Frottement sexe images qui bougent dessin animé

Frottement sexe images qui bougent dessin animé.
Ainsi tout est question de FRÉQUENCE ou RYTHME en de multiples RÉSONANCES : le bras qui frotte, les bois qui battent, la voix qui chante, tout converge vers le SEL (solution, eau) :
– 1 : SEL :
Résultat, brûle et conserve. Sceller/Cimenter (sceau; signal).
– 2 : CENDRE :
Réduire à rien pour repartir.
– 3 : POUSSIÈRE :
Poussière de Maison.
– Soit VIE : homme crée de la poussière du sol d’après le créationnisme biblique, et l’ADNisme de la boue adamique.
– Soit MORT : la poussière évoque le Passé. “Faire le deuil du passé”.

Dès lors qu’on entreprend de frotter, il se passe quelque chose à cause de la FRÉQUENCE de ce frottement.

MASTURBATION, FROTTER, PLAISIR (”libido”).

Frotter pour produire le SEL n’a strictement rien à voir avec l’actuel utilitarisme forcené : le résultat. Le SEL (résultat) N’A PAS « À SE TRAHIR » (comme un psychanalyste-policier dirait de son patient : « dans la crainte de se trahir ». Or technologies et sciences actuelles soumises au productivisme de l’utilitarisme et de la rentabilité anglo-américaine veulent OBTENIR (du concret, du résultat, de l’objet-objectivité, du rationnel).

Frottement, sexe, images qui bougent et dessin animé fait que COMME UNE MAGIE, ON Y CROIT, TOUT SEMBLE SE TENIR POUR FORMER UN MOUVEMENT, PUIS UNE HISTOIRE, UNE FICTION.

Actes, fruits, production, agents et patients, sont sans nature propre : ILS NE S’APPARTIENNENT PAS : ILS EXISTENT SUR LE MODE DE N’ÊTRE PAS.

Le N’ÊTRE PAS, comme le ’N’EST PAS X’, est fondamental en cinéma surtout en dessin animé : le plus important est le ’N’ÊTRE PAS’, ce qu’il y a entre deux dessins, ce qu’il y a entre deux images (accompagné du phénomène de persistance rétinienne. Les images accordées entre elles semblent produire et renvoyer un mouvement. Dans les images isolées mais accordées entre elles par la persistance rétinienne : tout semble se tenir, comme quand une magie parle toutes les magies parlent et quand une se tait toutes se taisent.
LE MONDE EST EN « COMME SI », EN GRAND JEU DU FAIRE SEMBLANT.

Quelques principes du mouvement.

– 1. Un corps en repose tend à rester en repos, un corps en mouvement tend à rester en mouvement.
– 2. Les états de repose et de mouvement d’un corps ne peuvent être modifiés que par l’action d’une force extérieure. Le corps de déplace en ligne droite dans la direction dans laquelle la force appliquée, jusqu’à ce qu’une autre force n’agisse pour modifier cette direction.
– 3. Chaque action provoque une réaction égale et de sens contraire.

MASTURBATION, FROTTER, PLAISIR (”libido”) = HISTOIRE : ON Y CROIT, LE FANTASME-FANTÔME-MAGIE S’INSTALLE : « Dieu créa l’homme ; et l’homme créa Dieu. Ils sont tous deux les créateurs des noms et des formes. Mais en réalité, ni Dieu ni l’homme n’ont été créés ». (Ramana Maharshi, entretien 264, du 20 octobre 1936).
Ainsi comme les êtres sont sur le mode du ’N’ÊTRE PAS’, à propos de quoi, dans le mental de qui, de quelque nature et pour quel objectif ou raison, des opinions pourraient naître à propos du MIEUX cette OPINION MORTIFÈRE pourrait-elle naître ?
TOUT EST DANS TOUT, on ne sort pas de l’Univers : une opinion n’est pas ”extérieure”.
TOUT EST DANS TOUT PUISQUE RIEN N’EST SOI-MÊME, MÊME PAS LE CENTRUM CENTRI : Le Centre est nulle part, mais sans Lui pas de Circonférence partout.

