Guerres et sortie de l’UNivers

Guerres et sortie de l’UNivers
Sortir de l’Univers = seuls les humains fabriquent des « lois », donc des OPINIONS, des SYSTÈMES, DES LOGIQUES DE MERDES CONVENTIONNELLES DE L’INFORMATIQUE CAPITALISTE : science-expérience reproductible et contrôlable par d’autres en tous lieux et toutes saisons. Ainsi, il s’agit ici d’une technique à l’état de veille et dans le spatio-temporel, dans le conventionnel, et non d’une Science, non d’une Vérité !

L’Univers fabriqué à l’état de veille par le conventionnel et son DÉMON DE L’IDENTITÉ TUEUSE DU SAINT CHAOS. DÉMON DE L’IDENTITÉ : LE POUR-VOIR (pouvoir).

Itinéraire n’est ni itérer(1) ni la mise en valeur du temps (connaître et devenir quelque chose). Si le chemin était DEHORS, de l’Univers, du conventionnel, des indications serait possibles, mais comme NOUS SOMMES DANS L’UNIVERS : « Cherchez en vous-même. Le Soi est toujours réalisé. Seul quelque chose qui n’a pas encore été réalisé peut être recherché. Mais le Soi est à la portée de votre expérience ». (Ramana Maharshi 164, 24-2-1936).
« Sortir de l’Univers » = LE DÉMON DE L’IDENTIFICATION du ‘Je » avec le non-’Je’, ou du Soi avec le non-Soi.

LE DÉMON DE L’IDENTIFICATION CHEZ L’OISEAU ou LA GUÊPE, LE DÉMON DE LA MISE EN VALEUR DU TEMPS.

Comme l’oiseau en cage PAR LUI-MÊME (il pénètre par accident dans un lieu qui n’est pas le sien et en est PANiqué) et ses effort permanents pour retourner à sa résidence naturelle en volant vers le haut, le chemin de l’esclavage, plutôt que de se diriger vers le BAS, LA VOIE PAR LAQUELLE IL ÉTAIT ENTRÉ ACCIDENTELLEMENT. Pareillement chez les humains cela explique que leurs efforts incessants pour atteindre la Liberté naturelle ne sont aucunement couronnés de succès, c’est qu’ils sont eux aussi dirigés vers le dehors, vers ce qui asservit, au lieu du dedans, là d’où ils ont émergé.
La tendance naturelle de l’oiseau à se diriger vers le haut se manifeste avec force, alors qu’il essaye de se libérer ; de même la tendance naturelle de la guêpe à se diriger vers le haut de la lumière d’un ciel clair. « Semblablement, la tendance naturelle des individus [jiva] d’errer vers le dehors s’affirme même lorsqu’ils tentent de se libérer. C’est là une tendance propre à l’individu [jiva]. Cependant, si grâce au discernement juste et à la conscience pure, ce dernier inverse la direction de sa vision, d’une vision dirigée vers le dehors à une vision intérieure [Retournement de la Lumière] et qu’il s’en tient à elle, cela ne fait aucun doute qu’il atteindra la Libération à l’instant même ». (Padamalai, Muruganar, chapitre Le mental et ses créations).

– Q. : En quoi consiste cette réalisation du Soi qui met un terme à l’insatisfaction ? Je suis dans le monde où il y a des guerres. La réalisation du Soi peut-elle y mettre un terme ?
– M. : Êtes-vous dans le monde ? Ou bien le monde est-il en vous ?
– Q. : Je ne comprends pas. Le monde est, sans aucun doute, autour de moi.
– M. : Vous parlez du monde et des événements qui s’y déroulent. Ils ne sont que des idées en vous [idées ou opinions fabriquées par le CONVENTIONNEL]. Ces idées sont dans le mental. Et le mental est en vous. Donc le monde est en vous.
– Q. : Je ne vous suis pas. Même si je ne pense pas au monde, il n’en existe pas moins.
– M. : Voulez-vous dire que le monde est séparé du mental et qu’il peut exister en l’absence de celui-ci ?
– Q. : Oui.
– M. : Le monde existe-t-il dans votre sommeil profond ?
– Q. : Il existe.
– M. : Le voyez-vous dans votre sommeil ?
– Q. : Non, pas moi. Mais les autres qui restent éveillés le voient.
– M. : Dans votre sommeil, en étiez-vous consciente ? Ou ne serait-ce pas plutôt maintenant que vous savez que les autres voient le monde ?
– Q. : Oui, dans mon état de veille.
– M. : Vous parlez donc de votre perception du monde à l’état de veille et non pas de votre
expérience dans le sommeil. Vous admettez l’existence du monde dans les états de veille et de rêve parce qu’ils sont le produit du mental. Le mental se retire durant le sommeil profond et le monde se trouve dans la condition d’une graine. Au réveil, le monde se manifeste à nouveau. L’ego s’élance, s’identifie avec le corps et voit le monde. Ainsi, le monde est bien une création du mental.
– Q. : Comment cela se peut-il ?

