Le régime est nécessairement LE pouvoir

Le régime est nécessairement LE pouvoir la PIRE MALADIE de l’ego humain(0).

Page dédiée à la Vierge Noire et à L’ŒUVRE AU NOIR son ENFANT LE CHRIST LE CRIST-AL de AL ou EL le Divin.

Le RÉGIME comme le magicien ne s’entourent d’illusions qu’aux yeux d’autrui (il veut, il se nourrit des consensus), qu’aux yeux du social, non à leurs propres yeux, c’est un ÉGOÏSME INVERSÉ en la dualité de la racine du mal : le DEDANS-DEHORS : les ”sauveurs” du Dehors veulent sauver ceux du ”Dedans”, a fortiori ou à plus forte raison si le Régime n’est autre que la déité même, soit la République-Dieu et ses Grands-Prêtres le Gouvernement.
« Le karma peut être accompli pour la gloire, ou par désintéressement et pour le bien public. Mais, même dans ce cas, les gens recherchent l’approbation [le bénéfice]. C’est en réalité de l’égoïsme ». (Ramana Maharshi 41, 22-3-1935).

LE RÉGIME RECHERCHE DU CONSENTEMENT COMME LE CAPITALISME ET SES PRODUCTIONS RECHERCHENT DES CLIENTS. LE MAGICIEN AUSSI RECHERCHE DES SOTS POUR VENDRE SES ILLUSIONS.
Il n’existe pas de degré dans la Vérité : elle EST, ou n’est pas. Par contre, L’ILLUSION, LE ”COMME SI” EST, COMME L’HISTOIRE, COMME L’OPINION, SANS FIN ET AURA TOUJOURS FAIM !
LE ”FACT-CHECKING” EMPÊCHE LE PRIVILÈGE DE DÉCOUVRIR « QU’IL Y A UN TRUC », comme pourrait lancer un spectateur désabusé : un zététicien, un nihiliste, un pyrrhoniste ou un laïciste républicain.

Tout pouvoir est nécessairement quelque chose qui est acquise, quelque chose qui est prise : « On prend le pouvoir ». Cela signifie que ce qui est acquis N’EST PAS PERMANENT : RIEN NE SE PERD PLUS QU’UN POUVOIR, COMME RIEN NE SE PERD PLUS QUE DE L’ARGENT (gagné) !

« Ce qui n’est pas naturel, mais acquis, ne peut pas être permanent et ne vaut pas la peine que l’on s’efforce de l’obtenir. Les siddhi [perfection, réalisation, dans le sens de la sagesse] sont des pouvoirs à longue portée. Un homme ordinaire a des pouvoirs limités et se sent misérable. Il cherche à augmenter ses pouvoirs afin d’être heureux [ou s’il est pervers comme les cancéreux du pouvoir, ce sera pour manipuler les autres]. Y parviendra-t-il vraiment ? Si l’on considère que les gens sont malheureux avec des difficultés de perception limitées, alors on peut conclure que leurs malheurs s’accroîtront proportionnellement à l’augmentation de celles-ci. Les pouvoirs occultes n’apporteront jamais le bonheur à qui que ce soit. Bien au contraire, ils le rendront d’autant malheureux !
Par ailleurs, à quoi servent ces pouvoirs ? Le soi-disant occultiste (siddha) désire exposer ses pouvoirs afin d’être apprécié par les autres [donc les manipuler, les bluffer, le pouvoir spectacle du magicien]. Il recherche la reconnaissance et s’il n’en reçoit pas, il est malheureux [Hollywood ne fait pas de bénéfice]. Il faut absolument que les autres l’apprécient. Il peut rencontrer quelqu’un dont les pouvoirs sont supérieurs aux siens. Il en éprouvera de la jalousie et sera encore plus malheureux [dans la dualité winners-losers]. Un grand occultiste peut toujours rencontrer un occultiste encore plus grand que lui, et ainsi de suite jusqu’à ce que survienne quelqu’un qui volatilisera tout en un clin d’œil. Un tel personnage est le plus haut adepte (siddha) et Il est Dieu ou le Soi.
Quel est le réel pouvoir ? Est-ce l’accroissement des richesses ou bien le fait d’amener la paix ? Ce qui conduit à la paix est la plus grande perfection (siddhi). (En référence à Ramana Maharshi, entretien 20 du 30-1-1935).

Les ”hommes augmentés” ne peuvent vivre ”augmentés” QUE PAR RAPPORT aux hommes diminués, c’est toujours le problème de la dualité winners-losers…… Même problème avec les ”grandes écoles” qui ne sont ”grandes” que par rapport aux ”petites”……. Bizarre bizarre, dans ce monde d’un régime républicain et commercial qui ne jure que par l’ÉGALITÉ.

Les HOMMES AUGMENTÉS SE PRENNENT POUR DIEU (comme le laisse parfois entendre un Laurent Alexandre qui rêve d’une supériorité dans la logique actuelle winners-losers) ; ce sera aussi le cas des HOMMES DU 1789 FRANÇAIS : créer une mise en valeur d’un espace-temps(3), donc créer une mise en valeur du temps pour permettre le TIQOUN qui par ses ”réparations” tendra à la réunion des contraires (Coincidentia oppositorum), soit reconstituer l’humanité, tel était le rêve des républicains de 1789, de ce fait ; LES RÉPUBLICAINS DE 1789 SONT LES PREMIERS TRANSHUMANISTES EUROPÉENS. LE PREMIER TRANSHUMANISTE EST MÊME UNE FEMME : LA MARIANNE JUDÉO-MAÇONNIQUE, de ces judéo-maçons qui rêvent de refaire le monde, avec l’aide de leur Grand Architecte.
Le transhumanisme est un MESSIANISME : il projette l’Âge d’Or en tentant d’abolir sa propre mise en valeur du temps, ou il oublie son Origine, exactement comme la LAÏCITÉ NIHILISTE voulant abolir : Dieu, le Christ, le passé, les traditions, donc ABOLIR LES RACINES DE QUOI QUE CE SOIT : FONDER L’HOMME NOUVEAU, PUIS AUGMENTÉ (et ses ”droits”, d’achat, évidemment puisqu’il est devenu, non pas le roi, mais LE ROI CONSOMMATEUR) ; il doit donc fonder UNE NOUVELLE HUMANITÉ, d’où la mode actuelle du mot magique, égrégorien : ”TRANSITION”, CETTE FAUSSE PUTRÉFACTION QUI FAIT DANS LE VIVRE ENSEMBLE IMPÉRIALISTE EN ABOLISSANT LA PERSONNE, LE QUALITATIF, EN ABOLISSANT LE Soi du Qualitatif. Ce sera donc la RÈGNE DE L’EGO, LE RÈGNE DU MOI-INDIVIDUEL : LE CONSOMMATEUR-ROI, SANS DIEU NI MAÎTRE, NIMBÉ DE SA SAINTE LAÏCITÉ NIHILISTE EN CROYANCE ULTIME : AUCUN DIEU, LE MAÎTRE N’EST PLUS LÀ, ON PEUT ALORS JOUIR, ACHETER SANS ENTRAVE CE QU’ON VEUT !

