Retour sur l’enflure : le BOLG de Symbole : ventre, sac, bide (comme faire un bide), peau ou enveloppe ou paquet-corps, emballage = balle, du ”C’est le la balle”, au sens où « Ça en jette » comme le « C’est notre projet » du macron-rothschild. Le BOLG sera alors comme le SALUT : DIA-BLE, de Dia- à travers (4), comme DIA-logue, DIA-ginale, à travers la BOULE, le BOLG, le MASQUE ou la CARAPACE, la PARA-BOULE, ou à travers le jet (le lancer), à travers du GATE GATE (1).
LE LANCER À TRAVERS PANique = LE GATE GATE(1) dans la Conscience fondamentale INDIVIDUELLE : l’Éternel Retour dans le ”Comme si” où l’apparences du monde n’est ni réelle ni irréelle : comme les images défilantes sur l’écran de cinéma, l’écran reste NEUTRE : il n’est pas influencé par les images projetées dessus. Comme l’exprime Ramana Maharshi plusieurs fois : « vous êtes l’écran ».
« Vous êtes l’écran, le Soi a créé l’ego et l’ego a ses formations de pensées qui se manifestent comme le monde, les arbres, les plantes, etc., dont vous parliez. En réalité tout cela n’est pas autre chose que le Soi. Si vous voyez le Soi, vous trouverez le Soi en tout, partout et toujours. Rien d’autre que le Soi n’existe ». (Ramana Maharshi 13a 7-1-1935). Qui aussi une définition de sens de FRACTAL inhérent au Centre Nulle part et la Circonférence partout.
Comme le dit bien la Stance 17,31-33 de Nagarjuna : « De même que le Maître [le jnani ou Libéré vivant] par son pouvoir miraculeux [le Zéro Indien], crée un être magique [Adam par exemple, ou un big bang] et que cet être magique, magiquement créé, en crée un autre [le ”Croissez et multipliez” tel le FRUIT, le BÉNÉFICE ou plutôt BÉBÉFICE] à son tour, de même que l’agent se présente comme un être magique, et l’acte accompli par lui est comme un deuxième être magique créé par le premier [un socialisme, une fractale].
Passions, actes, agents, fruits ressemblent à une ville de génies célestes, sont pareils à un mirage, à un songe ». La Cause créé son Effet.
De ce fait, Dieu et l’homme sont du domaine du ”COMME SI”, comme LE JEU D’ENFANT : « On fait comme si le loup y était », afin de se CRÉER UNE PEUR, UNE CAROTTE POUR AVANCER, UN SCÉNARIO, UNE HISTOIRE-ESPACE-TEMPS, UN MESSIE, POUR S’A-MUSER (du A privatif et muse : se priver de Muse, ou de l’ESSENCE, de la RACINE). Donc le monde, le ‘moi’ fabricant du monde, SONT AMBIGUÏTÉ. ILS NE SONT NI RÉELS, NI IRRÉELS, sinon, si on choisit l’un ou l’autre ON TOMBE DANS LES GUERRES SANS FIN QUI ONT TOUJOURS FAIM À CAUSE DE L’OPINION FOURGUÉE PAR L’EGO HUMAIN. AMBIGUÏTÉ, ”COMME SI”, OU ”EN QUELQUE SORTE”, ”POUR AINSI DIRE”. ÇA S’APPELLE AUSSI LE FLÉAU le TRANCHANT COMME LA FOUDRE, comme Zeus et ses éclairs.
COMME ZEUS ET SES ÉCLAIRS : le Signe ou Signifié : L’EFFET, complément contraire du Signifiant : LA CAUSE OU LA PENSÉE DU SIGNE comme Zeus est la Pensée des éclairs, le Signifié ou Signe-Effet (phénomène).
Nous voyons des empruntes de pas sur le sol : le Signe ou Signifié : L’EFFET.
