À la Masse ou les Pieds sur Terre
PADAM le pied en sanskrit indique le Soi, l’Être véritable. Ainsi les Bottes du Chat Botté, le peuvent qu’indiquer : Padam, les PIEDS SUR TERRE OU ÊTRE ”À LA MASSE” bien-sûr au sens de la Réalisation du Soi : ÊTRE DANS L’INSTANT.
Ôter sa chaussure est déjà un ”pas” vers le Moi-Individuel (l’intimité, l’ego).
Le matérialiste et utilitariste Freud voit le pied comme un phallus, un pénis érectile, alors que le Pied est le symbole du Soi, le symbole de la Liberté (dans l’Empire romain à Rome les esclaves allaient pieds nus, parce qu’ils ne connaissaient pas leur Soi).
LE CHAT BOTTÉ OU GRIFFON (le Gripus des Grecs) : le X du ’N’EST PAS X’, du X ou IN-Stant le Point de Jonction ou COÏNCIDENTIA OPPOSITORUM (jonction des Contraires). Et non pas comme de nos jours l’évolutionnisme en forme de la chaîne stérile et sans fin des causes et effets du genre COAGULATION : thèse-antithèse-synthèse et ”Circulez ya plus rien à voir”, CONSOMMEZ !
La Vraie Formule est : Thèse-antithèse-union des Contraires = Gate Gate (« Gate gate pâragate pârasamgate bodhi svâhâ » du Soûtra du Diamant [Allé, allé, allé au-delà, allé complètement au-delà, l’Éveil, ainsi]) ; l’Union des Contraires est l’Infini, le Moteur de la Vacuité, constructive, comme la PUTRÉFACTION OU LA FERMENTATION-MOISISSURE (le Roquefort à moisissures bleues)…….
Fermentation-Moisissure-Putréfaction = SINGULARITÉ (en politique à ce hui on parlerait d’”autogestion”, sans État).
Le plus ancien Chat Botté : un corps de singe, des ailes d’aigles, une tête de chat ou de lynx, et des bottes nommées ”bassarides”. C’est Carabas, le ”pissi pissoudé” en chypriote récent, soit le ”petit”, ou le ”miscouri”, a rapprocher de ”mistigri” ; ”miscouri” : petit cave, à cause du lieu où il réside. La Cave, la grotte, le lieu où l’on trouve les trésors.
RAPPEL : Il y a deux visions antiques de l’éternité =
– Les Anciens Égyptiens TARDIFS, et ceux qui étaient riches et qui pouvaient se payer LA CONSERVATION DE LEUR CORPS par la momification, donc une Réalisation de leur Soi TORDUE, parce qu’ils imaginaient que leur âme était destinée à les ranimer ”un jour” : de là le soin qu’ils prenaient pour les conserver, les « coaguler », et rendre leurs tombeaux inviolables. C’était une singerie de Réalisation du Soi pour l’élite, LE WINNERISME ACTUEL, ET LE TRANSHUMANISME, VIENNENT DE LÀ.
– Les Races des Anciens qui enterraient leurs morts dans des VASES-VALLÉES-CELLIERS rendaient au contraire des Anciens Égyptiens, la dépouille à la Nature. À Leurs yeux la Mort était le SURFEU, le fameux ZÉRO DÉFAUT : la purification absolue, comme le soleil chaque soir « plonge dans l’Horizonocéan, pour renaître ensuite comme la régénération par le SURFEU. De là le principe du Surfeu par la Putréfaction, par la MOISISSURE-FERMENTATION (la Voie Humide).
BLANC de l’Instant = la Pointe de la TOUPIE(1) : l’HADÈS est caché, le ROUGE est caché [dépassé : Adam est ”dépassé”, le Vide est ”dépassé” pour laisser place au ”plein”]. L’Hadès ne peut qu’avoir la forme d’une POINTE : la TOUPIE dont la Pointe est ici-bas le Pôle arctique. Le Dieu qui présidait à cette extrémité était Bar Styx, dont le nom se rapproche de su, sue : savoir, ce qui est connu, ou dont on a été informé : l’IN-stant : le Un qui se manifeste = l’IN-formation ou l’IN-coagulation. C’EST LA POINTE, AUSSI FINE QU’UN CHEVEU PAR EXEMPLE.