Mais, FONDER L’HOMME, FONDER LA VÉRITÉ, c’est l’Œuvre du Soi, Lequel supporte l’ego à l’état de veille. Le Soi qui n’est pas le mental dont le principe est d’ERRER, L’IMPERMAMENCE COMME LES TRIBUS DES HÉBREUX LES TRAVAILLEURS DU CHAPEAU (circoncis), L’IMPERMANENCE DE L’ARGENT QUE LES TENANTS DU CAPITALISME RÊVENT ”IMMORTEL”.
« Le mental émerge puis s’immerge. Il est impermanent, transitoire, alors que vous êtes éternel. Il n’y a rien d’autre que le Soi. Rester le Soi est la solution. Ne faites pas attention au mental. Si on cherche sa source, le mental s’évanouit, laissant le Soi non affecté derrière lui. […] Il n’y a plus de mental à contrôler si vous réalisez le Soi. Quand le mental s’évanouit, le Soi resplendit. Chez un homme réalisé, le mental peut être actif ou inactif, seul le Soi demeure pour lui. Car le mental, le corps et le monde ne sont pas séparés du Soi. Ils surgissent du Soi puis disparaissent en Lui. Ils ne sont pas séparés du Soi. Peuvent-ils être différents du Soi ? Soyez seulement conscient du Soi. Pourquoi vous soucier de ces ombres ? Comment peuvent-elles affecter le Soi ? ». (Ramana Maharshi 97, 19-11-1935).

RAPPEL : LE SACRÉ EST L’AMBIGUÏTÉ. Tout acte et objet sacrés sont le lieu d’une profonde et absolue AMBIVALENCE. L’objet sacré investi peut d’une seconde à l’autre être bénéfique dans son versant Divin, ou mortel dans son versant diabolique (superbement illustré par exemple dans le ”Sleeping beauty” du studio Disney).

AMBIVALENCE, AMBIGUÏTÉ ANNONÇANT L’ANTÉCHRIST : un ”rapport miroir” entre le Christ et son négatif : du même coup, son négatif EST AUSSI LE CHRIST POSITIF. C’EST LA DÉFINITION SPIRITUELLE DE L’AMBIVALENCE-AMBIGUÏTÉ. La tradition apocalyptique va se construite DANS L’EMPIRE ROMAIN : ROME qualifiée de ”Prostituée”, et Babylone de ”Bête”. Deux termes qui montrent à quelle pointe le concept de l’Antéchrist s’installe dans le prolongement de la tradition juive.
Une Bête à 7 têtes et une Rome à 7 collines.
Pierre va s’installer à Babylone, préparant ainsi la venu de l’Empire Romain, donc LA PUISSANCE DES TÉNÈBRES, COMME SIÈGE DE L’EMPIRE MAIS AUSSI COMME SIÈGE DU VATICAN ET DES PAPES.
Dans les textes de Paul on trouve l’idée que, pour l’instant, quelque chose retient l’Antéchrist, et empêche ainsi la ”fin du monde”. Or le fait de cette ”force” qui conserve, a été assimilée, par la tradition ultérieure presque unanime , à Rome. Si bien que le pire est à venir, et c’est là que peuvent entrer en piste les réparateurs tiqounistes.

Bref, le phénomène français de 1789 ne pouvait qu’ANNONCER LE TOTALITARISME ACTUEL, LE NOUVEL ORDRE MONDIAL ET SON MONOTHÉISME UNILATÉRAL RÉPUBLICAIN : la référence d’un Empereur comme Napoléon 1er est la continuité de la Rome impériale la prostituée : le BONAPARTISME en lien direct avec l’expérience totalitaire actuel de son ”VIVRE ENSEMBLE” RÉPUBLICAIN OU ”CONSOMMEZ ENSEMBLE”, cette TRANSITION ne pouvait passer que par le 1789 français.
BONAPARTISME = PREMIER MONDIALISME MODERNE : premier centrisme par addition des extrêmes (Coincidentia oppositorum), qui se sera essayé après le 1789, soit un PREMIER ”VIVRE ENSEMBLE” sous la forme d’une dictature militaire déguisée par le ”suffrage universel”, afin d’essayer d’atténuer le gouffre entre Droite et Gauche ouvert par le 1789. À y ajouter que c’est le bonapartisme, et non le libéralisme mercantile républicain, qui a créé, sous le second Empire et non sous la Troisième république, le DROIT DE GRÊVE, et donc rendu possible le ’vivre ensemble’ des Assemblées.

Traditionnellement, le concept d’Antéchrist ne pouvait apparaître qu’à la fin de l’Antiquité et à la chute de l’Empire romain.
La France deviendra chrétienne par le baptême de Clovis et le sacre de Charlemagne, avec naissance d’un régime essentiellement substitutif, de chrétienté, et DEHORS LES PAÏENS ! Et c’est précisément le clovisme qui vint à s’écrouler en 1789, lorsque le VIVRE ENSEMBLE : CONSTRUCTION D’UNE ”ASSEMBLÉE CONSTITUANTE”, UN ÉGALITARISME NOUVELLE ÉGLISE RÉPUBLICAINE, devint comme une NOUVELLE RELIGION, UN SOCIALISME QUI SERA COPIÉ PAR LES JUIFS BOLCHEVIQUES EN RUSSIE EN 1917 COMME UNE RELIGION À L’ENVERS (réf. à Jean Coulonval, Synthèse et Temps Nouveaux) : la tâche ne sera plus que chacun s’unisse dans ”Le Royaume des Cieux est en Vous”, mais il ne s’agit que d’imposer à tous ”LE MÊME SEIGNEUR”, ou ”LE MÊME COMME SI”, DONC LA MÊME CROYANCE; « LA MÊME SOUPE POUR TOUS » dans la logique de l’indifférencié et de la fièvre égalitariste républicaine et sa démocratie mercantile. Même soupe pour tous annoncé par le transhumanisme qui rêve de ROBOTISER L’HUMAIN, EN FAIRE UN « ZÉRO DÉFAUT » de l’industrie capitaliste. CE SERA L’IMPÉRIALISME ACTUEL DOMINÉ PAR L’EMPIRE ANGLO-AMÉRICAIN. Ainsi la Réalisation du Soi devient de moins en moins réalisable, surtout dans cet impérialisme assisté de son délire technologique et transhumanistique, dont le covidisme politico-sanitaire en fut une première mouture.

ÉVEIL, NOIR ET VIERGE NOIRE ET SON ENFANT LE CHRIST, LOI DE SUCCION OU EUCHARISTIE, inverse de croquer la Pomme d’Apple puisqu’elle sera l’inverse des Pommes du Jardin des Hespérides. Newton et sa Pomme-attraction ou gravité Plomb pesanteur.
POMME D’APPLE = EUCHARISTIE OU LOI DE SUCCION, TÉTER SA MÈRE OU SUCER SON POUCE, ET PLUS TARD TIRER SUR SA CIGARETTE OU SUR SON CALUMET.
SUCCION = CENTRIPÈTE (alors que son contraire le centrifuge éjecte vers l’extérieur, loi de sa source).
La vierge du NOIR DE LA PUTRÉFACTION OU RENONCEMENT (à cette vie des cinq sens trompeurs).
Notez que la Succion du VORTEX fut toute la vie de Viktor Schauberger… Vortex : tourbillon creux qui se produit dans un fluide en écoulement ; a un rapport avec la SPIRALE, SPIRE, SPIRATION….

SUCCION-INSPIRATION-SPIRATION

Jusqu’à présent, dans aucun État, aucun chef d’État ne reconnaît la possibilité au moins virtuelle, pour tout humain, d’établir le contact avec le Centre qui est nulle part parce que principalement aucun nom-la-forme ne peut le posséder ; en imaginant que ce chef d’État accorde cette possibilité, il ne sera pas tenté de posséder, de disposer selon son ego du mental des humains, à moins qu’il ne soit un paroissien de chez Satan et de la City de Londres.

