Musulmanisme ou judaïsation du monde et de la France ?
Car le mahométisme est un démarcage du judaïsme = tous deux ont une ”loi”, dont un ”texte descendu du ciel”, intouchable, comme l’”Alphabet divin” des Hébreux dans la logique du ”COMME SI” : on fait semblant d’y CROIRE (à LA Vérité, ”COMME SI” elle était fixée ou coagulée une fois pour toute) ; alors il faut CROIRE À L’HISTOIRE, sinon : « pif-paf ». Donc se soumettre À LA MATRICE : du socialisme du monothéisme unilatéral républicain, ou se soumettre au ”Dieu” du judaïsme-mahométisme cette autre forme du socialisme qui nie la trinité, soi-disant pour mieux se rapprocher du divin. Le communisme de l’URSS fut une quatrième religion du Livre, après l’Islam, le communisme de l’URSS fut tout à la fois contre le judaïsme, contre le christianisme, contre l’Islam.
« La distinction conceptuelle des trois pouvoirs, incarnée dans les structures de fait de la société, entraîne ipso facto la constitution des castes, qui s’appelèrent dans l’Occident chrétien : Clergé – Noblesse – Tiers-État. Après l’abolition du pouvoir politique du Roi et de la noblesse, en 1789, la distinction s’est effacée entre le politique et l’économique. Au moins en apparence, car le caractère métaphysique du pouvoir politique s’est perpétué clandestinement dans les loges maçonniques où s’enseigne une métaphysique [les grosses obédiences comme le Grand Orient de France axé sur la symbolique de la mystique judaïque, et chez les Musulmans : par exemple la secte des Frères Musulmans pour le versant mahométisme….] ». (Jean Coulonval, Synthèse et Temps Nouveaux)
L’islamisme nie la Vierge et donc le Christ et le Trinité et propose, IMPOSE LEUR synthèse du Divin. Mais le problème aussi bien en république qu’en judaïsme-mahométisme, C’EST LA SYNTHÈSE, fausse évidement dans les trois cas. Synthèse qui devrait être : « La perception conceptuelle, sans hiatus, sans solution de continuité [évolutionnisme], de tout ce qui Est, du divin à la matière, c’est-à-dire en un mot le problème de l’UniverseL, la réalisation de la catholicité [l’universel, et comme le Soi, il ne peut y en avoir qu’un seul] ». (Jean Coulonval).
« A l’aube du christianisme, l’Islam a nié la Trinité sous prétexte de préserver l’unité de Dieu. Mais il n’est resté que le un de l’arithmétique, d’où la tendance à stabiliser l’histoire en stérilisant le circulus trinitaire entre science, métaphysique et théologie, au cours de l’histoire. L’Islam n’a qu’une théologie défensive, pas de science. L’élan scientifique et philosophique des Al Farabi, Ibn Rochd, Ibn Sina, fut vite étouffé sous la pression de l’orthodoxie coranique. L’Islam n’a pas vécu le besoin de science pure, de connaissance de ce qu’est la matière « en-soi» hors du recours à la métaphysique, qui a marqué dans le christianisme latin la charnière entre le Moyen Age et les temps modernes. Les musulmans n’ont pas vécu le concept de science pure, qui a conduit dans le marxisme à une sorte de théologie de la matière. Ils s’imaginent que la technique industrielle a des sources purement pragmatiques, que ce n’est que trucs, des procédés. Ils n’en perçoivent pas les sources spirituelles, dévoyées mais réelles, parce que le circulus a été éteint dans leur corpus psychologique.
D’où le drame de l’Islam pour son insertion dans le monde moderne. Pour lui, la civilisation technique n’est nullement un fait spirituel, mais seulement un moyen de domination temporelle, d’impérialisme [domination technologique qui se retrouve dans le sionisme dont l’entité s’est spécialisé dans l’économie de la technologie de défense et de sécurité]. D’où sa furieuse volonté de s’industrialiser pour dominer à son tour, et venir plus loin que Poitiers ». (Jean Coulonval).
L’islamisme fige l’histoire, IMPOSE SON HISTOIRE.
Pour garder l’absolu divin, l’Islam nie l’Histoire. Pour faire de l’Histoire un absolu, le soviétisme républicain nie Dieu, préparé en cela par le refus orthodoxe du « Filioque » qui nie de fait la circumincession. Car si dans la géométrie euclidienne de la ligne droite et de la flèche du temps dans un seul sens : le Fils procède du Père, ensuite l’Esprit du Fils, il n’y a pas de circulus. La Création est une émanation platonicienne, il n’y a pas de circulus historique Théologie-Métaphysique-Physique. Le soviétisme et la république avait à choisir entre la Science et Dieu. De nos jours, cela donne les GAFAM et les industries informatiques du capitalisme et de leurs ”réseaux sociaux” artificiels et de leur « VIVRE ENSEMBLE » tout aussi artificiel : « Il n’y a rien de plus juif, dans son esprit, que le téléphone portable » (Jacques Attali, page 712 de son livre : Les Juifs, le monde et l’argent).