En Égypte c’est PHAROS ou PHARAON : Celui qui éclaire, en Europe ce sera le BOURBON gaulois qui éclaire, me PRIAM des Troyens, le Brahma [en Inde : la fonction de la Création].
Tant qu’il y a une pensée, LA BLANC DE L’INSTANT ne se manifeste pas, la Pointe du « Un Point c’est le TOUT » ne se manifeste pas.
- IMPORTANT : « Tant qu’il y aura pensée, il y aura oubli. Il y a la pensée « Je suis le brahman » ; l’oubli survient ; puis la pensée ‘je’ surgit et, simultanément, la peur de mourir.
L’oubli et la pensée ne se présentent que pour la pensée ‘je’. Accrochez-vous à cette pensée ‘je’ ; elle disparaîtra tel un fantôme. Ce qui subsiste est le vrai ‘Je’. C’est le Soi. « Je suis le brahman » n’est qu’une aide à la concentration ; toutes les autres pensées seront écartées et seule cette pensée subsiste. Cherchez de qui elle est. Vous trouverez qu’elle provient du ‘je’. Et d’où vient la pensée ‘je’ ? Approfondissez cela. La pensée ‘je’ s’évanouira. Le Soi suprême resplendira de Lui-même.
Nul autre effort n’est nécessaire ». (Ramana Maharshi 202, 15-6-1936).
BAR STYX sera le X du ’N’EST PAS X’, LA COÏNCIDENTIA OPPOSITORUM : L’INSAISISSABLE, CE QUI EST CACHÉ.
Il a pour ”Ministre” le fameux Chat Botté : ”Putiphar”, dont le nom signifie ”Le fond de l’Abîme” et le ”Chat bourru” chef des étrangleurs. Sa femme porte le nom étrusque d’”Asnath”, en grec ”Thanatos”, la Mort, d’où le nom de thanatopraxie, technique de l’embaumement des cadavres. C’est à cette femme que Joseph laisse son manteau, donc son corps. Joseph : Âme du monde ou Soleil, et l’âme humaine lui est assimilée. Le soleil dépouillé des habits de la nuit, remonte tout nu dans le ciel : mais il est rattrapé et remis en tôle de chez Putiphar, l’Hadès, où on lui fait épouser la fille de Putiphar, Asnath, la Mort, ainsi il devient premier ministre du royaume de Mesraïm (l’Égypte).
L’histoire de Moïse reprend le drame solaire et de la pensée au point où le laisse celui de Joseph, la Mort. D’où Moïse devient le conducteur du monde ert de l’homme, à travers l’Hadès POUR LE RAMENER À LA TERRE PROMISE : « LE ROYAUME DES CIEUX EST EN VOUS », POUR TOUS, SANS CONDITION : LA RÉALISATION DU SOI, LA VRAIE DEMEURE DU SANS DEMEURE. Évidemment la ”terre promise” CE N’EST PAS Israël du sionisme (”un État juif”] et encore moins une ”Jérusalem céleste” mondialiste ; ce n’est donc pas le messianisme ou l’évolutionnisme sionistique à la Juif (”Le Grand Israël”) !
Chez Les Anciens le Soleil était féminin (en référence que chez les Anciens les cultes étaient tournés vers le MÈRE DIVINE ; avec l’arrivée du Patriarcat le soleil ne pouvait qu’être masculin).
« TERRE PROMISE » = LA FONCTION DU GATE GATE : L’ITINÉRAIRE N’EST PAS ITÉRER (Re-commencer) : on n’atteint pas, comme le précise la Chanson du Cavalier(2). Parce que le Vrai devient FAUX dès qu’il est vu ou possédé.