La VIERGE NOIRE, l’ŒUVRE AU NOIR de « SI LE GRAIN NE MEURT », les profondeurs abyssales des gouffres océaniques : mer sans fond, nuit sans lune, le « Gate gate pâragate pârasamgate bodhi svâhâ » du Soûtra du Cœur de la Connaissance transcendante (« Allé, allé, allé au-delà, allé complètement au-delà, l’Éveil est ainsi ») : Sentier, Chemin, Sentios, Sentinus en gaulois, du vieil irlandais sét, pluriel séotu, de sentu (chemin, voie), etc. Et marcher : Thème kengh- (marcher). Voir cingues (guerrier) et cingid en vieil irlandais : il avance, il marche en avant. Allé, allé : matéo (fouler), Mantoue (en Italie)….
PARADOXE DE L’OBSCURITÉ DES ORIGINES.

LE NOIR NÉCESSAIREMENT DE L’EGO : vaincre cet ego qui nous trahit d’Instant en Instant. L’a- spiration ou privation de la spiration vers le noir de la Putréfaction ou du Gate gate… Gate comme la porte en anglais…. La gate qui aspire………. Le cavalier de l’Apocalypse ne peut que monter un CHEVAL NOIR. La Mecque ne peut qu’avoir une Pierre noire…. bien avant Newton……. Isis source de toute fécondité est noire complémentaire de sa sœur Nephtys la Putréfaction. Le trou noir des astromachins qui aspire.

L’A-SPIRATEUR, L’A-SPIRAFAIRE ou étouffe-Chrétiens de ce monde en soins palliatifs.

La Vierge Noire et son Enfant le Blanc de l’Instant. (Noir ou ”Grand Réservoir de toutes choses” selon Homère en référence aux EAUX PRIMORDIALES (Univers originel), la MATERIA PRIMA DU SAINT CHAOS, à ISIS, à KEMIT la terre noire de l’Égypte ancienne).
Le NOIR BRILLANT est identique au BLANC BRILLANT. (voir la Pierre de la Mecque…..)
Et bien-sûr le Noir de l’ŒUVRE AU ROUGE…

VIERGE NOIRE ET SON ENFANT : parce que la « recherche » de sa propre identité est une illusion et un paradoxe : « Le ‘Je’ rejette l’illusion du ‘je’ et cependant demeure en tant que ‘Je’. Tel est le paradoxe de la réalisation du Soi. Ceux qui sont déjà réalisés n’y voient aucune contradiction » (Ramana Maharshi, entretien 28 du 4-2-1935). Le Seul Réel est précisément ce qui, pour être SANS COPIE, DONC SANS SOCIAL, SANS DEDANS-DEHORS, EN SINGULARITÉ, demeure réfractaire à toute entreprise d’identification ; c’est d’ailleurs illustré par l’OUROBOROS QUI SE FERME LA BOUCHE ou QUI S’ÉTRANGLE (tel ci-dessous en monstre s’étranglant avec sa queue, ou s’empêchant de ”consommer”, ”consumer”).

Le social, la copie, « le même et l’autre : le Même appartient au Réel, l’autre appartient à l’irréel (1), alors on peut jouer les Prométhée et s’autoriser à jouer aux identiques et aux différences comme ça le chaos s’installera à l’aise ! Mais le constructif là-dedans sera bien-sûr le BOLG (enfler), SYMBOLE de L’AMBIGUÏTÉ L’ENNEMI DE L’INFORMATIQUE ! CAR VRAIE TRANSPARENCE NATURELLE (fractale)…. Rejoint aussi la dualité Ici-Ailleurs de Jacques Lacan : une identité qui SOUMET L’INDIVIDU AU DEHORS, À L’AUTRE, AU SOCIAL ! Il est connu que c’est la société, le social, qui rend fou (en France par exemple ceux qui sortent d’un hôpital psychiatrique sont « SOCIALISÉS » À OUTRANCE !) Comme si l’identité, le ‘moi’, dépendait uniquement de la « pression extérieure »….. SI L’AUTRE, LE SOCIAL EXISTAIT, semble le mentionner Lacan dans ses Écrits. Et là on retombe dans le « COMME SI » décrit par Nagarjuna à la Stance 17,31-33 : « De même que le Maître [le jnani ou Libéré vivant] par son pouvoir miraculeux [le Zéro Indien], crée un être magique [Adam par exemple, ou un big bang] et que cet être magique, magiquement créé, en crée un autre [le ”Croissez et multipliez” tel le FRUIT, le BÉNÉFICE ou plutôt BÉBÉFICE] à son tour, de même que l’agent se présente comme un être magique, et l’acte accompli par lui est comme un deuxième être magique créé par le premier [un socialisme, une fractale].
Passions, actes, agents, fruits ressemblent à une ville de génies célestes, sont pareils à un mirage, à un songe ».
De ce fait, Dieu et l’homme sont du domaine du ”COMME SI”, comme LE JEU D’ENFANT : « On fait comme si le loup y était », afin de se CRÉER UNE PEUR, UNE CAROTTE POUR AVANCER, UN SCÉNARIO, UNE HISTOIRE-ESPACE-TEMPS, UN MESSIE, POUR S’A-MUSER (du A privatif et muse : se priver de Muse, ou de l’ESSENCE, de la RACINE). Donc le monde, le ‘moi’ fabricant du monde, SONT AMBIGUÏTÉ. ILS NE SONT NI RÉELS, NI IRRÉELS, sinon, si on choisit l’un ou l’autre ON TOMBE DANS LES GUERRES SANS FIN QUI ONT TOUJOURS FAIM À CAUSE DE L’OPINION FOURGUÉE PAR L’EGO HUMAIN. AMBIGUÏTÉ, ”COMME SI”, OU ”EN QUELQUE SORTE”, ”POUR AINSI DIRE”. ÇA S’APPELLE AUSSI LE FLÉAU. (L’autre FLÉAU serait qu’il n’existe AUCUN BIG BANG et donc AUCUNE HISTOIRE, AUCUN « COMME SI », ce serait alors du nihilisme en forme d’opinion modèle ”être et non-être”, au choix, comme on choisit la couleur de ses slips).
Mais, cette ek-stase, extase, ne doit pas faire « sortir » Dehors puisqu’ELLE EST NOSTRE ÉTAT NATUREL : LA FÉLICITÉ, donc aucune sortie « hors de soi » : IL N’EXISTE AUCUNE CHUTE, RIEN N’EST À RÉPARER, AUCUNE LIBERTÉ N’EST À INVENTER (l’Ouroboros se ferme la gueule)…..

L’Enfant de la Vierge Noire représente l’Œuvre au noir, le Christ qui est en Vous ou : « Le Royaume des Cieux est en Vous » (pour tous et sans condition).

NOIR = SAINT CHAOS, EAUX PRIMORDIALES, SILENCE COMME LE BLANC DE L’INSTANT (noir = toutes les couleurs comme le blanc est toutes les couleurs. Le Blanc chthonien [tellurique, de la terre, caché, souterrain, insaisissable] et neutre. Le Noir est la Transcendance absolue : BLANC ET NOIR = SHIVA : dissolution (Putréfaction) destruction (Fermentation)(2), qui se résume au mot TRANSFORMATION DES ÊTRES. Shiva est central dans l’existence de Ramana Maharshi.
Un adage alchimique résume le Grand Œuvre de l’Alchimie par un seul mot : PUTRÉFIES. Car le NOIR est comme la ”Vache du Ciel” ou le Grand Réservoir de toutes choses : Homère voir l’océan noir. La Vierge est noire comme toutes les DÉESSES MÈRES en vertu de leur origine chthonienne.
Dans le TAROT à l’Arcane 13 : La Mort, là encore, c’est SHIVA-FERMENTATION-PUTRÉFACTION LA VÉRITABLE NAISSANCE QUI TUE L’ILLUSION. Bref, l’Arcane 13 est le SURFEU : accès à la Vie réelle. 13 succède au 12, chiffre du CYCLE EFFECTIF qui permet un Nouveau Départ, une RÉSURRECTION.

