
Vous n’êtes pas le mental et donc vous n’êtes pas le conventionnel, le consensus, le contrat social et la démocratie et sa république qui se dit ”Concorde” (de con : avec, et corde : attaché à une corde comme la vache à son piquet : « Le Soi est attaché au Coeur comme la vache à son piquet. Les mouvements sont déterminés par la longueur de la corde. Tous ses déplacements sont centrés autour du piquet [l’Axe, le Point sur le I du ”Un Point c’est Tout”] » (Ramana Maharshi 616, 23/28-1-1939). Mais la république qui se voudrait le piquet, la CONCORDE, N’EST PAS CET AXE (les valeurs) RÊVÉ PAR LES GROS EGO ET GROS COMPTES EN BANQUES À L’ÉTAT DE VEILLE ET DE RÊVE SEULEMENT.
« Vous n’êtes pas le corps ; alors qu’est-ce que cela peut faire qu’il disparaisse d’une façon ou d’une autre ? » (Ramana Maharshi 32, 4-2-1935).
Le conventionnel et sa démocratie pur convention, pur ”contrat social” :
« Les gens supposent qu’il existe deux ‘je’ ; l’un inférieur et irréel dont tout le monde est conscient, l’autre supérieur et réel, qu’il s’agit de réaliser.
Vous n’êtes pas conscient de vous-même quand vous dormez, mais vous l’êtes à l’état de veille.
Quand vous êtes réveillé, vous dites que vous avez dormi. Vous ne le saviez pas en état de sommeil profond. L’idée de la diversité a donc pris naissance en même temps que la conscience du corps ; cette prise de conscience du corps s’est produite à un certain moment ; elle a un commencement et une fin. Ce qui a une origine doit être quelque chose. En quoi consiste ce quelque chose ? C’est la conscience du ‘je’. Qui suis-je ? D’où est-ce que je viens ? En trouvant la source, vous réalisez l’état de Conscience absolue. […] Le monde n’est pas extérieur. Les impressions ne peuvent pas avoir une origine externe(1), parce que le monde ne peut être connu que par la conscience. Le monde ne dit pas qu’il existe. Ce n’est que votre impression, même si elle n’est pas cohérente ni continue. Dans le sommeil profond, le monde n’est pas connu ; il n’existe donc pas pour l’homme qui dort. Par conséquent, le monde est la suite de l’ego. Trouvez l’ego. La découverte de sa source est le but final. » (Ramana Maharshi 53, 15-6-1935). C’EST POURQUOI LA CONSCIENCE ABSOLUE NE PEUT PAS ÊTRE UNE CONSCIENCE COLLECTIVE : LA CONSCIENCE ABSOLUE EST PUREMENT INDIVIDUEL ; ON NE PEUT DONC PAS « LA METTRE DANS UNE PUCE INFORMATIQUE » COMME EN RÊVE LES GOOGLE ET CIE. DU CAPITALISME.
- La conscience collective chère aux Google qui veulent la mettre dans un puce informatique telle une ”intelligence artificielle” N’EST QUE PHÉNOMÉNAL-INFORMATIONS-SIGNAUX, et ne peut relever que du spatio-temporel, ce monde des accidents : « Des doutes ne s’élèvent que lorsqu’on l’identifie à quelque chose de tangible, de physique » (Ramana Maharshi 403, 17-4-1937).
« Qu’êtes-vous en réalité ? Vous n’êtes pas le corps. Vous êtes pure conscience. Le grihastha-dharma et le monde ne sont que des phénomènes qui apparaissent à la
surface de cette pure conscience. Celle-ci n’en est pas affectée. Qu’est-ce qui vous empêche d’être votre propre Soi ? […] Le Soi est toujours là. Il est vous-même. Il n’existe rien d’autre que vous-même.» (Ramana Maharshi 251, 29-9-1936).
- « De plus, qu’est-ce que la vie ? La vie est existence, laquelle est votre Soi. C’est la vie éternelle.
Ou bien pouvez-vous imaginer un instant où vous n’êtes pas ?
