Monde du vendeur et du client ou consommateur
À Rome, plébéien (peuple ou deuxième ordre du peuple romain et dépourvu de privilège) qui se mettait sous la protection d’un patricien appelé patron. Les Chrétiens sont les plébéiens d’un pape, ou d’un patron.
LE COMMERCE LA CONNAISSANCE RELATIVE SUJET-OBJET.
LOI DE SUCCION VULGAIRE.
– Le vendeur, le patron : celui qui CONNAÎT, le CONNAISSEUR.
– Le client, le peuple : celui de l’OBJET CONNAISSABLE, ou de l’OBJET À ACHETER.
« Si vous affirmez que vous voyez les objets ou que vous ne connaissez pas l’Unité réelle, vous devez en conclure qu’il y a deux soi : le connaisseur et l’objet connaissable. Or, personne n’admettrait qu’il existe en lui-même deux soi. L’homme réveillé dit que c’était lui qui était plongé dans le sommeil profond, mais qu’il était inconscient. Il ne dit pas que le dormeur était différent de celui ici présent. Il n’y a qu’un Soi. Ce Soi est toujours conscient. Il ne change pas. Il n’existe rien d’autre que le Soi ». (Ramana Maharshi 144, 23-1-1936).
MIROIR-DÉCALAGE.
Dans ce monde on profite de l’Instant seulement quand Il est passé, c’est-à-dire quand du Blanc de l’Instant Il est transformé en 7 Couleurs de l’Arc-en-Ciel (par les MIROIRS de goutelettes de pluie).
« Connaître le Soi » veut dire « être le Soi ». Pouvez-vous dire que vous ne connaissez pas le Soi ? Bien que vous ne puissiez voir vos propres yeux et que vous ne soyez pas muni d’un miroir pour les voir, niez-vous leur existence ? De même, vous êtes conscient du Soi sans en avoir une preuve objective. Ou niez-vous votre Soi, parce qu’il n’est pas une réalité objective ? Quand vous dites : « Je ne peux pas connaître le Soi », cela signifie, en termes de connaissance relative, qu’il y a absence. Vous avez été tellement habitué à la connaissance relative que vous avez fini par vous identifier à elle. Cette fausse identification a forgé la difficulté à connaître le Soi, qui ne peut pas être objectivé. C’est pourquoi vous demandez : « Comment peut-on connaître le Soi ? » Votre difficulté se trouve dans le « comment ». Mais « qui » doit connaître le Soi ? Est-ce le corps ? Laissez-le répondre. Et qui dit maintenant que le corps est perçu ?
Pour éclaircir cette sorte d’ignorance, les shastra [Écritures] ont formulé la théorie du jeu divin (līlā ou krīdāl). Dieu, dit-on, se manifeste sous la forme du mental, des sens, du corps, puis Il se met à jouer.
Qui êtes-vous pour dire que ce jeu divin vous dérange ? Qui êtes-vous pour mettre en doute les oeuvres de Dieu ?
Votre devoir est d’être et non pas d’être ceci ou cela. « Je suis ce JE-SUIS » résume toute la vérité. La méthode est résumée dans « SOIS TRANQUILLE ». Que veut dire tranquillité ? Cela veut dire « détruis-toi » (RENONCEMENT ou PUTRÉFACTION). Car toute forme [tous les noms-les-formes tellement vendeurs en loi de succion vulgaire] est cause de souffrance. Abandonnez la notion « Je suis ceci ou cela » [du ”Votre ceci, votre cela”]. Nos shastra disent : aham iti sphurati (Il resplendit en tant que ‘Je’) ». (Ramana Maharshi 363, 20-2-1937).
« Laissez Dieu tranquille. Parlez pour vous-même. Vous ne connaissez pas Dieu. Il n’est que ce que vous pensez qu’il est. Est-Il séparé de vous ? Il est cette Conscience pure dans laquelle toutes les idées se forment. Vous êtes cette Conscience [Nous sommes l’Univers] ». (Ramana Maharshi 453, 8-2-1938).
