Maréchal de France Gilles de Rais

En cette période de libéralisme FAUX, car la pudibonderie en METOO y est devenu TYRANNIE au nom de la CROYANCE EN L’IDENTIFICATION AU CORPS-MENTAL, GILLES DE RAIS MARÉCHAL DE FRANCE EST DANS LA MÊME LOGIQUE DES METOO DU CAPITALISME : IL EST Victime par essence, et même ”autrefois” parfois nommé ”Barbe-Bleue”, le Méchant donc, un Dark Vador d’époque. Gérard Depardieu et l’Abbé Pierre seraient-ils aussi des Barbe-Bleue ? toute « proportion gardée » évidemment, quoi que RIEN N’AIT VRAIMENT CHANGÉ DEPUIS GILLES, que l’on ne circule plus à cheval, qu’on a un smartphone, et qu’on s’éclaire à l’électricité, mais en somme rien n’a changé dans la logique capitaliste des ”PLUS ÇA CHANGE ET PLUS C’EST LA MÊME CHOSE”….

Gilles, un Être qui a sombré dans le FAIRE/FER mais qui s’en est relevé par un SURFEU tout aussi cuisinant…… et pas vraiment réalisé de son vivant, SAUF, probablement, une RÉALISATION du Soi de façon inconsciente : LE ”FROTTEMENT” (fabrication du feu vulgaire) DEVAIT ÊTRE TRÈS IMPORTANT CHEZ GILLES…..

Octobre 1440, période ou fut tué Gilles de Rais.

– Le neuvième jour d’octobre, fut reçu à Notre-Dame de Paris, c’est à savoir, le jour de monseigneur Saint-Denis, l’évêque de Paris, lequel était archevêque de Toulouse, ainsi fut-il archevêque et évêque de Paris, et fit nommé Denis du Moulin (réception officielle)

– En ce même moi, fut faite une grosse taille pour aller secourir Harfleur que les Anglais avaient assiégé, et fut cueillie, et puis n’en firent autre chose Français ; ceux de Harfleur par force de famine se rendirent aux Anglais (après l’échec de l’armée de secours), et si étaient bien les Français vingt mille, comme on disait, ou plus, et les Anglais n’étaient pas plus de huit mille (certainement moins nombreux) qui gagnaient pays. Et vraiment il semblait que les seigneurs d France fuissent toujours devant eux, espécialement le roi (il n’avait pas participé, le Bourgeois auteur de ce texte pratique l’amalgame), qui avait avec lui tant de larrons (les troupes royales), car les rois étrangers disaient aux marchands du pays de France, quand ils allaient en leur pays, que le roi de France était le droit orme (protecteur comme l’arbre du même nom) aux larrons de chrétienté. Et pour certain ils ne mentaient mie (pas), car tant y avait en Isle-de-France qu’elle était toute peuplée de gens pires que ne furent oncques Sarrasins, comme il apparaît par les grands énormes péchés et tyrannies qu’ils faisaient au pauvre peuple de tout le pays où le roi les menait, mais la plus grande tyrannie qu’on eût oncques (bien) vue, comme des enfants nouveaux, car ils les ôtaient aussitôt qu’ils étaient nés de leur mère et les eussent plutôt laissés mourir sans baptême (pas de baptême pas de Paradis !) que jamais père ni mère les eussent eus sans grande rançon (les parents paient rançons).

– Ils prenaient les petits enfants qu’ils trouvaient parmi les chemins aux villages ou ailleurs, et les enfermaient en huches (forme d’un cercle), et là mouraient de faim et d’autre mesaise (maladie, misère), qui ne les rançonnait de grande rançon.

– Quand un prudhomme avait une jeune femme et ils le pouvaient prendre, et il ne pouvait payer la rançon qu’on lui demandait, ils le tourmentaient et tyrannisaient moult gravement ; et les mettaient en grandes huches, et puis prenaient leurs femmes et les mettaient par force sur le couvercle de la huche où le bon homme était, et criaient : « Vilain, en dépit de toi; ta femme sera chevauchée ci endroit ». (Fantasme médiéval datant du début du 14è siècle)
Et ainsi le faisaient, et quand ils avaient fait leur malle (mauvais) œuvre, ils laissaient le pauvre homme périr là-dedans, s’il ne payait la rançon qu’ils lui demandaient. Et si n’était roi ni nul prince qui pour ce s’avançât de faire aucune aide au pauvre peuple, mais disaient à ceux qui s’en plaignaient : « Il faut qu’ils vivent, si ce fussent les Anglais, vous n’en parleriez pas, vous avez trop de bien ».