Cette vie est maintenant conditionnée par le corps et vous identifiez faussement votre être à celui du corps. Mais vous êtes la vie inconditionnée. Ces corps s’attachent à vous en tant que projections mentales et voilà que vous êtes affligé par l’idée « Je suis le corps ». Si cette idée cesse, vous êtes votre Soi.
Où et comment étiez-vous avant de naître ? Dormiez vous ? Comment étiez-vous ? Vous existiez alors aussi, mais sans le corps. Ensuite, l’ego apparaît, puis le mental qui projette le corps. Le résultat est l’idée « Je suis le corps ». Parce que le corps existe, vous dites qu’il est né et qu’il doit mourir et vous transférez cette idée sur le Soi en disant que vous êtes née et que vous mourrez. En fait, en sommeil profond vous êtes sans corps ; mais maintenant vous avez un corps. Le Soi peut rester sans le corps, mais le corps ne peut pas exister séparé du Soi.
La pensée « Je suis le corps » est ignorance ; la pensée que le corps n’est pas séparé du Soi est connaissance. Voilà la différence entre connaissance et ignorance.
Le corps est une projection mentale ; le mental est l’ego et l’ego s’élève du Soi. Par conséquent, la pensée du corps détourne l’attention et éloigne du Soi. De qui est-ce le corps ou la naissance ? Ils ne relèvent pas du Soi, l’Esprit. Ils relèvent du non-Soi qui s’imagine séparé. Aussi longtemps que durera le sens de la séparation, il y aura les pensées qui tourmentent. Quand la source originelle est retrouvée et qu’un terme est mis au sens de la séparation, il y a la paix ». (Ramana Maharshi 396, 12-4-1937).
- De même : « Vous n’êtes pas le corps, pas plus que le guru. Vous êtes le Soi, comme l’est aussi le guru. Cette connaissance est obtenue par ce que vous appelez la réalisation du Soi ». (Ramana Maharshi 282, 16-11-1936).
- « Vous n’êtes pas le corps. Tant que vous vous identifiez au corps, vous voyez des fourmis, des plantes et tout le reste. Si vous demeurez dans le Soi, il n’y a rien qui soit séparé du Soi ». (Ramana Maharshi 341, 23-1-1937).
- ”Il n’existe rien d’autre que vous-même” : Écoute, ton état communique avec toi, il n’y a rien d’autre.
Du démon de l’identification ou possession :
« Vous êtes toujours le Soi.
Vous n’êtes pas le mental. C’est le mental qui soulève ces questions [de concilier travail et méditation]. Le travail se déroule toujours en la seule présence du Soi. Le travail n’est pas un obstacle à la Réalisation. C’est la fausse identité du travailleur qui vous trouble. Défaites-vous de cette fausse identification. […] Vous n’êtes pas le mental. Vous êtes au-delà de lui ». (Ramana Maharshi 68, 21-7-1935).
Vous n’êtes pas le conventionnel, sa démocratie construite sur les conflits d’intérêts(3) et donc sur le mental qui va et vient sans cesse tel un « migrant » et qui limite.
« La nature du mental est précisément d’errer. Mais vous n’êtes pas le mental. Le mental émerge puis s’immerge. Il est impermanent, transitoire, alors que vous êtes éternel. Il n’y a rien d’autre que le Soi. Rester le Soi est la solution. Ne faites pas attention au mental. Si on cherche sa source, le mental s’évanouit, laissant le Soi non affecté derrière lui. […] Il n’y a plus de mental à contrôler si vous réalisez le Soi. Quand le mental s’évanouit, le Soi resplendit. Chez un homme réalisé, le mental peut être actif ou inactif, seul le Soi demeure pour lui. Car le mental, le corps et le monde ne sont pas séparés du Soi. Ils surgissent du Soi puis disparaissent en Lui. Ils ne sont pas séparés du Soi. Peuvent-ils être différents du Soi ? Soyez seulement conscient du Soi. Pourquoi vous soucier de ces ombres ? Comment peuvent-elles affecter le Soi ? » (Ramana Maharshi 97, 19-11-1935).
