Droit d’auteur = Genèse 15,18-20

Droit d’auteur = Genèse 15,18-20 : un dieu qui ”donne’, qui fait dans le politisme de l’utilitaire spatio-temporel.
Se ”croire” agressé comme le fait le judaïsme rabbinique et le sionisme c’est CRÉER UN BESOIN tel le AGRESSÉ-AGRESSEUR ou VENDEUR-CLIENT, c’est augmenter la dualité sujet-objet et Dedans-Dehors par la SAISIE, PAR LE BESOIN, PAR LA CAUSE-EFFET SANS FIN ET DE CE FAIT :
STÉRILE EN FORME DE TEMPS AUGMENTÉ, OPINIONÉ, L’INGÉRENCE ANGLO-SAXONNE ET SIONISTE QUI RÈGNE PARTOUT ACTUELLEMENT ET QUI PRÉTEND ”ORGANISER” LE SAINT CHAOS (tiqounisme) AU NOM DE LEUR YAHVÉ (tiqounisme)

JUDAÏSME = HOLLYWOOD (les principales usines de productions hollywoodiennes de f(r)ictions et de fric sont judaïques)

SEUL L’ÉTAT DE CHRIST AU SENS GÉNÉRIQUE PERMET DE NE JAMAIS INTERVENIR DANS LES ÉVÉNEMENTS ORDONNÉS PAR LE DIVIN,
QUI EUX-MÊMES NE DÉVIENT NULLEMENT DE LA SPIRALE (la droiture n’existe pas seul existe le direct : Maât en forme de spire et de cycle).

Ce QUI ordonne Tout, contrôle le destin des âmes selon leurs actions. Que l’on fournisse des efforts ou non, ce qui est destiné à ne pas se produire, ne se produira pas. Tout ce qui est destiné à se produire se produira, quoique que l’on fasse pour l’en empêcher. Alors : être comme le SAGE : SILENCIEUX, SANS OPINION.

L’attitude de NON-INGÉRENCE de Ramana Maharshi peut prendre des formes extrêmes, comme le montre l’anecdote rapportée par un disciple de Ramana Maharshi : Kunju Swâmi, résidant à l’ashram :
« Un jour, alors que Niranjanananda Swami, le frère de Shri Bhagavan [le Maharshi], était physiquement soulevé par un groupe de personnes qui menaçaient de le tuer, Il (Bhagavan) demeura absolument imperturbable. Il ne tourna même pas la tête dans leur direction.
Le soir, quand Niranjanananda Swami rentra indemne et s’assit en face de Shri Bhagavan, ce dernier ne fit aucun cas de son retour sain et sauf. Bien-sûr, c’était sa grâce qui avait sauvé Niranjanananda Swami ce jour-là mais c’est là un tout autre sujet.

Padam (pied en sanskrit et sens de Soi) est COUR(1) : aucune agitation, aucune excitation.
« En 1923 (parfois mentionné 1924) une bande de voleurs venue à Ramanasramam (ashram de Ramana Maharshi) s’en prit physiquement à Bhagavan pendant leur tentative de cambriolage :
Bhagavan reçut un coup violent à la jambe, mais, il dit aux cambrioleurs d’une façon caractéristique : « Si vous n’êtes pas satisfaits, vous pouvez également frapper l’autre jambe ».
Ramakrishna swami, l’un des disciples alors présents, était si outré par cette attaque sur la personne de Bhagavan, qu’il s’empara d’une barre de fer dans l’intention d’en découdre avec les intrus.
Bhagavan le retint, lui disant : « Laisse ces voleurs jouer leur rôle. Nous nous en tiendrons au nôtre. Laisse-les faire ce qu’ils veulent. Il nous incombe de supporter et de nous abstenir. Ne nous ingérons pas dans leurs actions [le scribe de la page souligne] ».
Magistral exemple dans le spatio-temporel de NON-DUALITÉ, d’absence de dualité VENDEUR-CLIENT, BON-MÉCHANT, etc., PRINCIPALE SOURCE DE GUERRES-OPINIONS ISSUES DU MENTAL.

« Si chacun s’occupait de ses propres affaires, il n’y aurait pas de querelles ». (Ramana Maharshi 479, 22-3-1938).

Le droit d’auteur manipulatoire grâce à l’argent du ”Votre ceci, votre cela”.

