Dualité mentale Peuple élu/peuples non-élus
Les Hébreux pensaient que les Anciens Égyptiens n’ont été créées que pour être dépouillés, puis les poursuivants des Hébreux devenus forcément à un moment de l’histoire : ”Peuple élu”, dans la dualité mentale de Peuple élu contre peuples non-élus vont poursuivre cette dualité devenant de plus en plus socialocommerciale.
Dualité ou loi de succion vulgaire (Plomb-pesanteur du Peuple élu dépendant des peuples non-élus)
Les winners continuèrent leur croyance d’élu par la création des peuples non-élus afin de leur permettre la naissance de leurs banques (juives) pour leur job du dépouillement des peuples non-élus, job qu’ils vont appeler ”rendre service”(1).
Pour faire leur commerce le Peuple élu va systématiquement fabriquer ”la paix” évidemment nécessaire au développement de leur commerce dans la saisie du ”Votre ceci, votre cela”, et ainsi plus tard pouvait naître le ”droit d’auteur” et la ”propriété intellectuelle” !!! Mais la ”paix” était nécessaire pour que les ”troupeaux” du Peuple élu puisse CONSOMMER dans les ”verts pâturages” et les coagulés cités où vont se dresser les multiples demeures de tôle-boulons-acier-verre-béton : le monde des citoyenisés ou ”chasseurs de porcs (sangliers)”, dont les anciennes communautés de nommaient ”PORCHERIES” (CIVITATES, d’où le latin civis, et le grec potolites (de ptelas : truie) CITOYENS.
Le qualificatif de ”Porcher” était donc synonyme de ”Civilisation”, avant qu’il soit supplanté par celui de ”Cavalier” (qui plus tard donnera cette ”civilisation” de l’automobile et du pétrole)
Vraie Loi de Succion.
De la Terre et du Ciel on tire sa nourriture (inspiration ou Involution-Évolution). Comme TOUT LE COSMOS EST BASÉ SUR LA SPIRALE, SATURNE (ça toupie-tourne-fusée-fuseau(2)) ce sera le Patron de la CUISINE(3)!
Le patron de la Cuisine fera le Peuple Élu ”COMME SI” il y avait ceux qui s’abreuvent aux flots vivants : les élus, et ceux non-élus qui prennent l’eau de tuyau au robinet ! (Le robinet à ce hui étant le tous connectés de l’informatique des industries du capitalisme !)
JARDIN PARADIS signifie que le voile est levé sur ce qu’est réellement la Matière (Ma-Terre, le SOUFRE en Alchimie). Le curé d’Ars disait : « Si on se voyait sans masque [à ce hui, les deux : la persona et le masque covidesque], on mourrait ». L’ÉVEIL total serait comme la révélation de la signification de la mort elle-même.
Le curé d’Ars et la stance 17,31-33 de Nagarjuna disent le MASQUE du ”Faire semblant” qui cache la Vacuité : « De même que le Maître [le Buddha], par son pouvoir miraculeux, crée un être magique et que cet être magique, magiquement créé, en crée un autre à son tour [et avec l’I.A. Nous entrons plein pieds dans la concrétisation de la MAGIE, avec toutes les causes-effets augmentés], de même l’agent se présente comme un être magique, et l’acte accompli par lui est comme un deuxième être magique créé par le premier [socialisme]. Passions, actes, agents, fruits ressemblent à une ville de génies célestes [et de pouvoirs ou de transhumanistes], sont pareils à un mirage [eyes candy hollywoodien], à un songe ».
Le ”COMME SI” ce super Marque ISOLANT DU GRAND JEU DU FAIRE SEMBLANT QUI NOUS EMPÊCHE DE « MOURIR » (au sens du consommateur), QUI NOUS EMPÊCHE DE LA CONNAISSANCE DE NOUS-MÊME ET DONC DU Soi ou Christ.