Par le mental qui calcul, nous y associons : ”Un être humain est passé par là”, c’est le Signifiant : LA CAUSE, LA PENSÉE DU SIGNE, l’humain qui vient de passer en laissant ses traces. Cette BALANCE SIGNIFIANT-SIGNIFIÉ constitue LA LOI DE SUCCION, ET VULGAIRE, ET AUTHENTIQUE. C’est pourquoi Jean 14,2 pouvait écrire : « IL Y A PLUSIEURS DEMEURES DANS LA MAISON DE MON PÈRE », d’où les risques d’INTERFÉRENCE, ou les ”FAUX DIEUX”…
Cette BALANCE SIGNIFIANT-SIGNIFIÉ n’est autre que ce qu’on appelle à l’état de veille : UN LANGAGE.
Comme ”IL Y A PLUSIEURS DEMEURES”, les signes ou effets peuvent être naturels : des éléments comme l’eau gelée d’un lac en hiver, des nuages, soit, ce qui est appelée ”réalité” au Dehors. Surtout, depuis le délire technologique commencé en Europe à l’époque de la Renaissance, les signes deviennent artificiels, donc CONVENTIONNELS :
- – Les Anciens pensaient en terme d’INTUITION : DIRECT.
– Les Modernes pensent en terme de choses, d’objets, alors que les Anciens les voyaient comme des fonctions d’acquisitions d’information : « Les signes ont été considérés au Moyen-Âge comme faisant intrinsèquement partie des choses, tout comme leur nom ; au XVIIè siècle, les signes deviennent des ”modes de représentation”. Les représentations finissent par être radicalement distinguées des choses représentées. Pour représenter de manière fidèle, la langue doit être amenée le plus près possible des mots ». (David R. Olson, L’univers de l’écrit – Comment la culture écrite donne forme à la pensée, page 220).
« Mais il semble peu douteux que l’écriture et la lecture aient joué un rôle essentiel dans la genèse d’un bouleversement, par lequel nous sommes passés d’une pensée sur les choses à une pensée sur les représentations des choses, c’est-à-dire à une pensée sur la pensée [donc le RE et une distance entre, le RE de réitérer ou copier, RENDRE FAUX : Le Vrai devient faux dès qu’il est copié ou vu]. Notre conception moderne du monde et de nous-mêmes est, pourrait-on dire, un sous-produit de l’invention du monde sur le papier » (David R. Olson).
LA PENSÉE MODERNE HUMAINE EST DEVENUE UNE PENSÉE-OBJET, COMME UNE CASSEROLE, COMME UN SMARTPHONE OU UNE AUTOMOBILE, DONC TOUTES CHOSES POUR COM-PRENDRE DE L’INFORMATION. EN CE SENS, NOUS PLAÇONS L’OUTIL « COMME SI » IL EXISTAIT AVANT L’INFORMATION À COM-PRENDRE : l’outil smartphone pour COM-prendre, l’automobile pour COM-prendre.
De nos jours on voit l’intuition comme un objet, et Nous voyons les Anciens avec les outils de leur temps pour acquérir de l’information, c’est la logique actuelle matérialiste qui opinione cela.
NOMMER SANS PENSER : VACUITÉ. Car penser c’est déjà COM-prendre, calculer, objectiver, numériser, REMPLIR, COMBLER, etc.
La dualité du manque et du reste est une invention de la pensée humaine, permettant notamment « la perfection » (combler le manque). COMME CELA L’HUMAIN INVENTE LA VALEUR !
NOMMER SANS PENSER = INTUITION : L’EFFET PRODUIT LA CAUSE, et non le contraire suivant la logique actuelle du Satam !!!
Pour creuser un puits, il nous faut creuser une énorme fosse. L’âkâsha (espace) ainsi dégagé n’a pas été créé par nous. Nous avons simplement enlevé la terre qui remplissait l’espace. L’espace était toujours là et il l’est aussi maintenant [c’est aussi une définition du sens du mot ESSENCE : S en CE-la [le Fils], le S vibration du TOUT se manifestant…].
« De la même manière, nous devons simplement évacuer [et non remplir] tous les vieux samskâra (tendances) qui nous habitent. Quand ils auront été abandonnés, le Soi resplendira seul [ça s’appelle aussi ”Renoncement” ou ”Putréfaction”] ». (Ramana Maharshi au jour le jour, 9-1-1946, après-midi).