– M. : Ne créez-vous pas un monde dans votre rêve ? L’état de veille est également un rêve, mais prolongé [LA MISE EN VALEUR DU TEMPS]. Il faut qu’il y ait quelqu’un qui voie les expériences du rêve et du sommeil [ET QUI VOIENT LE TEMPS COULER]. Qui est-il ? Est-ce le corps ?
– Q. : Il ne peut pas l’être.
– M. : Est-ce le mental ?
– Q. : Ce doit être lui.
– M. : Mais vous existez aussi en l’absence du mental.
– Q. : Comment ça ?
– M. : Oui, en sommeil profond.
– Q. : Je ne sais pas si j’existe alors.
– M. : Si vous n’existiez pas, comment pourriez-vous vous souvenir de vos expériences d’hier ?
Est-il possible qu’il y ait eu une cassure dans la continuité du ‘je’ durant le sommeil ?
– Q. : C’est possible.
– M. : Si c’était le cas, un Johnson pourrait alors se réveiller comme un Benson. Comment
l’identité de l’individu est-elle alors maintenue dans ces conditions ?
– Q. : Je n’en sais rien.
– M. : Si cet argument n’est pas clair, suivez alors un autre raisonnement. Vous admettez « J’ai bien dormi », « Je me sens reposé après un bon sommeil ». Vous avez donc fait l’expérience du sommeil. Celui qui a fait cette expérience s’identifie maintenant avec le ‘je’ de celui qui parle. Ce même ‘je’ doit avoir existé aussi durant le sommeil.
– Q. : Oui.
– M. : Donc le ‘je’ a existé durant le sommeil. Si le monde s’y trouvait aussi, vous a-t-il dit qu’il existait ?
– Q. : Non. Mais le monde me prouve maintenant qu’il existe. Même si je nie son existence,
lorsque je me heurte à une pierre et blesse mon pied, la blessure me prouve l’existence de la pierre et donc celle du monde.
– M. : C’est cela. La pierre blesse le pied. Le pied dit-il qu’il y a une pierre ?
– Q. : Non, moi ‘je’ le dis.
– M. : Qui est ce ‘je’ ? Il ne peut être le corps, ni le mental, comme nous l’avons déjà vu. Ce ‘je’ est celui qui fait l’expérience des états de veille, de rêve et de sommeil profond [ce ‘je’ DE L’OPINION]. Ces trois états sont des changements qui n’affectent pas [l’identité de] l’individu. Les expériences sont comme des images qui défilent sur un écran de cinéma. L’apparition et la disparition des images n’affectent pas l’écran. Ainsi, les trois états alternent successivement laissant le Soi non affecté. Les états de veille et de rêve sont des créations du mental. Le Soi les englobe toutes. Savoir que le Soi demeure heureux dans sa perfection est la réalisation du Soi. C’est la réalisation de la Perfection et ainsi du Bonheur.
– Q. : Le bonheur de la réalisation du Soi peut-il être complet si l’on ne contribue pas au bonheur du monde ? Comment peut-on être heureux quand il y a une guerre en Espagne, une guerre en Chine, etc. ? N’est-ce pas de l’égoïsme que de rester dans l’état de Réalisation sans aider le monde ?
– M. : On vient de vous démontrer que le Soi englobe tout l’Univers et le transcende aussi. Le monde ne peut rester séparé du Soi [encore une fois : ON EN SORT PAS DE L’UNIVERS POUR LE VOIR]. Si la réalisation d’un tel Soi est appelée égoïsme, cet égoïsme doit aussi englober le monde. Il n’y a là rien de méprisable.
– Q. : Les êtres réalisés ne continuent-ils pas à vivre comme les êtres non réalisés ?
– M. : Oui. Avec cette différence que l’être réalisé ne voit pas le monde comme séparé du Soi. Il possède la véritable connaissance et le bonheur intérieur d’un Être parfait. Tandis que l’être non réalisé voit le monde comme séparé [comme un Univers-objet avec un sujet l’observant], ressent son imperfection et en devient malheureux. Autrement, leur comportement extérieur est semblable.
– Q. : L’être réalisé sait donc, comme les autres, que des guerres font rage dans le monde.
– M. : Oui.
– Q. : Comment peut-il alors être heureux ?
– M. : L’écran de cinéma est-il affecté par des scènes d’incendie ou d’inondation ? Il en est de même avec le Soi.
L’idée « je suis le corps ou le mental » est si enracinée qu’il est difficile de s’en défaire, même quand on est convaincu du contraire. Quand on a fait un rêve, on sait au réveil qu’il était irréel ; et l’expérience de veille devient irréelle dans les autres états. Par conséquent, chaque état contredit les autres. Ils ne sont donc que des états changeants qui se déroulent dans la conscience de celui qui les perçoit. Ce sont des phénomènes apparaissant dans le Soi qui, lui, ne change pas et reste non affecté par eux.
Tout comme les états de veille, de rêve et de sommeil profond ne sont que des phénomènes, la naissance, la croissance et la mort ne sont, elles aussi, que des phénomènes dans le Soi, lequel continue à demeurer inchangé et non affecté. Naissance et mort ne sont que des idées. Elles relèvent du corps ou du mental. Le Soi existait avant la naissance de ce corps et demeurera après la mort de celui-ci. Il en est de même de tous les corps qui ont été pris successivement. Le Soi est immortel. Les phénomènes changent et sont mortels. La peur de la mort relève du corps, pas du Soi. Une telle peur est due à l’ignorance. Réalisation signifie vraie connaissance de la perfection et de l’immortalité du Soi. La mortalité n’est qu’une idée qui cause la souffrance. Vous pouvez vous en débarrasser en réalisant la nature immortelle du Soi.
(Ramana Maharshi 487, 2-5-1938).

Ainsi, LA MORT EST UNE OPINION COMME DE TOUT DANS LA MISE EN VALEUR DU TEMPS.

« Les derniers jours, des centaines de fidèles défilèrent devant la petite chambre qui avait été construite pour lui. Shrî Bhagavân (Ramana Maharshi), étendu sur son lit sur la véranda, donna le darshan [voir ou être vu du guru ou d’une divinité] matin et soir jusqu’à sa fin et ne permit pas qu’on l’arrêtāt. Le vendredi soir du 14 avril 1950, la foule venue de loin et de près fut encore plus grande, et cette fois-ci, elle ne se dispersa pas après le darshan, se doutant que son état était critique. Quand la fin approcha toute l’assemblée se mit à chanter l’Akshara-mana-mâlai avec le refrain « Arunâchala Shiva, Arunâchala Shiva »… Les yeux de Bhagavân s’ouvrirent un peu ; sur ses lèvres apparut un léger sourire ; le long d’une joue coulèrent quelques larmes de félicité ; et à 8 h 47, une expiration… et aucune inspiration. Pas de lutte, pas de spasme, aucun signe qu’il mourait. À ce moment même, une comète d’une lumière éclatante traversa lentement le ciel, se dirigea vers Arunâchala et disparut derrière le sommet.
La forme visible de Bhagavân s’était absorbée dans la Réalité suprême d’Arunâchala ». (Extrait de la préface des Enseignements de Ramana Maharshi).