Ce monde du COM-MERCE ou du RELATIF est le SPÉCULUM ou RAISON : spéculum : miroir, a donné le nom de ”spéculation” (théorie, recherche, opération financière ou calcul). À l’origine c’était observer le ciel et les mouvements RELATIFS des étoile à l’aide d’un miroir. Sidus (étoile) a aussi donné ”considération” (de con, avec, et sidération), donc qui signifie étymologiquement : regarder l’ensemble des étoiles. De nos jours ça donne l’ensemble appelé « RAISON ». De là vient que le miroir est un symbole extrêmement riche dans le Thème de la Connaissance.
Le miroir sera l’instrument de l’Illumination (la Connaissance au sens du Retournement de la Lumière ou Réalisation du Soi).
Reflet de la Parole céleste le miroir renvoie la manifestation de l’intelligence créatrice (le ”Tour-de-main”), la créant comme telle à son Image. Cette révélation de l’Identité et de la Différence dans le miroir est à l’origine DU DÉMON : LUCIFER DÉGRINGOLANT. Le Cœur humain reflétant l’Univers, ce Cœur est facilement comparable au VRAI SOLEIL : LE CHRIST en Soi (pas le Christ incarnationiste de l’Église de Rome).
SPÉCULER-SPÉCULUM = connaissance relative : le miroir donne de la Connaissance une image INVERSÉE, tel ce monde actuel : ”Ce qui est en Haut est comme ce qui est en bas, et l’inverse”, mais de nos jours seulement ”ce qui est en bas” compte : IL N’Y A PLUS LE REFLET INVERSÉ DU PRINCIPE, IL N’Y A DONC PLUS AUCUN REFLET ! CETTE PASSIVITÉ DÉGUISÉE EN « FAIRE/FER » NE PEUT QUE ROUILLER : être non-affecté ni par en haut ni par en bas mais uniquement par en bas, est l’activité du COM-MERÇANT.
Retournement de la lumière : l’âme devient un miroir et par ce retournement l’image dans le miroir subit une TRANSFORMATION. Il y a alors une configuration entre le la conscience contemplé et le miroir ou LUMIÈRE qui le contemple. L’âme finit par participer de la Beauté même à laquelle elle s’ouvre.
PANique = le DÉMON DE L’IDENTITÉ, LA TERREUR DE LA CONNAISSANCE VÉRITABLE DE SOI.
« Est-ce que ‘je’ subsiste pour la poser [la question ”comment connaître le Soi ?”] ou non ? Puis-je trouver mon Soi comme dans un miroir ?
Comme votre perspective a été dirigée vers le dehors, le Soi a été perdu de vue et votre vision est devenue extérieure. On ne trouve pas le Soi dans les objets extérieurs [et racine du mal, comme la dualité du manque et du reste ; le scribe de la page souligne]. Tournez votre regard vers l’intérieur et plongez en vous ; vous serez le Soi ». (Ramana Maharshi 238, 20-7-1936).
« Les images ne peuvent être reflétées en l’absence du miroir. De même, le monde ne peut avoir une existence indépendante. Svatantra [libre, indépendance, ou ”Le Centre est nulle part mais sans Lui aucune Circonférence partout”] est donc un attribut du Suprême ». (Ramana Maharshi 288, 29-11-1936).
« Le miroir reflète des objets. Les reflets sont irréels puisqu’ils ne peuvent pas exister indépendamment du miroir. De même pour le monde : on dit qu’il est un reflet dans le mental et qu’il ne subsiste pas en l’absence du mental. Alors la question se pose : Si l’Univers est un reflet, celui-ci ne devrait-il pas être le reflet d’un objet réel, connu en tant qu’Univers, pour qu’il puisse se refléter dans le mental ? Cela reviendrait à reconnaître l’existence d’un Univers objectif [conventionnel, mondialiste]. Mais, en vérité, ce raisonnement est faux.
