Loi de succion vulgaire et loi d’Eucharistie : tout démarre à la découverte par l’humain du FEU VULGAIRE DEVENANT SA NOURRITURE : la loi de succion vulgaire : l’idéologie utilitaire ou existentialiste : cuire, cuire, cuire (cuisiner-consumer-consommer), foudre, fondre, fondre, fondre (le métal, modifier, transformer). Dans les deux cas, L’ALIMENT DEVIENT FEU (passion, moteur, roue qui rend mobile, Y COMPRIS DANS L’EUCHARISTIE).
Et ce n’est pas de la chimie (industrielle et productiviste), puisqu’elle ne saurait étudier le caché : la transformation des substances et comment une substance en absorbe une autre. Quand la loi de succion vulgaire est acceptée par la chimie, encore une fois : industrielle, elle ne peut faire qu’imiter la devise alchimique : « Aller vers l’obscur et l’inconnu par ce qui est plus Obscur et Inconnu encore ». Aussi cette chimie industrielle ne peut que renvoyer des OPINIONS ou des impositions de fausses clartés du labeur intime de la digestion.
Nombre des Anciens ont fait erreur car au lieu de se contenter d’honorer le Soleil au sens christique ou de Réalisation du Soi, l’état naturel, ils sont allés jusqu’à adorer le Soleil et ainsi découvrir le feu vulgaire.
L’humain devait donc tourner ses regards non vers le Dehors, mais vers le Dedans, le Seul Réel et grand dispensateur de la Lumière : l’Un qu’Il renferme, le TOUT qu’Il renferme.
L’humain a voulu défricher et abattre des forêts, mais les broussailles et les arbres et les animaux lui on fait savoir leur VRAIE NATURE.
L’humain a donc PERDU ABSOLUMENT TOUT le jour où il a commencé à allumer un feu et à détruire des parties de ce qui l’environnait.
Lions, éléphants, Tigres et autres animaux de grandes tailles ne peuvent que se demander pourquoi l’homme défriche les forêts, leur éden, dans lesquelles se trouve leur Vrai Demeure.
Leur Vraie Demeure étant détruite, les animaux fuient l’humain, ou l’agresse pour se défendre. Le loup ravit les moutons, le sanglier laboure les récoltes, le renard visite les clapiers, les corbeaux dévastent les ensemencements, les lapins détruisent les récoltes, rongent les troncs d’arbres fruitiers, et les bêtes « féroces » comme les tigres attaquent les hommes qui, de siècle en siècle de capitalisme reculant sans cesse les limites des forêts, doivent depuis longtemps abandonner le lieu même de leur naissance pour traquer des animaux dans des régions déshéritées, sauvages, s’ils veulent se nourrir, se vêtir, bref : vivre (à ce hui, survivre avec le bouffe de l’industrie alimentaire du capitalisme c’est aussi « abandonner son lieu de naissance » ou sa Vraie Demeure……).
Par sa faute originelle du feu vulgaire, l’humain est contraint de connaître la vulgaire loi de succion : produire, consommer, produire, vendre, acheter, vendre… en somme toutes sortes de maux que l’humain pouvait IGNORER, car par le simple choc de la dualité Dedans-Dehors et racine du mal(1), la nature et les animaux y compris les microbes se vengent.
RAPPEL : à l’Origine de l’Âge d’Or, les humains n’étaient pas tombé dans le faire/fer si caractéristique du monde actuel de l’utilitarisme et du possessif ; ils pouvaient se prélasser, méditer. Plus tard, ce sera l’arrivée du temps vulgaire en géométrie euclidienne de la ligne droite dans un seul sens : les humains durent alors travailler, peiner, pleurer, alors qu’ils n’auraient dû que se laisser vivre puisqu’ils étaient dégagé de tous soucis matériel. Mais depuis sa découverte du feu vulgaire l’humain aura en quelque sorte une « nouvelle géométrie mentale », ce qui fait qu’IL NE SERA ALORS PLUS JAMAIS SATISFAIT.
Depuis la découverte du feu vulgaire les animaux ont tout fait pour éviter l’humain, car ils savaient par avance ce qui les attendait.