Dans une civilisation où le mental est parfaitement maîtrisé chez chacun de ses membres, à l’exemple plus haut de la guêpe et de l’oiseau, il ne peut pas exister de violence, il ne peut pas y avoir de guerre, et ce qu’il s’en suit : il ne peut pas y avoir de commerce ou dualité sujet-objet, manque-reste, dedans-dehors.
Le régime républicain EST UN SPIRITUALISME en forme d’une « isme » ou système, une institutionnalisation détournée dans un but opinionesque ou idéologique par les systèmes dogmatiques, religieux, sectaires et mercantiles, qui enseignent des sens arbitraires et invérifiables : ça s’appelle « la dialectique historique matérialiste », les faits sont invérifiables, parce qu’ils sont la dimension du mental qui reconstitue l’événement en attachant un instant qui passe à un autre instant : « la reconstitution de l’événement, d’une ”re-composition” de ce qui a été ‘dé-composé’ par le temps. L’histoire « re-créé » une durée intellectuelle, un enchaînement logique (raison) entre des moments abolis en tant que tels, elle « re-fait » les faits et les déforme d’autant. Il y a des faits proprement dits et scientifiquement observables dans la seule mesure où ces faits peuvent être reproduits dans les mêmes conditions(2). Le « fait religieux » et le « fait magique » n’existent pas en tant que « phénomènes observables » car, dans les sciences humaines, l’observateur est lui-même engagé dans le système qu’il observe et il y apporte tant d’éléments d’incertitudes que l’on ne saurait accorder quelque crédit à une méthode qui, prétendant décrire « objectivement » les faits historiques, prouve ainsi qu’elle méconnaît et la notion de fait et la notion d’objectivité ». (En réf. à René Alleau : Aspects de l’Alchimie Traditionnelle).

Notes.
1. SORTIR DE L’ABSOLU = S’ATTACHER À.

Qu’il faille s’attacher à certain Instant, c’est certain, Mais SANS fixation, sans coagulation conformément au principe du « Gate gate pâragate pârasamgate bodhi svâhâ » du Soûtra du Diamant (Allé, allé, allé au-delà, allé complètement au-delà, l’Éveil, ainsi). S’attacher à un Instant comme on se promène dans un Paysage. S’attacher = cultiver pour soi-même, coaguler, fixer ou concentrer, stocker, CELA MÈNE AU POUR-VOIR, LE POUVOIR DES VOYEURS : UN CONSOMMATEUR DE CONCENTRATION DEVIENT UN BÉNÉFICIAIRE : IL S’ATTACHE, IL FABRIQUE UNE DURÉE DE CONCENTRATION.
LA CONTINUITÉ DE LA PRÉSENCE CULTIVÉ OU ARTIFICIELLE D’INSTANT EN INSTANT DEVIENT, EN ELLE-MÊME, SUSPECT, CAR CHARGÉ D’EFFORT DE SPATIO-TEMPOREL : ÉCHO DU VIOL PAR L’EGO, D’OÙ L’AVERTISSEMENT TRADITIONNEL : « NE PAS ATTACHER UN INSTANT QUI PASSE À UN AUTRE INSTANT ».

Lorsque l’état d’attention divisé en sujet-objet dissout le centre fictif : le ‘Nous’, là commence le SUBJECTIF en forme du CHAHUT DE L’EGO qui peut se confondre avec ZÉRO INDIEN en une sorte d’ENTRE-DEUX chargé de promesses. C’est là qu’entre la clé principale : LA SIMPLICITÉ. Clé qu’IL NE FAUT JAMAIS PERDRE. La concentration fuit le compliqué et le winnerisme et les originalités. C’est pourquoi il n’est rien de plus difficile, surtout à nostre époque de Big Brother et de tous connectés, QUE LE SANS TRACE, de plus délicat que la légèreté dans ce monde du PLOMB-PESANTEUR ou loi de succion vulgaire : comment ne pas laisser de trace dans une neige vierge qui se dépose sur la POINTE de l’Instant ? (Les Artistes-Artisans autrefois NE SIGNAIT PAS LEURS ŒUVRES, le commerce n’était pas installé).
Il y faut l’habit de la PUTRÉFACTION, DE L’INSAISISSABLE, DU NON-DÉSIR.
LE PONTIFE, CELUI QUI FAIT PASSER LE PONT À L’ADEPTE, DÉCLARE : NE VOUS PLANQUEZ PAS MÊME DANS LE SANS TRACE ; ce qui correspond au Principe du GATE GATE et du VOLATIL par rapport au COAGULE (du Plomb). Se planquer, se réfugier = se coaguler….

2. Sortir de l’Univers = seuls les humains fabriquent des « lois », donc des OPINIONS, des SYSTÈMES : science-expérience reproductible et contrôlable par d’autres en tous lieux et toutes saisons. Ainsi, il s’agit ici d’une technique à l’état de veille et dans le spatio-temporel, dans le conventionnel, et non d’une Science, non d’une Vérité !

Publié dans - Insaisissable Yokai | Marqué avec | Commentaires fermés sur Guerres et sortie de l’UNivers

Matière Conscience et Énergie Gratuite infinie

Matière Conscience et Énergie Gratuite infinie
la SCIENCE des Anciens du ”Paléolithique”…..
Objets ou matière n’est que des désignations conventionnelles dépourvues de référent, il n’y a pas de matière ou d’objet. En l’absence d’objet de matière, il n’y a pas de sujet ; et en l’absence de sujet et de matière-objet, la mise en valeur du temps est impossible. C’est pourquoi on peut parler de TRANS-PARENCE : PASSER AU TRAVERS (de la matière-objet) : LA CONSCIENCE INFINIE OU CONSCIENCE SEULEMENT EST CE QUI « PASSE » (comme l’air, comme le souffle, le vent, comme la CONSCIENCE FONDAMENTALE ET INFINIE).

Pouvoir politique et pouvoir économique sont totalement différent mais ils sont UN dans le sens où le pouvoir économique est le CENTRUM CENTRI : LA Connaissance de la Conscience Infinie, et ensuite seulement les techniques et possibilités pratique de leur mise en œuvre pour le plus grand bien de L’ENSEMBLE de toutes formes de vie. Ensuite vient naturellement le pouvoir politique : la mise en harmonie de l’ensemble des noms-les-formes de la planète, ce qui implique le premier pouvoir : celui de l’économique au sens qualitatif réunissant la Science et sa fonction politique et technique. Ce qui va engendrer de manière naturelle en troisième lieu : le pouvoir spirituel.