Où et quand, c’est de l’utilitarisme actuel à la Moïse recevant ses « lois », dans le ‘Quand’ et dans le ‘Où’, donc dans l’histoire, alors certains y croient. Certains croient à ce « frottement ».

Dans le dessin animé ce qui est essentiel dans le mouvement est le ’N’ÊTRE PAS’, c’est pour cela que, quand on a dessiné un dessin, pour amorcer le dessin suivant qui doit produire le « COMME SI » du mouvement, on est obligé de « feuilleter » rapidement son deuxième dessin superposé pas rapport au premier POUR-VOIR s’il y a le « COMME SI », c’est-à-dire la FLUIDITÉ ou continuité du mouvement : POUR QU’ON Y CROIT. On ne peut donc pas dessiner un deuxième dessin sans avoir feuilleté ce dessin par rapport au premier. On peut également utiliser la table lumineuse d’animation pour « espacer » ou visualiser par exemple le dessin de la position d’un bras par rapport à la position précédente.

LE ’N’ÊTRE PAS’ = LA CONQUÊTE DU SUPERFLU, LA CONQUÊTE DU GATE GATE : « Gate gate pâragate pârasamgate bodhi svâhâ » du Soûtra du Diamant (Allé, allé, allé au-delà, allé complètement au-delà, l’Éveil, ainsi). S’accompagne nécessairement de la Connaissance transcendante par le Principe du ”N’EST PAS X” : revient à dire que les choses ne sont que des désignations, des pointages sur les choses, de simples imputations nominales (en tibétain : tha-snyad), elles sont dépourvues d’être en et par soi, elles ne sont pas possédables par le mental, comme on ne peut pas posséder l’entre-deux images d’un film et d’un dessin animé.
C’EST L’ABSENCE QUI FAIT « COMME SI » IL Y AVAIT UN MOUVEMENT, « COMME SI » LA CONQUÊTE DU SUPERFLU PERMETTAIT LE MOUVEMENT ET SEMBLERAIT SUPÉRIEURE À LA CONQUÊTE DU NÉCESSAIRE. L’ÊTRE HUMAIN EST DONC UNE CRÉATURE DE LA VACUITÉ, NON PAS UNE CRÉATURE DU BESOIN COMME LE PRATIQUE L’IDÉOLOGIE DU CAPITALISME(1).

Comme le VIDE entre deux images produit le « COMME SI » du mouvement, tout ce qui frotte, brûle, tout ce qui « ÉLECTRISE » est immédiatement susceptible d’expliquer la génération : ON Y CROIT, TOUT SE TIENT.

Le vide entre deux images de film et de dessin animé est ce GATE GATE, cette CHIMÈRE ou PUITS QUI N’A POINT D’EAU PARCE QU’IL EST SANS FOND : ET C’EST LE SAINT SILENCE, tout ce qu’on cache, tout ce qu’on tait, on a toujours LE VRAI DROIT D’Y PENSER, la coagulation du dogme ne vient pas castrer la profondeur, la transparence.

« COMME SI », ON Y CROIT = LA CHALEUR PARTAGÉE (comme les spectateurs dans un salle de cinéma partagent le spectacle de l’histoire, en y CROYANT ; ILS SONT DES CROYANTS COMME DANS UNE ÉGLISE DEVENUE LA SALLE DE CINÉMA).

Le VRAI FEU est comme l’insaisissable entre deux images de dessin animé produisant le « COMME SI » d’un mouvement : Vrai Feu, le X du ’N’EST PAS X’ comme le X du Centre est nulle part, le Vrai Feu est nulle part, Il est donc EN NOUS ET HORS DE NOUS, INSAISISSABLE ET ÉCLATANT COMME LE CHRIST-SOLEIL FEU FROID NON DUEL (non dans l’utilitarisme de la découverte du feu vulgaire qui produira la thermodynamique et la métallurgie, les guerres etc.).

  • Du Vrai Feu, comme la Lumière, comme pour le temps : il faut une personne pour l’allumer, pour le ou la voir, et ainsi la fabriquer. La où le Blanc de l’Instant ne trouve rien à séparer ni rien à unir, c’est « PUISER DE L’EAU ET COUPER DU BOIS » ; le ”Mieux” n’existe pas, le « COMME SI » est à l’état latent, comme le faux feu.

