Le feu vulgaire c’est la raison-perversion

Le feu vulgaire c’est la raison-perversion
Un animal n’allume pas de feu.
L’animal humain, lui, depuis un moment seulement, allume un feu.
Lorsque le ”civilisé” oppose sa ”culture” à Nature (au ”Primitif”), le dit civilisé ne tient pas compte de la réalité qui fait de l’animal humain un nom-la-forme énormément plus redoutable que « l’animal naturel »(0), lequel est rarement pervers. À LA PERVERSION IL FAUT LA RAISON, LA RÉFLEXION, LE MENTAL OU CONSCIENCE CONCEPTUELLE, L’IDÉATION VAGABONDE DANS SA MISE EN VALEUR DU TEMPS.

Le SMARTPHONE doublé de l’”intelligence artificielle” forment CETTE NOUNOU-NOUNOURS actuelle comme le doigt, le pouce sucé par l’enfant humain : CET OBJET DU
« COMME SI », ou OBJET TRANSITIONNEL COMME L’ACTUELLE TRANSITION CAPITALISTE EN MARCHE, qui, normalement dans le cas du pouce et du nounours, objet intermédiaire ou homosexuel qui devrait permettre la constitution intérieure du symbole dans l’identification au parent du même sexe.

Toutes ces pulsions sont des « COMME SI » (ce que Freud appelait ”pulsions partielles”), qui se fixent « à un stade archaïque de leur développement », peuvent facilement chez l’humain devenu ”adulte” devenir PERVERSIONS, ou moins grave : névrose, psychose. C’est donc « l’archaïque » humain qui pose problème, cet « archaïque » étant la question perpétuelle : QUI SUIS-JE ?

Le QUI SUIS-JE ? destiné à résoudre le « COMME SI », qui est un véritable État dans l’État : chez l’enfant ou chez l’homme originel, chaque ensemble et sous-ensemble, comme les poupées russes, fonctionne plus ou moins pour son propre compte, COMME DIVISÉ, comme le DIVIDU (et non l’individu qui n’est qu’un dividu ou divisé), comme un Démon ou un Dieu, comme un Prométhée. CE SONT LES FABRICANTS DU « COMME SI » : LA PERCEPTION HALLUCINATOIRE (animisme projection, interprétation). Ainsi le monde, le ‘moi’ ou ego, ne sont ni réels ni irréels, IL SONT DE L’ORDRE OÙ TOUT SE PASSE « COMME SI », DE L’ORDRE DE L’ILLUSION, DE L’ORDRE DU GRAND JEU DU FAIRE SEMBLANT, COMME ”SIGNER UN CONTRAT” (les valeurs républicaines). Comme au cinéma, les images qui bougent sur l’écran forment un mouvement : ON CROIT VOIR LE MONDE ET SES PERSONNAGES BOUGER, ALORS ON Y CROIT, TOUT SEMBLE SE TENIR, DANS CETTE ILLUSION EN CASCADE.
Par exemple en dessin animé, on dessine un personnage sur un papier, puis sur un autre papier du même format superposé sur le premier papier on dessine le même personnage en une position légèrement différente, et ainsi de suite par exemple pour une seconde de mouvement ; on dessinera théoriquement 24 dessins (on peu n’en faire que 12 filmé deux fois), qui, projetés une fois enregistrés par une caméra et rendu par un projecteur sur l’écran donneront L’ILLUSION DU MOUVEMENT DE UNE SECONDE : TOUT SE TIENT, L’HISTOIRE SE TIENT(1), exactement comme : QUAND UNE MAGIE PARLE TOUTE LES MAGIES PARLENT, QUAND UNE SE TAIT TOUTES SE TAISENT.

De même : Une goutte d’eau pure suffit à purifier un océan, comme dans le principe des HAUTES DILUTIONS EN HOMÉOPATHIE ET DANS LA TECHNOLOGIE ANCIENNE (notamment l’orfévrerie), une goutte d’eau impure suffit à souiller l’Univers entier : tout dépend du sens moral de l’action choisie par l’imagination créatrice : si elle rêve le mal, elle sera la maîtresse de la propagation de l’impureté, elle sera la MAÎTRESSE ORGANISATUEUR COMME LE SATAM, COMME LE MACRON-ROTHSCHILD ; si elle rêve le BIEN, elle aura confiance en une goutte de la substance pure, elle saura faire rayonner la pureté bienfaisante. C’EST LE FOND DU DEVENIR D’UNE PERSONNE, C’EST SON « QUI SUIS-JE ? ».
Une telle conception EN FAIRE SEMBLANT QUI EST UN VÉRITABLE CONSTAT-CONTRAT, fait que ce monde est un langage en un système de signes formant des informations, SANS PLUS, comme des MOI-INDIVIDUEL, DES CONSOMMATEURS, SANS RÉFÉRENT AU MOI-COLLECTIF ou AUX SIGNIFIANTS (le ”COAGULÉ” du symbole, or le Soi n’est ni Dedans ni Dehors et n’a pas à avoir une référence à un Dehors ou à un Dedans : IL EST)