Le scribe de la page a rêvé cette trinité des trois pouvoirs en appuyant son front sur un immeuble, un mur… et il passe au travers sans même s’en rendre compte. IL ouvre un « chemin » dans lequel il voit clairement à la fois le « réel » et la zone « hyper-espace », qui ressemble à l’intérieur d’un gâteau, un flan, genre flan antillais : tout est comme en partie TRANSPARENT, à l’Image du GATE GATE (« Gate gate pâragate pârasamgate bodhi svâhâ » du Soûtra du Diamant [Allé, allé, allé au-delà, allé complètement au-delà, l’Éveil, ainsi]).
Donc pas besoin de vaisseau spatial avec moteur à hyper-propulsion, il faut d’utiliser son front et la Glande Pinéale ». Extrait du rêve d’août 2010.

La TRANSPARENCE du « flan » correspond au DÉPASSEMENT DE LA RAISON, c’est le GATE GATE, les PORTES, LES TROUS, L’INSAISISSABLE, LE CACHÉ, LE FLÉAU (de la Balance), ce que les croyants appellent « Dieu ».
GATE GATE = plus on avance vers l’horizon ou vers le TROU BLANC et plus Il recule. À la vue de cette époque de l’après « siècle des Lumières », l’humain a PEUR DU MÉCHANT NOIR (il le rendait d’ailleurs esclave….). Il faut à cet humain des ”Lumières” du POUR-VOIR, du rationnel, du concret, DU CORPS, DE LA MATIÈRE, DE LA SAISIE ; ce qu’il ne peut pas éclairer, IL LE PASSE EN GATE GATE OU EN RÊVE. Combien d’enfants ont été paniqués par la PEUR aussi vague que menaçante d’un monstre caché sous le lit ou dans le placard à aspirateur.

La TRANSPARENCE du « flan » : on « voit » tout ce qui EST (son ”Je suis ce JE-SUIS”) comme contenue dans son « Je suis ce JE-SUIS » TELLE UNE SUPER TAUTOLOGIE : en Thème et Variation sera A ≠ A : le FLÉAU, ce qui est INSAISISSABLE, LE FLÉAU OU ANTI-MIEUX, ANTI-DIABLE, ANTI-ORGANISATUEUR.
SORTIR DE L’UNIVERS SORTIR DU SAINT CHAOSE = LE PRINCIPE D’IDENTITÉ-IDENTIFICATION EST UNE SAISIE, UNE CHOSE POSSÉDÉE, UN « MIEUX » EN QUELQUE SORTE. Or comme le Vrai cesse d’être vrai dés qu’il est vu ou identifié, par là même cette identification VOILE précisément ce que l’identité est supposé démasquer. La formule la plus populaire de la Lapalissade, la tautologie, oppose un démenti à ce que la tautologie voudrait exprimer. La Tautologie libérée de la Tautologie sera alors : A est A (et non A = A).
Le Seul Réel est sans définition, insaisissable, comme le Soi, comme la Conscience fondamentale ou infinie.

TRANSPARENCE : le Nom ou le Gate Gate n’est jamais objectivé comme « vérité », comme référent ou comme Instant pouvant être attaché à un autre Instant : La vérité tout entière ne peut consister en un puzzle de vérités partielles cueillies un peu partout. Le Tout est autre chose et plus que le total des parties.

TRANSPARENCE : pas besoin de « voir » puisque le CORPS-EGO (l’état de veille et de rêve) N’EXISTE PAS : on « voit » COMME SI on était DANS L’ŒIL, on EST L’ŒIL ET ON NE L’EST PAS EN MÊME TEMPS !!!
LA TRANSPARENCE DU FLAN : SE FONDRE DANS L’ENSEMBLE LUMIÈRE-MATIÈRE, FUSIONNER AVEC CET ENSEMBLE : UN EST LE TOUT, il n’existe pas la dualité MOI-COLLECTIF/MOI-INDIVIDUEL (on n’est pas un consommateur cheminant aux côtés d’autres consommateurs).

LA GLANDE PINÉALE

Cette Glande Pinéale, si importante, joua autrefois un rôle essentiel dans la vie fondamentale de tous les jours. Elle est symbolisé par la couleur Jaune et se situe à l’état de ‘Matière’ au niveau des Eaux Primordiales et est d’essence spirituelle.
Cette Glande Pinéale aux fonctions partiellement atrophiées maintenant, et qui autrefois possédait un rôle essentiel comme celui de pénétrer la matière : le Troisième Œil.
C’était une petite masse grosse comme un pois, de matière grise nerveuse attachée à la partie postérieure du troisième ventricule du cerveau, et qui contient presque toujours, dit-on, des concrétions minérales et du sable, et « rien d’autres ». Cette fin de phrase extraite de la Doctrine Secrète de H. P. Blavatsky est fondamental pour la suite de notre cycle terrestre après 2012.
DU SABLE : « Tout atome minéral, végétal ou autre, n’est qu’une concrétion d’Esprit cristallisé, ou d’Akâsha l’Ame Universelle », ne jamais oublier ‘l’électricité mentale’, ni ce qui se passe lorsque l’on donne un petit coup de maillet en bois sur un cristal : dégagement d’électricité par une étincelle bien visible à cause de la compression de la structure du cristal. Cette « propriété » est largement utilisée en électronique moderne, où on compresse mécaniquement la tranche d’un cristal et donc sa structure en rapprochant légèrement les atomes ; la rigidité de la liaison atomique de l’enveloppe externe en est assouplie, et les électrons libérées se déplacent à la surface. Une fois que la pression soit un maillet, soit d’une compression mécanique, le cristal reprend sa forme initiale. Contractions et expansions du cristal ne sont autres que ses VIBRATIONS (la fréquence).
Il y a un côté HYDRAULIQUE dans le sable, il est purificateur, liquide comme l’eau, abrasif comme le feu. Comme l’eau, il épouse n’importe quelle forme, il est donc symbole de MATRICE.