« Comment se réalise, en quoi consiste, comment s’exprime, en une vision globale et unique, l’unité de l’Absolu et de l’Histoire ? Réalisation nécessairement eschatologique. De nouveaux Cieux et une nouvelle Terre. De cette solution dépend l’unité du monde. Dans la vision Trinitaire unique du Créateur et de sa Création, s’accomplira l’unité du monde, la résorption des erreurs judaïques, musulmanes, soviétiques, maoïstes, etc., [sans oublier les erreurs du républicanisme] par l’acceptation universelle du Christ Alpha et Oméga.
Le communisme a été aussi pensé et installé en Russie par des Juifs. Voués par Dieu à la pensée globale, à la synthèse, les Juifs ont tout perverti et, pourtant, ils sont irremplaçables. Le monde a besoin d’eux. Nous entrons historiquement dans l’ère de la synthèse, la vraie.
Et il n’y a de synthèse que par la Trinité » (Jean Coulonval).
De la Liaison Ciel-Terre et l’inverse.
« Cette conjonction du réel métaphysique et du réel physique est tout à la fois une promesse de salut total et de mal total. Avec cette restriction que le mal n’est pas le contraire symétrique du bien. Le mal, c’est la Trinité disloquée par les ambitions et l’orgueil de l’homme; il est de l’ordre des accidents. La Trinité est de l’ordre des essences éternelles. Elle est l’Essence(1).
Cette conjonction fait s’évanouir le dilemme Spiritualisme – Matérialisme, Religion – Science et en conséquences les fausses synthèses que sont l’Islam et le Marxisme. Mais le monde chrétien est-il prêt à prendre au sérieux la Trinité ? C’est le mystère des mystères, mais c’est aussi ce qu’il y a de moins mystérieux.
La Paix passe par la Trinité ». (Jean Coulonval).
« Il y a dans l’Islam, né à l’aube du Christianisme, dans le Communisme, né il y a à peine un siècle [1917], une, intuition profondément juste, la manifestation d’un besoin psychologique profondément vrai et humain, je veux dire le besoin de la communauté sociale [le ”vivre ensemble”, l’Harmonie Vraie], de l’Umma. Mais ils n’en réalisent que des caricatures [surtout par les ”réseaux sociaux” soumis aux machines de l’industrie informatique du capitalisme]. Par contre, l’Occident chrétien, qui possède avec le dogme Trinitaire l’outil adéquat pour réaliser une véritable Umma [un Vrai Vivre ensemble], ne le fait pas. Pourquoi ? C’est qu’il est aveuglé par son poncif de la dualité irréductible du spirituel et du temporel [comme la laïcité à la française], ce qui l’empêche de concevoir comme possible, comme seule solution pour une vraie Paix, la grande Paix selon Dieu, l’unité de la société dans l’harmonie de toutes les fonctions qui s’y exercent. On y parle beaucoup du christianisme en tant que système spirituel, mais jamais de la Chrétienté, d’une Umma selon le Christ et la Trinité. On y est encore inquiet, tourmenté par un conflit, qui semble irréductible, de la foi et de la science, du religieux et du politique. Il semble de même que beaucoup de chrétiens ont un besoin morbide de voir autour d’eux un mal qui les confirme dans leur bonne conscience. Ce besoin de l’Umma apparaît pourtant chez les chrétiens que l’on dit « progressistes», mais ils vont en chercher l’inspiration dans le communisme, ce qui les fait dérailler. Ils ne voient pas que le germe de la véritable Umma, ils le possèdent déjà. Ils tiennent la Trinité pour une chinoiserie intellectuelle sans importance et réduisent le christianisme à une doctrine bassement sentimentaliste et moraliste [qui sera copié par le régime républicain] ».(Jean Coulonval).
« L’Islam ne distingue pas le temporel et le spirituel, et pas plus la dialectique matérialiste et historique du communisme. Car le communisme est une religion en ce sens qu’il dit
« dans le principe était la matière » et non plus « dans le principe était le Verbe ». Et dans le christianisme, la doctrine des deux domaines indépendants, le spirituel et le temporel, n’est rien de plus qu’une « parole verbale», pure illusion. L’homme ne peut pas se couper en deux, pas plus que Dieu n’a pu créer deux mondes distincts. Si quelqu’un se persuade de la légitimité de cette séparation du spirituel et du temporel (Ce qui revient à briser en 2 parts distinctes et indépendantes l’unité ontologique de la Création), il ne pourra attribuer à la religion qu’une finalité post-mortern, et c’est précisément ce que je remarquais dans le comportement des catholiques.