DES INDORMATIONS ou INFORMATIONS TUEUSES (elles forment-déforment), GRÂCE À L’INTELLIGENCE ARTIFICIELLE VONT DE PLUS EN PLUS PROLIFÉRER……. LE « COMME SI » OU LE MODE, LE MONDE DU FAIRE SEMBLANT OU DU N’ÊTRE PAS PEUT SE RÉJOUIR : LES JUIFS ET LEURS HISTOIRES(1) ONT ENCORE DE BEAUX JOURS DEVANT EUX AVANT QUE LES ÉTOILES DANS LE CIEL NE S’ÉTEIGNENT UNE À UNE (pourquoi pas, comme dans Les neuf milliards de noms de Dieu, comme dans l’entretien 164 de Ramana Maharshi(2)).

L’image du corps est depuis un moment est définit pas l’humain sous la forme d’OSIRIS : SES MORCEAUX, que la persona aura pour tâche de « recoller » COMME SI c’était une certaine réalité, du moment que ça constitue un « ordre symbolique » porteur DE LA FAUSSE LOI DE SUCCION OU LOI DE SUCCION VULGAIRE CONSTRUITE SUR L’ESPACE-TEMPS, L’HISTOIRE : COLLECTIVE ET INDIVIDUELLE, ET C’EST LÀ LE PROBLÈME COMME L’AVAIT VÉCU JEAN COULONVAL DANS SYNTHÈSE ET TEMPS NOUVEAUX : « J’appelle OPINION toute conception de l’Être en soi issue de l’expérience de l’existant. Dans la vision des choses, aucune doctrine ne peut être immuable [ou dite ‘universelle’] parce qu’elle a sa source dans la chronologie tueuse. Donc la doctrine communiste est perpétuellement fluante, souple, se pliant au circonstances. De là ses contradictions toujours imprévues qui déroute les Occidentaux, et qui pourtant n’en sont pas dans la morphologie de la pensée communiste.
L’intellect-personne [le Moi-Individuel, le consommateur] tend par nature, par sa fonction ontologique, à figer, ossifier, conférer un semblant d’absolu et de valeur éternelle à une connaissance du sensible, qui pourtant, par nature, ne peut en avoir. Cet ersatz d’absolu, je l’appellerai « opinion ». L’opinion n’est jamais en sécurité, elle porte en elle l’angoisse de pouvoir être remise en question. Aussi est-elle toujours en position de défense, ou d’attaque. Aussi, l’opinion est nécessairement sectaire, intolérante. Tout ce qui n’adhère pas à l’opinion, absolutisée collectivement sous le nom de «parti», est ennemi. ».

  • Seul un TOTAL peut connaître un TOTAL. Mais depuis des millénaires, le ‘moi’ ne peut être un Total, une globalité, un infinie, puisqu’il se définit par rapport à un ‘toi’ ou par rapport à un autre consommateur,
    il est ainsi limité par ce qui le différencie de ce ‘toi’, de cet autre consommateur. Ainsi il ne peut exister QU’UN Soi, car s’il y en avait deux, chacun serait limité par ce qui le différencie de l’autre et ne serait donc pas infini, sans commencement ni fin. Il est est ainsi de ce monde du GRAND JEU DU FAIRE SEMBLANT avec le ‘moi’ de chaque DIVIDU (OSIRIS, DIVISÉ, COUPÉ EN MORCEAUX), qui ne peut être un TOUT.

L’humain actuel recherche son MOI-IDÉAL, surtout au DEHORS à travers le confort de l’I.A., du transhumanisme et des technologies tous issues du capitalisme et de ses usines À BÉQUILLES. Car recherche du MOI-IDÉAL PAR RAPPORT AU DEHORS, DONC PAR RAPPORT À UNE MODE CULTURELLE FORCÉMENT CHANGEANTE, NON FIXE : la relativité d’Einstein et le quantisme de Max Planck à la mode depuis un court moment seront relayées demain par une nouvelle cosmologie opinionesque, comme la cosmologie einsteinnienne a relayé la cosmologie de Copernic-Newton, qui avait elle-même relayé celle de Ptolémée, et ainsi de suite, donc OPINION (voir plus haut). La seule différence EST que les Ptolémée et avant lui, jusqu’au Copernic-Newton, TOUS CONSERVAIENT UN SEMBLANT DE « RACINE » AU NATUREL, alors que depuis l’impérialisme technologique du capitalisme de l’après 1945, ce sont les têtes d’œufs du capitalisme et de la Bourse qui CONSTRUISENT LA RÉALITÉ, QUI CONSTRUISENT LA COSMOGONIE, si bien que les Laurent Alexandre et les Google se sentent pousser des ailes…..