C’est pourquoi on donne l’exemple du rêve. Le monde du rêve n’a pas d’existence objective.
Comment, alors, est-il créé ? On doit supposer l’existence d’impressions mentales, appelées vâsanâ [tendances, prédispositions latentes du mental, impressions formées dans le passé qui déterminent nos pensées et actions].
Comment ces vâsanâ se trouvent-elles dans le mental ? Parce qu’elles sont subtiles. De même que l’arbre est contenu, à l’état potentiel, dans la graine, ainsi le monde est contenu dans le mental.
On peut se dire aussi que si une graine est le produit d’un arbre, celui-ci a dû exister avant elle pour lui donner naissance et conclure que le monde a dû, lui aussi, exister à un moment ou un autre.
Mais il n’en est pas ainsi. Il a fallu plusieurs incarnations pour rassembler toutes les impressions qui se manifestent sous la forme actuelle. Par conséquent, j’ai dû exister auparavant, de la même manière que j’existe maintenant ! Le chemin direct pour trouver une réponse consiste à chercher si le monde existe vraiment. En admettant l’existence du monde, je dois admettre quelqu’un qui le voit et qui n’est autre que moi-même. Laissez-moi trouver “moi-même” de manière à ce que je connaisse la relation entre le monde et celui qui le voit [dans le monde commercial du sujet-objet actuel il est quasiment INTERDIT de tenter la relation entre le monde et soi-même]. Mais quand je cherche le Soi et demeure comme le Soi, il n’y a plus de monde à voir [et c’est complètement anti-commercial, anti-monde]. Quelle est alors la Réalité ? Seul celui qui voit est réel, et certainement pas le monde.
Ceci étant la vérité, l’homme n’en continue pas moins de discuter en se basant sur la réalité du monde. Qui donc lui a demandé de plaider la cause du monde ? [ET DE FAIRE COM-MERCE].
Le Yoga-vāsishtha définit clairement la Libération comme étant l’abandon du faux pour demeurer en tant qu’Être ». (Important entretien 442 de Ramana Maharshi le 8 janvier 1938).
EN HAUT COMME EN BAS ET L’INVERSE.
– M. : « Un personnage apparaît sur un écran de cinéma observant le monde entier. Quelle est la réalité du sujet et de l’objet dans le même film ? Un être illusoire observe un monde illusoire.
– Q. : Pourtant, je suis le témoin du film.
– M. : Vous l’êtes, bien entendu. Vous et le monde êtes aussi réels que le personnage du film et le monde du film. (Ramana Maharshi 443, 8 janvier 1938).
Notons que le miroir comme l’écran de cinéma ne sont pas affectés par les images projetées dessus. « Il en va de même pour le monde qui n’est qu’un phénomène sur la Réalité unique, ne l’affectant en aucune manière. La Réalité est seulement une.
Les discussions sur l’illusion proviennent des différences d’angle de vision. Changez votre angle de vision pour prendre celui du jnana [le Réalisé ou Libéré vivant] et découvrez l’Univers comme n’étant rien d’autre que le brahman [Être suprême, l’Absolu]. Comme vous êtes actuellement dans le monde, vous considérez le monde en tant que tel.
Allez au-delà de lui et il disparaîtra : la Réalité seule resplendira. ». (Ramana Maharshi 446).
« Un mental sans pensée est comparable à deux miroirs clairs, l’un face à l’autre, n’échangeant entre eux aucun reflet ».
(Ramana Maharshi 485, 30-4-1938).
« Que peut-on trouver dans un tel reflet ? Le pur âkâsha (éther). De même, la félicité reflétée du jnani représente la véritable Félicité (ânanda). (Ramana Maharshi 513, 16-9-1938).
L’ÉVIDENCE : E-VIDE-en-CE est forcément ce qu’il est plus difficile à penser, parce que le temps d’idéation n’existe plus. La VÉRITÉ VRAIE la plus authentique se situe à l’abris du conventionnel, à l’abris des « sentiers battus » ; C’EST POURQUOI ELLE EST COMBATTUE PAR TOUS LES POUR-VOIR (pouvoirs, surtout étatiques, le ”camp du Bien”).