ON N’ATTEINT PAS LA TERRE PROMISE, CE N’EST PAS UNE POSSESSION, UN COPYRIGHT ! ON N’ATTEINT PAS INNÉ-IGNÉ-AGNI (du feu Agni et en conséquence de M-Agni-F-ique) ; ON N’ATTEINT PAS LA RÉSURRECTION : ON EST DÉJÀ LA RÉSURRECTION : la preuve : LA TERRE PROMISE OU FERMENTATION-PUTRÉFACTION, car c’est bien de CELA qu’il s’agit.
Une épigraphe sur le SURFEU le confirme : « Cellier de décortication et de moisissure [Osiris est découpé en morceaux] – Issu de la Mort, grouillement [de Fermentation], puis de liquéfaction, ainsi purifié par la Mort.
C’est ainsi « Le Royaume des Cieux est en Vous », les stations du Royaume de la Putréfaction, de la Fermentation et de la Moisissure : le GATE GATE UNIVERSEL.
Il y a une dalle au Musée du Louvre, dalle qui servait de Porte, on y lit : « Cellier de décortication [Osiris coupé en morceaux] de la tribu de Hamtma [sud-ouest), Porte du Silence ». Dans l’intérieur se trouvaient d’autres dalles avec les épigraphes suivantes : ”Porte du Silence”, ”Station du Silence”, ”Station de la Fange”, ”Dépouillement des Os”, ”Porte de l’Issue’ (le GATE GATE).
Cette dernière était un trou rond, dans la voûte par laquelle était censée s’échapper l’hirondelle ou la chouette, que les Égyptiens nommaient ”Men”, le Souffle, dont les Latins ont fait Minerva : le Souffle (ou la Lumière) qui s’échappe. Bref : C’EST CE QUI S’ÉCHAPPE DE LA FERMENTATION-PUTRÉFACTION.
Le transhumanisme est UNE RELIGION, la même que celle de l’Ancien Testament : LA BIBLE, LE PÉCHÉ DU DÉSIR DE VIVRE, LE CONTRAIRE DE FERMENTATION-PUTRÉFACTION, LE CONTRAIRE DE CE QUI EST CACHÉ, ET INNOMMABLE : ILS VEULENT TOUT D’O-MINER-NOMMER (et ré-parer ; parer à nouveau ou réitérer) À COUPS DE MACHINES ET ORDINATEURS………
D’O-miner = miner, abattre et dé-battre, détruire l’Origine.
La plupart des épitaphes antiques proclament que LA MORT N’EST PAS UNE FIN.
Or à ce hui de démence technologique, la Mort, c’est la fin de tout ! Et les transhumanistes comme les Laurent Alexandre ne veulent pas pourrir-mourir mais vivre ”Un million d’années”.
La Mort NE PEUT PAS être une fin puisque TOUT EST DANS TOUT : Nous sommes l’Univers, tout est ”interconnecté”, ce qui détruit toute dualité d’un sujet observant un objet et appelé ”objectivité”, ce winnerisme si ego de gogo.
Aucune objectivité n’a jamais existé et n’existera surement jamais : aucun phénomène ne peut en examiner un autre, la production de la pensée ILLUSIONNE « COMME SI » cela était possible ; Le caractère transitoire de l’événement : comme les images qui défilent sur l’écran de cinéma, et alors tout semble se tenir : ON Y CROIT ! ON SAISIT, ON POSSÈDE, ON FAIT ”COMME SI”….. COMMENT VOULEZ-VOUS QU’IL EXISTE ”QUELQUE CHOSE”, UN ”MONDE”, EN DEHORS DU MENTAL, AU SENS DU Soi, avec le concept de « non-être d’un quelconque ego » ? Pour qu’il existe un monde il faut COAGULER, FIXER, OPINIONER, PENSER, DÉTRUIRE, en prétendant construire…..