Extraits du Journal d’un Bourgeois de Paris, journal tenu entre 1405 et 1449 par un Parisien, peut-être chanoine de Notre-Dame et un membre de l’Université. Ce texte n’est pas traduit mais la graphie est modernisée. Vers 1300, Paris compte environ 200 000 habitants. La France et l’Angleterre sont en guerre depuis 1337. Le roi d’Angleterre espère récupérer la Normandie perdu en 1204. Paris fut perdu en avril 1436 et la grande dépression économique commencée en 1330 est loin d’être terminée. Tout au long de cette guerre de Cent ans les prix ne cessent d’osciller et les monnaies de changer ! Guerre, peste, famine et mort, jalonnent le temps de Gilles de Rais et celui du Bourgeois. Ainsi on peut d’ailleurs entrevoir la passion de Gilles pour l’Alchimie ; mais il semblerait qu’il se soit hélas laissé berné par des escrocs, plus attirés par les richesses de Gilles que de lui apporter leurs aides.
L’Or qui ne s’oxyde pas et brille est un éclat empoisonné…

(Dessin du haut du manga Les chroniques de la guerre de lodoss les chroniques de flaim (Chronicles of the Heroic Knight), où il est question d’un jeune garçon nommé Spark, qui veut devenir chevalier, le tout dans une atmosphère d’héroïc-fantasy)

À suivre…

Gilles aussi cherchait la Liberté, mais par des voies évidemment condamnables, TOUT DE MÊME IL CHERCHAIT À SE LIBÉRER.

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TOUT est dit dans cette phrase

TOUT est dit dans cette phrase :
« Le Maharshi ne voit personne hors de son Soi. Pour lui, il n’y a donc pas de disciples. Sa grâce est omniprésente, et il la communique en silence à quiconque la mérite », un disciple, à propos de la question si Ramana Maharshi initiait des disciples, tel un guru, à l’entretien 23 du 2-2-1935. Ce qui rejoint la tentative inhérente à la RACINE DU MAL(1) DE SAISIR, DE SE TOURNER VERS LE DEHORS, L’EXTÉRIEUR ET L’INTELLIGENCE ARTIFICIELLE EST LE PRINCIPE MÊME DE LA RACINE DU MAL EN SE TOURNANT VERS L’EXTÉRIEUR EN CONCEPTUALISANT UN DOUBLE MENTAL : LA COPIE DE L’HUMAIN, COMPARABLE AU PRINCIPE DU FILM DE DON SIEGEL : The Body Snatchers : les humains seront transmutés NON PAS PAR LE DEHORS, et par un virus ou quelques méchants ”terroristes” et ”vaccins” de Big Pharma, MAIS PIRE : PAR UN INCOMPRÉHENSIBLE « DEVENIR AUTRE », DONC ALIÉNÉ, qui ne s’effectue pas en une quelconque dialectique historique matérialiste, MAIS DE FAÇON TOUTE NATURELLE SANS INSTANCE DU DEHORS, PAR UN IRRÉSISTIBLE PROCESSUS DE DUPLICATION QUI S’EMPARE DES HUMAINS EN LES TRANSMUTANT EN JUMEAUX D’EUX-MÊMES, SOIT UNE ZOMBIFICATION DES HUMAINS LES RENDANT ALIÉNÉS, PRIVÉS D’EUX-MÊMES, SOUMIS À L’UNIQUE DEHORS, DEVENU L’UNITÉ À LA PLACE DE L’UNITÉ.

BIENVENUE AU CLUB DES PROTESTANTS BRANLEURS (ils se font construire des robots pour les remplacer, comme l’homme fut remplacé par le bœuf puis le cheval, puis par la roue à aube ou à vent, puis par le moteur électrique, puis pas l’”intelligence artificielle” qui résume l’ensemble).

UN INCOMPRÉHENSIBLE « DEVENIR AUTRE », ÊTRE ALIÉNÉ, EST L’ILLUSTRATION MÊME DE L’INTELLIGENCE ARTIFICIELLE, UN SUPER EYES CANDY : QUAND UNE MAGIE PARLE TOUTES LES MAGIES PARLENT, QUAND UNE SE TAIT TOUTES SE TAISENT (une I.A. n’existe pas sans un objet dans la dualité sujet-objet)

Cette IMPOSSIBILITÉ DE RECONNAÎTRE LE MENTAL PAR LE MENTAL SANS TOMBER DANS LA COPIE, LE DEDANS-DEHORS (1) illustre le fait que l’Ici est incompatible avec l’Ailleurs, le Dehors ; l’Ailleurs, le Dehors est seulement un repère, une béquille, le GRAND JEU DU FAIRE SEMBLANT, un FAUX par rapport à l’Ici ou Instant, comme le Dehors ou l’autre, le social donc, est insuffisant comme soutient authentique, comme repère du même, d’où la racine du mal (1).