L’opium du peuple et la désinformation…
Nous pouvons voir qu’en 1939 deux seules banques contrôlaient à elles seules tout Hollywood : MORGAN et ROCKEFELLER. Il y a de quoi se poser des questions. Et c’est ce que ne manque pas de faire dans un courrier au journal Nexus de janvier 2008 un de ses lecteurs. En voici l’essentiel :

Le lecteur est un militaire de l’armée américaine, secteur des satellites et des communications de l’aviation. Ce lecteur explique que le gouvernement américain finance les studios de cinéma pour qu’ils fassent des films basés en partie sur la réalité et en partie sur la fiction, déconcertant ainsi le spectateur afin qu’il confondent les choses. Puis, si celui-ci lit ou entend un fait qui sort de la normalité subjective, il vous dira qu’il ne s’agit que d’un film et ainsi, que l’on ne peut pas le considérer comme vrai car tout provient de l’imagination du scénariste. Ainsi, le gouvernement et ses agences de sécurité (comme le NSA par exemple, qui est une sorte d’état dans l’état) se servent des médias comme d’un poste de contrôle. Un tiers de la population y croira, un autre tiers s’y refusera et le restant sera un peu en retrait, et ces trois groupes dépenseront leur énergie inutilement à se disputer. Comme l’a dit un sage : « On ne peut éduquer que les gens intelligents » qui sont prêts à profiter de toutes les occasions pour apprendre et à ouvrir les yeux et les oreilles face à ce qui se passe dans les coulisses de ce spectacle théâtral auquel nous assistons. Car c’est bien dans les coulisses que se passe l’action véritable.

Depuis quelques années Hollywood s’attaque à la manipulation du Christianisme en bousculant des textes « libres de droits » pour imposer son opinion au monde à coups d’opinions évangélistes (la secte de la démocratie et des évangélistes : Ne jamais oublier que le mot « évangéliser » c’est imposer son opinion à l’autre). Tout y passe ”COMME SI” la Bible et le Judaïsme, mais jamais des écrits ou pensées de l’Orient ! On comprendra facilement qui tient les cordons de la bourse de Hollywood !
En ce mois de décembre 2014 sort un film du bondieusiste Ridley Scott : Exodes : Gods and Kings. Ce monsieur et à Hollywood on aime bien les super héros genre Moïse & Cie, avec en toile de fond les pauvres Hébreux persécutés par les méchants Égyptiens. Les Yahvistes de tous bords doivent se frotter les mains à l’aune du bidouillage informatique rendant de plus en plus eyes candy chaque films.

Le superman Moïse c’est vendeur en ces temps de noachisme de fête foraine, car cette propagande doit avant rapporter du fric sur l’autel de son Dieu Dollar. Je rappelle que selon moi le Judaïsme n’est pas une religion, mais un mode de vie en société, un républicanisme, ainsi Hollywood s’efforce DE NE PAS aborder la question du divin. Ainsi Ridley Scott dans son dernier film se garde bien d’être critique, mais étale avec délice une noirceur complaisante. Ridley Scott fait de son Moïse un héros latex et tourmenté à la Batman !

Ici en France de laïcité, il n’aura échappé à personne qu’à cette fin du mois de décembre, on parle très peu du Christ, mais plutôt du « Père Noël », donc essentiellement du COMMERCE, on parle plus de trucs d’un certain protestantisme ! Le Christ il est réservé à l’Église de Rome : dans ses églises, RELIGION de laïcité et de consommation oblige, puisque c’est habillement jouxté avec le jour de l’an, puis la « Galette des Rois », les soldes, le Blanc, les impôts, etc., jusqu’à ce que mort s’en suive !

Note.
1. « Par le « Qui suis-je ? », vous repousserez la force de la pensée de plus en plus profondément jusqu’à ce qu’elle atteigne sa source et s’y fonde. C’est à ce moment que la réponse vous viendra du Dedans et que vous découvrirez que c’est là que vous résidez ; cela aura détruit les pensées une fois pour toutes. Tant que vous ne tuez pas l’association nuisible et illusoire, le mental qui se prostitue, il n’y aura ni Félicité ni conduite juste ». (Bhagavan, dans Padamalai, recueil des enseignements de Ramana Maharshi, par Muruganar (1890-1973), un des proches disciples éveillés de Ramana Maharshi).

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