ou Khouroum. Khour : Blanc (de l’Instant). Une variante donne Kri, qui dans certains cas devient Khris (proche de Krishna et Christ ou Instant). Dans certains passages du Livre de Job, celui-ci parle de l’orbe solaire, et le mot qu’il emploi est Khris.
« Hiram, roi de Tyr, assurent les annales, est le premier qui offrit le sacrifice du feu au Khour, devenu plus tard Héraklès. Plutarque nous dit qu’en son temps les Perses appelaient le soleil Kuros, nom qu’il rapproche du mot grec Kurios, signifiant Seigneur, et que nous retrouvons dans le “Kyrie eleison” de l’office catholique. Il y a aussi une relation entre le mot Khour et le nom égyptien d’Horus, qui s’appelait aussi Her-Ra et Haroeris, noms du dieu solaire. Le mot hébreu Aour signifie la lumière, le feu, ou le soleil ; d’où Khouroum, équivalent du grec Hermès.
Hiram a été le fils d’une veuve [le fameux « Fils de la Veuve » des actuels francs-maçons spéculatifs] ; ceci donne également a réfléchir. Horus, comme enfant d’Isis, était la réincarnation de son propre père Osiris et pourrait ainsi, enfant posthume, être décrit à juste titre comme le fils d’une veuve.
Bien qu’il fût de la tribu de Naphtali, il était né et il habitait à Tyr ; il peut donc avoir été instruit par la confrérie dionysiaque dont un centre se trouvait dans cette ville.
Hiram, Menhir, Hir-Man en Auvergne
Les divinités des Païens des bords de la Sioule sont :
Herem ou Germain (Saint Germain Dieu patron des Gaules et de tous les Gaulois d’origine gothique) et Chalmain divinité des Druzes ; Hiram et Salomon ; mais Herem et Chalmain sont des Dieux (Élementals) essentiellement locaux.
« Ceux des rivières du Cher et de la Sioule, et de tous les Dolmens gaulois, qui étaient toujours situés dans le voisinage des sources », écrit Grasset d’Orcet dans : Chroniques et récits d’Auvergne, chapitre : Un Saint national en Auvergne.
Toutes les pierres dressées ou menhirs sont des Hirmen, mot si proche de Hiram qui savait comment « dresser des pierres ». La pierre assise ou Dolmen, celle qui se fait porter, se nomme Saul (la table). « L’ensemble est la divinité gauloise et Germaine d’Irmin Sul, qui est représenté aussi par un tronc d’arbre, « hermen », et son feuillage « Saul ». C’est sous cette dernière forme qu’il figure comme divinité principale sous l’autel du Musée de Cluny », écrit Grasset d’Orcet.
Complément sur la page : Hiram, Menhir, Hir-Man en Auvergne