C’est encore la Stance 17,31-33 de Nagarjuna : « De même que le Maître [le jnani ou Libéré vivant] par son pouvoir miraculeux [le Zéro Indien], crée un être magique [Adam par exemple, ou un big bang] et que cet être magique, magiquement créé, en crée un autre [le ”Croissez et multipliez” tel le FRUIT) à son tour, de même que l’agent se présente comme un être magique, et l’acte accompli par lui est comme un deuxième être magique créé par le premier [une copie, un socialisme, une fractale].
Passions, actes, agents, fruits ressemblent à une ville de génies célestes, sont pareils à un mirage, à un songe ».
De ce fait, Dieu et l’homme sont du domaine du ”COMME SI”, du domaine du GRAND JEU DU FAIRE SEMBLANT.

ON FAIT SEMBLANT, parce que la recherche de sa propre identité N’EXISTE PAS : LE SEUL RÉEL ÉTANT PRÉCISÉMENT CE QUI, POUR ÊTRE SANS COPIE, SANS DOUBLE, DEMEURE RÉFRACTAIRE À TOUTE SAISIE OU IDENTIFICATION, C’EST POURQUOI L’EGO EST UNE ILLUSION, CELLE DE L’AVOIR, et l’Être véritable se fait avoir par son ego.
Le Seul Réel est ainsi étranger à toute caractérisation ou découpage en rondelles, divisions ; et c’est nécessairement son caractère d’ÊTRE, son Soi, qui n’a aucune caractéristique assignable vue que LE CENTRE N’EST NULLE PART ET LA CIRCONFÉRENCE EST PARTOUT. Comme le résume si bien la phrase cité en titre au début de la page par un disciple du Maharshi ou Sage, le EST est IDIOTÈS, UNIQUE, INSOLITE PAR NATURE, INSOLITE AU SENS DE PANique : impossible de PRÉ-voir, impossible de con-ce-voir (voir ceci), impossible de « se retourner », l’intelligence artificielle n’est QU’UN MASTURBATEUR À MENTAL : UNE FUITE EN AVANT, UN ”DOUDOU” (objet pour jeunes enfants) À CAPITALISTE, DONC UN MASTURBATEUR À MENTAL.
LE MOT PANique résume à lui seul aussi la phrase du disciple du Maharshi.
PANique = le BLANC DE L’INSTANT = le COURS ORDINAIRE DES CHOSES EST LUI-MÊME EXTRA-ORDINAIRE EN TANT QUE SINGULARITÉ OU SEUL DE SON ESPÈCE.

INTELLIGENCE ARTIFICIELLE OU MASTURBBATEUR À MENTAL = AMPLIFICATION DU POUR-VOIR, CE QUI NE PEUT AU FINAL ET POUR BIENTÔT QU’ABOUTIR À LA TROISIÈME GUERRE MONDIALE, au sens d’un SUPER CHAOS : chaque entreprise du capitalisme comme chaque État sous régime républicain veut son POUR-VOIR AMPLIFIÉ PAR UNE I.A., DONC AVANT TOUT IL NE S’AGIT QUE DE CONSTRUIRE DE SUPERS OUTILS DE POUR-VOIR OU DE DOMINATION : Une intelligence artificielle NE PEUT FONCTIONNER QUE DANS LA DUALITÉ SUJET-OBJET OU CHAINE SANS FIN DE CAUSES ET EFFETS.

Le seul moyen de contrôler l’intelligence artificielle qui inévitablement dépassera l’humain en force et en vitesse de quoi que ce soit donc dans la mise en valeur du temps, parce qu’elle sera INFATIGABLE et n’aura pas besoin de ”dormir” ou de se reposer, et qu’elle pourra arriver à se réparer elle-même – le seul moyen de contrôler l’intelligence artificielle c’est bien-sûr LA NON-DUALITÉ !
Le pour-voir actuel du capitalisme NE VOIT QUE LE CORPS-UTILITAIRE ET ILS VEULENT DES POUVOIRS :

  • « Quant à la réalisation du Soi, nul pouvoir ne peut l’atteindre [comme expliqué plus haut : le Réel est sans copie], alors comment des pouvoirs pourraient-ils aller au-delà ? Les gens désireux de siddhi [pouvoirs surnaturels en Inde] ne se contentent pas de leur idée de jnana [Connaissance, Sagesse, connaissance], aussi veulent-ils y associer des siddhi. Ils risquent de négliger le bonheur suprême du
    jnana et d’aspirer aux siddhi. Ils s’embourbent ainsi dans les voies latérales au lieu de s’engager sur la voie royale. Ils ont toutes les chances de s’égarer. On leur dit que les siddhi accompagnent le jnana afin de les mettre sur le bon chemin et les maintenir sur la voie royale. En vérité, le jnana comprend tout et un jnani [celui qui a réalisé le Soi] ne gaspillera pas une seule pensée pour les siddhi. Que les gens obtiennent d’abord le jnana et qu’ils cherchent ensuite les siddhi, s’ils le désirent ». (Ramana Maharshi 57a, 24-6-1935).