« De plus, si quelque chose de nouveau doit être obtenu, cela implique que c’était absent auparavant. Ce qui a été une fois absent peut disparaître encore. Ainsi, le salut ne serait pas permanent. Mais le salut est permanent parce que le Soi est ici et maintenant, et éternel ». (Ramana Maharshi, entretien 63 du 6-7-1935)
COMME ZEUS ET SES ÉCLAIRS : le Signe ou Signifié : L’EFFET, complément contraire du Signifiant : LA CAUSE OU LA PENSÉE DU SIGNE comme Zeus est la Pensée des éclairs, le Signifié ou Signe.
DEPUIS LE PROBLÈME DU MOI-INDIVIDUEL ET DE SON CONTRAIRE LE MOI-COLLECTIF, les signes deviennent ARTIFICIELS, CONVENTIONNELS, DOUBLÉ DE LA « RÉALITÉ AU DEHORS » : signes ou phénomènes deviennent CONVENTIONS, résultant de l’artifice de l’usage-utilité social ; la convention, le consensus adopté qui a pour principal objectif de permettre la COM-munication, l’échange commode entre non seulement le Dedans-Dehors, mais surtout entre les membres de la même communauté.
CES FONCTIONNEMENTS S’APPUIENT SUR LA PENSÉE. ET SI LE « QUI SUIS-JE ? » permettant le « Je suis ce JE-SUIS » n’est pas au rendez-vous par la COÏNCIDENTIA OPPOSITORUM (union des contraires), cela donne le chaos humain actuel qui se poursuit depuis déjà nombre de millénaires par la voie de l’Agriculture et de la découverte du feu vulgaire.
- BOUTEILLE, BOUT ŒIL : vas-y voir :
GENÈSE 1,1-2 : ”Tiens, ya de la lumière, j’va allé y voir !”
Et c’est la naissance. La Signature/Signifié.
« VOUS ÊTES VOUS-MÊME LA LUMIÈRE »(3).
« VOUS ÊTES VOUS-MÊME LA LUMIÈRE » parce que PLUS ON CHERCHE ET MOINS ON TROUVE. Si bien qu’un jour, style ”à la fin des temps”, si une I.A. d’un humain, ou si cet humain découvre « l’utilité de l’Univers », où s’il n’en a pas, et donc aussi le pourquoi cet humain est Ici et Maintenant et son I.A. avec, le dit Univers disparaîtra dans l’Instant, et sera remplacé par un « TRUC » considérablement plus inextricable et étrange encore. PARCE QUE TOUT ÉTANT SYMBOLE, son principe est : La chose se découvre, tout en se revoilant dans l’Instant suivant. “Ah ! elle est passée”.
(Du conscient, elle est redevenu inconscient !). Donc il en sera de même si quelqu’un « découvre » la fonction de l’Univers ; car qui dit « DÉ-COUVRE », SIGNIFIE RE-COUVRIR DE PLUS BEL.
DÉCOUVRIR est par définition LE CONTRAIRE de sa signification conventionnelle qui nous fait accroire : on recouvre toute chose du voile de ses pensées obsessionnelles colorées de ses samskâra [tendance innée, impression] : d’E-couvrir… La vision du TROU se fait SEULEMENT DANS LE PUITS(4), DANS LE TROU, et comme dans un Trou il n’y a rien d’autre que le Trou, donc PAS DE TROU À VOIR. LE SYMBOLISME PERMET SEULEMENT LE GATE GATE(1). LE MODE DU « N’ÊTRE PAS », DU « NON-AGIR », PERMET L’USAGE ET L’ÉNERGIE, PAR L’ABSENCE D’ÊTRE EN SOI, tel le Centre est nulle part mais la Circonférence est partout GRÂCE AU CENTRE.
- Le plus tendre en ce monde
domine le plus dur.
Seul (Art-se-nick) le rien s’insère dans ce qui n’a pas de failles.
À quoi je reconnais l’efficace du non-agir. - L’enseignement sans parole
L’efficace du non-agir,
Rien ne saurait les égaler.
(Verset 43 du Tao-tö king, trad. Liou Kia-hway)
ÊTRE COUR : le NON-AGIR :
Celui qui s’adonne à l’étude
Augmente de jour en jour.
