Y a-t-il un ”effet” issu d’une ”cause” entre Avant la naissance et
Après la mort ?
La Conscience Infinie ou Soi, est nécessairement ANTÉRIEURE(1) à nostre ”naissance” ou passage sur cette planète, et le Soi survivra à nostre mort physique et si matérialiste et commerce.
Il n’y a pas de commencement ni de fin à nostre Conscience Infinie. Ainsi le passage sur cette planète N’EST QU’UN JEU : CELUI DU GRAND JEU DU FAIRE SEMBLANT (GJFS), soit un état de conscience pilotée par la Conscience Infinie ou Soi. Tant que Nous sommes soumis au GJFS (la croyance à la vie ici-bas), nostre corps-mental tente de fonctionner comme un récepteur radio permettant d’entrevoir certains début de nostre Soi ; il n’est pas impossible que ce qui est appelé si vulgairement « ADN poubelle » (ou ADN non codant) et le DMT jouent le rôle aussi semblable du GATE GATE « GATE GATE PÂRAGATE PÂRASAMGATE BODHI SVÂHÂ » (Allé, allé, allé au-delà, allé complètement au-delà, l’Éveil, ainsi), Formule de la Connaissance transcendante, est la continuité de L’ÉVEIL. GATE GATE correspondant à la GNOSE ou JNANA (Connaissance, Sagesse).
Maintenant en ce qui concerne nostre passage ici-bas sur cette planète, IL EST INADMISSIBLE DE SUBIR L’ALIÉNATION DES MALADES DU POUVOIR, PARCE QUE LE POUVOIR EST UNE MALADIE DE L’EGO, DONT L’ESSENTIEL DU SYMPTÔME EST LA POSSESSION SOUS FORME DE LA CROYANCE AU CORPS-MENTAL. C’est cette CROYANCE qui va fabriquer un POUVOIR TEMPOREL avec des institutions ou organisations comme l’État(2). Et c’est là que les problèmes naissent, comme tout ce qui naît doit mourir. Car tout au long de la voie du Néolithique et de sa voie de l’Agriculture, les malades du pouvoir n’ont cessé d’aspirer à l’institution d’un ”royaume universel”, de nos jours c’est la « république universelle », dans l’idéal, réunissant sous la direction d’un seul malade, tous les peuples de la planète Terre. Jusqu’ici cette démence ne fut jamais atteinte, comme en témoigne la succession discontinue dans le spatio-temporel des royaumes et des empires les plus divers. Même les plus grands et les plus puissants n’ont eu qu’une bien courte durée : dès que ces constructions de cerveaux malades atteints de pouvoir atteignaient le point culminant de leur puissance et de leur winnerisme, le ferment de dissolution qu’elles portaient en elles les démolissait.
- QUEL EST CE FERMENT ? ET CHRIST = OINT (frotté d’huile), et : ”Il y a plusieurs demeures dans la maison de mon Père” (Jean 14,2). LA TOUR DE BABEL ET LA CIVILISATION ÉTATIQUE DU NÉOLITHIQUE EST CONSTRUITE AVEC DES BRIQUES RELIÉES PAR CETTE FAUSSE HUILE QUI EST LES HUILES DE L’ÉTAT ET DE SON GOUVERNEMENT QUI TENTE UNE CARICATURE DE « VIVRE ENSEMBLE ». Voilà signification de Jean 14,2.
RAPPEL :
CE FERMENT QUI FAIT S’ÉCROULER LA TOUR DE BABEL EST LE WINNERISME OU POUVOIR, LA FAUSSE HUILE DES HUILES MALADES, L’AUTOSATISFACTION D’UN MACRONISMEROTHSCHILD, SE CROIRE ARRIVÉ (et ”Circulez ya plus rien à voir !”). Le smartphone actuel représente bien cet état de SUFFISANCE INHÉRENT À NOSTRE ÉPOQUE SOUMISE AUX TECHNOLOGIES DES INDUSTRIES DU CAPITALISME MAINTENANT COMPARABLE À L’ÉTAT INVISIBLE ET DÉSORMAIS OMNIPOTENT, qui devrait ainsi rapidement devenir IMPOTENT…..
LA SUFFISANCE, LE GONFLEMENT PERPÉTUEL DE L’ÉTAT, ENTRAÎNANT L’ÉCROULEMENT DE LA TOUR DE BABEL TOUTE ENTIÈRE, CAR SES BRIQUES-CITOYENS NE SONT RELIÉS QUE PAR DU BITUME, DU GOUDRON, un produit huileux : un faux ”Vivre ensemble”, une FAUSSE EAU PRIMORDIALE (les Eaux Primordiales ayant la consistance de l’Huile ou du GATE GATE).