  • Comme écrit ici dans maintenant de nombreuses pages, Il faut voir, sentir les choses de L’INTÉRIEUR VERS L’EXTÉRIEUR : « L’œil de l’embryon humain se développe de l’intérieur à l’extérieur ». Le sculpteur Auguste Rodin expliquait déjà cela à qui voulait l’entendre.
    « L’œil de l’embryon humain sort donc du cerveau au lieu de faire partie de la peau, comme chez les insectes et chez la seiche. Le professeur Lankester – trouvant que le cerveau était une singulière place pour l’oeil et cherchant à expliquer le phénomène à l’aide des principes de Darwin – suggère une curieuse théorie d’après laquelle « notre ancêtre vertébré le plus ancien était une créature « transparente », chez laquelle, en conséquence, l’emplacement de l’œil importait peu ! Or, l’on nous enseigne que l’homme fut, en effet, une « créature transparente » à une certaine époque, d’où il résulte que notre théorie tient bon » explique H. P. Blavatsky. D’un autre côté cela semble paradoxale, car : L’Occultisme avec son enseignement, d’après lequel le développement graduel des sens se fait « de l’intérieur à l’extérieur », suivant les prototypes astraux, est bien plus satisfaisant. Le Troisième Œil se retira intérieurement lorsqu’il eut achevé son cycle…

« L’expression allégorique des mystiques hindous, qui parlent de « l’Œil de Shiva », le Tri-Lochana ou « aux trois yeux », est ainsi justifiée, trouve sa raison d’être, attendu que le transfert au front de la Glande Pinéale (jadis le Troisième Œil) n’est qu’une licence exotérique. Cela éclaire aussi le mystère – incompréhensible pour certains – du rapport qui existe entre la Clairvoyance anormale ou spirituelle et la pureté physiologique du Voyant. On pose souvent cette question : « Pourquoi le célibat et la chasteté seraient-ils une condition sine qua non pour devenir un Chéla (disciple) régulier ou pour obtenir le développement des pouvoirs psychiques et occultes ? »

Cette glande pinéale est en rapport avec la clairvoyance et le développement de techniques psychiques ayant bien-sûr sa source dans le plus petit LANGAGE ou SYMBOLE. Le Troisième Œil fut jadis un organe physiologique et plus tard, par suite de la disparition graduelle de la spiritualité et du développement de la matérialité, la nature spirituelle fut éteinte par la nature physique et cet œil devint un organe atrophié que les Physiologistes comprennent aussi peu que la rate, explique H.P. Blavatsky, dans la Doctrine Secrète, Vol.3)

« Durant la vie humaine, le plus grand obstacle qui arrête le développement spirituel, et, surtout, l’acquisition des pouvoirs de Yoga, n’est autre que l’activité de nos sens physiologiques. L’acte sexuel ayant lui aussi, par interaction, des rapports étroits avec la moelle épinière et avec la matière grise du cerveau, il est inutile de prolonger les explications. Il va sans dire que l’état normal ou anormal du cerveau, ainsi que le degré de travail actif du bulbe rachidien, réagissent puissamment sur la glande pinéale, attendu qu’en raison de l’existence dans cette région de nombreux « centres » qui gouvernent la plus grande partie des actions physiologiques de l’économie animale et aussi en raison du voisinage très rapproché des deux organes, une action « inductive » très puissante doit être exercée par le bulbe sur la glande pinéale.

La Glande Pinéale a beaucoup été étudié au 19è siècle, justement parce que ce siècle fut le démarrage du matérialisme démentiel qui nous donnera notre enfer actuel.
Toujours d’après la Doctrine Secrète de H. P. Blavatsky : l’Anatomy de Quain :
« C’est dans cette partie constituant d’abord la vésicule encéphalique antérieure primaire, dans son entier et, plus tard, la portion postérieure de cette vésicule, que les vésicules optiques se développent durant la première période et c’est en rapport avec la portion antérieure que se forment les hémisphères cérébraux et les parties qui les accompagnent. La couche optique de chaque côté est formée par un épaississement latéral de la cloison médullaire, tandis que l’intervalle qui les sépare et qui se prolonge vers la base, constitue la cavité du troisième ventricule avec son prolongement dans l’infundibulum. La commissure grise s’étend ensuite à travers la cavité ventriculaire… La partie postérieure du toit se développe à l’aide d’un processus spécial que nous retrouverons plus tard dans la glande pinéale, qui reste rattachée de chaque côté à la couche, par ses pédicules et, derrière ceux-ci, une bande transversale forme une commissure postérieure.

Le lamina terminalis (corps cendré) continue à fermer par devant le troisième ventricule et, au-dessous, la commissure optique forme le plancher du ventricule ; plus loin encore, en arrière, l’infundibulum descend pour s’unir dans la selle turcique avec le tissu adjacent au lobe postérieur du corps pituitaire.
Les deux couches optiques, formées par la partie postérieure et la partie extérieure de la vésicule antérieure, consistent tout d’abord en un simple sac vide de matière nerveuse, dont la cavité communique, en avant, de chaque côté, avec celle des hémisphères cérébraux en formation et en arrière avec celle de la vésicule céphalique moyenne (tubercules quadrijumeaux). Bientôt, en raison des dépôts croissants qui se font à l’intérieur, derrière, dessous et sur les côtés, les couches deviennent solides et, en même temps, une fente ou fissure apparaît entre eux, dans le haut, et pénètre dans la cavité interne, qui demeure ouverte en arrière et en face de l’entrée de l’aqueduc de Sylvius. Cette fente ou fissure, c’est le troisième ventricule. En arrière, les deux couches se continuent, unies par la commissure postérieure que l’on peut distinguer vers la fin du troisième mois et aussi par les pédicules de la glande pinéale…
Au début, les régions optiques peuvent être considérées comme des prolongements creux de la partie extérieure de la cloison des couches, lorsqu’elles sont encore à l’état vésiculaire. Au quatrième mois, ces régions sont distinctement formées. Elles se prolongent plus tard en arrière et prennent contact avec les tubercules quadrijumeaux.
La formation de la glande pinéale et du corps pituitaire présente certains phénomènes des plus intéressants, qui sont en rapports avec le développement du thalamencéphale ».

« Ce qui précède est particulièrement intéressant lorsque l’on se souvient que, sans le développement de la partie postérieure des hémisphères cérébraux, la glande pinéale serait parfaitement visible en enlevant les os pariétaux. Il est aussi très intéressant de noter les rapports évidents que l’on relève entre la région optique originairement creuse et les yeux, en avant, et, en arrière, entre cette région et la glande pinéale avec ses pédicules et enfin les rapports qui existent entre toutes ces parties et les couches optiques. Ainsi, les récentes découvertes qui ont trait au troisième oeil de la Hatteria Punctata ont une portée très importante au point de vue de l’histoire du développement des sens humains… »

« Il est bien connu que Descartes considérait la Glande Pinéale comme le Siège de l’Ame, bien que ce soit aujourd’hui considéré comme une fiction par ceux qui ont cessé de croire à l’existence d’un principe immortel dans l’homme. Bien que l’Ame soit unie à toutes les parties du corps, disait Descartes, il y a une partie de ce corps dans laquelle l’Ame exerce ses fonctions plus spécialement que dans tout autre. Et comme, ni le coeur ni le cerveau ne pouvaient être cette localisation ‘spéciale’, il en concluait que c’était cette petite glande qui était rattachée au cerveau et avait cependant une action indépendante, puisqu’elle pouvait être aisément animée d’une sorte de mouvement oscillatoire « par les esprits animaux qui traversent en tous sens les cavités du crâne ».