C’EST À CE MOMENT LÀ QUE L’HUMAIN DEVIENT UN WINNER ET SE CROYAIT DIEU, SANS DIEU, SANS SOLEIL, SANS CHRIST, SANS LE TOUT, sans le Soi. L’humain devint donc méchant et cruel envers ses semblables : l’esclavage s’installait, des humains furent réduit à l’état d’objet ou d’outils pour les plus riches et les plus forts. RIEN N’A CHANGÉ À CE HUI, les plus riches se servent toujours des pauvres, car sans les pauvres, les riches ne sont pas riches mais pauvres…… Ça s’appelle aussi : Pour-Voir ou Pouvoir.
C’EST À CE MOMENT LÀ QUE L’HUMAIN DEVIENT UN WINNER ET SE CROYAIT DIEU, SANS DIEU, SANS SOLEIL, SANS CHRIST, sans le Soi, et QU’IL ENGENDRE LE DÉSORDRE SOUS PEINTURE « D’ORDRE » OU « ORGANISATION », OU « CIVILISATION ».
PARTOUT OÙ RÉGNAIT L’HARMONIE ORIGINELLE, L’HUMAIN DE LA DÉCOUVERTE DU FEU VULGAIRE N’A APPORTÉ QUE DÉSORDRE, CHAOS, PARCE QU’IL A ÉTÉ OBLIGÉ DE SACCAGER SON ENVIRONNEMENT ET LES FORMES DE VIE NATURELLES QUI S’Y TROUVAIENT. Par son mental développé suite à la découverte du feu vulgaire, l’humain devient jamais satisfait et commença à fabriquer des objets divers dont il n’aurait jamais dû avoir besoin.
Avec le technologie actuelle, et même depuis les quelques 105 ans où en France l’électrification est entré dans la plupart des habitations humaines, RIEN N’A CHANGÉ, si ce n’est que nos contemporains sont de plus en plus injustes, de plus en plus raffinés dans leur cruauté, donc plus dangereux parce que plus « instruit » (le tout connecté actuel étant une fausse instruction, une fausse connaissance….. Et ça va empirer avec « l’intelligence artificielle », tous du DEHORS de la racine du mal(1)).
L’HUMAIN A TOUT FAUSSÉ LE JOUR OÙ IL A DÉCOUVERT LE FEU VULGAIRE. Il n’a rien compris en voyant la foudre s’abattre sur un grand arbre de sa forêt et y mettre le feu. Il n’a rien compris puisque son mental s’est développé…… (s’est pollué).
L’HUMAIN A TOUT FAUSSÉ LE JOUR OÙ IL A DÉCOUVERT QU’IL ÉTAIT NU (Genèse 2,25 et 3,7) : dédoublé : Adam-Ève et DÉCOUVERTE DU CORPS-MENTAL, donc du FAUX, puisque le Vrai devient faux dès qu’il est vu.
« Vous n’êtes pas le mental. Vous êtes au-delà de lui » (Raman Maharshi, entretien 68, 21-7-1935).
- LOI DE SUCCION VULGAIRE ou CONSCIENCE COLLECTIVE : le monothéisme unilatéral républicain, la conscience collective (le ”Vivre ensemble”) avec un socialisme où le ‘moi’ se définit par rapport à un ‘toi’. Et comme le ‘moi’ dans ce cas de CONSCIENCE COLLECTIVE (et d’inconscient collectif façon C.G. Jung) ne peut être un total, puisqu’il se définit par rapport à un ‘toi’, il est alors limité par ce qui le différencie de ce ‘toi’. Dans la loi de succion vulgaire, l’offre est toujours soumise à ”condition”, rien n’est jamais gratuit ! Le gratuit est toujours caché, comme Dieu, comme le terroriste, comme les excréments…..