« L’ego est comme notre ombre sur le sol. Tenter de l’enterrer serait une sottise. Le Soi n’est qu’un. S’il est limité, c’est l’ego. S’il est illimité, c’est l’Infini, la Réalité.
Les bulles sont différentes les unes des autres et innombrables, mais l’océan n’est qu’un. De même, les ego sont nombreux, tandis que le Soi est UN, et seulement UN.
Quand on vous dit que vous n’êtes pas l’ego, réalisez la Réalité. Pourquoi vous identifiez-vous à l’ego ? C’est comme si on vous disait : « Ne pensez pas à un singe en avalant votre médicament ».
C’est impossible de ne pas y penser. Le fonctionnement des gens ordinaires [du conventionnel] est pareil. Quand on parle de la Réalité, pourquoi continuez-vous à méditer sur « shivo’ham » [Je suis Shiva] ou « aham brahmâsmi » [Je suis le brahman] ? Il vaudrait mieux en trouver le sens et le comprendre. Il n’est pas suffisant de répéter simplement les mots ou d’y penser.
La Réalité, c’est simplement la perte de l’ego. Détruisez l’ego en cherchant son identité. Parce que l’ego n’est pas une entité(2), il disparaîtra automatiquement et la Réalité resplendira spontanément d’elle-même ». (Ramana Maharshi 146, 26-1-1936).
« Vous n’êtes pas physique. Pourquoi vous préoccuper de ce que vous n’êtes pas ? Si le Soi avait une forme, il pourrait être affecté par des objets [les noms-les-formes du conventionnel]. Mais le Soi n’a pas de forme, par conséquent il est immunisé contre tout contact avec les choses ». (Ramana Maharshi 164, 24-2-1936).
« Parce que vous croyez que vous êtes le corps, vous voyez l’autre comme étant un corps.
Ainsi naît la différence de sexe. Mais vous n’êtes pas le corps. Soyez le vrai Soi. Alors il n’y a pas de sexe ». (Ramana Maharshi 169, 26-1-1936).
« Le fait est que vous n’êtes pas le corps. Le Soi ne bouge pas. Le monde bouge en lui. Vous êtes seulement ce que vous êtes. Il n’y a pas de changement en vous. Par conséquent, même après un soi-disant départ d’ici, vous êtes ici, là-bas et partout [confirmé dans les expériences dites de ”mort imminente”, EMI]. Ce ne sont que les scènes qui changent.
Quant à la grâce, elle est en vous. Si elle était extérieure, elle n’aurait aucune valeur. La grâce est le Soi. Vous n’êtes jamais hors de son activité. La grâce est toujours présente ». (Ramana Maharshi 251, 29-9-1936).
Rien ne doit être, rien ne veut être, rien ne peut être (sauf chez les capitalistes et les Google et transhumanistes), PUISQUE TOUT EST TOUJOURS.
L’humain joue aux Prométhée : il CROIT avoir des desseins(4)…
En mettant une conscience forcément collective et consensuelle conventionnelle dans une puce informatique (ou dans une I.A.), le mental sera alors augmenté et forcément les DÉSIRS-LOI-DE-SUCCION-VULGAIRE AUGMENTÉE : LE MENTAL AUGMENTÉ SERA ALORS SOUS LA DÉPENDANCE ABSOLUE DE L’ACTUEL PRINCIPE D’UTILITÉ (et donc aussi de rentabilité absolue).
RÉPUBLIQUE ET RELIGIONS ABRAHAMISTES = CONTRAT SOCIAL ET CONVENTIONS, CONSENSUS, ASSENTIMENT : tous sacrifient l’aspect métaphysique et spirituel au côté moral et politique étatique ; c’est le CONTRAT SOCIAL, LA DISCIPLINE SOCIALE, qui promet un salaire à tous ou à défaut, une compensation dans une forme de messianisme (DORG, Demain On Rase Gratis, ou ”Vous ne posséderez rien et vous serez heureux”). RÉPUBLIQUE ET RELIGIONS ABRAHAMISTES = RELIGIONS MILITAIRES ET POLITIQUES, dont l’Europe et les USA sont l’aboutissement provoquant L’EMPIRE DE CE MONDE ACTUEL DE LA MARCHANDISE et de l’”intelligence artificielle”.