ET LE POUVOIR, PAR ESSENCE, CE SONT LES « HUILES » (le pouvoir, les chefs, les autorités, aussi appelées ”légumes”, parce qu’elles ne font que parler ou opinioner !!!). L’Huile étant symbole de TRANSPARENCE et FLUIDITÉ.
Quand une prison est construite, cela veut dire qu’il y a un État et des ”va(o)leurs”.
LA SEULE HUILE UNIVERSELLE (NON, ce n’est pas la république du consommateur……)
CHRESTOS (gr.). La forme primitive gnostique pour Christ. Elle était utilisée au cinquième siècle avant J.C. par Eschyle, Hérodote et autres. Les Manteumata pythochresta, ou les « oracles rendus par un dieu pythique » grâce à une pythonisse sont mentionnés par le premier (Choeph. 901). Chrésterion n’est pas seulement « le siège d’un oracle », mais une offrande à un oracle ou préparée pour lui. Chréstés est celui qui explique les oracles, « un prophète et un devin », et Chrésterios, celui qui sert un oracle ou un dieu. Le plus ancien écrivain chrétien, Justin Martyr, dans sa première Apologie appelle ses coreligionnaires Chréstiens. « Ce n’est que par ignorance », écrit Lactance (livre IV, chap. VII), « que les hommes s’appellent Christiens (a) au lieu de Chréstiens ». Les termes Christ et Christiens écrits, à l’origine, Chrést et Chréstiens, ont été empruntés au vocabulaire en usage dans les Temples des Païens. Chréstos, dans ce vocabulaire, désignait un disciple en probation, un candidat hiérophante. Lorsqu’il en avait atteint la stature par l’initiation, de longues épreuves et la souffrance, et qu’il avait été « oint » (c’est-à-dire, « frotté d’huile », comme l’étaient les Initiés et mêmes les idoles des dieux, en tant que dernière touche de l’observance rituelle), son nom était changé en Christos, le « Purifié », en langage ésotérique ou langage des mystères. A dire vrai, en symbologie mystique, Christés, ou Christos, signifiait que la « Voie » (le Sentier) était déjà foulée et le but atteint, quand les fruits du dur labeur, unissant l’éphémère personnalité d’argile à l’indestructible individualité, la transformait par là en un immortel EGO [le Soi, le ‘Je’]. « A la fin de la Voie se trouve le Chréstés, le Purificateur, et une fois l’union accomplie, le Chrestos, l’« homme de douleur » devenait Christos lui-même. Paul, l’Initié, le savait, et c’est exactement ce qu’il voulait dire, quand on lui fait dire dans une mauvaise traduction : « Je suis en gésine de nouveau jusqu’à ce que Christ soit formé en vous » (Galat. iv. 19), dont le sens juste est… « jusqu’à ce que vous formiez le Christos en vous ». Mais le profane qui savait seulement que Chréstos était en quelque sorte lié au prêtre et au prophète, et ne savait rien du sens caché de Christos, insistait, comme Lactance et Justin Martyr, pour être appelé Chréstien au lieu de Christien. Tout individu bon peut donc trouver Christ en son « homme intérieur » comme l’exprime Paul (Ephés. Juif, Musulman, Hindou, ou Christien. Kenneth Mackenzie semblait croire que le mot Chréstos était synonyme de Soter, « appellation réservée aux divinités, aux grands rois et aux héros », voulant dire « Sauveur », – et il voyait juste. Car, ainsi qu’il l’ajoute : « Cela fut appliqué d’une manière redondante à Jésus-Christ, dont le nom Jésus ou Joshua a la même interprétation. En fait, le nom Jésus est plutôt un titre honorifique qu’un nom – le nom véritable du Sauveur du Christianisme étant Emmanuel ou Dieu avec nous (Matthieu, I, 23.)… De grandes divinités parmi toutes les nations, que l’on représente comme expiatoires ou auto-sacrificatoires, ont été désignées par le même titre » (Royal Masonic Cyclopoedia). L’Asclepios (ou Esculape) des Grecs avait le titre de Soter.
(a) Le français moderne ne permet pas de faire la distinction entre Chréstiens et Christiens. Pour que le texte de 1 auteur soit intelligible nous avons dû conserver, en en francisant la terminaison, les termes anglais employés par Madame Blavatsky. (N. du T.)