  • Tout est vibrations fréquences et donc CYCLIQUE. Ainsi : « Si ‘l’Œil’ impair est aujourd’hui atrophié chez l’homme, cela prouve qu’il fut jadis actif, comme chez les animaux inférieurs ; la Nature ne crée jamais la moindre, la plus insignifiante forme sans que ce soit dans un but déterminé et pour servir à quelque chose. Nous disons que ce fut un organe actif à l’époque de l’évolution durant laquelle l’élément spirituel régnait en maître, chez l’homme, sur les éléments intellectuels et psychiques à peine naissants. Et à mesure que le Cycle suivit son cours descendant, en se dirigeant vers le point où les sens physiologiques se développent pari passu avec la croissance et la consolidation de l’homme physique – les vicissitudes et les tribulations interminables et complexes du développement zoologique – cet ‘ŒiL’ médian finit pas s’atrophier, en même temps que les caractéristiques primitives spirituelles et purement psychiques de l’homme. Cet Œil est le miroir et aussi la fenêtre de l’Ame, dit la sagesse populaire et Vox populi, vox Dei ».

« Au début, toutes les classes et toutes les familles des espèces vivantes étaient hermaphrodites et pourvues d’un seul oeil, objectivement. Chez l’animal – dont la forme était aussi éthérée (astralement) que celle de l’homme, avant que les corps de tous les deux ne commençassent à évoluer leurs ‘vêtements de peau’, c’est-à-dire à évoluer du dedans au dehors, leur épais revêtement de substance ou de matière physique, avec son mécanisme physiologique interne – chez l’animal, disons-nous, le Troisième Œil était primitivement, comme chez l’homme, le seul organe visuel. Les deux yeux physiques de face ne se développèrent que plus tard, chez la brute comme chez l’homme, dont l’organe visuel physique occupait, au commencement de la Troisième Race, la même position que celui de certains vertébrés aveugles de nos jours, c’est-à-dire se trouvait sous une peau opaque. Seulement les phases de l’Œil impair, ou Œil primordial, chez l’homme comme chez la brute, sont aujourd’hui interverties, attendu que l’homme a déjà dépassé, durant la Troisième Ronde, cette phase animale irrationnelle, et se trouve avoir, sur la création simplement animale, une avance de tout un plan de conscience. Aussi, tandis que l’Œil Cyclopéen était, et est encore, chez l’homme, l’organe de la vue spirituelle, c’était chez l’animal celui de la vue objective. Ensuite cet Œil, s’étant acquitté de ses fonctions, fut remplacé, au cours de l’évolution physique du simple au complexe, par deux yeux et fut emmagasiné et mis de côté par la Nature pour d’autres usages dans des æons à venir ».

Cela explique pourquoi la Glande Pinéale atteignit son plus haut développement à l’époque la plus basse du développement physique. C’est chez les Vertébrés que cet organe est le plus prononcé et le plus objectif, tandis que chez l’homme il est soigneusement caché et inaccessible, sauf pour l’Anatomiste. Cela, toutefois, n’éclaircit pas davantage la question du futur état physique, spirituel et intellectuel de l’humanité, durant des périodes correspondant, sur des lignes parallèles, avec des périodes passées et toujours sur les lignes ascendante et descendante de l’évolution et du développement cyclique. Ainsi, quelques siècles avant le Kali Yuga – l’Age qui a commencé il y a environ 5.000 ans – il était dit dans le Vingtième Commentaire, si nous le paraphrasons pour le rendre compréhensible :
Nous [la Cinquième Race-Racine], dans notre première moitié [de durée] en avant [sur l’arc aujourd’hui ascendant du Cycle], nous sommes sur [on entre] le point moyen des Première et Seconde Races tombant en bas [c’est-à-dire que les Races étaient alors sur l’arc descendant du Cycle… ]. Calcule toi-même, Lanou (disciple, comme le Chéla), et vois.
En calculant comme on nous le conseille, nous trouvons que durant cette période de transition – c’est-à-dire durant la seconde moitié de la Première Race spirituelle, éthéréo-astrale – l’humanité naissante était dépourvue de l’élément cérébral intellectuel comme elle l’était sur son arc descendant.

Évolution des Races-Racines durant la Quatrième Ronde.
Le méridien des races peut être tenu par la verticale qui passe par la septième race, la première et le milieu de la troisième.
Le cycle descendant de l’évolution des races comprend le développement de la nature physique et intellectuelle, ainsi que la régression graduelle de la spiritualité. Le cycle ascendant comprend la réversion de la spiritualité, ainsi que la décroissance graduelle de la matérialité et de la simple intellectualité cérébrale.

  • RAPPEL : le mot RACE ne doit pas s’entendre comme actuellement, mais comme un terme employé en littérature spirituelle pour désigner une vague de vie, une phase de l’évolution, et n’a donc rien à voir avec la couleur de peau, ni avec le lieu de naissance, ni avec une quelconque croyance en des religions.
    D’autre part, le cerveau n’est qu’un ORGANE, un OUTIL comme un autre, il enregistre la mémoire, fait « prendre conscience de », mais n’est ni mémoire ni conscience. Nous faisons partie d’un ensemble.

Ce Troisième Œil était primitivement le seul organe visuel et donc source d’informations, et de vibrations… Les deux yeux physiques de la face ne se développèrent que bien plus tard, chez les animaux comme chez l’homme, dont l’organe visuel physique occupait, au commencement de la Troisième Race, la même position que celui de certains vertébrés aveugles de nos jours, c’est-à-dire se trouvait sous une peau opaque. Concernant le mot race, il ne faut pas l’entendre comme aujourd’hui, mais comme un mot employé en littérature spirituelle pour désigner une vague de vie, une phase de l’évolution, et ça n’a donc rien à voir avec une couleur de peau ni avec un lieu de naissance.
Ce Troisième Œil correspond à la TRINITÉ, si cher à Jean Coulonval (Synthèse et Temps Nouveaux), Trinité source d’éternité. Il faut bien voir que la matière n’est qu’une simple projection du mental ! comme l’explique de long en large Ramana Maharshi dans ses enseignements ; même si c’est une ‘conception’ bouddhiste.