Notes.
1. LA VALEUR D’ÉCHANGE ENTRE DEDANS ET DEHORS et RESTE ET MANQUE DE LA SOUMISSION AUX MARCHANDISES, LA SOUMISSION À LA LOI DE SUCCION, LE PLOMB PESANTEUR.
– Quelle est donc la racine du mal ?
– La « saisie » [loi de succion vulgaire à distinguer de la Vraie Loi de succion ou Eucharistie, mais ne pas tomber dans la gloutonnerie spirituelle qui existe aussi, c’est-à-dire ne pas tomber dans LA FIXATION OU COAGULATION D’UNE SPIRITUALITÉ COMME FIN EN SOI OU COMME « FIN DES TEMPS » !].
– La saisie de quoi ?
– La saisie du triple monde [de la Forme, du Désir, du Sans-Forme ; le connaisseur, la connaissance et le connu. ”Les triades ne sont que des apparences dans le temps et l’espace, tandis que la Réalité s’étend au-delà et derrière elles. Elles sont comme un mirage qui cache la Réalité. Elles proviennent de l’illusion [elle proviennent du ”Comme si”]” (Ramana Maharshi, entr. 28, 4-2-1935) ; jusqu’à la gloutonnerie spirituelle].
– Comment arrêter cette saisie ?
– En recourant à l’introuvable, car dans l’introuvable il n’y a pas de saisie.
– Qu’est-ce que l’introuvable ?
– La fin du dualisme.
– Qu’est-ce que le dualisme ?
– La vision d’un dedans et d’un dehors, lesquels sont introuvables.
(Soûtra de la Liberté inconcevable, chapitre V, 14)
L’idée ou l’opinion, la sensation qu’il y ait « quelque chose » ne Nous concerne pas, car cela engendre la SAISIE ET LE COMMERCE, LA LOI DE SUCCION ou PLOMB-PESANTEUR, ET UNE FORME DE PENSÉE APPELÉE ”INTELLIGENCE” : UNE DEMEURE, UNE COAGULATION en dualité de la chaîne sans fin de causes et d’effets (l’idéation, la loi de succion vulgaire).
La Vraie Demeure est celle du Sans Demeure : le Centre est nulle part et la Circonférence est partout…
« L’apparence de ce monde est une confusion ; de même que le bleu du ciel est une illusion d’optique. Mieux vaut ne pas s’y intéresser et l’ignorer » (Yoga Vasistha, YV I, 3)
La non-dualité n’est pas un monothéisme religieux ou une forme de monisme, une DICTATURE DU MONOTHÉISME, PARCE QU’ACTUELLEMENT AVEC LE ”MONDIALISME” DU TOUS CONNECTÉS PAR LES MACHINES DES INDUSTRIES DU CAPITALISME, IL S’AGIT BIEN DE CELA, UN NOUVEAU MONISME MÉCANIQUE PAR TECHNOLOGIE (imposée).
2. L’EGO N’EST PAS UNE (ID)ENTITÉ : il est comme la Stance 17, 31-33 de Nagarjuna : « De même que le Maître [le jnani ou en sanskrit le Libéré vivant] par son pouvoir miraculeux [le Zéro Indien], crée un être magique [Adam par exemple, ou un big bang] et que cet être magique, magiquement créé, en crée un autre [le ”Croissez et multipliez” tel le FRUIT ou le BÉBÉFICE, pas de faute, du COM-MERCI) à son tour, de même que l’agent se présente comme un être magique, et l’acte accompli par lui est comme un deuxième être magique créé par le premier [une copie, un socialisme, une fractale, un fruit, un bébéfice].
Passions, actes, agents, fruits ressemblent à une ville de génies célestes, sont pareils à un mirage, à un songe ».
De ce fait, Dieu et l’homme sont du domaine du ”COMME SI”, du domaine du GRAND JEU DU FAIRE SEMBLANT. Parce que le monde n’est qu’un monde de phénomènes, de signaux ou d’informations SANS PLUS, et à surtout à l’état de veille, cette période de l’ego…..