Notes.
0. « Les Upanishad et les Écritures affirment que les êtres humains ne sont que des animaux tant qu’ils ne sont pas réalisés. Peut-être même sont-ils pires ». (Ramana Maharshi 79, 29-9-1935).

1. Hébreux-juifs les spécialistes de l’EXUBÉRANCE en des histoires à dormir debout (exode, Salomon et autres systèmes de correspondances labyrinthiques notamment leur ”temple”, correspondances COPIÉS sur les Anciens Égyptiens. Copies juives ”qui seront retranscrites progressivement sous une forme littéraire exotérique et, d’autre part, transmises par les loges secrètes de la Franc-Maçonnerie [donc judéo-maçonnerie spéculative]” (page 144, Rites Mystiques antiques – Une brève histoire de la Franc-Maçonnerie, de Charles W. Leadbeater).

2. « Dieu créa l’homme ; et l’homme créa Dieu. Ils sont tous deux les créateurs des
noms et des formes. Mais en réalité, ni Dieu ni l’homme n’ont été créés ».
Ramana Maharshi, entretien 264, du 20 octobre 1936.

« Mais en réalité, ni Dieu ni l’homme n’ont été créés » : ILS SONT DE L’ORDRE DU « COMME SI », LE GRAND JEU DU FAIRE SEMBLANT (d’y croire : SIGNER UN CONTRAT : ON Y CROIT, et ainsi on fabrique le ”réel”.).
« Il n’y a pas de plus grand mystère que celui-ci : nous cherchons à atteindre la Réalité alors que nous sommes la Réalité. Nous pensons que quelque chose nous cache notre Réalité et qu’il faut le détruire avant d’obtenir cette même Réalité. C’est ridicule. Un jour viendra où vous rirez vous-même de tous les efforts passés. Et ce qui sera le jour où vous rirez est déjà ici et maintenant.
– Q. : Alors, c’est un grand jeu du « faire semblant » ?
– M. : Oui.
Dans le Yoga-vâsishtha il est écrit : « Ce qui est réel nous est caché, mais ce qui est faux se révèle à nous comme vrai ». En fait, la seule chose dont nous faisons l’expérience, c’est la Réalité ; pourtant nous ne le savons pas. N’est-ce pas la merveille des merveilles ? [les étoiles dans le ciel…….]
La recherche « Qui suis-je ? » est le glaive qui sert à trancher l’ego.
(Ramana Maharshi 146, 26-1-1936)

Publié dans Les News | Marqué avec , , | Commentaires fermés sur Le feu vulgaire c’est la raison-perversion

Palette harmonique ou MUSETORE

Palette harmonique ou MUSETORE

Premièrement, il n’existe pas de « fausses notes » ou « dissonance », comme il n’existe pas de « mauvaises herbes ». C’est l’ego qui invente selon son opinion, et surtout selon son mécanisme ou norme, sa routine, son habitude, son confort ; bref selon la mode et le conformisme ! Tout ce qui « dérange » l’ego sera qualifié de « mauvais » ou de « dissonance », ou selon la mode actuelle de « terroriste ».

Ensuite, les bouquins traitant de l’harmonie en musique sont du même tabac : que de l’opinion, en plus imbuvable. Compositeur amateur, et aquarelliste, plus à l’aise avec les couleurs qu’avec les ergoteries à la grecque et leur « majeur, triton, mineur, diminué, etc. », j’ai trouvé, suite à un rêve de jeunesse en forme de TORE coloré, une correspondance des 7 notes de musique avec les couleurs de l’Arc-en-Ciel. Évidemment bien d’autres s’y sont aventuré, dont Leonardo Fibonacci (dont quelques unes sont indiquées en vert sur le schéma ci-dessous). Le compositeur Alexandre Scriabine s’y est aussi essayé, mais son classement ne me parle pas ! Étant plus un visuel, son assemblage de couleurs me semble pas compréhensible et ses couleurs manquent totalement d’harmonie !

Les tonalités de couleurs « chaudes » correspondent au GRAVE (voir l’effet Doppler par exemple dans une course automobile : les voitures lointaines émettront des sons aigus, dans les Bleus ; quand elles passeront devant nous et en s’éloignant, elles émettront des sons graves, donc dans les Rouges). Le BLANC correspond à l’INSTANT, la réunion des 7 Couleurs de l’Arc-en-Ciel.