(Article CHRESTOS dans le Glossaire Théosophique, de H.P. Blavatsky, qui donne une bonne définition du Soi par le Nom Christ).
Notes.
1. Suite à une prise de conscience vers l’âge de 7 ans, dans la cour de récréation étroite de l’école primaire de la rue Ampère à Paris. Dans cette cour, en attendant dans la file pour rentrer dans la classe en préfabriquée de Monsieur Rose (période du baby boom à 40 gosses par classe), le scribe de cette page se voyait AVANT sa venue sur Terre : DANS LE NOIR DE L’ESPACE (il ne pouvait pas y voir une étoile puisque l’étoile, ce devait probablement être lui-même… selon que ”le mental ne peut pas chercher le mental” [Ramana Maharshi 238, 20-7-1936).
Le temps étant un concept du mental comme l’exprime par exemple Ramana Maharshi à l’entretien 462 : « Qu’est-ce que le temps ? Ce n’est qu’un concept ».
La vie en la croyance au corps s’arrête ou le mouvement, du spatio-temporel s’arrête. Comme ce spatio-temporel EST EN NOUS, le mouvement ou temps n’existe plus, ce qui engendre une définition du mot ”éternel”, soit L’ÉTAT NATUREL PERMANENT : LE NOIR DU SAINT CHAOS. RÉALISONS-NOUS LES IMPLICATIONS DE CELA ? SURTOUT LES TIKKOUNOLAMISTES RABBINIQUES ?
Le mot « espace » ne peut que renvoyez du « noir », sans étoiles visibles. Il se trouve d’ailleurs que George Adamski a décrit cela dans son livre Inside The Spaceships (À l’intérieur des vaisseaux de l’espace, 1955 et 1979 pour la traduction).
Bizarrement vers l’âge des 7 ans du scribe, le 20 novembre 1952 Adamski et plusieurs de ses amis alors dans le désert du Colorado près de la ville de Desert Center en Californie, aperçurent un grand objet en forme de sous-marin planant dans le ciel.
Par une nuit profonde.
« Cette nuit que nous appelons contemplation produit deux sortes de ténèbres ou de purification chez les spirituels, selon les deux parties de l’homme, la sensitive et la spirituelle. C’est ainsi que la première nuit ou purification sera sensitive, si elle purifie ou dépouille l’âme dans sa partie sensitive qu’elle accommode à la partie spirituelle. La seconde nuit ou purification sera spirituelle, si elle purifie et dépouille l’âme dans sa partie spirituelle en la préparant et disposant à l’union d’Amour avec Dieu [ou le Soi]. La première est commune et elle se produite chez une foule de commençants dont nous allons nous occuper tout d’abord. La nuit spirituelle est le partage du petit nombre(b), c’est-à-dire de ceux qui sont déjà avancés dans la vertu, et nous en reparlerons en second lieu.
La première nuit ou purification est amère et terrible pour les sens, comme nous allons le voir sous peu. La seconde est incomparablement plus horrible et épouvantable pour le mental, comme nous le dirons aussi ». (Jean de la Croix, La nuit obscure).
2. Extrait de la conférence de Jiddu Krishnamurti à Omen en 1929, où il expliquait que « La Vérité est un pays sans chemin ».
« Peut-être avez-vous souvenir de cette histoire du diable et de son ami : ils marchaient dans la rue quand ils virent devant eux un homme se baisser pour ramasser quelque chose et le mettre dans sa poche. L’ami dit au diable : « Qu’est ce que cet homme vient de ramasser ? » « Un petit bout de Vérité », répondit le diable. « Mauvaise affaire pour vous, alors ! », remarqua l’ami. « Oh, pas du tout, répliqua le diable, je vais l’aider
à l’organiser ! »
Je maintiens que la vérité est un pays sans chemin que vous ne pouvez l’approcher par aucune route, quelle quelle soit : aucune religion, aucune secte. Tel est mon point de vue, et j’y adhère d’une façon absolue et inconditionnelle. La vérité étant illimitée, inconditionnée, ne peut être approchée par quelque sentier que ce soit, elle ne peut pas être organisée on ne devrait pas non plus créer des organisations qui conduisent ou forcent les hommes à suivre un chemin particulier. Si vous comprenez bien cela dès le début, vous verrez à quel point il est impossible d’organiser une croyance ».
b. « Les instructions spirituelles diffèrent selon le tempérament des individus et leur maturité spirituelle. Il n’est pas possible d’instruire en masse ». (Ramana Maharshi, entretien 107 du 29-11-1935).