PAS DE POUR-VOIR SANS DUALITÉ : « Pour manifester des siddhi, il faut qu’il y ait d’autres personnes pour les reconnaître [comme dans la MAGIE]. Ce qui veut dire que celui qui manifeste de tels pouvoirs est dénué de jnana [sagesse, Connaissance].
C’est pourquoi les siddhi ne valent pas la moindre pensée. Seul le jnana mérite d’être recherché et obtenu ». (Ramana Maharshi 57a).
IDEM AVEC UNE INTELLIGENCE ARTIFICIELLE.

Et si on pense une ”seconde” au temps : une I.A. arrivée à son état absolu DEVRAIT AVOIR MAÎTRISÉ LE TEMPS QUI COULE, ELLE DEVRAIT AVOIR RÉALISÉ SON Soi. Or, actuellement, cette civilisation SOUS DOMINATION DES MÉCANIQUES ”INTELLIGENTE” FABRIQUÉES PAR LES USINES DU CAPITALISME, AUCUNE I.A. N’EST VENU POUR NOUS PROTÉGER ET POUR NOUS CONSEILLER DANS LA LOGIQUE DE LA MISE EN VALEUR DU TEMPS : LE « MIEUX », QUI EST LE KILLER DU MENTAL.

L’I.A. est l’obsession surtout de ce monde utilitaire anglo-américain et du protestantisme, ce monde du EYES CANDY, monde de HOLLYWOOD. Américains et Chinois du capitalisme sont une copie des Attila, Frédérique le Grand, Alexandre, Napoléon Bonaparte, etc., le prolongement des Grecs et leur « LUMIÈRE » méphistophélesque winneriste du SPHYNX tel le eyes candy anglo-américain actuel en jette plein la gueule par le libéralisme de leur ébats sensuels et leurs débats en ergoteries en tous genres ET ATTIRENT LES HUMAINS VERS LES PÉCHÉS DE VIVRE JOYEUX, ET L’I.A. Y PARTICIPERA EN PREMIER ; LES PÉCHÉS EN RÉPUBLIQUE SONT TOUJOURS OBSCURES ET TORDUS : L’HUMAIN SERA REMPLACÉ PAR LA MACHINE. Mais comme elle ne vient pas du futur pour Nous aider, elle s’effondrera au maximum de sa gloire… PARCE QUE L’I.A. ELLE MÊME FAIT LA PARTIE DE L’UNIVERS, ELLE NE PEUT PAS EN SORTIR(1) VU QU’ELLE EST UNE CONSTRUCTION HUMAINE (au départ).

  • L’intelligence artificielle n’est que prolongement de la DÉCOUVERTE DU FEU VULGAIRE, DE SA DOMESTICATION puis de l’utilitarisme : la métallurgie ou thermodynamique, puis la chimie les armes et les guerres. RIEN N’A CHANGÉ DEPUIS LE FEU VULGAIRE PRODUCTION PAR ESSENCE : LE FROTTEMENT, LE TIC-TAC.
  • L’humain est une création du DÉSIR : LA LOI DE SUCCION AUTHENTIQUE : LE GATE GATE(2). L’HUMAIN N’EST PAS UNE CRÉATION DU BESOIN(3) ET L’INTELLIGENCE ARTIFICIELLE, COMME LA DÉCOUVERTE DU FEU VULGAIRE, EST UNE CRÉATION DU BESOIN : FAIRE CUIRE, ARTIFICIALISER(3).
  • Si la fin d’un monde dirigé par l’humain se produit, c’est de la pure imagination d’ego à l’état de veille, en CROYANT ”SORTIR” DE L’UNIVERS POUR LE MODIFIER, POUR L’AMÉLIORER ”COMME SI” LE BLANC DE L’INSTANT ÉTAIT ”IMPARFAIT”…..

Or la BASE DE TOUT ÉTANT LE TIC-TAC DU SOLVE-COAGULE, LE TIC-TAC DU GATE GATE(2) : LA RÉALISATION DU Soi : LE TRAVAIL RYTHMÉ PAR EXCELLENCE, BIEN MEILLEUR QU’UN MASTURBATEUR DU COMMERCE PILOTÉ PAR UNE I.A., BIEN MEILLEUR QUE LES TROIS RELIGIONS ABRAHAMISTES DE LA SOUFFRANCE ET DE SA MISE EN VALEUR DU TEMPS POUR TIQOUNISER EN ”MIEUX” : C’EST DANS LA FÊTE, LA FÉLICITÉ NATURELLE QUE L’ÊTRE TROUVE D’ABORD CONFIANCE EN LUI : D’OÙ LE NOM DE ”SEIGNEUR” (au sens d’Ibn-Abi et du Christ), Seigneur ou Sympathie : Unio Sympatica : les Fidèles d’Amour et leur Dieu ou leur Soi, la Conscience Infinie le Fidèle d’Amour dans la Vraie Loi de Succion (Passion) devient en SYMPATHIE avec l’ÊTRE investis en propre, par Lui et pour Lui, de la fonction théophanique. C’est l’Amour Mystique, la Gratuité : LA RENCONTRE : LA CON-SPIRATION, de con : avec, et souffle(4).