Ainsi le monde et le ‘moi’ de la conscience ne sont ni réels ni irréels mais de l’ordre de L’ILLUSION, DU MASQUE DU ”COMME SI” comme l’énonce le curé d’Ars et Nagarjuna. C’est ce qui ARRIVE DANS LA FICTION : on com-prend, ON Y CROIT (on signe comme un CONTRAT), c’est une illusion en cascade ”COMME SI” la vérité tout entière ne pouvait consister qu’en un puzzle de vérités partielles cueillies un peu partout, telle que le procède une ”intelligence artificielle” à coups de transistors de l’industrie du capitalisme (les FAUSSES DIODES : anode-cathode).
MAGIE des hallucinations que, depuis l’absence de commencement, l’on perçoit ”COMME SI” il s’agissait d’objets AU DEHORS, DONC NE PAS SORTIR DE L’UNIVERS POUR-VOIR :
« Voir ainsi les choses [sans Dedans-Dehors], c’est abolir toute fiction d’objet et se libérer des mots et de leur sens tels que l’erreur se les approprie. Lorsque l’on sait que son propre corps et ses possessions, de même que l’espace ainsi occupé, ne sont que le champ d’expérience de la conscience fondamentale, il n’est plus de sujet pour se les approprier, plus aucun objet d’appropriation, et plus rien qui naisse et disparaisse [telle la dualité cause-effet] : la vision juste consiste à penser constamment de la sorte sans jamais se départir de cette réalisation » (Lankâvatâra, chapitre Compendium de tous les enseignements).
Tout ce qui arrive est de l’ordre de l’événement si winner de nos jours de tout connecté ! Mais PAS DE LA FIN OU DU SEUL RÉEL. Car rien de réel ni de définitif ne se produit dans le spatio-temporel.
Ici-bas seul le ’N’EST PAS X’ est libératoire comme le SILENCE et permet de dire MERDE à toutes opinions organisatrices du chaos fabriqué par le ‘je’ ego ; MERDRE à tous concepts de l’Ici et de l’Ailleurs qui n’est que dualité comme la mort et la chanson du Cavalier, de Garcia Lorca :
Cordoue.
Lointaine et solitaire.
Cheval noir, lune grande,
Et des olives dans ma sacoche.
Bien que je connaisse le chemin,
Jamais je n’atteindrai Cordoue.
Par la plaine, par le vent,
Cheval noir, lune rouge,
La mort est là qui me regarde
Du haut des tours de Cordoue.
L’ici et maintenant c’est Cordoue, et le cavalier s’en trouve définitivement éloigné, privé de toute relation avec autre chose que lui ; alors il n’y parviendra pas ; il pourra s’en approcher autant qu’il le voudra, il ne sera jamais ici et maintenant, puisqu’il est LÀ-BAS, ou AILLEURS. AUCUNE ROUTE NE MÊME D’UN AILLEURS À L’ICI comme on ne peut pas mettre fin au mental par le mental, comme une épée ne peut se trancher elle-même. Tout ce qui arrive est de l’ordre de l’Histoire-Opinion-Temps qui coule ou des images sur l’écran et non de la fin : rien de réel ni de définitif ne se produit ici-bas, c’est pourquoi il est imbécile de coller, par exemple, au mot « république » le mot « universel », qui ne peut que concerner le spirituel, soit le vrai sens du mot « politique » : « JE-SUIS » (Je suis ce JE-SUIS).
IL FAUT ÊTRE UN FINANCIER JUIF ET UN MATÉRIALISTE POUR
« PERDRE SON TEMPS » ET DONC PERDRE SA VIE (de créateur [d’emplois] et de produits-productions) !
Dans ce monde de WINNERS de Peuple élu et de ”jeux olympiques”, effectivement on risque de devenir un LOSER, un non-élu en perdant son temps, sa vie, et surtout son argent ! Les alexandristes ou transhumanistes veulent GAGNER DU TEMPS (vivre 1 million damnées) ; ils plaignent donc les morts ou plutôt les enfonce, les méprise comme Alexandre (Laurent). D’ailleurs, on ne plaint pas les morts : ils sont enfin délivrés des souffrances du spatio-temporel, ce sont donc les encore vivants qui sont à plaindre, qui sont à pleurer !
Comme le mot A-teindre, du A privatif et teindre = NE PAS TEINDRE, même Thème que Dé-couvrir.