Loi de succion vulgaire = L’ENTITÉ SIONISTE : FABRIQUÉE PAR LE DEHORS SUITE AU DEHORS DE LA GUERRE GÉNÉRALISÉE ET ÉCONOMIQUE DE 1914-1945. L’ENTITÉ SIONISTE PAR SON ‘JE’-‘JE’, ELLE EST ASSISTÉE PAR DES BÉQUILLES, DES INJECTIONS TRANSHUMANISTES. Elle est assistée par l’Empire US de la City et de Wall Street. Le CANCER SIONISTE est dépendant de Wall Street et de la City de Londres dont l’ensemble détruit la planète. Mais ce cancer ne s’arrête pas au dogme colonialiste du sionisme, car il passe par : le sionisme, l’américanisme, la psychanalyse, et le républicanisme ou socialisme (”les 4 matrices de la modernité juive”, page 481 du livre de Jacques Attali : Les Juifs, le monde et l’argent).
Jacques Attali dans son livre et VEND LITTÉRALEMENT SES TRIBUS NOMADES-SMARTPHONIQUES quand il termine son livre par : « Au moins, que l’histoire des Juifs, du monde et de l’argent enseigne cette leçon : tout homme a besoin des autres pour être sauvé ». Voilà pourquoi il y a tant de psychanalystes juifs, et voilà le sens de l’”altruisme talmudique” (”rendre” service….).
BANQUES = PARFAITS RÉSEAUX ET ”RENDRE” SERVICE……
RAPPEL : le colonialisme mondial commence en Occident avec le vaticanisme de l’Église de Rome. Les Juifs, comme de tout, puisqu’ils sont les assistants ou les ”prêtres de Dieu”, N’ONT FAIT QUE COPIER, ils seront copiés par les Mahométans, dont leur dogme est un démarcage du judaïsme. - LOI DE SUCCION AUTHENTIQUE OU EUCHARISTIE : le ‘Je’-‘Je’ éternelle(2). Il n’est pas une partiellité ou un consommateur aux côtés d’autres. Il n’est pas non plus la perception d’une collectivité ou d’une conscience collective, d’une multitude. Le ‘Je’-‘Je’ est au-delà du spatio-temporel et de la quantité cosmique. ‘Je’-‘Je’ ou Conscience Fondamentale ou Infinie N’EST PAS une conscience collective, la Conscience étant le ‘Je’-‘Je’ elle est purement individuel et n’est bien-sûr pas celle de l’ego-consommateur aux côtés d’autres consommateurs.
Elle est le ‘toi’ et ‘moi’ transcendé par le ‘Je’ du Soi qui les unifie par la Première Figure fermée : le Triangle :
—-Je
Moi – Toi - – Q. : Comment se défaire de l’ignorance ?
– M. : Vous dormez dans votre lit à Tiruvannâmalai et vous rêvez que vous vous trouvez dans une autre ville. Pour vous, la scène est réelle. Votre corps reste cependant ici étendu sur votre lit. Une ville peut-elle rentrer dans votre chambre ou bien pouvez-vous quitter celle-ci en laissant votre corps derrière vous ? Les deux éventualités sont impossibles. Par conséquent, le fait que vous restez ici et que vous voyez en même temps une autre ville sont tous deux irréels. C’est à votre mental qu’ils apparaissent réels. Le ‘je’ du rêve s’évanouit peu après, pour laisser place à un autre ‘je’ qui décrit ce même rêve. Ce dernier ‘je’ n’existait pas dans le rêve. Les deux ‘je’ sont donc irréels. C’est le substrat du mental qui poursuit toujours son activité, faisant surgir quantité de scènes. Un ‘je’ différent s’élève avec chaque pensée et disparaît en même temps qu’elle. D’innombrables ‘je’ naissent et meurent ainsi à chaque instant. Le mental qui subsiste est le véritable problème. C’est lui le voleur dont parlait Janaka [le scribe de la page souligne]. Démasquez-le et vous serez heureux.
(Ramaba Maharshi 49, 24-4-1935). - CONSCIENCE COLLECTIVE = JUIVERIE ET TÉTÉPHONE PORTABLE et RÉSEAUX SOCIAUX = NOMADISME DU MENTAL ET DU JUIF HORMONO-DÉPENDANT SUITE À SA MUTILATION (circoncision) AU HUITIÈME JOUR DE SA NAISSANCE : « Il n’y a rien de plus juif, dans son esprit, que le téléphone portable », écrit Jacques Attali, page 712, dans Les Juifs, le monde et l’argent. Google et Facebook n’ont pas été créés par des Albanais ou des Norvégiens !
Notes.