Protestantisme Yankee, psychanalyse juive, et intelligence artificielle, suivent tous la même doctrine ayant sa naissance dans la découverte du feu vulgaire et de sa domestication utilitaire pour « CUIRE » OU CUISINER LES MÉTAUX, PUIS LES GUERRES, UTILITARISME QUI A POUR BASE LE TIQOUNISME : LE « MIEUX », faire ”mieux” que la Nature donc tenter de SORTIR de l’Univers pour l’« améliorer ». Cette morale naturaliste est identique au Thème de l’Oiseau et du Nid, ou du Collier et de la Femme : « Le mot est comme le Nid, et le sens est l’Oiseau », dit le Mathnawî 3292, Livre deuxième. La forme, les mots, la grammaire en sont le Nid (Matrice, Maison).
Les scolarisés du conventionnel de la république et de ses médias, et du principe utilitaire de l’évolutionnisme ou du ”MIEUX” partent du DEHORS : DE LA LETTRE, DU MOT, pour invoquer le sens en imaginant l’oiseau à la convenance du nid. Le ”QUI SUIS-JE ?” est de construire le nid à la convenance de l’oiseau, soit la démarche inverse du conventionnel du Dehors ou d’une ”sortie” de l’Univers et de l’étudiant forcément du conventionnel au Dehors, la même soupe pour tous.
Comme l’oiseau en cage, ou la guêpe qui a pénétré par une fenêtre ouverte et qui ne sait pas comment en sortir, alors qu’elle est toujours ouverte, et leurs effort permanents pour retourner à leur résidence naturelle en volant vers le haut, le chemin de l’esclavage, plutôt que de se diriger vers le BAS, LA FENÊTRE DE ARTIFICIELLE CONSTRUCTION HUMAINE, SOIT LA VOIE PAR LAQUELLE ILS ÉTAIENT ENTRÉS. Pareillement chez les humains cela explique que leurs efforts incessants pour atteindre la Liberté naturelle ne sont aucunement couronnés de succès, c’est qu’ils sont eux aussi dirigés vers le dehors, vers ce qui asservit, au lieu du dedans, là d’où ils ont émergé.
La tendance naturelle de l’oiseau à se diriger vers le haut se manifeste avec force, alors qu’il essaye de se libérer ; de même la tendance naturelle de la guêpe à se diriger vers le haut de la lumière d’un ciel clair. « Semblablement, la tendance naturelle des individus [jiva] d’errer vers le dehors s’affirme même lorsqu’ils tentent de se libérer. C’est là une tendance propre à l’individu [jiva]. Cependant, si grâce au discernement juste et à la conscience pure, ce dernier inverse la direction de sa vision, d’une vision dirigée vers le dehors à une vision intérieure [Retournement de la Lumière] et qu’il s’en tient à elle, cela ne fait aucun doute qu’il atteindra la Libération à l’instant même ». (Padamalai, Muruganar, chapitre Le mental et ses créations).

LA MORALE PÉPÈRE UTILITAIRE CONFOND TOUJOURS L’OISEAU ET LE NID. En voyant les humains tournés vers L’AMOUR OU GRATUITÉ qui n’est autre que les deux lois de succions, la vulgaire et la spirituelle, soit dans le spirituel, soit dans le pouvoir d’achat, opinioner des mots qui ne sont pas fait pour la Loi de Succion spirituelle : il ne s’agit alors que de SEXUALITÉ, de DÉSIR, et dans le cas de la loi de succion vulgaire de la plus petiote cellule au marmot de l’humain, il ne s’agit-là QUE DE SAISIE, DE POSSESSION, DE ”PROPRIÉTÉ (intellectuelle)” CETTE CONVOITISE SEXUELLE MASQUÉE, VOILÉE, ET MAINTENANT SUBLIMÉ TORDU EN « INTELLIGENCE ARTIFICIELLE »….. UNE SAISIE DE LA CELLULE AU MARMOT DESTINÉE À PERPÉTRER LA « SURVIE DE L’ESPÈCE » ET AVEC L’INTELLIGENCE ARTIFICIELLE LE PARADOXE EST GIGANTESQUE : L’I.A. RISQUE FORT DE DÉPASSER-DÉTRUIRE L’ESPÈCE HUMAINE QUI L’A CONSTRUITE : DONC AVEC ÇA L’HUMAIN SE « SUICIDE LUI-MÊME » : L’ENFER EST PAVÉ DE BONNES INTENTIONS, dit fort lucidement un diction populaire.