Toute dualité sujet-objet ne peut qu’être OPINION OU SUBJECTIVITÉ. C’EST LA PENSÉE HUMAINE QUI EST LA MORT QUI DÉTRUIT TOUT. LES MOTS SONT UNE SALOPERIE : ILS SONT TOUS PIÉGÉS : ILS NE DÉVOILENT PAS : ILS CACHENT, ET C’EST DE PIRE EN PIRE AVEC LES MASQUES ET MASCARADES DES MACHINES DE L’INDUSTRIE CAPITALISTE DE L’INFIRMATIQUE (pas de faute).
CE QUI DÉTRUIT, C’EST LE PLEIN, LA CERTITUDE, LE COAGULÉ OU FIXÉ, LE LOCAL OU SPATIO-TEMPOREL : LE ICI ET SON AILLEURS, LE PRO-JET, LE MESSIANISME. Toute matière de la moindre cellule aux montagnes est composé de 99,999% de VACUITÉ, et c’est le ”rien dans le TOUT et tout dans le Rien”, l’Univers, Nous-mêmes, saturés d’informations et en conséquence d’énergie. En conséquence nostre ADN est TOUJOURS en contact avec tous les noms-les-formes possibles et imaginables SANS sortir de l’Univers en imaginant un spatio-temporel, un ”extra-terrestre ”, un ”L’O-cable” ou liaison (une liaision-nisme actuellement autour du Moyen-Orient et de l’Empire USionistan.
Le Centre est nulle part et la Circonférence est partout.
« PADAM, le Réel, existe et bille comme vide omniprésent sans ni survenir d’où que ce soit, ni engendrer quoi de ce soit.
Bien que PADAM existe, imprégnant chaque [objet] du dedans comme du dehors, aucun objet n’existe jamais sans Lui ». (Padamalai, enseignements de Ramana Maharshi recueillis par Muruganar, 1890-1973, l’un des proches disciples éveillés de Ramana Maharshi)
La Comète de lumière éclatante apparue à la mort de Ramana Maharshi le 14 avril 1950 et qui traversa lentement le ciel se dirigeant vers Arunachala en disparaissant derrière le sommet, est LA PREUVE QUE TOUT EST LIÉ : L’UNIVERS C’EST NOUS TOUS.
« Ils disent que je vais mourir. Mais je ne pars pas. Où pourrais-je aller ? Je suis là ».
Notes.
1. Toupie, rejoint aussi la HACHE à la fois arme et outil. En anglais hache se dit AX, AXE, comme le Centre de l’Univers. L’Axe est un symbole fondamental, comme l’essieu plus tard nous donnera le CHARIOT. L’essieu supporte la totalité du poids du chariot ; il est fixe et les deux roues tournent sur les fusées. Donc nous avons une triade (voir la Triskell celte avec le signe du S cher à l’art gaulois), et l’idée de « roue » ou chose qui tourne ou figure un cycle, un rythme, évoque les cycles lunaires et solaires, l’ombre courant sur un cadran solaire indiquant une PÉRIODE, etc.
La Vacuité est représentée par l’immobilité du Vide au centre du moyeu-Axe d’une roue qui ne cesse de tourner : comme la TOUPIE. Le Centre est nulle part (et la Circonférence est partout).
Le FUSEAU tourne uniformément entraînant la rotation de l’ensemble, comme un éternel retour. Le symbolisme du Fuseau est celui du destin : sans pitié ni sentiment, les Parques filent et défilent le temps de la vie : le double aspect de la vie, Involution/Évolution révèle le PARADOXE DE LA RÉALISATION DU SOI : « Le ‘Je’ rejette l’illusion du ‘je’ et cependant demeure en tant que ‘Je’. Tel est le paradoxe de la réalisation du Soi. Ceux qui sont déjà réalisés n’y voient aucune contradiction ». (Ramana Maharshi, entretien 28 du 4-2-1935). Le pouvoir de Dieu est aussi celui du Dia-ble : à travers, les deux se confondent, comme les Parques, dans ce pouvoir de la mort qui est d’annuler ce qui a existé, de faire en somme que ce qui existe n’est pas d’existence. Ainsi : « Dieu créa l’homme ; et l’homme créa Dieu. Ils sont tous deux les créateurs des noms et des formes. Mais en réalité, ni Dieu ni l’homme n’ont été créés ». (Ramana Maharshi, entretien 264 du 20-10-1936). Comme si la nécessité de la mort résidait dans la non nécessité de la vie…
2. Le Silence est Saint Silence, parce que les mots-maux ne pourront jamais exprimer ce que cela EST, ils peuvent seulement suggérer, c’est-à-dire fonction en ”COMME SI”. Alors Nous ne pouvons qu’être comme dans la Chanson du Cavalier de Lorca :
INACCESSIBLE.