TOUT EST DE L’ORDRE DU « COMME SI » : rien de réel ni de définitif ne se produit dans le spatio-temporel, dans l’histoire. C’est d’ailleurs ce qu’exprime le langage vulgaire quand il dénonce ironiquement l’illusion de ceux qui confondent les accidents du spatio-temporel avec le BUT, comme ceux qui avancent leur ”Plus jamais ça !”, ou leur ”Plus rien ne sera jamais comme avant” : « Le pauvre ! il CROIT que c’est arrivé ! » Ce qui signifie : c’est bien arrivé comme HISTOIRE ou ÉVÉNEMENT, mais cet événement n’a pas la coagulation (fixité, solidification) que vous lui attribuez : il sera balayé et remplacé par d’autres événements-marchandises (comme les actuels déluges d’infos) ; rien de ce qui arrive dans le spatio-temporel n’est réellement une ”arrivée” : LA MORT SEULE, OU LE SILENCE SEUL, PEUT FAIRE LE POINT FOCAL, LE SURFEU, ENTRE L’ÉVÉNEMENT ET L’ÊTRE.
L’homonymie entre arriver (au sens d’atteindre un but) et arriver (au sens de survenir, avoir lieu : PAN) désigne par le même mot deux concepts qui, creusés à fond, s’excluent l’un l’autre : tant qu’il arrive quelque chose ou que le mot FIN n’apparaît pas sur l’écran, on n’est pas arrivé ; et quand le mot FIN apparaît sur l’écran, il n’arrive plus rien et les spectateurs sortent de la salle de cinéma. C’est alors le ”Circulez ya plus rien à voir”.
L’espagnol pasar (passer), qui ne se confond pas avec llegar (arriver), souligne au contraire le caractère transitoire de l’événement : on passe comme on ”passe” dans la rue en étant un ”passant” (un usager au sens républicain ou consommateur…. car la république, c’est la démocratie-consommation….).
Le caractère transitoire de l’événement : comme les images qui défilent sur l’écran de cinéma, ou du smartphone, et alors tout semble se tenir : ON Y CROIT ! ON SAISIT, ON POSSÈDE, ON FAIT ”COMME SI”….
Et les meilleurs en ”COMME SI” sont probablement le Peuple élu : PAR LEUR MAGIE ILS CHARMENT, ILS VENDENT……… Et c’est le principe du MESSIANISME ou du SALUT : ÊTRE À LA ”MERCI” : du MESSIE qui surtout ne doit jamais arriver, sinon le moteur est cassé.
C’est pourquoi la dualité Ici et Ailleurs est créée afin que la LUMIÈRE, le MOTEUR, ou L’ESPRIT DEMEURE LE PRIVILÈGE DE L’AUTRE, ET DONC L’INVENTION PEUPLE ÉLU CONSIDÉRÉ COMME LE
« MOTEUR DU MONDE » (le Peuple-Prêtres conducteurs du monde) !
L’entité sioniste et son ”altruisme” talmudique(1) se comporte exactement dans la dualité du privilégié et du loser nécessaire au privilégié ; ”COMME SI” la lumière devait rester une étrangère à l’égard de ses propres ombres. Comme dans l’exemple de la Caverne de Platon : le prisonnier de la caverne, qui y voit peu et mal, ne gagne rien à en sortir : une fois arrivé au dehors il sera tellement ébloui qu’il en deviendra comme aveugle et ne pourra voir aucun objet autour de lui.
Le judaïsme est la parfaite dualité où la lumière doit demeurer le privilège de l’AUTRE, du DEHORS ; LE JUDAÏSME EST LE CONTRAIRE DU COURANT DE RAMANA MAHARSHI LE CONTRAIRE DE LA NON-DUALITÉ.