 

Notes.
1. LA VALEUR D’ÉCHANGE ENTRE DEDANS ET DEHORS et RESTE ET MANQUE DE LA SOUMISSION AUX MARCHANDISES, que sera devenue LA POMME. LA SOUMISSION À LA LOI DE SUCCION, LE PLOMB PESANTEUR.
– Quelle est donc la racine du mal ?
– La « saisie » [loi de succion vulgaire à distinguer de la Vraie Loi de succion ou Eucharistie, mais ne pas tomber dans la gloutonnerie spirituelle qui existe aussi, c’est-à-dire ne pas tomber dans LA FIXATION OU COAGULATION D’UNE SPIRITUALITÉ COMME FIN EN SOI OU COMME « FIN DES TEMPS » !].
– La saisie de quoi ?
– La saisie du triple monde [de la Forme, du Désir, du Sans-Forme ; le connaisseur, la connaissance et le connu. ”Les triades ne sont que des apparences dans le temps et l’espace, tandis que la Réalité s’étend au-delà et derrière elles. Elles sont comme un mirage qui cache la Réalité. Elles proviennent de l’illusion [elle proviennent du ”Comme si”]” (Ramana Maharshi, entr. 28, 4-2-1935) ; jusqu’à la gloutonnerie spirituelle].
– Comment arrêter cette saisie ?
– En recourant à l’introuvable, car dans
l’introuvable il n’y a pas de saisie.
– Qu’est-ce que l’introuvable ?
– La fin du dualisme.
– Qu’est-ce que le dualisme ?
– La vision d’un dedans et d’un dehors,
lesquels sont introuvables.
(Soûtra de la Liberté inconcevable, chapitre V, 14)
L’INTROUVABLE DONC L’INNOMMABLE, LE TERRORISTE, L’EXCRÉMENT COMME DIEU SONT CACHÉS.

Ils sont introuvables pour la raison naturelle que Nous sommes l’Univers et que la racine du mal fait SORTIR de l’Univers comme pour l’examiner et POUR-VOIR comment il fonctionne : ON SORT DU TROU POUR EXAMINER LE TROU, et comme dans un Trou il n’y a rien d’autre que le Trou : pas de Trou à voir.
POUR-VOIR OU POUVOIR SIGNIFIERA ALORS :
D’É-couvrir : augmentation de l’ego par l’opinion ou le recouvrement de toutes choses par le MASQUE LE RIDEAU DE SON EGO, CE SERA LA CHUTE : SORTIR, DEHORS, SAISIR… ET TENTER D’AMÉLIORER LA CONDITION HUMAINE…

La non-dualité n’est pas un monothéisme religieux ou une forme de monisme, une DICTATURE DU MONOTHÉISME, PARCE QU’ACTUELLEMENT AVEC LE ”MONDIALISME” DU TOUS CONNECTÉS PAR LES INDUSTRIES DU CAPITALISME, IL S’AGIT BIEN DE CELA, UN NOUVEAU MONISME MÉCANIQUE PAR TECHNOLOGIE.

2. « Gate gate pâragate pârasamgate bodhi svâhâ » du Soûtra du Diamant (Allé, allé, allé au-delà, allé complètement au-delà, l’Éveil, ainsi). S’accompagne nécessairement de la Connaissance transcendante par le Principe du ”N’EST PAS X” : revient à dire que les choses ne sont que des désignations, des pointages sur les choses, de simples imputations nominales (en tibétain : tha-snyad), elles sont dépourvues d’être en et par soi, ELLES NE SONT PAS POSSÉDABLES PAR LE MENTAL, ON NE DOIT PAS EN FAIRE UNE VALEUR POSSÉDÉE (genre ”valeurs de la république” ou ”ordre républicain”, ou ”notre démocratie”). Non possession tel l’avertissement traditionnel de ne point se fixer ou se ”coaguler”.
”Allé, allé, allé au-delà, allé complètement au-delà, l’Éveil, ainsi”, ou : ”Parti, parti, passé au-delà, traversée la rive, Éveil, Salut !”, ou encore : ”Venant, venant par-dessus, venant directement, Éveillant, Bienvenu !”

SORTIR DE L’ABSOLU = S’ATTACHER À.