1. LA VALEUR D’ÉCHANGE ENTRE DEDANS ET DEHORS et RESTE ET MANQUE DE LA SOUMISSION AUX MARCHANDISES, LA SOUMISSION À LA LOI DE SUCCION, LE PLOMB PESANTEUR.
– Quelle est donc la racine du mal ?
– La « saisie » [loi de succion vulgaire à distinguer de la Vraie Loi de succion ou Eucharistie, mais ne pas tomber dans la gloutonnerie spirituelle qui existe aussi, c’est-à-dire ne pas tomber dans LA FIXATION OU COAGULATION D’UNE SPIRITUALITÉ COMME FIN EN SOI OU COMME « FIN DES TEMPS » !].
– La saisie de quoi ?
– La saisie du triple monde [de la Forme, du Désir, du Sans-Forme ; le connaisseur, la connaissance et le connu].
– Comment arrêter cette saisie ?
– En recourant à l’introuvable, car dans l’introuvable il n’y a pas de saisie.
– Qu’est-ce que l’introuvable ?
– La fin du dualisme.
– Qu’est-ce que le dualisme ?
– La vision d’un dedans et d’un dehors, lesquels sont introuvables.
(Soûtra de la Liberté inconcevable, chapitre V, 14)
2. « Le ‘Je’-‘Je’ est toujours là. Il n’y a pas à le connaître. Il n’est pas une connaissance nouvellement acquise. Or, ce qui est nouveau et qui n’est pas ici et maintenant ne peut être qu’évanescent. Le ‘Je’ est toujours là. Il y a obstruction à sa connaissance et cela s’appelle ignorance.
Éliminez cette ignorance et la connaissance resplendira. En fait, cette ignorance et même la connaissance ne concernent pas l’âtman [Soi et soi]. Ce ne sont que des excroissances qu’il faut couper. C’est pourquoi il est dit que l’âtman est au-delà de la connaissance et de l’ignorance. Il demeure tel qu’il est naturellement. C’est tout. […] On ne peut parler de progrès que lorsqu’il s’agit d’obtenir des choses nouvelles. Mais ici, il s’agit de supprimer l’ignorance et non d’acquérir la connaissance. Quel genre de progrès peut-on attendre dans la recherche du Soi ? ». (Ramana Maharshi 49, 24-4-1935).
Idem la Réalisation du Soi dans l’exemple du PUITS :
« Il est incorrect de parler de la Réalisation. Qu’y a-t-il à réaliser ? Le Réel est toujours tel qu’Il est. Comment peut-on le réaliser ? Nous avons réalisé l’irréel [la captation du feu vulgaire et le choix de la voie du commerce avec l’Agriculture, l’étatisme], c’est-à-dire considéré comme réel ce qui est irréel. Nous devons renoncer à cette attitude. C’est tout ce qui est requis pour atteindre le jnanâ [Connaissance, sagesse]. Nous ne créons rien de nouveau [sauf probablement à nostre époque les transhumanistes apprenti-sorciers] et nous n’observons rien que nous ne possédions pas déjà auparavant. Dans les Écritures, voilà comment c’est illustré : pour creuser un puits, il nous faut creuser une énorme fosse. L’âkâsha (espace) ainsi dégagé n’a pas été créé par nous. Nous avons simplement enlevé la terre qui remplissait l’espace. L’espace était toujours là et il l’est aussi maintenant [c’est aussi une définition du sens du mot ESSENCE : S en CE-la [le Fils], le S vibration du TOUT se manifestant…]. De la même manière, nous devons simplement évacuer [et non remplir] tous les vieux samskâra (tendances) qui nous habitent. Quand ils auront été abandonnés, le Soi resplendira seul [ça s’appelle aussi ”Renoncement” ou ”Putréfaction”] ». (Ramana Maharshi au jour le jour, 9-1-1946, après-midi).
« De plus, si quelque chose de nouveau doit être obtenu, cela implique que c’était absent auparavant. Ce qui a été une fois absent peut disparaître encore. Ainsi, le salut ne serait pas permanent. Mais le salut est permanent parce que le Soi est ici et maintenant, et éternel ». (Ramana Maharshi, entretien 63 du 6-7-1935)