
Votre réchauffement nostre réchauffement du climatisme républicain de cette même opinion DE LA POSSESSION, DE LA SAISIE, DE LA RACINE DU MAL(1) le Dedans-Dehors, LA LOI DE SUCCION VULGAIRE, LE PLOMB-PESANTEUR.
Le réchauffisme possédé par certains humains aux gros ego, gros ”spécialistes” et gros comptes en banques pour en tirer profits est de cette même opinion de loi de succion vulgaire du : ”Votre député, votre sécurité, votre voyante, votre boulanger, votre président, votre ceci, votre cela, etc.”
L’extérieur, le Dehors = jouets favori du mental, sa nourriture, la loi de succion vulgaire comme le bambin de l’humain jusqu’à la plus petiote cellule porte à sa ”bouche” et suce tout ce qui passe à sa portée et qu’il peut saisir. PRINCIPE DE GRANDGOUSIER. LE PRODUIT SERA ALORS DISTRIBUÉ PAR LE CUL (excréments, or, opinions, etc.). Voilà où en est réduit l’humanité possédée de « langage » !
Ces pauvres crétins d’humains socialisés, républicanisés, citoyenisés, technologisés, donc soumis, CROIENT que ce sont eux dans leur petiote vie qui « changent » le climat ! C’est la NOUVELLE MAGIE DU MOT VALISE À CAPITALISME : « TRANSITION », habiller le capitalisme dans un nouvel uniforme, la même soupe pour tous, la même république pour tous, le même socialisme pour tous.
- « Le Maharshi ne voit personne hors de son Soi. Pour lui, il n’y a donc pas de disciples. Sa grâce est omniprésente, et il la communique en silence à quiconque la mérite ». (Un fidèle, à propos de la question si le Maharshi initiait des disciples, entretien 23 du 2-2-1935).
« Un visiteur demanda à Shrî Bhagavân : « Vous êtes Bhagavân [glorieux, vénérable, divin]. Par conséquent, vous savez quand j’obtiendrai le jnana [Connaissance, Éveil, Sagesse]. Dites-moi quand deviendrai-je un jnânî [un Réalisé] ? »
Shrî Bhagavân répondit : « Si je suis Bhagavân, il n’y a pour moi personne d’autre que le Soi – par conséquent ni un jnanî ni un ajnanî [ignorant]. Si je ne le suis pas, je suis comme vous et je n’en sais pas plus que vous. Dans un cas comme dans l’autre, je ne peux pas vous répondre ».
(Entretien 48 du 20-4-1935).
D’Or-mire (du latin populaire mirare : regarder attentivement, se concentrer, s’étonner : mirari. Mirare est du même sens que le GATE GATE(2))
« Si un homme pense que son bonheur dépend de causes extérieures et de ce qu’il possède, il est raisonnable de conclure que son bonheur augmentera lorsqu’il possédera davantage et diminuera proportionnellement à la diminution de ces possessions [cas du capitalisme et de la saisie ou LOI DE SUCCION VULGAIRE]. Par conséquent, s’il ne possède rien, son bonheur devra être réduit à zéro. Or, quelle est l’expérience réelle de l’homme ? Correspond-elle à cette optique ?
Dans le sommeil profond, l’homme ne possède rien, pas même son propre corps. Et au lieu d’être malheureux il est parfaitement heureux. Chacun désire dormir profondément. La conclusion en est que le bonheur est inhérent à l’homme et n’est pas dû à des causes extérieures. Pour ouvrir les réserves du bonheur parfait, il faut réaliser le Soi ». (Ramana Maharshi 3, 15-5-1935).
UNE SEULE TRANSITION VÉRITABLE POSSIBLE.
REMONTER À LA SOURCE DE SES PENSÉES. « C’est ainsi que les pensées disparaîtront et que seul le Soi demeurera. En fait, pour le Soi il n’y a ni intérieur ni extérieur(1). De plus, ce sont des projections de l’ego. Le Soi est pur et absolu ». (Ramana Maharshi 13a, 7-1-1935).