Ce Troisième Œil porte différents noms : Devâksha en Inde, l’Œil divin ; en Inde on l’appelait aussi : Œil de Shiva, et il est lié au karma (actions de vies antérieures provoquant des effets dans l’Instant), donc cela rejoins la première ligne de cet article : possibilités de passer dans d’autres dimensions, puisqu’il y a couleurs, espace et vibrations. C’est donc avec cet organe qu’il y a lieu de parler de FEU, puisqu’il est question de spiritualité. Ce troisième Œil correspond donc à un POINT FOCAL SOURCE, à un PASSAGE débouchant vers autre chose.
Karma est un mot qui a de nombreuses significations et un terme spécial pour presque chacun de ses aspects. En tant que synonyme de péché, il signifie l’accomplissement d’une action dans le but de satisfaire un désir de ce monde et, par suite, un désir égoïste, qui ne peut manquer de nuire à quelqu’un d’autre. Karma, c’est l’action, la cause ; et Karma c’est aussi la ‘Loi de Causalité Morale’ ; l’effet d’un acte accompli d’une façon égoïste en présence de la grande Loi d’Harmonie qui dépend de l’altruisme. La Loi de Karma est inexorablement mêlée à celle de la Réincarnation (tout est cycle).

Il y aurait beaucoup à dire sur la glande pinéale, mais pour terminer ici sur ce sujet, il faut savoir que la glande pinéale avait atteint son plus haut développement à l’époque la plus basse et primitive du développement physique. « C’est chez les Vertébrés que cet organe est le plus prononcé et le plus objectif, tandis que chez l’homme il est soigneusement caché et inaccessible, sauf pour l’Anatomiste. Cela, toutefois, n’éclaircit pas davantage la question du futur état physique, spirituel et intellectuel de l’humanité… » explique encore H.P. Blavatsky.
La glande pinéale est donc l’indice de capacités astrales et de tendances spirituelles de l’être humain.

Pour terminer sur la glande pinéale, les Atlantes doivent avoir une grand part de responsabilité sur la dégradation de l’humanité ; en effet, ce furent ceux des Atlantes qui étaient les plus élevés spirituellement qui chutèrent en entrainant nombre de leurs frères dans l’abime. Mais mieux, ce fut peut-être Un seul qui chuta… Il faut comprendre qu’il n’y a rien de nouveau sous le Soleil et que out est un cycle éternel. « Ceux qui sont nés et ont été élevés dans la foi Chrétienne et qui ont été habitués à l’idée que Dieu crée une âme nouvelle pour chaque enfant nouveau-né, sont les plus perplexes de tous [à propos de renaissances et de karma]. Ils demandent si le nombre des Monades [chaque personnalité] qui s’incarnent sur la Terre est limité et on leur répond affirmativement. En effet, si inchiffrable que paraisse être, dans notre conception, le nombre des Monades qui s’incarnent, il faut pourtant qu’il ait une limite [même sur d’autres planètes habitables] », explique H.P. Blavatsky.

  • Fin de cycle, bientôt le temps de Choisir sa voie :
  • – Celle de la cupidité, du confort et du profit, des inventions débilitantes, de la souffrance et des privations, de la tempête et de la dureté.
    – Celle de l’amour (du A privatif : privation de mort), de la Paix et de l’Harmonie, de la vie et de l’abondance à son plus haut point, de la prière et de la méditation : se connaître soi-même.
  • On peut facilement comprendre pourquoi il y a des forces, visibles et surtout invisibles, qui ne veulent absolument pas que nous retrouvions notre spiritualité et notre VRAIE FOI : se connaître soi-même…
  • On ne meurt pas, C’EST IMPOSSIBLE. Mais depuis les tribus des Hébreux des ENTITÉS MORTIFÈRES AUX GROS EGO ET GROS COMPTES EN BANQUES NOUS FONT CROIRE QUE NOUS MOURRONS : LA PREUVE : ILS NOUS INJECTENT DES PRODUITS MORTIFÈRES PARCE QU’ILS RÊVENT D’AVOIR SUR LA PLANÈTE « 500 millions d’individus en perpétuel équilibre avec la nature », comme inscrit sur le premier ”commandement” des Georgia Guidestones. Ces entités mortifères soi-disant « sauveurs de l’humanité » engendrent partout le Chaos pour provoquer la quantité de 500 millions de personnes. ILS NOUS FONT CROIRE QUE NOUS MOURRONS COMME LE PRÉCISE LEUR ANCIEN TESTAMENT : le « péché originel » de la Bible, C’EST LE DÉSIR DE VIVRE POUR MIEUX CONSOMMER. LA VIE DEVIENT UN EXIL, UN CHÂTIMENT : le travail, ”gagner sa vie” ; TOUT LE CONTRAIRE DES ANCIENS DU PALÉOLITHIQUE QUI NE POUVAIENT QUE PENSER : LA MORT N’EST PAS UN MAL, comme le proclament les épitaphes tardives antiques PUISQU’ON NE MEURT PAS : LES ÂMES QUI PÉRISSENT PAR MALADIE DE CROYANCE AU CORPS NE DISPARAISSENT PAS, ELLES SONT ÉTERNELLES.

M. R.

[En haut de page : « Immeuble Fulcanelli » boulevard Pereire à Paris ; aquarelle de M. Roudakoff]

Publié dans - Insaisissable Yokai, Les News | Marqué avec , , , | Commentaires fermés sur Matière Conscience et Énergie Gratuite infinie

Le Trône d’Écosse

Le Trône d’Écosse
The Throne of Scotland
(Ouverture)

Opéra Bouffe en trois actes de Hector Crémieux et A. Jaime, musique de Hervé. Fait partie du répertoire du Théâtre des Variétés à Paris.
Arrangement et orchestration de Michel Roudakoff (révision de juin 2025). Merci beaucoup Maestro Hervé.