Qu’il faille s’attacher à certain Instant, c’est certain, Mais SANS fixation, sans coagulation conformément au principe du « Gate gate pâragate pârasamgate bodhi svâhâ » du Soûtra du Diamant (Allé, allé, allé au-delà, allé complètement au-delà, l’Éveil, ainsi). S’attacher à un Instant comme on se promène dans un Paysage. S’attacher = cultiver pour soi-même, coaguler, fixer ou concentrer, stocker, CELA MÈNE AU POUR-VOIR, LE POUVOIR DES VOYEURS : UN CONSOMMATEUR DE CONCENTRATION DEVIENT UN BÉNÉFICIAIRE : IL S’ATTACHE, IL FABRIQUE UNE DURÉE DE CONCENTRATION.
LA CONTINUITÉ DE LA PRÉSENCE CULTIVÉ OU ARTIFICIELLE D’INSTANT EN INSTANT DEVIENT, EN ELLE-MÊME, SUSPECT, CAR CHARGÉ D’EFFORT DE SPATIO-TEMPOREL : ÉCHO DU VIOL PAR L’EGO, D’OÙ L’AVERTISSEMENT TRADITIONNEL : « NE PAS ATTACHER UN INSTANT QUI PASSE À UN AUTRE INSTANT ».

Lorsque l’état d’attention divisé en sujet-objet dissout le centre fictif : le ‘Nous’, là commence le SUBJECTIF en forme du CHAHUT DE L’EGO qui peut se confondre avec ZÉRO INDIEN en une sorte d’ENTRE-DEUX chargé de promesses. C’est là qu’entre la clé principale : LA SIMPLICITÉ. Clé qu’IL NE FAUT JAMAIS PERDRE. La concentration fuit le compliqué et le winnerisme et les originalités. C’est pourquoi il n’est rien de plus difficile, surtout à nostre époque de Big Brother et de tous connectés, QUE LE SANS TRACE, de plus délicat que la légèreté dans ce monde du PLOMB-PESANTEUR ou loi de succion vulgaire : comment ne pas laisser de trace dans une neige vierge qui se dépose sur la POINTE de l’Instant ? (Les Artistes-Artisans autrefois NE SIGNAIT PAS LEURS ŒUVRES, le commerce n’était pas installé).
Il y faut l’habit de la PUTRÉFACTION, DE L’INSAISISSABLE, DU NON-DÉSIR.
LE PONTIFE, CELUI QUI FAIT PASSER LE PONT À L’ADEPTE, DÉCLARE : NE VOUS PLANQUEZ PAS MÊME DANS LE SANS TRACE ; ce qui correspond au Principe du GATE GATE et du VOLATIL par rapport au COAGULE (du Plomb). Se planquer, se réfugier = se coaguler….

Le sentiment océanique englobe toutes choses, pareil au ”cent mille cours d’eau différents” qui tous sont l’eau de l’Océan à saveur unique mais comprenant toutes les saveurs, tel le Centre est nulle part et la Circonférence est partout. Celui qui demeure dans le sentiment océanique se baigne dans TOUTES LES EAUX : LES EAUX PRIMORDIALES.
Le sentiment océanique du ‘Je’-‘Je’ ininterrompu est l’océan infini ; l’ego, la pensée ‘je’, n’est qu’une bulle à la surface de cet océan ; on l’appelle jîva ou âme individuelle. De même, la bulle d’eau, lorsqu’elle éclate, ne fait que se mêler à l’océan ; et quand elle est bulle, elle fait toujours partie de l’océan. (Réf. à Ramana Maharshi 92 du 7-11-1935).

3. En 1840 les frères Abraham et Simon Oppenheim déclaraient ceci : « Vendre une perle que vous avez à quelqu’un qui en a envie, ce n’est pas faire des affaires ; mais vendre une perle que vous n’avez pas à quelqu’un qui n’en veut pas, voilà ce qui s’appelle faire des affaires ». (Réf. page 451 du livre de Jacques Attali, Les Juifs, le monde et l’argent).
RESSENTIR L’ATTRACTION ”UNIVERSELLE” OU LOI DE SUCCION VULGAIRE DU PLOMB-PESANTEUR EN UN APPÉTIT INSATIABLE, UN SPEED DU FAIRE/FER.