« La plupart des gens veulent savoir ce qu’est l’illusion, et ne cherchent pas qui est dans l’illusion. C’est absurde. L’illusion est extérieure et inconnue(1), alors que le chercheur est à l’intérieur et connu. Recherchez plutôt ce qui est proche de vous, intime, au lieu de rechercher ce qui est lointain et inconnu ». (Ramana Maharshi 17, 24-1-1935).
LE SOCIAL TUE.
– Q. : Comment parvient-on à éliminer le mental ou à transcender la conscience de la relativité ? [celle qui calcule]
– M. : De par sa nature, le mental est agité [phénomène de l’idéation mélangé du temps qui coule]. Commencez par le libérer de son agitation ; donnez-lui la paix ; tâchez qu’il soit libre de toute distraction ; exercez-le à se tourner vers l’intérieur ; faites qu’il en prenne l’habitude. On y parvient en ignorant le monde extérieur et en supprimant les obstacles à la paix du mental [et avec le capitalisme TOUT EST FAIT POUR CONDITIONNER DANS LE SOCIAL, DANS L’EXTÉRIEUR(1)].
– Q. : Comment peut-on se débarrasser de l’agitation mentale ?
– M. : Les contacts extérieurs, c’est-à-dire avec des objets autres que soi-même, rendent le mental agité. La perte d’intérêt (vairâgya) pour le non-Soi est la première étape. Puis, suivent des habitudes d’introspection et de concentration caractérisées par la maîtrise des sens extérieurs, des facultés intérieures, etc. (shama, dama, etc.(3)) aboutissant au samâdhi (mental non distrait) ». (Ramana Maharshi 26, 4-2-1935).
PAS DE « SORTIE » DE L’UNIVERS : « Le monde est-il à l’intérieur ou bien à l’extérieur de vous-même ? Existe-t-il indépendamment de vous ? Vient-il vous dire : “j’existe” ? ». (Ramana Maharshi 39, 22-3-1935).
– Q. : Le chemin de la Réalisation est difficile. En comparaison, les choses du monde sont
faciles à comprendre.
– M. : Oui. Le mental cherche toujours un savoir extérieur [(1) avec la fameuse dualité Ici-Ailleurs], laissant de côté sa propre connaissance intérieure [son CENTRUM CENTRI].
(Ramana Maharshi 45, 6-4-1935).
« Le monde n’est pas extérieur. Les impressions ne peuvent pas avoir une origine externe, parce que le monde ne peut être connu que par la conscience [le scribe de la page souligne]. Le monde ne dit pas qu’il existe. Ce n’est que votre impression, même si elle n’est pas cohérente ni continue. Dans le sommeil profond, le monde n’est pas connu ; il n’existe donc pas pour l’homme qui dort. Par conséquent, le monde est la suite de l’ego. Trouvez l’ego. La découverte de sa source est le but final ». (Ramana Maharshi 53, 15-6-1935).
« Le facteur principal en dhyâna [méditation, contemplation] est de garder le mental actif dans la recherche de lui-même sans enregistrer des impressions extérieures ou sans penser à autre chose ». (Ramana Maharshi 61, 6-7-1935).
« Qu’est-ce qui peut être plus concret que le Soi ? Chacun en fait l’expérience à tout moment.
Pourquoi essayer d’attraper quelque chose d’extérieur et négliger le Soi ? Que chacun s’efforce de découvrir le Soi connu, plutôt que de chercher ailleurs quelque chose d’inconnu ». (Ramana Maharshi 81, 15-10-1935).
« Personne ne demeure sans l’âtman [le Soi, le soi]. Chacun est toujours en contact avec lui. Aucun contact extérieur n’est nécessaire ». (Ramana Maharshi 104, 28-11-1935).
– M. : Dieu est une entité inconnue. De plus, Il est extérieur. Alors que le Soi est toujours avec vous, il est vous. Pourquoi donc quitter ce qui vous est intime pour aller chercher ce qui vous est extérieur ?
– Q. : Qu’est-ce donc ce Soi ?