RAPPEL : le Rouge ou « passé » se nomme chez les Hébreux Adam (Rouge et Homme). Le Bleu c’est le Ciel, le « futur », les notes aiguës, que peuvent faire la Flûte et surtout le Piccolo.

L’harmonie de cette composition a été étudié avec ma méthode du « Musetore ». C’est pratique, quand on sait s’en servir (tout étant mouvement…). Bien-sûr ça ne fait pas tout ! Mais ça évite bien des erreurs et des gribouillages en crottes de Mouches sur des portés de clés de Sol, de Fa et d’Ut.
Quant aux numéros à 3 chiffres sur chacune des 18 couleurs du schéma, ils proviennent de l’ordonnancement des couleurs par Alfred Hickethier.

De toutes façons, TOUT étant dans le mental, musiques et couleurs n’y échappent guerre (guère). La « musique » comme de tout est UN BRUIT (une vibration).
TOUT est symbole, TOUT est vibrations.

Pour chaque « note-couleur », par exemple pour l’accord DO-MI-SOL, soit : Sol (099), Do (909) et Mi (990) on peut travailler avec ces nombres-couleurs, soit en SÉQUENCE, soit en PARALLÈLE.

PARALLÈLE avec l’exemple de Virgil Thomson (Louisiana Story, mesure 25 de ”Pastoral”) :
099 – SOL : Flûte, Clarinette, Basson, Cor. Peut donner : – Mi Si.
909 – DO : Cor. Le Sol peut donner : Ré – Si.
990 – MI : Cordes. Do (basse) peut donner : Ré Mi -.
DO (couleur vert et sa complémentaire magenta) : Contrebasse ; normalement le Do sur la palette indique une couleur froide, donc dans les aigus ou froid, mais comme sa complémentaire est le magenta, la Contrebasse est utilisable comme dans la mesure 25.

SÉQUENCE : 909 (Do) donne en Séquence le Ré (9 ou jaune à maturation), 0 pour le magenta, 9 ou bleu à maturation ou saturation donc le Si. Comme la complémentaire du jaune 900 est le violet 099, on peut utiliser la note Sol (099).

909 Do en Séquence peut encore donner : pour jaune 9 Ré, pour 0 un Mi unique (faible intensité), pour le bleu 0 (ou Si).
909 Do en Séquence peut encore donner : pour jaune 0, pour magenta Mi, pour bleu Si, et dériver vers 090, jaune 0, magenta Fa (090), bleu Si.

909 (Do) peut donner pour le jaune : Ré rouge 0, bleu Si.
090 (Fa) peut donner 0 pour le jaune, Fa pour le rouge, 9 (Si) ou 0 pour le bleu.
039 (La) peut donner 0 pour le jaune, 3 (Mi#) pour le rouge, 9 (Si) pour le bleu.
Exemple : 933 = jaune 900, rouge 030, bleu 003 (le 3 étant un #).
Complément de 933 : 066 additionné ça donne : 999 (silence, ou naissance de…)…

933 peut indiquer la hauteur de note par chiffre :
DO 1 = Froid (Aigu)
DO 9 = Chaud (Grave)
DO (vert) joué par Flûte devient Chaud joué par Violoncelle
DO (vert) joué par Clarinette joué par sa complémentaire le DO (rouge) : Violoncelle.

Publié dans - Musiques | Commentaires fermés sur Palette harmonique ou MUSETORE

L’étroite bigote

Bougeoir laiton pomme

L’étroite bigote
(Les trois Menettes)

Composition de Michel Roudakoff

Pour : Piccolo, 2 Flûtes, 2 Hautbois, 2 Clarinettes en Si, 2 Bassons, 3 Cors en Fa, 3 Trompettes en Si, 3 Trombones, Tuba, Timbales, Percussions, Célesta, Violons 1 et 2, Altos, Violoncelles, Contrebasses.

Composition d’après un motif de chanson de marche (Los très Menètos) de Haute-Auvergne recueillie et adaptée au piano par J. Cateloube de Malaret.
Les ”Menettes” sont une sorte de ”bigote”, ou de béguine portant le costume mi-laïque et mi-religieux. Elles sont des jeunes femmes dévotes de l’Ordre de Saint-Agnès et généralement au service de la bourgeoisie ou du clergé. Évidemment de nos jours en France mercantile où tout se vend et s’achète on les opinionerait de ”extrême droite”.

Partition : Canteloub_3Menettes_orch2024_25_score

Publié dans - Musiques | Commentaires fermés sur L’étroite bigote