« L’être donne des possibilités, c’est pas le non-être qu’on le utilise », identique à l’espace insaisissable entre deux images de dessin animé à la fin de ce Verset 11 du Tao-tö king, trad. Liou Kia-hway.
Encore une fois, ce monde existe sur le mode du ’N’ÊTRE PAS’, sur le mode du ’N’EST PAS X’. On ne peut pas « saisir » l’Instant on ne peut que s’en approcher (Saint Bonaventure : « Jamais l’âme et Dieu ne peuvent coexister ». « ITINÉRAIRE N’EST PAS ITÉRER »).

Non, non, Walt Disney (en haut de page), et les gens qui travaillent dans le dessin animé devenu un salariat comme de tout maintenant ne sont pas des « obsédés sexuels » !
« Were through with caviar. From now on, it’s mashed potatoes and gravy ».
Walt Disney, Time, 27 déc. 1954.
« Je ne fais pas de films pour enfants… Je fais des films qui peuvent plaire aux enfants ». Walt Disney, dans la création de besoin(1).
Il n’est reste pas moins que le dessin animé est un JEU SEXUEL INDIVIDUEL au niveau du travail des dessins d’animation, ET PIRE, PUISQUE C’EST DEVENU UN SALARIAT COMME UN AUTRE.
FEU = FROTTEMENT ET RAISON CETTE CONSCIENCE QUI CALCUL, AVEC SA PALANQUÉE DE CONSÉQUENCES AUSSI EN MAL QU’EN BIEN ET DÉSORMAIS PLUTÔT EN MAL AUX VUES DE LA SITUATION HUMAINE ACTUELLE !!! CAR CE FEU VULGAIRE EST DEVENU DÉVORANT, AU LIEU DE DONNER SON ILLUMINATION. CE FEU EST DEVENU LA CAVITÉ INFERNALE : L’INTELLECT SOUS SA FORME RÉVOLTÉE, DONC PRENANT TOUTES LES FORMES DE RÉGRESSION PSYCHIQUE TYPIQUE DE NOSTRE ÉPOQUE LUCIFÉRIENNE, PROMÉTHÉE. L’INTELLIGENCE ARTIFICIELLE C’EST LE PORTEUR DE LUMIÈRE : LUCIFER RÉINCARNÉ, COAGULÉ.

C’EST BIEN L’ÂGE DU FER, L’ÂGE DU FAIRE/FER QUI ROUILLE, L’ÂGE DE L’ÈRE WALT DISNEY ET HOLLYWOOD ET SES PETITS MICKEY.

La souris, animal chtonien (du latin chtonius, du grec khthôn : terre), qui a trait aux divinités et puissances infernales. la souris est utilisée pour la divination par de nombreux peuples de l’Ouest africain. Elle devient une sorte de « passerelle/arc-en-ciel » vers le sacré et donc vers l’ AMBIGUÏTÉ PAR ESSENCE. Car le sacré quel qu’il soit est investi nécessairement d’une force prodigieuse (comme la Mana des Polynésiens). Autant cette énergie peut être bénéfique, dans son versant ”divin”, autant et proportionnellement elle peut, d’une seconde à l’autre, se retourner en son contraire et alors agir ”diaboliquement” comme une énergie destructrice et mortelle. C’EST L’AMBIVALENCE FONDAMENTALE DU MENTAL DE L’ANIMAL-HUMAIN PAR RAPPORT AUX ANIMAUX-ANIMAUX.

L’objet soumis à la dépendance du sujet……. = PANique……. = AMOUR DIVIN OU « FEU SACRÉ » ET VRAI FEU QUI CONSUME, à tel point que tous les mystiques sont souvent tenus d’en demander la délivrance afin de ne pas mourir trop tôt !

Note.
1. En 1840 les frères Abraham et Simon Oppenheim déclaraient ceci : « Vendre une perle que vous avez à quelqu’un qui en a envie, ce n’est pas faire des affaires ; mais vendre une perle que vous n’avez pas à quelqu’un qui n’en veut pas, voilà ce qui s’appelle faire des affaires ». (Réf. page 451 du livre de Jacques Attali, Les Juifs, le monde et l’argent). Ces frères là avaient tout compris du « COMME SI ».