ON FAIT SEMBLANT, ON JOUE LE JEU ON SIGNE LE CONTRAT parce que la recherche de sa propre identité N’EXISTE PAS : LE SEUL RÉEL ÉTANT PRÉCISÉMENT CE QUI, POUR ÊTRE SANS COPIE, SANS DOUBLE, DEMEURE RÉFRACTAIRE À TOUTE SAISIE OU IDENTIFICATION, C’EST POURQUOI L’EGO EST UNE ILLUSION, CELLE DE L’AVOIR, et l’Être véritable se fait avoir, ou NON, par son ego.
Le Seul Réel est ainsi étranger à toute caractérisation ou découpage en rondelles, divisions ; et c’est nécessairement son caractère d’ÊTRE, son Soi, qui n’a aucune caractéristique assignable vue que LE CENTRE N’EST NULLE PART ET LA CIRCONFÉRENCE EST PARTOUT. Comme le résume si bien la phrase cité ci-dessous par un disciple du Maharshi ou Sage, le EST est IDIOTÈS, UNIQUE, INSOLITE PAR NATURE, INSOLITE AU SENS DE PANique : impossible de PRÉ-voir, impossible de con-ce-voir (voir ceci), impossible de « se retourner »,l’intelligence artificielle n’est QU’UN MASTURBATEUR À MENTAL : UNE FUITE EN AVANT, UN ”DOUDOU” (objet pour jeunes enfants) À CAPITALISTE, DONC UN MASTURBATEUR À MENTAL.
LE MOT PANique résume à lui seul aussi la phrase du disciple du Maharshi.
PANique = le BLANC DE L’INSTANT = le COURS ORDINAIRE DES CHOSES EST LUI-MÊME EXTRA-ORDINAIRE EN TANT QUE SINGULARITÉ OU SEUL DE SON ESPÈCE.
3. La démocratie construite sur les conflits d’intérêts la condamne à la frustration permanente par ses propres limitations. Alors que dans le sommeil profond il n’y a pas de limitation, la démocratie ne concerne que l’état de veille et ainsi elle est naturellement limitée. Dans le sommeil profond Nous ne sommes pas limité et aucune question ne surgit. « Tandis que maintenant vous établissez des limites, vous vous identifiez avec le corps et des questions de ce genre surgissent [question de ”qu’est-ce qui se passe pendant le sommeil”] ». (Ramana Maharshi 354, 8-2-1937).
La démocratie c’est l’a-ssentiment, le CONFORT ou le ”contrat social” : a-sentiment du A privatif et sentiment, donc privé de sentiment : en recherchant l’assentiment, le consensus, le CONVENTIONNEL, l’humain se détruit aux exigences de ses semblables en faiblesse toujours plus grande. C’est pourquoi le ”contrat social”, la recherche du consensus ou du CONVENTIONNEL est LE PIÈGE pour la Réalisation de son Soi. Donc : virilité, pas esclavage, pas consensus du salariat et de la marchandise…
Cette recherche par l’humain de l’assentiment ou du conventionnel PROUVE L’EFFROI FACE À L’INSIGNIFIANT, FACE AU GRATUIT, FACE À L’INUTILE, QUI VA AUTORISER AINSI LA RÉSIGNATION DE SA PROPRE LIBERTÉ AU PROFIT D’UN ORDRE ET D’UN CONVENTIONNEL IMPOSÉ.
AINSI LE REFUS D’ÊTRE SOI-MÊME EST LE MÉCANISME DE DÉFENSE QUI ENTRE EN JEU QUAND LE SEUL RÉEL EST PERÇU COMME CRU-EL, PAS CUIT.
4. PAS DE ”DROIT D’AUTEUR” : « Qu’on devrait agir sans penser qu’on est l’auteur de ses actions. Les actions continueront à se dérouler même sans ego. L’individu est venu dans la manifestation pour remplir un dessein particulier. Ce dessein sera accompli, que l’individu se considère comme l’auteur de ses actions ou non ». (Ramana Maharshi 643, 3-3-1939).
CONSENSUS, CONVENTION, RÉPUBLIQUE