– M. : Le Soi est connu de chacun, mais pas clairement. Vous existez toujours. Le fait d’être est le Soi [à ce hui comme Nous sommes soumis à la loi de succion vulgaire NOUS SOMMES DANS L’AVOIR, ET NOUS NOUS FAISONS AVOIR]. « Je suis » est le nom de Dieu. De toutes les définitions de Dieu, nulle n’est mieux exprimée que celle de la Bible (Exode, 3) : « Je suis ce JE SUIS. » Il y a d’autres déclarations, telles que brahmaivmaham, aham brahmâsmi et so ’ham. Mais aucune n’est aussi directe que le nom de Jehovah = JE-SUIS. L’Être absolu est ce qui est. C’est le Soi. C’est Dieu. En connaissant le Soi, on connaît Dieu. En fait, Dieu n’est rien d’autre que le Soi.
(Ramana Maharshi 106, 29-11-1935).
« La seule chose permanente est la Réalité ; et cela est le Soi. Vous dites : « Je suis », « Je suis en train de marcher », « Je suis en train de parler, de travailler, etc. ». Ajoutez un trait d’union à « Je suis » chaque fois, et cela devient « JE-SUIS ». Cela est la Réalité permanente et fondamentale. Cette vérité fut enseignée par Dieu à Moïse quand Il lui dit
« Je suis ce JE-SUIS ». « Sois tranquille et sache que JE-SUIS Dieu ».
Donc « JE-SUIS » est Dieu.
Vous savez que vous êtes. Vous ne pouvez nier votre existence à aucun moment. Car pour nier
votre existence, il faut que vous existiez. C’est cela (la pure Existence) que l’on entend par un mental tranquille. Le mental est la faculté d’extériorisation de l’individu. S’il est tourné vers l’intérieur, il devient peu à peu tranquille. C’est alors que seul prévaut le
« JE-SUIS ». « JE-SUIS » est toute la Vérité.
(Ramana Maharshi 503, 17-8-1938).
Notes.
1. LA VALEUR D’ÉCHANGE ENTRE DEDANS ET DEHORS et RESTE ET MANQUE DE LA SOUMISSION AUX MARCHANDISES, LA SOUMISSION À LA LOI DE SUCCION, LE PLOMB PESANTEUR.
– Quelle est donc la racine du mal ?
– La « saisie » [loi de succion vulgaire à distinguer de la Vraie Loi de succion ou Eucharistie, mais ne pas tomber dans la gloutonnerie spirituelle qui existe aussi, c’est-à-dire ne pas tomber dans LA FIXATION OU COAGULATION D’UNE SPIRITUALITÉ COMME FIN EN SOI OU COMME « FIN DES TEMPS » !].
– La saisie de quoi ?
– La saisie du triple monde [de la Forme, du Désir, du Sans-Forme ; le connaisseur, la connaissance et le connu].
– Comment arrêter cette saisie ?
– En recourant à l’introuvable, car dans l’introuvable il n’y a pas de saisie.
– Qu’est-ce que l’introuvable ?
– La fin du dualisme.
– Qu’est-ce que le dualisme ?
– La vision d’un dedans et d’un dehors, lesquels sont introuvables.
(Soûtra de la Liberté inconcevable, chapitre V, 14)
2. « Gate gate pâragate pârasamgate bodhi svâhâ » du Soûtra du Diamant (Allé, allé, allé au-delà, allé complètement au-delà, l’Éveil, ainsi). S’accompagne nécessairement de la Connaissance transcendante par le Principe du ”N’EST PAS X” : revient à dire que les choses ne sont que des désignations, des pointages sur les choses, de simples imputations nominales (en tibétain : tha-snyad), elles sont dépourvues d’être en et par soi, ELLES NE SONT PAS POSSÉDABLES PAR LE MENTAL, ON NE DOIT PAS EN FAIRE UNE VALEUR POSSÉDÉE (genre ”valeurs de la république” ou ”ordre républicain”, ou ”notre démocratie”). Non possession tel l’avertissement traditionnel de ne point se fixer ou se ”coaguler”.
”Allé, allé, allé au-delà, allé complètement au-delà, l’Éveil, ainsi”, ou : ”Parti, parti, passé au-delà, traversée la rive, Éveil, Salut !”, ou encore : ”Venant, venant par-dessus, venant directement, Éveillant, Bienvenu !”