Cordoue.
Lointaine et solitaire.
Cheval noir, lune grande,
Et des olives dans ma sacoche.
Bien que je connaisse le chemin,
Jamais je n’atteindrai Cordoue.
Par la plaine, par le vent,
Cheval noir, lune rouge,
La mort est là qui me regarde
Du haut des tours de Cordoue.
(Poème de Garcia Lorca, la Chanson du Cavalier)
L’ici et maintenant c’est Cordoue, et le cavalier s’en trouve définitivement éloigné, privé de toute relation avec autre chose que lui ; alors il n’y parviendra pas ; il pourra s’en approcher autant qu’il le voudra, il ne sera jamais ici et maintenant, puisqu’il est LÀ-BAS. AUCUNE ROUTE NE MÊME À ICI. Tout ce qui arrive est de l’ordre de l’Histoire-Opinion-Temps qui coule et non de la fin : rien de réel ni de définitif ne se produit ici-bas.
Comme le mot A-teindre, du A privatif et teindre = NE PAS TEINDRE, même Thème que Dé-couvrir.
TOUT EST DE L’ORDRE DU « COMME SI » : rien de réel ni de définitif ne se produit dans le spatio-temporel, dans l’histoire. C’est d’ailleurs ce qu’exprime le langage vulgaire quand il dénonce ironiquement l’illusion de ceux qui confondent les accidents du spatio-temporel avec le BUT, comme ceux qui avancent leur ”Plus jamais ça !”, ou leur ”Plus rien ne sera jamais comme avant” : « Le pauvre ! il CROIT que c’est arrivé ! » Ce qui signifie : c’est bien arrivé comme HISTOIRE ou ÉVÉNEMENT, mais cet événement n’a pas la coagulation (fixité, solidification) que vous lui attribuez : il sera balayé et remplacé par d’autres événements (comme les actuels déluges d’infos) ; rien de ce qui arrive dans le spatio-temporel n’est réellement une ”arrivée” : LA MORT SEULE, OU LE SILENCE SEUL, PEUT FAIRE LE POINT FOCAL, LE SURFEU, ENTRE L’ÉVÉNEMENT ET L’ÊTRE.
L’homonymie entre arriver (au sens d’atteindre un but) et arriver (au sens de survenir, avoir lieu : PAN) désigne par le même mot deux concepts qui, creusés à fond, s’excluent l’un l’autre : tant qu’il arrive quelque chose ou que le mot FIN n’apparaît pas sur l’écran, on n’est pas arrivé ; et quand le mot FIN apparaît sur l’écran, il n’arrive plus rien et les spectateurs sortent de la salle de cinéma. C’est alors le ”Circulez ya plus rien à voir”.
L’espagnol pasar (passer), qui ne se confond pas avec llegar (arriver), souligne au contraire le caractère transitoire de l’événement : on passe comme on ”passe” dans la rue en étant un ”passant” (un usager au sens républicain ou consommateur…. car la république, c’est la démocratie-consommation….).
Le caractère transitoire de l’événement : comme les images qui défilent sur l’écran de cinéma, et alors tout semble se tenir : ON Y CROIT ! ON SAISIT, ON POSSÈDE, ON FAIT ”COMME SI”….