En langage du BLASON la couleur Noir représente le SABLE, voir l’analogie avec la silice de l’informatique de la vallée siliconée des Google and Co., voir aussi les Hébreux qui ne jurent que par le sable et le désert, rejetant tout ce qui est vert, donc rejetant la Nature en son ensemble en la déclarant ”impure”….
Sur des photos on peut voir Ramana Maharshi assis sur une peau d’animal à poils noirs et blancs, comme d’ailleurs le dallage de carreaux noirs et blancs des loges judéo-maçonniques…. Ainsi l’Initié, l’Éveillé comme Ramana Maharshi s’assied sur une peau à poils noirs et blancs signifiant le non-manifesté et la manifestation (le Dedans-Dehors).

Notes.
0. EGO : phénomène de possession à l’état de veille : CROIRE s’appartenir en propre(b) comme un centre autonome d’expériences en disant : ‘je’, ‘je suis ceci’, ‘je fais’, ou CROIRE agir, sans le dire, agir comme ‘je’, n’est autre qu’une PURE FICTION, UN ”COMME SI’ : TOUT SEMBLE TENIR. L’ego étant une conception de la raison ou conscience qui calcule tout est une pure fiction car les éléments les plus subtils qui compose cette raison sont tout aussi dépendant de l’ego, et donc autant de f(r)ictions. Dans ces conditions, parler de DUALITÉ et de NON-DUALITÉ c’est OPINIONER, comme de parler de PUR-IMPUR, de MÉRITE ET DÉMÉRITE, etc.
Dans la mesure où le ‘moi’, le ‘je’ n’est qu’IMAGINATION VULGAIRE À L’ÉTAT DE VEILLE, EN TANT QUE « COMME SI », EN TANT QUE CROYANCE : LE ‘MOI’ N’EST QU’UN PARASITE, et en monothéisme unilatéral républicain LE CONSOMMATEUR ISSU DU 1789 FRANÇAIS EST LE PARASITE ULTIME.

RAPPEL : contrairement à cet état de conscience appelé ”raison’, et que nous expérimentons quotidiennement, et que les transhumanistes veulent mettre dans une puce informatique, ces divers expériences à l’état de veille donc de l’ego ne sont corrélées à aucun état particulier du ‘moi’ individuel. PARADOXE : CELA SIGNIFIE QUE CES EXPÉRIENCES SEMBLENT TOTALEMENT INDÉPENDANTES DU CORPS-OBJET-CERVEAU et son mécanisme utilitaire de ”raison”. Ainsi les transhumanistes risquent fort de stocker dans leur puce informatique : du BIDE, DU VIDE, DES PARASITES sous packaging Moi-Individuel/Moi-Collectif…..

« Le fait est que l’homme se considère comme limité, et de là naissent les difficultés. Cette idée est fausse. Il peut le constater par lui-même. Dans le sommeil, il n’y avait pas de monde, pas d’ego (pas de soi limité) et pas de difficultés. Puis, quelque chose s’éveille de cet état de bonheur et dit :
‘je’. C’est à cet ego que le monde apparaît. L’homme, qui n’est qu’un grain de poussière dans le monde, veut en obtenir davantage et récolte ainsi les ennuis [les ennuis qui viennent du ”mieux”, qui viennent du tiqounisme rabbinique ces ”élus” réparateurs] ». (Ramana Maharshi 63, 6-7-1935).

1. Le scribe de la page rapporte le fait en octobre 2000 de voir sa mère à l’hôpital le premier jour de son AVC à 89 ans, quand il fut stupéfait de voir le médecin présenter une pancarte à sa mère pour « savoir » si elle était à même d’avoir conscience de l’inscription au feutre noir sur la pancarte, lui demandant si elle était consciente. LE MÉDECIN, LE DEHORS, NE SAVAIT PAS, MALGRÉ SA TOUTE PUISSANCE DE MÉDECIN RENFORCÉE PAR SON INSTITUTION : L’HÔPITAL PUBLIQUE, EN ÉTAIT RÉDUIT DANS CE CAS À L’ÉTAT D’UN ENFANT IGNARE (en plus, question ”représentation” de la scène au sens cinématographique, ce ”médecin” semblant sortir des ”beaux quartiers” comme on dit ; bref, jeune, tête de ”jeune premier” façonné par son milieu social, il sortait immanquablement de la culotte d’un bourgeois résidant dans ces ”beaux quartiers”…).
Il n’y a pas que le médecin qui NE SAIT PAS : L’HUMAIN EN SA TOTALITÉ NE SAIT PAS. « Nous connaissons la matière par un pur pragmatisme scientifique, mais nous ne la « savons » pas. Notre corps physique, nous le « savons » si peu, que nous avons recours à des médecins quand il ne tourne pas rond, et le médecin lui-même ne « sait » pas. La science médicale est un pur pragmatisme », écrit si justement Jean Coulonval dans Synthèse et Temps Nouveaux, lettre 11 à Aimé Michel, le 14-2-1972.

2. FERMENTATION : C’est bien une Porte ou UN PASSAGE VÉRITABLE [un GATE GATE]. Car la Fermentation change les corps de nature, alors que dans la Putréfaction : le corps échange ses vêtements.

3. La NORME JUIVE de leur dualité winners-losers (élus/non-élus) résumé page 18 du livre de Jacques Attali, Les Juifs, le monde et l’argent : « Pour la première fois [donc une naissance suivie d’une mort…], une cosmogonie ne se vit pas comme cyclique [Tore, Circulus, Ouroboros] ; elle ne se donne pas pour but le retour du même [l’Éternel retour]. Elle fixe un sens au progrès ; elle fait de l’Alliance avec Dieu la flèche du temps [dans un seul sens et concept du mental par l’idéation] ; elle accorde à l’homme le choix de son destin : le libre arbitre [et par là l’individualisme, la démocratie et le consommateur et forcément des limites]. Ainsi est posé la fonction de l’économie : cadre matériel de l’exil et moyen de réinvention du paradis perdu [donc la religion de l’argent, de la marchandise idole et de la consommation]. L’humanité a désormais un objectif : dépasser sa faute. Elle dispose d’un moyen pour l’atteindre : mettre en valeur le temps [la carotte du messianisme et de leur ”Jour du jugement dernier”…] ».
« Mettre en valeur »…. Là est le problème !!!

Seul, l’évolutionnisme à la Juif LIMITE : la « mise en valeur du temps » et donc de la géométrie euclidienne de la ligne droite : la flèche du temps sans retour : chaque être dans sa « ligne droite » est limité, après quoi l’être s’anéantit totalement en un voyage sans retour par la mort, celui où l’on n’aboutit à rien et ainsi contraire à l’utilitarisme mercantile et thermodynamique, le feu vulgaire en vigueur. C’est donc placer le centre de la vie, de l’univers, du « Big Bang » ou causalité de la dualité cause-effet UNIQUEMENT, LIMITÉ, dans le spatio-temporel et uniquement en l’être particulier, individuel et « consommateur » qui ne consomme plus ! De là on pourra d’ailleurs comprendre l’aliénation actuelle vaccinale autour du covid-19…
Il n’en va pas de même dans les conceptions qui admettent une transcendance et pour lesquelles la mort n’est qu’une Stargate, un Point Focal, le Trou du Trouvère par où passe le cycle de la vie. Là, il n’y a aucune limite.