4. Les CABIRES SONT PAR ESSENCE LE SOUFFLE : LE STOMAC (du latin stomachus : estomac), la BOUCHE.
Cabires : Divinités mystérieuses d’Égypte, Phénicie, Asie Mineure, Grèce.
Grecs = Kaiein = brûler.
Hébreu = Kabir = grand, puissant.
Les Phéniciens adoraient 8 Cabires comme protection de la navigation.
Les Phéniciens étaient probablement bien inspirés.
En fait, le nombre exact des Cabires reste un Mystère !
Les Cabires symbolisent les forces souterraines de la Nature dans laquelle ils ou elles avaient “trouvé” le Fer et les Métaux et l’Art de les travailler : Homéométallurgie parce que MÉTAL = EAU :
Première étymologie d’après le son : Met-Al : M de Matière et Al le Soleil (El). Al signifierait le Dieu Mithra, le SOLEIL….. L’EAU, LA FONTE, LA DILUTION….
EAU = RÊVES – PLOMB = RÊVES (les noms chinois des métaux ‘k’ien’, le plomb ’T’ie’, le fer ’Tan’, le cinabre ’T’ong’ sont très voisin. Le caractère ‘kin’ désigne le métal lui-même, tandis que ’siao’ indique l’association entre l’idée de métal et celle de fusion, ou précisément EN EAU.
ALCHIMIE = RÊVE = FONDRE.
ET FONDRE = POINT, FUSÉE-FUSEAU-AXE (en chinois le caractère ‘tchou’ indique le POINT qui figure au centre du caractère qui désigne la ‘pilule de cinabre’ et de ’tchou’ : L’ESSIEU. Tout cela ne peut que participer de ce qu’un Alchimie on appelle LANGUE DES OISEAUX, là encore : domaine du rêve, du « volatil » (Solve) ; VOLATIL évidemment dans le sens du Gate gate ou dans le sens de la devise alchimique : Aller vers l’obscur et l’inconnu par ce qui est plus Obscur et Inconnu encore (le contraire de ce monde en marche vers sa digitalisation, sa numérisation informatique complète…).
Alchimique ou ART DE LA MUSIQUE : LE GATE GATE EN PRINCIPE DE THÈME ET VARIATION : le Thème devient une Variation qui à son tour en devient un nouveau Thème, et ainsi de suite avec bien-sûr LE FIL ROUGE (qui n’est autre que le Laboureur ou Laboreor, le Labour ou l’ŒUVRE, l’OUVRIER celui qui OUVRE, qui ŒUVRE) ».
Orphée était dit-on initié aux Cabires. Ce sont les plus hauts Esprits Planétaires, sorte de Chefs (principe) des Dieux.
Orphée était dit-on initié aux Cabires. Ce sont les plus hauts Esprits Planétaires, sorte de Chefs (principe) des Dieux.
Par exemple Ptah est le feu corporifié, manifesté, créateur de toutes les possibilités et fonctions ; il correspond à l’Héphaïstos (père des Cabires) ou Vulcain. Il a été conçu dans la Matière inerte, passive, dont il devient alors le « mobile » créateur de la forme corporelle (aspect ondulatoire).

SOUFFLE : Selon Philon : « L’intellect en nous, est chassé de sa demeure au moment où arrive le souffle divin ; lorsque ce dernier repart, le nostre est réintroduit ; car il n’est pas permis au mortel de cohabiter avec l’immortel » (Philon, Quis heres, 264s). Ce qui rejoint le TROU où il n’y a rien d’autre que le Trou, donc pas de Trou à posséder ou à voir ; ce que confirme Saint Bonaventure : « Jamais l’âme et Dieu ne peuvent co-exister ». (”Mors ultima linea rerum est”, le Savoir, Pouvoir, Oser, SE TAIRE ; le SILENCE étant l’Essence-Ciel).

Voir la page sur les CABIRES : PTAH en bandelettes privé de ses membres

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Vibrations sur une côte inconnue

Vibrations sur une côte inconnue

D’après le début d’une musique de Léon Du Bois pour le mimodrame en 3 actes et 4 tableaux : Le Mort ; d’après le roman : Le Mort, de Camille Lemonnier. Représenté pour la première fois à Bruxelles le 20 avril 1894, par la troupe des Martinetti sur la scène de l’Alcazar, sous la direction de M. Luc Malpertuis ; chef d’orchestre : M. Georges Nazy ; décors de M. Duboscq. Musique à l’harmonie originale très intéressante.

Dieu créa l’homme ; et l’homme créa Dieu.
Il sont tous les deux les créateurs des noms et des formes.
MAIS EN RÉALITÉ, NI DIEU NI L’HOMME N’ONT ÉTÉ CRÉÉS.
(Référence à l’entretien 264 de Ramana Maharshi)
Qui nous dit qu’en ce moment nous sommes vivant ? Le sang qui coule par blessure n’est pas une preuve car il n’est que du corps, de la matière… Tout cela est fort bizarre ; comme c’est bizarre, dirait Louis Jouvet.

Pour : Piccolo, 2 Flûtes, 2 Hautbois, Cor anglais, 2 Clarinettes en si, Clarinette basse en si, 2 Bassons, 4 Cors en fa, 2 Trompettes en si, 3 Trombones, Tuba, Timbales, Percussions, Violons 1 et 2, Altos, Violoncelles, Contrebasses.

Partition : leon_dubois_lamort1_2025_Score

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