VÉRITÉ étant LIBERTÉ, un acte Libre, donc ne s’appuyant sur aucun miroir ou sur aucune autorité, dans ce monde mécanique de la racine du mal(1), si cet acte libre existe, IL EST SUSPECT, IL PASSE EN « GARDE À VUE ».
A ≠ A formule du MIROIR TAUTOLOGIE. La logique du monde actuel mécanique procède de A = A, ou plus parlant les vers de Boileau : « J’appelle un chat un chat, et Rolet un fripon ». La logique identitaire voudrait qu’on dît seulement : « J’appelle un chat un chat, et Rolet Rolet ». Le comique du vers consiste à feindre d’assimiler le rapport de Rolet à de la friponnerie à un rapport de pure Tautologie, de pur miroir SANS TAIN : Rolet et fripon sont réversible ou équivalents l’un à l’autre, selon l’équation identitaire qui veut que Rolet soit égal à un fripon comme A = A.
A ≠ A sera l’équivalent du ”N’EST PAS X” :
Le X ou Singularité, le ”Venant de Nulle part” tel le Centre est nulle part et la Circonférence est partout.
Le X du ”Aller vers l’obscur et l’inconnu par ce qui est plus Obscur et Inconnu encore”.
Le X des OBJETS SACRALISÉS : en plus d’être eux-mêmes, ILS SONT AUTRE CHOSE.
Le X du ”En notre absence, nous ne savons pas ce que font les objets”.
Ce qui engendre le ”COMME SI”, le monde, le temps, existaient s’il n’y avait aucune conscience pour les voir ? ”COMME SI” le Vrai DEVENAIT vrai dès qu’on l’observe et le possède : l’observateur détermine où et comment (utilitarisme) la particule va être perçue (donc en fonction de l’ego du moment) ?
L’observation ne peut qu’affecter la finalité de cette observation, parce que TOUT EST DANS TOUT, en Haut comme en Bas et l’inverse.
Ainsi il n’existe pas le winnerisme appelé : « objectivité ». Tout observation de la ”réalité” est subjective, en ”Comme si”, puisque le mental de l’observateur par son ego et ses sens détermine ce qui va être vu et pris pour « la réalité ». Et lorsque 2 observateurs sont d’accord, à l’état de veille, ça forme déjà une société par concept d’inconscient collectif.
Rejoint ci-dessous : ”En notre absence, nous ne savons pas ce que font les objets”.
Les phénomènes sont en interaction, chacun d’eux contient en lui tous les autres. Si le dispositif est modifié, les propriétés du Composé observé par la conscience changeront à leur tour, d’où le sens du ”Gate, gate”. Le temps n’existe que s’il y a une personne pour l’observer. Mais si personne n’observe le temps, icelui existe-t-il malgré tout,
AU DEHORS ?
Cela sera À JAMAIS impossible à réaliser car se si-tuant en contradiction avec le l’impossibilité de SORTIR de l’Univers pour l’observer et ainsi FAIRE comme si on le possédait.
Le phénomène du ”COMME SI” sera alors : « En notre absence, nous ne savons pas ce que font les objets, les noms-les-formes. Sont-ils toujours là ? Ou ailleurs ? Il n’y a aucun moyen de le vérifier, et c’est bien ainsi, SAUF, SI, le mental intervient, à l’état de veille….»