SORTIR DE L’ABSOLU = S’ATTACHER À.
Qu’il faille s’attacher à certain Instant, c’est certain, Mais SANS fixation, sans coagulation conformément au principe du « Gate gate pâragate pârasamgate bodhi svâhâ » du Soûtra du Diamant (Allé, allé, allé au-delà, allé complètement au-delà, l’Éveil, ainsi). S’attacher à un Instant comme on se promène dans un Paysage. S’attacher = cultiver pour soi-même, coaguler, fixer ou concentrer, stocker, CELA MÈNE AU POUR-VOIR, LE POUVOIR DES VOYEURS : UN CONSOMMATEUR DE CONCENTRATION DEVIENT UN BÉNÉFICIAIRE : IL S’ATTACHE, IL FABRIQUE UNE DURÉE DE CONCENTRATION.
LA CONTINUITÉ DE LA PRÉSENCE CULTIVÉ OU ARTIFICIELLE D’INSTANT EN INSTANT DEVIENT, EN ELLE-MÊME, SUSPECT, CAR CHARGÉ D’EFFORT DE SPATIO-TEMPOREL : ÉCHO DU VIOL PAR L’EGO, D’OÙ L’AVERTISSEMENT TRADITIONNEL : « NE PAS ATTACHER UN INSTANT QUI PASSE À UN AUTRE INSTANT ».
Lorsque l’état d’attention divisé en sujet-objet dissout le centre fictif : le ‘Nous’, là commence le SUBJECTIF en forme du CHAHUT DE L’EGO qui peut se confondre avec ZÉRO INDIEN en une sorte d’ENTRE-DEUX chargé de promesses. C’est là qu’entre la clé principale : LA SIMPLICITÉ. Clé qu’IL NE FAUT JAMAIS PERDRE. La concentration fuit le compliqué et le winnerisme et les originalités. C’est pourquoi il n’est rien de plus difficile, surtout à nostre époque de Big Brother et de tous connectés, QUE LE SANS TRACE, de plus délicat que la légèreté dans ce monde du PLOMB-PESANTEUR ou loi de succion vulgaire : comment ne pas laisser de trace dans une neige vierge qui se dépose sur la POINTE de l’Instant ? (Les Artistes-Artisans autrefois NE SIGNAIT PAS LEURS ŒUVRES, le commerce n’était pas installé).
Il y faut l’habit de la PUTRÉFACTION, DE L’INSAISISSABLE, DU NON-DÉSIR.
LE PONTIFE, CELUI QUI FAIT PASSER LE PONT À L’ADEPTE, DÉCLARE : NE VOUS PLANQUEZ PAS MÊME DANS LE SANS TRACE ; ce qui correspond au Principe du GATE GATE et du VOLATIL par rapport au COAGULE (du Plomb). Se planquer, se réfugier = se coaguler….
Le sentiment océanique englobe toutes choses, pareil au ”cent mille cours d’eau différents” qui tous sont l’eau de l’Océan à saveur unique mais comprenant toutes les saveurs, tel le Centre est nulle part et la Circonférence est partout. Celui qui demeure dans le sentiment océanique se baigne dans TOUTES LES EAUX : LES EAUX PRIMORDIALES.
Le sentiment océanique du ‘Je’-‘Je’ ininterrompu est l’océan infini ; l’ego, la pensée ‘je’, n’est qu’une bulle à la surface de cet océan ; on l’appelle jîva ou âme individuelle. De même, la bulle d’eau, lorsqu’elle éclate, ne fait que se mêler à l’océan ; et quand elle est bulle, elle fait toujours partie de l’océan. (Réf. à Ramana Maharshi 92 du 7-11-1935).
3. Les ”six Joyaux” énumérés par Shrî Shankara dans son Commentaire aux Vedanta-Sûtra : maîtrise du mental, maîtrise des sens, retrait des sens et cessation du faire/fer qui rouille forcément, patience et impassibilité, Foi et confiance, aptitude à la concentration et contemplation.

RÉCHAUFFISME POSSESSIF RÉPUBLICAIN