Celui qui se consacre au TAO
Diminue de jour en jour.
Diminue et diminue encore
Pour arriver à ne plus agir.
Par le non-agir
Il n’y a rien qui ne se fasse.
C’est par le non-faire
que l’on gagne l’Univers [puisque Nous sommes DEDANS].
Celui qui veut faire
ne peut gagner l’Univers [puisqu’il SORT de l’Univers pour le voir : Pour-Voir, COM-prendre].
(Tao-tö king, Verset 48, traduction de Liou Kia-hway)
(”Sortir [du Tao], c’est vivre ; entrer [dans le Tao], c’est mourir”. Début du Verset 50).
TOUT commence par la PERTE-PUTRÉFACTION ou RENONCEMENT : ON DÉCHIRE LE CONTRAT-MONDE.
Faire SILENCE : calmer son mental : « Je prie Dieu de me libérer même de Dieu”, Maître Eckhart, qui disait aussi : ”Ce n’est pas au Dehors, mais au Dedans : tout au Dedans”.
Notes.
1. « Aller vers l’obscur et l’inconnu par ce qui est plus Obscur et Inconnu encore » dit la devise alchimique, comme le GATE GATE : « Gate gate pâragate pârasamgate bodhi svâhâ » du Soûtra du Diamant (Allé, allé, allé au-delà, allé complètement au-delà, l’Éveil, ainsi). Ouvrir les portes des portes, car toutes formulations ou identification dans le conventionnel ENFERMENT, et même si on ne conceptualise pas, le risque demeure qu’il reste encore une trace, un parfum, une sensation de quelque chose qui pourrait….
2. « La mort n’est qu’une pensée et rien de plus. Celui qui pense provoque des difficultés. Que le penseur nous dise ce qui lui arrive quand il meurt. Le ‘Je’ réel est silencieux. On ne devrait pas penser « Je suis ceci », « Je ne suis pas cela ». Dire « ceci » ou « cela » est faux. Ce sont aussi des limitations. Seulement « Je suis » est la vérité. Le silence est ‘je’. Si l’un pense « Je suis ceci », un autre pensera « Je suis cela » et ainsi de suite. Il se produit des conflits de pensées et tant de religions en résultent. La vérité reste ce qu’elle est, elle n’est affectée par aucune déclaration, conflictuelle ou autre ». (Ramana Maharshi 248, 15-9-1936).
« La nature du Soi, ou ‘Je’ doit être la lumière(3). Vous percevez toutes les modifications et leur absence. Comment ? Dire que vous recevez la lumière d’un autre amènerait à se demander d’où il l’a reçue lui-même et il n’y aurait pas de fin à cette chaîne de raisonnements. Vous êtes donc vous-même la Lumière [le scribe de cette page souligne].
L’exemple courant à ce propos est le suivant : vous préparez avec divers ingrédients toutes sortes de sucreries aux formes diverses. Elles ont toute un goût sucré car elles contiennent du sucre et la saveur sucrée et la nature même du sucre. De même, toutes les expériences, comme aussi leur absence, contiennent la lumière qui est la nature même du Soi. Sans le Soi, ces expériences n’existeraient pas, tout comme sans sucre aucun des plats que vous préparez ne peut avoir une saveur sucrée.
[…]
D’abord on voit le Soi comme objets, ensuite comme vide et puis comme le Soi. C’est seulement dans cette dernière étape qu’il n’y a pas de ‘voir’ [comme dans un Trou il n’y a rien d’autre que le Trou, donc pas de Trou à voir] car voir, c’est ÊTRE ». (Ramana Maharshi au jour le jour,
3. La Lumière au Pays du Rien du Tout Elle est l’équivalent du Centre qui est nulle part et de la Circonférence qui est partout.
2 Corinthiens 6,10 : « Pour tristes, nous qui sommes toujours joyeux ; pour pauvres, nous qui faisons tant de riches ; pour gens qui n’ont rien, NOUS QUI POSSÉDONS TOUT ». Définition de la Lumière au Pays du Rien du Tout, ou de la Vraie Demeure du Sans Demeure.