Si bien que le judaïsme peut effectivement devenir LE ROI DU COMMERCE ET DE LA RÉPUBLIQUE : LES PROJECTIONS en CHAINES SANS FIN DE CAUSES ET D’EFFETS, DES AVENIRS COMME LE ’ISME’ DE LA ”FIN DES TEMPS”, donc la CAROTTE pour faire avancer l’âne, le consommateur ; les rois du commerce sont des moteurs-objets ou des autorités pouvant en tout confort affirmer une fin des temps ou du monde (un ”réchauffement climatique”) qui demeurera sans effet sur le cours du monde, affirmer une extinction inéluctable de toutes choses qui ne compromettra rien dans l’Instant d’aucun nom-la-forme en particulier ! C’est d’ailleurs pourquoi dans l’étatisme, et dans une monarchie, il y a généralement un ”premier ministre”.
La DESTRUCTION DE GAZA entre nécessairement dans cette dualité de Peuple élu/peuples non-élus : les Palestiniens considérés par les « élus » comme des animaux, ou au mieux comme des losers. Et tant qu’il y aura des banques ou autres monnaie ”virtuelles” Nous seront toujours dans la dualité mentale Peuple élu/peuples non-élus. Hamas et Hezbollah ont certainement compris le problème depuis la création de l’entité sioniste par la finance juive des Rothschild et Cie.
Tant qu’il y aura la dualité ombre-lumière, winners-losers, il n’y aura aucune Vraie Paix sur Terre.
Notes.
1. Capitalisme : WINNERISME et ”Peuple élu” : « Privilège du petit nombre, le capitalisme est impensable sans la complicité active de la société » (Fernand Braudel).
Le petit nombre, c’est le Peuple élu : les vendeurs, et les acheteurs, ce sont les COMPLICES ou CLIENTS, les peuples non-élus et clients-complices du Peuple élu et de leur ”altruisme” talmudique.
Emprise mentale ou racine du mal : la dualité Dedans-Dehors avec naissance de la SAISIE.
Exemple d’emprise mentale dans le capitalisme juif et leur ”mise en valeur du temps” pour soi-disant ”racheter les péchés” (système du tikkounolamisme rabbinique ou réparation) :
En 1840 les frères Abraham et Simon Oppenheim déclaraient ceci : « Vendre une perle que vous avez à quelqu’un qui en a envie, ce n’est pas faire des affaires ; mais vendre une perle que vous n’avez pas à quelqu’un qui n’en veut pas, voilà ce qui s’appelle faire des affaires ». (Réf. page 451 du livre de Jacques Attali, Les Juifs, le monde et l’argent).
Que copia probablement Jacques Lacan : ”L’amour, c’est offrir à quelqu’un qui n’en veut pas quelque chose que l’on n’a pas“. Donc être sous l’emprise de l’amour.
Saisir = déception….. Et principe de L’IDOLÂTRIE DE LA MARCHANDISE, L’EMPRISE MENTALE : LA DROGUE, LE BESOIN ET LE ”TOUJOURS PLUS” EN ÉVOLUTIONNISME APPELÉ AUSSI ”SALUT”, LA DÉMOCRATIE : FABRIQUER LE CONSENTEMENT-CONSOMMATEUR ET AINSI ÊTRE FORCÉMENT PERPÉTUELLEMENT DÉÇU, BLASÉ, INSATISFAIT, ANGOISSÉ (d’où le principe sans fin et qui a toujours faim des RÉFORMES… ”Agiter le peuple avant de s’en servir”…).
RESSENTIR L’ATTRACTION ”UNIVERSELLE” OU LOI DE SUCCION EN UN APPÉTIT INSATIABLE, ÊTRE SOUS EMPRISE.
1892, le prince André Poniatowski (1864-1954) décrit le mode de vie des Seligman :
« L’argent en lui-même n’a pas de signification pour eux en dehors des affaires […]. Ils ne parlent que sport, littérature, art, spécialement musique, financent des œuvres et leurs partis politiques, et sont par-dessus tout dévoués à la vie de famille, avec une intensité qu’on ne trouve aujourd’hui que dans les provinces françaises […]. La vie de ces hommes, mis à part leur goût pour le sport, ressemble à celle des banquiers des vieilles maisons de Lyon », cité par Jacques Attali, dans Les Juifs, le monde et l’argent.