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Rappel pour la censure d’État de la nouvelle Clara Chappaz

Rappel pour la censure d’État de la nouvelle Clara Chappaz et ignorances de malades du Pour-Voir et preuve qu’ils commencent à avoir le feu aux fesses et paniquent, et qui confondent opinions-faits et vérité, et qui veulent de plus en plus être les détenteurs de la Vérité qu’ils veulent faire gober à tous.
Une ”vérité” déguisée en neutre, comma la CROYANCE EN LAÏCITÉ DÉGUISÉE EN NIHILISME : elle ne croirait en rien, ce qui lui permettrait de TOUT consommer (tout croire) !

« Il est étrange que les gens ne veuillent rien savoir du présent dont personne ne
peut mettre en doute l’existence, mais sont avides de connaître le passé et le
futur dont on ignore tout.
Qu’est-ce que la naissance et qu’est-ce que la mort ? Qui naît et qui meurt ? »
« Pourquoi vous occupez-vous de la naissance et de la mort pour comprendre ce que vous
éprouvez quotidiennement dans le sommeil et en veille ? Quand vous dormez, ce corps et
le monde n’existent pas pour vous et ces questions ne vous tracassent pas.
Pourtant vous existez, le même ‘vous’ qui existe à présent à l’état de veille.
C’est seulement en vous réveillant que vous avez un corps et que vous percevez le monde.
Si vous comprenez correctement la veille et le sommeil, vous comprendrez la vie et la mort.
Veille et sommeil ont lieu quotidiennement, si bien que les gens n’observent pas cette
merveille et s’interrogent seulement sur la naissance et la mort [le causisme à l’égal
du Big Bang] ».
(Day by Day with Bhagavân, 19-6-1946).

Naissance et mort sont comme l’opinion.

C’est-à-dire une errance dans l’espace-temps lui aussi opinion : ainsi l’humain se fabrique naissance et mort à la façon d’un carrelage comme les carreaux noirs-blancs symbolisés dans les loges judéo-maçonniques des spéculatifs ou travailleurs du chapeau (du capital, du chef).
Conséquence : toute opinion est comme une construction géométrique dont les paramètres sont fonction de la croyance à cette naissance et mort, et donc à l’expérience AU DEHORS ou état d’ego ou état de veille.
Or, la loi de succion et l’espace-temps fabriquent la diversité, il faut en conclure que de toute évidence il ne peut exister deux opinions identiques.
C’est pourquoi il est complètement illusoire de rechercher une prétendue ”paix” fabriquée par une illusoire possibilité de l’unité d’opinion comme le croit le mirage appelé ”démocratie” ou ”république”.

Il ne peut pas exister d’« opinion vraie », car ce ne sera jamais plus que ”ma vérité” (la chose possédée par les sens du corps ou le mental, ET PIRE : la chose possédée par le Pour-Voir qui dicte la vérité du jour et ce que sera celle du lendemain, alors que la Vérité ne peut être un objet de possession. La vérité, si elle EST, CELA, doit nécessairement transcender le conflit du sujet et de l’objet (la racine du mal, le causisme).
Seule l’illusion est diversité, histoire, et va et vient, donc ils sont instables par essence.

Il ne peut pas exister d’« opinion vraie » COMME IL NE PEUT PAS Y AVOIR « D’INFORM-ATIONS VRAIES ». Car par essence l’information DÉFORME, SACRALISE des faits ET LE SACRÉ EST PAR ESSENCE AMBIVALENCE ET NON VÉRITÉ, qui ne peut qu’ÊTRE ou ne PAS ÊTRE.

  1. L’historien des événements politiques ou religieux, l’ethnologue, le sociologue, le psychologue, l’archéologue, ne sont pas des entités qui opèrent en dehors du temps qui coule dans le spatio-temporel. Ce ne sont que des humains engagés, d’une part, dans une situation « concrète », et d’autre part, dans une logique déterminée par la mode du moment, suivant une évolution (histoire), dont ils prétendent rendre compte. Ainsi cette « logique » n’est pas autonome, elle n’est pas un étalon, un dogme, mais une opinion, soit elle ne représente qu’une superstructure qui recouvre, dans le mental de l’observateur, tout une idéation caché, où des mythes nouveaux ont été substitués par la culture, par l’opinion de l’enseignement universitaire, associé à des opinions de mythes anciens !
    L’histoire ou le mot-à-dire, les ”infos” : en Occident la « pensée moderne » est une pensée CONDITIONNÉE, et plus que jamais avec l’Empire anglo-saxon et judéo-maçonnique spéculatif (née à Londres en 1717). En Occident, le mythe de la « raison » qui, lui-même, a été élaboré à partir d’éléments irrationnels multiples qui donneront des « évidences » ou des « bons sens » sur lesquelles reposeront les « principes d’intelligibilité » que finalement, personne ne saurait expliquer ni définir de façon rationnelle.
  2. « Le domaine de l’histoire n’est pas le domaine des « faits » ni, encore moins, celui des « phénomènes ». Il est celui de la reconstitution de l’événement, d’une « re-composition » de ce qui a été « dé-composé » par le temps (et par l’ego possessif). L’histoire « re-créé » une durée intellectuelle, un enchaînement logique entre des moments abolis en tant que tels, elle « re-fait » les faits et les déforme d’autant. Il y a des faits proprement dits et scientifiquement observables dans la seule mesure où ces faits peuvent être reproduits dans les mêmes conditions SELON LE CONVENTIONNEL DU MOMENT. Le « fait religieux » et le « fait magique » n’existent pas en tant que « phénomènes observables » car, dans les sciences humaines, l’observateur est lui-même engagé dans le système qu’il observe et il y apporte tant d’éléments d’incertitudes que l’on ne saurait accorder quelque crédit à une méthode qui, prétendant décrire « objectivement » les faits historiques, prouve ainsi qu’elle méconnaît et la notion de fait et la notion d’objectivité ».
    (En référence à René Alleau : Aspects de l’Alchimie Traditionnelle, qui donne une bonne définition du sens « moderne » de l l’histoire).
  3. Comment se ”fabrique” l’inform-ation ?

    Justement, elle se FABRIQUE : comme l’histoire, comme un film, une fiction : ON Y CROIT, TOUT SEMBLE SE TENIR.
    Ce que démontre il y a plusieurs siècles Nagarjuna dans la Stance 17, 31-33 : « De même que le Maître [le jnani ou Libéré vivant] par son pouvoir miraculeux [le Zéro Indien], crée un être magique [Adam par exemple, ou un big bang] et que cet être magique, magiquement créé, en crée un autre [le ”Croissez et multipliez” tel le FRUIT) à son tour, de même que l’agent se présente comme un être magique, et l’acte accompli par lui est comme un deuxième être magique créé par le premier [une copie, un socialisme, une fractale].
    Passions, actes, agents, fruits ressemblent à une ville de génies célestes, sont pareils à un mirage, à un songe ».
    De ce fait, Dieu et l’homme sont du domaine du ”COMME SI”, comme LE JEU D’ENFANT : « On fait comme si le loup y était », afin de se CRÉER UNE PEUR, UNE SOUMISSION comme dans le cas du judaïsme et de l’islamisme, UNE CAROTTE-MESSIE POUR AVANCER, UN SCÉNARIO, UNE HISTOIRE-ESPACE-TEMPS : un monde ni réel ni irréel, CAR DE L’ORDRE DE L’ILLUSION : ON FAIT ”COMME SI”, tout SEMBLE COLLER, OU TOUT SEMBLE SE COAGULER UN MOMENT (Quand une magie parle, toutes les magies parlent, et quand un se tait toutes se taisent). Donc ON FAIT SEMBLANT D’Y CROIRE….
    INFORM-ATIONS = un langage, un Verbum-opinion en un ’isme” de signes-informations SANS PLUS, sans référent, SANS RACINE AU DEHORS AUX SIGNIFIANTS.