La ”Lumière”, le Soi, n’est ni en soi (dans un lieu) ni en dehors de Soi comme s’il fallait l’acquérir un jour ou l’autre (le projet). Arbres, montagnes, rivières, soleil, lune etc., tous participent de cette Lumière qui ne se trouve donc pas seulement en s(S)oi. Intelligence, sagesse, connaissance, participent aussi de cette Lumière qui n’est ni Dedans ni Dehors. De même que la lumière du Ciel et de la Terre participent de l’Univers, Nous, Si l’on Retourne la Lumière ou si l’on Réalise le Soi, le monde entier naturellement se réalise de lui-même.
NE PAS PENSER = CENTRUM CENTRI : il est le Centre de l’Univers NULLE PART, mais sans Lui aucune Circonférence n’est possible, l’Univers est impossible. Voilà pourquoi s’explique le mécanisme de toute Création : il suffit du Centrum Centri ou Concentration absolue pour passer le GATE GATE, C’EST TOUT.
« Se concentrer » veut dire : POSER son attention là-dessus, mais sans tomber dans une concentration rigide ou possessive ! Car le sens du mot ”se Concentrer” étant le GATE GATE, il est plein de vie. « La concentration, c’est ne pas penser à quoi que ce soit. D’autre part, c’est chasser toutes les pensées qui nous cachent la vision de notre véritable nature […] La force de l’habitude nous pousse à croire qu’il est difficile de cesser de penser. Quand cette erreur est découverte, personne ne serait assez stupide pour s’efforcer à penser inutilement » (Ramana Maharshi 398, 14-4-1937).
« Les termes ”arrêt” et ”voir” sont essentiellement inséparables : ils signifient concentration et pénétration. Désormais, quand les pensées surgissent, ne restez pas immobile comme vous le faisiez auparavant mais explorez : « où est cette pensée ? De qui vient-elle ? Où disparaît-elle ? » Prolongez ce questionnement, répétez-le inlassablement jusqu’à ce que vous compreniez qu’on ne peut saisir [la pensée] et, alors, vous verrez d’où elle vient. Vous n’aurez plus besoin de cherchez son point de départ. « Ayant cherché mon mental, j’ai compris qu’il était insaisissable. Eh bien, je te l’ai pacifié ! »
Voilà la Vraie Vision : tout ce qui lui est contraire est fausse vision. Quand vous aurez atteint cette nature insaisissable, continuez à pratiquer continuellement l’arrêt en le prolongeant par la vision, et à pratiquer la vision en la prolongeant par l’arrêt. Cela s’appelle le jumelage de l’arrêt et de la vision. Voilà comment Retourner la Lumière.
Le Retournement correspond à l’arrêt, la Lumière correspond à la vision. Pratiquer l’arrêt sans la vision s’appelle le Retournement SANS la Lumière. La vision sans l’arrêt s’appelle la Lumière sans Retournement. Souvenez-vous en ! » (Le Secret de la Fleur d’Or, traduction : Thomas Cleary)
Se souvenir du TIC TAC du SOLVE-COAGULE…
4. Pour creuser un puits, il nous faut creuser une énorme fosse. L’âkâsha (espace) ainsi dégagé n’a pas été créé par nous. Nous avons simplement enlevé la terre qui remplissait l’espace. L’espace était toujours là et il l’est aussi maintenant [c’est aussi une définition du sens du mot ESSENCE : S en CE-la [le Fils], le S vibration du TOUT se manifestant…]. « De la même manière, nous devons simplement évacuer [et non remplir] tous les vieux samskâra (tendances) qui nous habitent. Quand ils auront été abandonnés, le Soi resplendira seul [ça s’appelle aussi ”Renoncement” ou ”Putréfaction”] ». (Ramana Maharshi au jour le jour, 9-1-1946, après-midi).
« De plus, si quelque chose de nouveau doit être obtenu, cela implique que c’était absent auparavant. Ce qui a été une fois absent peut disparaître encore. Ainsi, le salut ne serait pas permanent. Mais le salut est permanent parce que le Soi est ici et maintenant, et éternel ». (Ramana Maharshi, entretien 63 du 6-7-1935)