Le spatio-temporel, ce monde des accidents : CROIRE (la laïcité à la française n’existe que pour ceux qui y croient), COMME LES HÉBREUX QUI CROYAIENT QUE LES HUMAINS (les Cananéens), DONC LES ÉTRANGERS, N’AVAIENT ÉTÉ CRÉÉS QUE POUR LES SERVIR ET POUR ÊTRE DÉPOUILLÉS ; la preuve, les paroissiens qui se prétendent leurs descendants font commerce, échangisme, socialisme ou république, et proposent leurs ”services”, comme le rappel Jacques Attali, dans Les Juifs, le monde et l’argent, soit la forme de l’évolutionnisme, la religion du progrès ou darwinisme, sorte d’”Intelligent Design” : A-MÉLIORER (réparer), sous leur antienne talmudique en forme ”d’altruisme talmudique” : « RIEN N’EST BON POUR LES JUIFS SI CE N’EST BON AUSSI POUR CEUX QUI LES ENTOURENT » (Pages 166, 340, 359, 365). Donc vendre des services : acheter, vendre, acheter, vendre et évidemment ORGANISER pour cela et pondre des institutions et des lois et des complications, des divisions, des guerres…
Pour les bellicistes de la technologie liée au capital, dont la ”santé”, nous vivons un véritable âge d’Or : tanks équipés pour combats nocturnes, missiles sol-air détruisant les missiles sol-sol, etc., jusqu’au smartphone, et évidemment les drogues légales et illégales c’est kif-kif de Big Pharma et Big économies de la City de Londres, tous crèchent dans la même crèche. Cet « âge d’or » du transitionisme (transition de ceci, transition de cela), le capitalisme cherche désespérément son ”Oiseau Phénix” pour renaître).
2. Toupie, rejoint aussi la HACHE à la fois arme et outil (pour les Anciens Crétois le symbole le plus sacré était la double hache : Labryx, censée représenter le Dieu suprême chez les Chaldéens. On retrouve cette double hache chez les Aztèques, qui symbolisait leur souverain. « Il existe encore en Afrique centrale des tribus où cette double hache occupe une hutte spéciale comme un grand chef », C.W. Leadbeater, Le côté occulte de la Franc-Maçonnerie. Leadbeater confirme que le LABRYX symbolise l’ÊTRE SUPRÊME : « Tout récemment d’importantes fouilles archéologiques ont été entreprises dans l’île de Crète, parmi les objets découverts se trouve le symbole de la double hache qui, là aussi, représentait la Divinité. Dans les cours extérieures des temples du grand royaume de Knossos se trouvaient de nombreuses statues mais, pénétrait-on dans le Saint des Saints, il n’y en avait plus ; là était dressée la double hache, symbole de l’Être Suprême ; elle s’appelait le Labrys. C’est l’origine du mot labyrinthe, car le premier labyrinthe fut construit afin qu’en son centre fût placé le symbole sacré, et l’accès en fut déguisé pour figurer la difficulté du chemin qui mène au Très-Haut. Les légendes du Minotaure, de Thésée et d’Ariane sont bien moins anciennes. Jusqu’à ces découvertes récentes le mot grec labyrinthe était donné comme un vocable étranger dont la dérivation était inconnue »). Ariane : le fil d’Ariane….
En anglais hache se dit AX, AXE, comme le Centre de l’Univers. L’Axe est un symbole fondamental, comme l’essieu plus tard nous donnera le CHARIOT. L’essieu supporte la totalité du poids du chariot ; il est fixe et les deux roues tournent sur les fusées. Donc nous avons une triade (voir la Triskell celte avec le signe du S cher à l’art gaulois), et l’idée de
« roue » ou chose qui tourne (Saturne) ou figure un cycle, un rythme, évoque les cycles lunaires et solaires, l’ombre courant sur un cadran solaire indiquant une PÉRIODE, etc.
La Vacuité est représentée par l’immobilité du Vide au centre du moyeu-Axe d’une roue qui ne cesse de tourner : comme la TOUPIE. Le Centre est nulle part (et la Circonférence est partout).