Seule l’opinion, comme le transhumanisme, singe l’infini, le ”Zéro défaut” de l’industrie du capitalisme, le sans limite, car une opinion ou polémique n’a pas de fin mais a toujours faim comme la chaîne sans fin de causes et d’effets : l’ar-gourmant ou argument en loi de succion ou ar-gent (raison, preuve…) n’a pas de fin et est comme une dialectique à histoire matérialiste sans fin, parfait fond de commerce ou de social et politique pour nourrir le langage humain et nourrir son mental (même logique dans le couple thèse-antithèse et son soi-disant sel : synthèse-inquisition : ”Circulez ya plus rien à voir” (le messie est arrivé et c’est la ”paix”... forcément du commerce).
« Quelque chose de nouveau peut-il apparaître hors de ce qui est éternel et parfait ? [seuls les tikkounistes pouvaient inventer la CHUTE et ce qui va avec : LA RÉPARATION et en conséquence LE COMMERCE]. Une telle polémique est en elle-même éternelle. Ne vous y engagez pas. Tournez-vous vers l’intérieur et mettez fin à tout cela. Il n’y a pas de finalité dans de telles discussions ». (Ramana Maharshi, entretien 132 du 6-1-1936).

« Il n’y a pas de limite aux polémiques » (Entretien 332 du 18-1-1937).

IL N’Y A PAS DE LIMITE AUX OPINIONS-POLÉMIQUES DU BINAIRE POUR-CONTRE, OFFRE-DEMANDE, etc., comme il n’y a pas de limite à la cause-effet, par exemple dans « l’œuf et la poule » : L’idée de « création » ne peut venir que dans la dualité SUJET-OBJET ou CAUSE-EFFET !!! « C’est parce que vous dites que vous êtes né, que les Écritures [abrahamisme] vous disent « d’accord » et ajoutent que Dieu vous a créé » (Ramana Maharshi, entretien 238).
Avec un Dieu créateur on fabrique une sanctification de la dualité. C’est ce que symbolise parfaitement Jean Coulonval dans son livre Synthèse et Temps Nouveaux, dans « L’œuf et la Poule » : « Une jeune cousine, élevée par les bonnes sœurs, me disaient un jour : ”Pour avoir un œuf il faut une poule et pour avoir un monde il faut un Dieu”. À quoi je répondais : ”Pour avoir une poule il faut aussi un œuf. Tu t’enfermes dans une chaîne de causes et d’effets dont les deux bouts ne se rejoignent pas, et que tu peux allonger à l’infini, sans que ton raisonnement soit valable” ». Notre monde malade actuel fonctionne de cette façon : l’évolutionnisme en une course sans fin (ou vers la Super Carotte « fin des temps »). « Pourquoi une ligne aurait-elle une fin, puisque après un pas je peux en faire un autre ? ». Je « progresse », donc je « construis » (Faire/Fer), JE CAPITALISE… Après l’achat de telle chose je puis en acheter une autre, et ainsi de suite, c’est la loi de succion (appelée aussi : ”citoyen”, ”consommateur”, ”opinion publique”) ; c’est le capitalisme qui se croit aussi « éternel » que l’opinion de naissance et de mort.

« S’il y a naissance [cause] il doit y avoir non seulement une, mais toute une succession de naissances. Comment et pourquoi avez-vous eu cette naissance ? Pour la même raison et de la même manière vous devez passer par des naissances successives [réincarnation]. Mais si vous vous demandez qui est né et si la naissance et la mort vous concernent ou concernent quelqu’un d’autre que vous, alors vous réaliserez la vérité et cette vérité brûlera tout karma et vous libérera de toutes les naissances [le cycle infernal couche-culotte, éducation, salariat-retraite-vieillesse et mort qui s’en suit] » (19-6-1946).

PARABOLE DU GRAIN DE SÉNEVÉ OU SURFEU.
Même jour du 19-6-1946 : tout ce cycle infernal de succions de loi de succion et de vie prend fin par le GRAIN DE SÉNEVÉ OU LE SURFEU : « la petite étincelle de l’Éveil ou jnana, Connaissance, tout comme une simple étincelle de feu ferait sauter une montagne de poudre à canon. C’est l’ego qui est la cause du monde entier et des innombrables sciences dont les recherches sont si importantes qu’elle défient toute description. Et si, par l’investigation intérieure [le Retournement de la Lumière], l’ego est dissous, tout cela s’écroule sur-le-champ et seule subsiste la Réalité, le Soi ».
Cela montre l’extrême fragilité de l’espèce humaine et de son « réel » reposant sur l’opinion : on dit qu’il suffit de deux Anglais pour faire un match de football, et après au maximum cinq siècles, de trois pour former un empire accompagné de la finance juive, cela veut dire qu’il suffit de deux êtres humains du même avis pour fabriquer une opinion suffisamment solide pour winneriser ce qu’ils pensent comme « réel ». C’est dire la fragilité de l’espèce humaine QUI REPOSE UNIQUEMENT SUR L’EGO, LE MENTAL.

NAISSANCE-MORT : OPINION = CROYANCE AU CORPS ET DONC À LA NAISSANCE ET FORCÉMENT À LA MORT ET À LA PEUR (d’en mourir), ÉQUIVALENCE DU FAIRE-FER, QUI NÉCESSAIREMENT ROUILLE OU MEURT, COMME LE MÉTAL FER. AINSI LA QUESTION DU FAIRE/FER OU « AGIR » (à nostre époque plutôt du bavardage cacaphonie), SE POSE UNIQUEMENT SI L’ON CROIT AU CORPS OU À LA RAISON).

Consommation ou loi de succion en république : les gens préfèrent ses « valeurs », ils aiment les choses qui sont « coûteuses », au sens de loi de succion et de v(o)aleur, aussi bien en positif qu’en négatif (de nos jours c’est le couteux en négatif : inflation, l’onéreux à l’envers car l’action d’acquérir coûte cher).

« L’opinion prétend toujours se baser sur une logique [une ”valeur”]. L’ennui, c’est que tout système logique, si correct qu’il soit, part toujours de prémisses qui sont nécessairement, par définition, des postulats incontrôlables [issus de l’égrégore du moment ou de l’inconscient collectif], adoptés pour le seul motif de la satisfaction de penchants sentimentaux fort obscurs [et très utilitaristes et en confort tous sous la loi de succion]. Ces prémisses prennent nécessairement valeur de dogmes, qu’on en soit conscient ou pas. Et ce dogmatisme est d’autant plus intraitable qu’il est plus inconscient [ce qui est appelé « réel »], parce que tout danger de n’y plus croire crée la panique devant le vide, devant la possibilité de ne plus avoir de raison de vivre.
Le vrai mystique n’a pas à craindre cette panique, parce qu’il ne croit pas le dogme, il le ‘sait’ ; et c’est pourquoi, s’il a des dogmes, il n’est pas dogmatique ». (Jean Coulonval, Synthèse et Temps Nouveaux, lettre 26 du 25-11-1973).

Il n’y a pas plus mortelle que l’opinion.