Cette musique est dédiée au Moucheron Cifé (avec le C, de la Chute ou une des moitiés de l’Essence sur Terre : éjection du jardin ou de la Cour (voir plus bas). Cifé a trouvé refuge pendant l’écriture de la musique (fin novembre 2022). Dans le C se trouve l’Unité en puissance. Sans oublier O-riant, et sur l’Empire : l’Occident ou chutant, l’O tombant ou éjecté du jardin. Le C de Coeur.

Pour : Piccolo, 2 Flûtes, 2 Hautbois, 2 Clarinettes en LA, 2 Bassons, 2 Cors en MI, 2 Trompettes en UT, 2 Trombones, Tuba, Timbales, Percussions, Grosse caisse, Piano, Violons 1 et 2, Altos, Violoncelles, Contrebasses.

Partition : Herve_trone_ecosse2025_Score

« MONTER SUR LE TRÔNE »
N’a pas toujours le sens d’aller aux toilettes faire ses gros besoins suivant le croyance au corps !
Signifie aussi : ÊTRE COUR, et pas au sens de la cour (étatisme). ÊTRE COUR : ENCLOS, CORBEILLE, VASE-VALLÉE.

Les médias du capital parlent de « l’homme le plus riche du monde » (en 2022 : Elon Musk). Mais, QUEL EST L’HOMME LE PLUS PAUVRE DU MONDE ? ET Y A-T-IL UNE DIFFÉRENCE ?

Bhavagân décrit la partie de sa vie de mendiant dans Ramana Maharshi au jour le jour : 30-5-1946 : « Dans certaines maisons je ne recevais parfois que de la vieille bouillie, sans sel ni épices, que je mangeais en pleine rue sous le regard de grands pandits ou d’autres hommes importants qui avaient l’habitude de venir à l’ashram et de se prosterner devant moi. Puis je m’essuyais le mains sur ma tête et continuais mon chemin, suprêmement heureux et dans un état d’esprit où même les empereurs me paraissaient insignifiants. Vous ne pouvez pas vous imaginer cela. C’est ainsi que nous trouvons les textes des histoires de rois qui ont renoncé à leur trône pour suivre cette voix ».

Et à ce propos Bhagavân raconta l’histoire d’un roi renonçant à son trône et qui partit mendier.
Il mendia d’abord en dehors de son royaume, puis dans son royaume, puis dans la capital et finalement dans le palais royal, et c’est ainsi qu’il put se débarrasser de son ego.
Au bout d’un certain, il commença à mendier en ascète dans un autre royaume où il finit par être élu roi. Il l’accepta, puisqu’il avait perdu son sens du ‘je’, de la saisie, et pouvait agir en toute circonstance de vie EN SIMPLE TÉMOIN : ÊTRE COUR, MAÂT, DIRECT, SANS ESPACE-TEMPS. Et sans que les devoir de la royauté le tourmentent. Lorsque dans son propre royaume on apprit cela, on lui demanda de reprendre la royauté, ce qu’il fit, sachant que, quel que soit le nombre de royaumes sur lesquels il régnait, il n’était pas celui qui agit mais simplement un instrument dans les mains de Dieu ».

Et chez Tchouang-tseu, chapitre L’idéal du Souverain et du Roi :
– Veuillez me dire [Lao Tan] comment gouverne un homme éclairé ? demanda respectueusement Yang Tseu-kiu.
– Le roi éclairé, dit Lao Tan, étend partout ses bienfaits, mais il ne fait pas sentir qu’il en est l’auteur. Il aide et améliore tous les êtres sans qu’iceux sentent qu’ils sont sous sa dépendance. Le monde ignore son nom et chacun est content de soi. Ses actes sont imprévisibles et il s’identifie au néant [sens du Centre nulle part] ».
Résumé de l’état de ce roi : Le Centre est nulle part et la Circonférence est partout.
C’est le concept du NON-AGIR, du NON FAIRE/FER :

  • « Le non-agir domine la nomination [identification, saisie]
    Le non-agir referme les projets
    Le non-agir facilite les tâches
    Le non-agir guide l’intelligence.

Rejoint LE NUIT OBSCURE de Jean de la Croix : « Qui pénètre l’infini, rejoint l’invisible, perfectionne les dons qu’il a perçu du ciel [du Soi], délaisse tout préjugé [possessions, opinions], icelui saisit l’humilité de l’homme parfait, se sert de son mental comme d’un miroir ; il ne reconduit ni n’accueille personne ; il répond aux autres sans rien cacher ; il triomphe des êtes sans en être blessé [être Cour, non affecté par les opinions] ».

Tous enseignements, toutes lois et doctrines et logiques sont de vains bavardages : « Dès que l’encre est séché, nos formules [ou lois] sont fausses » disent les Anciens Chinois de l’École du Dhyâna. C’est pourquoi un Réalisé vivant ne donne jamais d’enseignement à quiconque ou de conseil particulier. A celui-là on peut lui confier le monde.
« Il est le miroir de l’Univers et de tous les êtres. Le vide, la tranquillité, le détachement [mais pas celui des Schwab-Harari et leur ”Vous ne posséderez rien et vous serez heureux”], l’insipidité, le silence, le non-agir sont le niveau de l’équilibre de l’Univers, la perfection de la voie et de la vertu. C’est pourquoi le souverain, le roi et le saint demeurent toujours en repos. Ce repos conduit au vide, un vide qui est plénitude [zéro indien], une plénitude qui et totalité [la logique juivo-occidental de leurs ”lumières” en bon occire tue le sens de la Vacuité en n’admettant pas des pas en dehors des lois… Ici il s’agit du SPONTANÉ, SANS LA FUREUR DU MENTAL, DONC EN SA VRAIE NATURE] ». (Tchouang-tseu).

Celui qui ne voulant pas ruiner sa santé pour la charge la plus importante du monde le ferait-il pour d’autres choses ? C’est seulement à celui qui se désintéresse du gouvernement du monde qu’on peut confier le monde » ; donc l’insaisissable par Tchouang-tseu, évidemment pas celui des Schwab-Harari !! C’est là toute l’AMBIGUÏTÉ du mot « INSAISISSABLE », PUISQU’IL EST JUSTEMENT INSAISISSABLE !
Que dire des gouvernements du régime républicain actuel et de leurs politiciens, TOUS POSSÉDANTS ???

Publié dans - Musiques | Commentaires fermés sur Le Trône d’Écosse