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LE BANC-TITRE pour film argentique

Technique peu connu de la prise de vues en banc-titre. Page issue de mon site perso : fangpo1.com.

Plus bas se trouve la photo du banc-titre OXBERRY (aussi photo ci-dessus) à deux colonnes dans sa version complète, avec caméra de 35 mm et dispositif de rétro-projection (image aérienne, voir les schémas plus bas).

Avec l’informatique, le banc-titre est de moins en moins utilisé (voir plus du tout). Cependant, rien n’est impossible avec le banc-titre ; il restera certainement un outil complémentaire par rapport à l’emploi de l’ordinateur, et avec des prix de revient plus compétitifs. L’expérience de travail sur le banc-titre peut aider pour la recherche sur ordinateur graphique, notamment pour la conception graphique de sites Internet. Reste à savoir si l’image argentique ne sera pas un jour abandonnée… alors la caméra vidéo remplacera la caméra film.
D’ailleurs il y a déjà longtemps, la visée caméra sur certains bancs était assurée par une petite caméra vidéo ; normalement, pour cadrer un document, une lampe projette l’image du cadre sur la table de prise de vue à travers l’objectif (voir le schéma plus bas). Voir aussi le format des perforations des dessins et des tenons sur la table de prises de vues.

Banc-titre Oxberry
Schéma

Banc-titre Oxberry une colonne

Image aérienne
Schéma du banc-titre Oxberry avec projection pour image aérienne ou image virtuelle. Cela permet de filmer le film dans la fenêtre du projecteur. On peut utiliser l’éclairage du plan de travail en même temps sans crainte de voiler la pellicule. On peut ainsi mélanger des séquences en animation à des séquences de prises de vues réelles en un seul passage (voir le schéma en dessous). Les surfaces peintes sur le cellulo spécial doivent-être opaques. En 35 mm on utilise un objectif de focale 100 mm. Le plan de travail ou plateau porte cellulos reste fixe ; pour déplacer les cellulos il faut utiliser une barre à tenons flottante (indépendante de la table de prise de vue).

Schéma image aérienne
1. Pellicule vierge – 2. Cache mobil en contact avec la pellicule vierge (bi-pack) – 3. Objectif caméra – 4. Table de prises de vues – 5. Cellulo – 6. Condensateurs – 7. Miroir argenté en surface – 8. Objectif projecteur – 9. Image de projection – 10. Cache mobile en contact avec l’image de projection – 11. Lampe du projecteur – 12. Éclairage de la table de prises de vues

Viseurs
Pour la visée au banc, une lampe projette une image de la mire de visée sur le plan de travail (on utilise aussi la visée à travers une petite caméra vidéo). On peut utiliser aussi la rotoscopie : par un prisme, la lumière projette sur la table l’image d’un bout de film placé dans le couloir de la caméra. On peut alors cadrer très précisément.

Plan de travail et « pegbar » à 3 perforations les plus utilisées pour l’animation des dessins. Pegbar (registration pegs) ou barre à tenons. Ici les formats de perforations de repères des dessins dans les standards américains (mesures en inch). Il existe aussi les perforations au standard Kodak et au standard Disney.

Banc du constructeur Giraud.
Ici j’ai fait de mémoire le dessin du banc-titre GIRAUD, constructeur français. A ma connaissance, c’est le seul banc-titre dont le support de caméra circule sur rails. Ce système était d’une remarquable précision. Sur la face avant de la caméra se trouvait un jeu de voyants visualisant les opérations en cours. Le porte document était relié à un pantographe commandé par un dispositif électronique, piloté depuis un impressionnant pupitre de contrôle.

Voici une photo du banc-titre Acme [Photo-Sonics] (un autre banc parmi tous les constructeurs américains) ; à ne pas confondre avec la célèbre entreprise des dessins animés de Charles (Chuck) Jones, avec Mimi, le « road runner » Bip-Bip, et le Coyotte.