« L’opinion n’est jamais en sécurité, elle porte en elle l’angoisse de pouvoir être remise en question [c’est bien pour ça que les Juifs de France disent une prière pour la république…]. Aussi est-elle toujours en position de défense, ou d’attaque [défendre « ses valeurs »]. Aussi, l’opinion est nécessairement sectaire, intolérante [puisqu’il s’agit de « défendre ses valeurs »]. Tout ce qui n’adhère pas à l’opinion absolutisée collectivement sous ne nom de « parti » [ou de « république »], est ennemi ». (Jean Coulonval, lettre 4 du 27-1-1969 à Mrg Combes Professeur à l’Université du Latran).

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Raspoutine et la fin du monde… Russe

Raspoutine et la fin du monde… Russe

mais aussi prochainement de la civilisation actuelle.

On ne sortira pas de la décadence actuelle sans tirer un trait sur notre actuelle civilisation. L’Œuvre alchimique démarre par la destruction de la Matière pour en construire une autre, étape qui passe par la putréfaction. Notre civilisation suivra le même chemin et comme tout est cyclique c’est ce qui est arrivé à l’Empire russe qui s’est effondré pendant pratiquement 75 ans (1916-1991) ; mais dans le cas de notre civilisation, c’est une autre affaire ! Mais pour renaître elle ne peut que passer par une phase de destruction, ainsi est la régulation de Nature.

La civilisation Égyptienne a tenue presque 4000 ans, sa raison de vivre basée sur l’éternité ne sera qu’en partie réussit. Quant à l’Empire romain effondré à l’avènement du christianisme, il est en train de renaître sous la forme de ce qu’on appelle maintenant : « Nouvel Ordre Mondial », mais il va bientôt s’effondrer à peine né, en entrainant l’orgueil américain et le monde anglo-saxon. Car plus la technologie sera élevé et plus elle est soumise à une fragilité, la technologie actuelle fonctionnant À L’ENVERS ou contre-nature et pollue la Terre pour des milliers d’années si ce n’est des millions.

Le « sauveur », ou l’extraterrestre, qui proposera le « Demain on rase gratis » et la sécurité à la mode pour soi-disant fondre tout ça en Paix, ne sera qu’un LEURRE. La Paix ne peut provenir que d’un ENSEMBLE.

Raspoutine à sa manière a fait œuvre de PUTRÉFACTION, il en est mort trop tôt et avec lui il entraîna l’effondrement de l’Empire Russe, rien que ça. Peut-être que sans Raspoutine la Russie du Tsar eut put tenir des décennies en plus.

La mort de Raspoutine, bien plus mystérieuse que celle de Ben Laden !

Si nous avons des preuves de la mort de Raspoutine, pour le plus récent, nous n’avons aucune preuve de la mort d’Adolph Hitler en son temps, aucune preuve de la mort de Ben Laden quoiqu’en puisse brailler le pouvoir américain, et même si ce pouvoir avance des « preuves », C’EST TROP TARD, nous sommes entré dans le MONDE DU FAUX et des escroqueries en tous genres (surtout avec la technologie actuel).

D’ailleurs le faux qui est le propre de ma politique depuis des millénaires maintenant était déjà à l’œuvre même pour l’assassinat de Raspoutine : celui-ci ne mangeait jamais de sucrerie, or son assassin ‘en bande organisée’ comme on dit, raconta qu’il lui avait donné des gâteaux bourrés de cyanure ; c’était d-faux seules quelques boissons alcooliques contenaient du cyanure cependant en trop faible dose pour tuer un type aussi hors du commun que Raspoutine.

En 1916 le gouvernement russe était totalement corrompu et Raspoutine y était pour beaucoup beaucoup. Cela ne l’a pas empêcher de faire la prédiction suivante :
J’ai peur pour le peuple et pour la famille impériale. Parce que, quand on m’assassinera, cela ira mal aussi pour le peuple. Et le tsar ne sera plus là. Effectivement il s’ensuivra 75 ans de communisme à la soviétique.

En 1916 en Europe la première guerre mondiale fonctionnait à plein et Raspoutine et la tsarine furent les seuls a réclamer que la Russie cesse cette guerre. Si la famille Romanov, la cour, la bourgeoisie russe, le bloc progressiste de la Douma avaient comprit qu’il fallait conclure à la Paix à tout prix, la monarchie aurait durée nettement plus longtemps. D’un autre côté, les services secret britanniques qui s’étaient déjà intéressé à H. P. Blavatsky quelques décennies plus tôt s’intéressent à Raspoutine. C’est ce projet d’accord de paix entre Russie et Allemagne qui inquiétait les Anglo-Saxons, et Raspoutine risquait gros pour sa vie.

La Troïka tsariste de 1916 : la tsarine Alexandra Fiodorovna, sa dame d’escorte Anna Vyroubova, et Grigori Efimovitch Raspoutine ; qui furent aidés par le nouveau ministre de l’intérieur. Tous les membres du gouvernement étaient des marionnettes dont les fils étaient tirés par Raspoutine et l’impératrice, qui « était resté allemande sur le trône russe et étrangère au pays et au peuple » exprime un membre de la Douma (V. M. Pourichkevitch). Toute malveillance, pensée de travers envers « Notre Ami » (Raspoutine) étaient punies. A ce moment le tsar fut obligé de choisir entre son trône ou sa femme… Il choisit sa femme et attendit sa fin prochaine…
Fin 1916 ce n’était pas les obus allemands, mais l’existence d’une seul homme qui menaçait de détruire l’un des plus grand empire de cette planète. La cour, l’opposition, tous lutaient désespérément contre Raspoutine. Raspoutine prépara obscurément la révolution de 1917. Le ministre de l’intérieur Vassili Maklakov déclara que la révolution russe serait de bas étage : née des couches les plus basses et les plus ignorantes, et qui ne peut être que primitive, convulsive et chaotique ; ce que confirme Ferdynand Ossendowski dans : Bêtes, Hommes et dieux.

Le tsar baisse beaucoup dans l’opinion du peuple, il est représenté par des milliers de graffitis, en époux pitoyable, trompé par sa femme et par un moujik lubrique.

Le mort vivant.

Pour sauver la Russie quand il fut décider par quelques personnes de tuer Raspoutine, le prince Félix Youssoupoff décide de jouer au malade (douleurs dans la poitrine) afin de se faire introduire chez le « grand guérisseur Raspoutine », lequel surnommait Félix : « le petit ». Ensuite il fallut réunir les assassins. Félix avait pour ami intime (amant) le grand duc Dimitri Pavlovitch, et la décision de l’assassinat vient s’en doute de Dimitri, qui détestait Raspoutine. De plus à cause de la politique il était difficile à Félix de participer directement à l’assassinat, et Félix n’aurait pas fait de mal à une mouche, en revanche de par ses ancêtres tatares il devait s’y entendre en matière de traquenards.

Raspoutine bi-sexuel

Dans son appartement Raspoutine fait des passes magnétiques au-dessus de Félix : « Puis il fit légèrement glisser sa main sur ma poitrine, mon cou, ma tête…. Le pouvoir hypnotique de Raspoutine était sans limite. En résumé il se passe un amour entre Félix et Raspoutine, celui-ci en ayant une passion charnelle qui lui a obscurcit l’esprit le conduisant ainsi à la mort. Le sadisme de Raspoutine de fait aucun doute écrit un protagoniste de l’époque, et il ne connaissait pas les « perversités charnelles » de Félix car bien des rumeurs avaient largement circulé dans la société, jusqu’à son mariage.
Donc il fallait comprendre la « guérison » de Félix à la façon des Khlysty : exorcisme du démon de la fornication. On se pose bien des questions sur cette première relation et au cours des séances suivantes, mais le résultat est bien là, ce n’est pas Raspoutine qui hypnose Félix, c’est le contraire, puisqu’il lui accorda une entière confiance qui le conduira à la mort.