La vie est nécessairement une confrontation permanente entre les besoins, les désirs de mon âme, et l’extérieur, le monde qui affecte mes sens, dans des conflits continuels [appelés de nos jours : « démocratie »]. Qui jugera ces conflits ? Si je dis que tout ce qui me plaît est bon, je n’aurai pas la Paix avec mes voisins parce que ce qui est bon pour moi ne l’est pas nécessairement pour eux. Et si je dis que je me soumets au réel, c’est-à-dire à mes expériences objectives, je ne trouverai pas non plus la Paix parce que mes voisins vivent des expériences autres que les miennes et leurs conclusions sont différentes. Ce que le langage commun appelle opinion, c’est l’une ou l’autre de ces deux formes de jugement, un équilibre toujours précaire entre le subjectif et l’objectif, et ce qu’on appelle « opinion publique » n’est qu’un effet statistique qu’on ne peut tenir en aucune façon pour un critère de vérité.
Ainsi donc, il est bien vrai que l’intelligence ne peut trouver une solution de Paix si elle s’en tient à cette seule forme de pensée qu’on appelle l’« opinion ». Il est parfaitement vain de rechercher une opinion « vraiment vraie », ce ne peut être qu’un mirage. Ce ne sera jamais plus que « ma vérité » alors que, je l’ai dit, le vrai ne peut être un objet de possession. La vérité, si elle est, doit nécessairement transcender le conflit du sujet et de l’objet ». (Jean Coulonval)
DRAME DU MONDE = LES RELIGIONS DU LIVRE OU DU « LETTRISME », LE CALAME (roseau taillé pour écrire) DONNERA LE MOT ”CALAMITÉ” : LE NID EST FAIT POUR L’OISEAU ET NON L’OISEAU POUR LE NID, COMME L’HOMME EST LA MESURE DE TOUTES CHOSES, MAIS DE NOS JOURS IL EST MESURÉ PAR LES CHOSES, IL EST DONC L’HOMME POUR LE NID (il est devenu l’homme-objet ou robotisé par soumission à la technologie des industries du capitalisme).
Idem avec l’oiseau en cage et ses efforts permanents pour retourner à sa résidence naturelle en volant vers le haut, le chemin de l’esclavage, plutôt que de se diriger vers le BAS, LA VOIE PAR LAQUELLE IL ÉTAIT ENTRÉ. Pareillement chez les humains cela explique que leurs efforts incessants pour atteindre la Liberté naturelle ne sont aucunement couronnés de succès, c’est qu’ils sont eux aussi dirigés vers le dehors, vers ce qui asservit, au lieu du dedans, là d’où ils ont émergé.
La tendance naturelle de l’oiseau à se diriger vers le haut se manifeste avec force, alors qu’il essaye de se libérer ; de même la tendance naturelle de la guêpe à se diriger vers le haut de la lumière d’un ciel clair. « Semblablement, la tendance naturelle des individus [jiva] d’errer vers le dehors s’affirme même lorsqu’ils tentent de se libérer. C’est là une tendance propre à l’individu [jiva]. Cependant, si grâce au discernement juste et à la conscience pure, ce dernier inverse la direction de sa vision, d’une vision dirigée vers le dehors à une vision intérieure [Retournement de la Lumière] et qu’il s’en tient à elle, cela ne fait aucun doute qu’il atteindra la Libération à l’instant même ». (Padamalai, Muruganar, chapitre Le mental et ses créations).
DRAME DU MONDE = LES RELIGIONS DU LIVRE OU
DU « LETTRISME », LE CALAME : AU JOURD’HUI,
C’EST « L’INTELLIGENCE ARTIFICIELLE ».
Note.
1. ESSENCE : dans le sens par exemple du principe de l’outil appelé tour : déplacer un outil coupant sur une pièce qui tourne, produisant des copeaux. N’existerait-il rien au monde, pas même la Création, que ce principe SERAIT, Essence éternelle du tour ; mais ce qui ne serait pas, c’est le tour concret, et on peut en réaliser une infinité de modèles à partir du principe ou Essence : l’ex-istant. Un tour ne peut engendrer son principe, ni aucun machine, même construite par un transhumaniste : la recherche ou le bricolage peuvent éveiller l’idée d’un principe, elles ne le créent pas.…. Quand un humain découvre un principe, c’est qu’il le portait déjà en lui, comme une plaque photographique non révélée, dans les structures intimes de son être.
ESSENCE : ce qui existe de toute éternité à l’état latent, en Vraie Télépathie, et qu’on a appris à connaître au fur et à mesure de l’évolution de notre cerveau. Ce qui n’a pas l’Essence ne peut produire l’Essence. « L’essence qui voit est la seule chose qu’on ne puisse attribuer à rien » dit Le Secret de la Fleur d’Or. « Mais, lorsqu’on voit le voir, si ce voir n’est pas le voir, l’essence qui voit est alors aussi attribuable à quelque chose. Cela renvoie à l’essence qui voit, telle qu’elle s’exerce dans la continuité répétitive de la conscience habituelle – ce que les Écritures bouddhiques évoquent en ces termes : « Faire usage de la conscience habituelle et répétitive, c’est faire erreur ».