Le FUSEAU tourne uniformément entraînant la rotation de l’ensemble, comme un éternel retour. Le symbolisme du Fuseau est celui du destin : sans pitié ni sentiment, les Parques filent et défilent le temps de la vie : le double aspect de la vie, Involution/Évolution révèle le PARADOXE DE LA RÉALISATION DU SOI : « Le ‘Je’ rejette l’illusion du ‘je’ et cependant demeure en tant que ‘Je’. Tel est le paradoxe de la réalisation du Soi. Ceux qui sont déjà réalisés n’y voient aucune contradiction ». (Ramana Maharshi, entretien 28 du 4-2-1935). Le pouvoir de Dieu est aussi celui du Dia-ble : à travers, les deux se confondent, comme les Parques, dans ce pouvoir de la mort qui est d’annuler ce qui a existé, de faire en somme que ce qui existe n’est pas d’existence. Ainsi : « Dieu créa l’homme ; et l’homme créa Dieu. Ils sont tous deux les créateurs des noms et des formes. Mais en réalité, ni Dieu ni l’homme n’ont été créés ». (Ramana Maharshi, entretien 264 du 20-10-1936). Comme si la nécessité de la mort résidait dans la non nécessité de la vie…
Ce que désire l’Être humain, c’est la VIE (et non pas la pensée, la ”raison” : LA CAUSE PREMIÈRE, LA COAGULATION ou CALCUL, LES CAILLOUX, COMPTER, CALCULER, FABRIQUER LE TEMPS : PRÉ-VOIR, SÉCURISER).
Sans cause-effet, sans ici et ailleurs, aucune faim et c’est la fin de la loi de succion vulgaire et la Vraie Liberté retrouvée, le Plomb-pesanteur n’aura jamais existé….
3. Saturne : FEU CONTRE NATURE : Un des principes matériels, Le Portier du Palais : Saturne, matérialisation de l’Esprit, la chute dans la Matière Terrestre, involution.
Le Feu naturel du Mercure Philosophique. Le VASE.
Patron de la Cuisine veut aussi dire « ORGANISER », « ADMINISTRER » et TROMPER par le ”COMME SI”, par le GRAND JEU DU FAIRE SEMBLANT (COMMERCER).
LA FLAMME FROIDE OU UNIQUE FLAMME (pas celle du feu vulgaire de la thermodynamique !à). Vrai Feu : INSAISISSABLE, INCOMPRÉHENSIBLE. Si elle est saisi, c’est effectivement le SATAM ou Administrateur : LA CHUTE DANS LA MATIÈRE, L’ANGE DES MONDES VISIBLES OU EN ”COMME SI”, LA JUSTICE (dualité).
Le YAHVÉ des Hébreux-Juifs est L’ANGE DE LA MATIÈRE, celui qui insuffle une PENSÉE à Adam et dont la planète est Saturne (ça tourne).
Le TRÔNE DU SATAM est la ”marchandise” : le monde ou cosmos entier, le Grand Jeu du faire semblant. Quand l’Église maudit Satan ou Satam, elle maudit la radiation cosmique du Soi, l’Insaisissable :
– M. : Il n’y a pas de plus grand mystère que celui-ci : nous cherchons à atteindre la Réalité alors que nous sommes la Réalité. Nous pensons que quelque chose nous cache notre Réalité et qu’il faut le détruire avant d’obtenir cette même Réalité. C’est ridicule. Un jour viendra où vous rirez vous-même de tous les efforts passés. Et ce qui sera le jour où vous rirez est déjà ici et maintenant.
– Q. : Alors, c’est un grand jeu du « faire semblant » ?
– M. : Oui.
Dans le Yoga-vâsishtha il est écrit : « Ce qui est réel nous est caché, mais ce qui est faux se révèle à nous comme vrai. » En fait, la seule chose dont nous faisons l’expérience, c’est la Réalité ; pourtant nous ne le savons pas. N’est-ce pas la merveille des merveilles ?
La recherche « Qui suis-je ? » est le glaive qui sert à trancher l’ego.
(Ramana Maharshi, 146, 26-1-1936).
La Genèse de l’UN se divise en 3, puis en 5, et enfin en 7 son sommet ; pour revenir à 4, puis à 3 et enfin à UN. Et ainsi de suite sans commencement ni fin………