Ainsi LE MONDE, LES TERRIENS ET AUTRES NOMS-LES-FORMES QUI Y SONT DEDANS, NE SONT NI RÉELS NI IRRÉELS : TOUR SE PASSE « COMME SI », DONC DE L’ORDRE D’UNE HALLUCINATION, DE L’ORDRE D’UNE ILLUSION. Ce sont les nombreux exemples de l’écran de cinéma donné par Ramana Maharshi qui n’a probablement jamais mis les pieds dans une salle de cinéma, où il a seulement assisté à une projection en pleine air avec un drap blanc en guise d’écran : on voit des images défilées sur l’écran, une séquence d’incendie ne brûle pas l’écran, pourtant cette séquence composée de plans et de personnages fait QU’ON Y CROIT, images, plans, situation, mouvement, font que TOUT SE TIENT, ALORS ON Y ADHÈRE, ON SUBIT LA LOI DE SUCCION ET VULGAIRE, ET SACRÉE. Telle : Quand une magie parle toutes les magie parlent, quand une se tait toutes se taisent ». Dans un tel concept le monde est une SUITE D’INFORMATIONS ET DE SIGNAUX, SANS PLUS, SANS RÉFÉRENT AU DEHORS À DES SIGNIFIANTS.
Comme le précise Ramana Maharshi, pour ne subir que la Vraie Loi de succion, celle de l’Écran qui n’est pas affecté par ce qui lui est envoyé dessus, IL FAUT RESTER COMME LE Soi-Écran, neutre, en état de N’EST PAS X, le X étant l’Écran, le Miroir sans tain, le Soi, rester en état de Maât, Cour, direct, a-temporel.
Note.
1. L’Agenda 2030 mène directement à la TOUR DE BABEL : les ENGRENAGES DE LA MÉCANIQUE, les SPÉCIALISTES : arts, technologies et toutes créations humaines sont et seront de plus en plus DIVISÉES EN SPÉCIALISTES-SPÉCIALITÉS augmentés de ”l’intelligence artificielle”, TELLES LES BRIQUES DE LA TOUR DE BABEL RELIÉES SEULEMENT PAR DU BITUME : LE SOCIAL ET SA COUVERTURE NATURELLEMENT SUPERFICIELLE, OU DE BITUME ; NE FORMANT PAS L’ENSEMBLE, TOUT NE PEUT QUE S’ÉCROULER. UN ENSEMBLE FAÇON AGENDA 2030 NE PEUT QUE S’ÉCROULER.
Le ‘Moi’ dans le social se définit par rapport à un ‘Toi’ et est donc limité par ce qui le différencie de ce ‘toi’. Le ‘Moi’ est limité par ce qui le différencie du ‘Toi’ et ainsi ne peut pas être LE TOUT, L’INFINI, LE Soi.
On a ainsi une SOCIÉTÉ MÉCANIQUE : des entités qui sont EXTÉRIEURES LES UNES DES AUTRES, dans le sens où elles existent INDÉPENDAMMENT, dans différentes régions de l’espace-temps et qu’elles interagissent les unes les autres à travers des énergies qui n’apportent aucun changement, c’est la logique politique étatique et commerciale du « Plus ça change et plus c’est la même chose ».
LA VALEUR D’ÉCHANGE ENTRE DEDANS ET DEHORS et RESTE ET MANQUE DE LA SOUMISSION AUX MARCHANDISES, LA SOUMISSION À LA LOI DE SUCCION, LE PLOMB PESANTEUR.
– Quelle est donc la racine du mal ?
– La « saisie » [loi de succion vulgaire à distinguer de la Vraie Loi de succion ou Eucharistie, mais ne pas tomber dans la gloutonnerie spirituelle qui existe aussi, c’est-à-dire ne pas tomber dans LA FIXATION OU COAGULATION D’UNE SPIRITUALITÉ COMME FIN EN SOI OU COMME « FIN DES TEMPS » !].
– La saisie de quoi ?
– La saisie du triple monde [de la Forme, du Désir, du Sans-Forme ; le connaisseur, la connaissance et le connu].
– Comment arrêter cette saisie ?
– En recourant à l’introuvable, car dans l’introuvable il n’y a pas de saisie.
– Qu’est-ce que l’introuvable ?
– La fin du dualisme.
– Qu’est-ce que le dualisme ?
– La vision d’un dedans et d’un dehors, lesquels sont introuvables.
(Soûtra de la Liberté inconcevable, chapitre V, 14)