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TF1 – Mon Travail pour Catherine Chaillet

TF1 – Mon Travail pour Catherine Chaillet.
Par le scribe du blog fangpo1.
Les dates renvoient à l’époque de la réalisation. La date de diffusion devait se situer quelques jours plus tard. Les épisodes sont regroupés dans les différents Ateliers organisés selon la Société Nationale Télévision Française 1 (TF1). [il y a eu plus de 600 épisodes des Tifins réalisés entre 1976 et 1981. 1981 époque où François Mitterrand prend le pouvoir et fait virer de TF1 nombre de cadres importants, dont Catherine Chaillet]

Atelier Gérard Barralis – Département Cinéma et Achats
LES TIFINS
Le Paradis Tifin (Novembre – Décembre 1981)
Le métro bondé (Octobre – Novembre 1981)
Le cinémathècophile (Septembre – Octobre 1981)
Les esclaves (Août – Septembre 1981)
La fanfare (Juillet – Août 1981)
Le violon (Juin – Juillet 1981)
Le cuirassé (Juin 1981)
La Ligne Maginot (Mai 1981)
Le défilé de mode (Avril – mai 1981)
La menace (Mars – Avril 1981)
Votez-votez (Mars 1981)

Atelier O. Afchain – Département du Théâtre et de la Musique
LES TIFINS
La course auto (Décembre 1980)
Le Sphinx (Juin – Juillet 1980)
Le vaisseau fantôme (Février – Mars 1980)
Le circuit (Novembre – Décembre 1979)
La barque (Octobre – Novembre 1979)
Les oisifs (Octobre 1979)

Atelier Jean-Jacques Legouar – Département du Théâtre et de la Musique
LES TIFINS
Le 14 Juillet (Janvier – Février 1981)
La séquence de cinéma (Décembre 1980)
Le légionnaire (Juillet – Août 1980)
L’horloge neuve (Mai – Juin 1980)
La course auto (Janvier – Février 1980)
Le malade guéri (Août – Septembre 1979)
Les montreurs d’ours (Juillet 1979)
La chevauchée (Juin 1979)
Le voilier (Mai – Juin 1979)
Hôtels complets (Avril – mai 1979)
Le chenil (Mars – Avril 1979)
Le saut du stade (Février 1979)
Le chirurgien (Janvier 1979)
La potiche (Décembre 1978)
Le chien de table (Octobre – Décembre 1978)
Roncevaux (Novembre 1978)
La route de montagne (Septembre – Novembre 1978)
Les impôts (Août – Septembre 1978)
La Salamandre (Août 1978)
L’étable magique (Juillet 1978)
Le vélo cassé (Juin 1978)
La ferme magique (Mai – Juin 1978)
La panne (Mai 1978)
La secrétaire (Avril 1978)
Le conte de fées (Mars – Avril 1978)
Le bateau du ciel (Février – Mars 1978)

Production Artistique Interne – Atelier Yannick Casanova
LES TIFINS
New-York (Octobre 1977)
L’orchestre (Juin – Juillet 1977)
Les arbres (Mai – Juin 1977)
La Tour Eiffel (Avril – Juin 1977)
La tirelire (Mars – Avril 1977)

Animation du générique de l’émission : AUTO-MOTO (Février 1981) (Service des Sports)

Animation du générique de l’émission : LE TEMPS DE L’ÉTÉ (Juin 1980) (Service du Département du Théâtre et de la Musique)

Animation du générique de l’émission : AVANT PREMIÈRE (Mars 1980) (Service du Département du Théâtre et de la Musique)

Animation pour le générique de l’émission : l’ANNÉE DU PATRIMOINE (Janvier 1980) (Service du Département du Théâtre et de la Musique)

Animation du générique de l’émission : NOEL ET L’AN NOUVEAU (Décembre 1979) (Service du Département du Théâtre et de la Musique)

Animation pour le générique de l’émission : ÉLECTIONS EUROPÉENNES (Mai 1979) (Atelier Paul Revelle)

Animation pour le générique de l’émission : A LA BONNE HEURE (Janvier 1978) (Service de l’Information Télévisée 1° chaîne)

Animation pour le générique de l’émission : MAGAZINE EUROPÉEN – EURO 9 (Octobre 1977) (Service Actualités télévisées – TF1)

Animation du générique de l’émission : LA SÉQUENCE DU SPECTATEUR, de Claude Mionnet (Juillet – Août 1977)

Musique des Tifins : Jack Arel

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