Depuis plusieurs années déjà Raspoutine était surveillé par la police, aussi bien pour le protéger que pour l’espionner ; mais en 1916 les agents qui se trouvaient sur le palier de l’appartement de Raspoutine, et ceux de la rue, quittaient leur poste à minuit. Ainsi Félix apprit-il qu’on pouvait emmener Raspoutine à minuit passé, sans craindre une filature. De la est serait née l’idée de tuer Raspoutine pendant la nuit du 16 au 17 décembre 1916 (calendrier Grégorien, le calendrier Julien étant en usage en Russie jusqu’en 1918 mais reste en usage dans l’Église orthodoxe).

Si Félix se paye des « séances » chez Raspoutine, il lui parle aussi de sa femme Irina, et bien-sûr elle devrait aller chez Raspoutine pour se faire « soigner » (comprendre exorciser le démon de la fornication).

C’est le palais du prince Youssoupoff qui servira de décor au meurtre. Devant le palais se trouvait un poste de police, alors difficile de tirer un coup de feu sur Raspoutine. Donc restait la méthode silencieuse : l’empoisonnement.
On se procure du cyanure. Il suffisait de le réduire en poudre et d’en mettre dans le vin (et les gâteaux selon les dires de Félix, mais se souvenir que Raspoutine ne mangeait jamais de sucrerie). Ensuite à faut construire le décor : aménager une pièce au sous-sol. Or comme le fait remarquer justement Edvard Radzinsky dont je fais référence pour Raspoutine, et comme tout est CYCLIQUE, ces préparatifs sont quasiment identiques à ceux de la maison Ipatiev pour l’assassinat de la famille impériale quelques années plus tard.

Entre-temps Raspoutine était de plus en plus amoureux de Félix, il lui racontait des plans difficiles : faire une paix séparée avec l’Allemagne… Si Raspoutine était dans une phase ‘gay’, depuis 1915 il était devenu ivrogne, mais un spécial, capable de se dégriser quasiment instantanément, les tsars ne le virent jamais ivre ; et son alcoolisme n’entamait pas ses capacités intellectuelles et même au contraire : ce qu’il disait alors était encore plus passionnant.

Comme pour Ben Laden, au matin du 18 décembre 1916 on ne savait pas ce qu’était devenu le cadavre de Raspoutine. C’est la Nature qui montra le cadavre le 19 décembre, en le faisant remonter à la surface de la rivière dans lequel il avait été jeté.

La nuit du meurtre Raspoutine en compagnie de Félix était littéralement hypnotisé par lui. Ce qui amena Félix à se poser des questions sur la clairvoyance de Raspoutine : À quoi lui servait son don de clairvoyance et de prémonition en ce moment qui va devenir dramatique ? C’est probablement son amour pour Félix qui a perdu Raspoutine.

Donc passons sur le mensonge de Félix à propos des gâteaux bourrés de cyanure, puisque Raspoutine n’y toucha pas, ou qu’il n’y eut jamais de gâteaux, mais uniquement du vins. Les meurtriers s’apercevant que le cyanure versé dans le vin n’avait aucun effet sur Raspoutine, l’un d’eux s’arma d’un revolver et tira sur lui.

« Félix, Félix, je vais tout dire à la tsarine ! »

C’est ainsi que le « mort » menaça Félix en se sauvant de la maudite cave du palais Youssoupoff où on avait tenté de le tuer. A un passage rocambolesque du massacre de Raspoutine, Félix le bourra de coups de pieds et de barre de fer recouverte de caoutchouc. Des soldats arrachèrent Félix du mort-vivant, lequel poussait des râles, la pupille de son œil droit roulait et le regardait d’un air hagard et terrible… Aujourd’hui je vois encore cet œil sur moi, expliquait Vladimir Pourichkevitch, lequel fit envelopper le corps au plus vite.

Ensuite on transporte le mort toujours vivant en voiture avec un soldat assis dessus. Puis dans une trouée de glace, en oubliant de lui accrocher des poids au moyen de chaînes, on le balance dans l’eau glacée.
Oui, à ce moment là, Raspoutine était toujours vivant ! L’autopsie l’avait démontrée. Ainsi on l’avait d’abord empoisonné, il était toujours vivant. Puis on lui avait tiré plusieurs balles dans le corps, et il avait continué à vivre.

Pour le poison il est évident qu’il était insuffisamment dosé, et c’est Félix Youssoupoff qui inventa plus tard l’épisode des gâteaux, pour étoffer son histoire de diable éliminé héroïquement par de simples mortels.
Donc Raspoutine ne mangea aucune pâtisserie empoisonnée, et de plus bu modérément. Comment peut-on expliquer qu’un homme aussi nerveux et impatient que Raspoutine ait pu attendre trois heures Irina, la femme de Félix ?
Autre chose : Félix ne tua pas Raspoutine. Il perdit connaissance. On tâta son pouls (même chose à la maison Ipatiev pour la famille impériale), et on en déduisit que ces gens étaient mort. Mais Raspoutine reprit connaissance.

Celui qui a tué Raspoutine est « probablement » Pourichkevitch. Car un facteur politique entrait en jeu : le prince impérial Félix ne pouvait avoir les mains tachées de sang, quant au grand duc Dimitri, en cas de coup d’État, même s’il avait participé à l’assassinat, ses mains n’étaient tachées de sang que par la manipulation du corps du mort-vivant.
Il faut savoir aussi qu’il y a eut un acharnement et une sauvagerie inouïe envers Raspoutine, et qu’aucun des meurtriers et ni même complices n’ont été inquiétés ni inculpé pour quoi que ce soit !!! D’après les photos de Raspoutine mort, les récits de Youssoupoff et de Pourichkevitch ne tiennent pas la route. Raspoutine (nom de code : ‘Forces obscures’) a été tué À BOUT PORTANT, mais avec quelle arme ??? car le modèle ne correspond pas aux récits. De plus il existait deux autres personnes mystérieuses, des espions anglais ? Selon des chercheurs ce sont bien des espions anglais. Et ce serait un des espions anglais qui tua à bout portant ‘Forces obscures’. Pour les britanniques qui eux aussi voulaient la mort de ‘Forces obscures, le meilleur moyen de le tuer était de faire croire qu’il le serait par des Russes.

Comme de nos jours, déjà un traquenart Américano Anglo-Saxons ? En tous cas c’est une version qui tient la route, plus que celle des deux principaux protagonistes, dont Félix…

Quant à Raspoutine lorsqu’il était transporté en voiture pour y être précipité dans la rivière, il avait dû retenir son souffle dans l’espoir de se détacher plus tard dans l’eau ; mais les forces lui avaient manqué.

(Référence à : Raspoutine l’ultime vérité, de Edvard Radzinsky)

Raspoutine mort avec un trou dans le front.

Je vois que l’acteur français Gérard Depardieu se propose d’incarner à l’écran le personnage de Raspoutine, à mon avis ça ne correspond pas à cet acteur… surtout qu’il a une tête maintenant rondouillarde ! et en plus réalisé par la réalisatrice à l’emporte pièce Josée Dayan… Le danger de jouer Raspoutine dans un excès outrancier est maintenant grand, surtout avec l’apport des moyens techniques actuels. Pour jouer ce personnage, il faudrait un acteur qui ne joue pas dans l’excès pour justement le sublimer. Sinon ça va faire guignol…..

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