JE-SUIS est la partie immortelle de soi-même

JE-SUIS est la partie immortelle de soi-même.
Alors qu’à l’état de veille dans nostre corps on CROIT bien se connaître alors que tout le DEHORS, le système ou ”Matrice” de démocratie concours à faire vivre dans des MASQUES, comme sous covidisme, comme dans la couverture sociale forcément couverture de surface (le ”vivre ensemble”) ! Couverture sociale de surface comme le temps qui coule : l’HOTC (Histoire-Opinions-Temps qui Coule).

Temps qui coule = temps du Com-Merce.
Temps où le premier qui suce, qui bouffe, ou qui pénètre l’autre est LE WINNER, UN PAPE, UN MACRON, UN JUIF, UN ROTHSCHILD, UN HÉROS !

JE-SUIS EST DIEU.

Pour opinioner du nihilisme, comme pour le temps, il faut une personne !
Pour créer un Dieu, ou un paradis, un enfer, il faut une personne !

« La seule chose permanente est la Réalité ; et cela est le Soi. Vous dites : « Je suis », « Je suis en train de marcher », « Je suis en train de parler, de travailler, etc. ». Ajoutez un trait d’union à « Je suis » chaque fois, et cela devient « JE-SUIS ». Cela est la Réalité permanente et fondamentale. Cette vérité fut enseignée par Dieu à Moïse quand Il lui dit « Je suis ce JE-SUIS ». « Sois tranquille et sache que JE-SUIS Dieu ». Donc « JE-SUIS » est Dieu.
Vous savez que vous êtes. Vous ne pouvez nier votre existence à aucun moment. Car pour nier votre existence, il faut que vous existiez. C’est cela (la pure Existence) que l’on entend par un mental tranquille. Le mental est la faculté d’extériorisation de l’individu. S’il est tourné vers l’intérieur, il devient peu à peu tranquille. C’est alors que seul prévaut le « JE-SUIS ». « JE-SUIS » est toute la Vérité ». (Ramana Maharshi 503, 17-8-1938).

De même chez Jean Coulonval (Synthèse et Temps Nouveaux) :

Ainsité.
Iti désigne l’ainsité (ainsi), le Soi, la Seule Réalité, ce qui ne peut être éliminé, le
« JE-SUIS », tathata en sanskrit, shinyo en japonais (‘Je’ et ‘je’ et devient ku : au-delà de l’ego et de ses différences sur-mortelles par leur vulgaire loi de succion et du C(T)OUCHER (pénétrer l’autre, le saisir).

AINSITÉ : ni s’enfuir, ni s’approcher. Le Centre est nulle part et la Circonférence est partout.
Ni apparaître, ni disparaître, seulement « Je suis ce JE-SUIS » ou immortalité, éternité du ‘Je’. Jean Coulonval dans Synthèse et Temps Nouveaux : « Il m’arrive encore de désirer le retour au Néant, l’anéantissement du ‘Je’. Mais, écrivant cela, je m’aperçois que c’est impossible. Retour au Néant ? Mais on ne peut retourner « à quelque chose » qui, par définition, ne peut être le Néant, le Rien. L’anéantissement du ‘Je’ ? Mais ce ‘Je’ est la fine pointe de mon âme, par laquelle je suis une « personne », selon la définition qu’en donne Olivier Clément, par laquelle je touche Dieu, je suis Dieu. Pouvoir tuer mon ‘Je’, ce serait pouvoir tuer Dieu. Idiot, stupide ! Le fleuve qui va à la mer ne peut supprimer sa source ».

L’œil ne peut fonctionner qu’en utilisant la lumière émanée du soleil, sans cela l’œil est inutile. De même, le jiva ou individu ne peut fonctionner qu’en utilisant la Conscience [le Sel…] qui émane du Soi. Également, de même que l’œil ne peut fonctionner que dans la lumière réfléchie du monde des Essences. Si l’œil se tourne pour regarder le Soi, il sera entièrement effacé et se fondra dans le Soi avec lequel il ne fera plus qu’un, comme le fleuve qui va à la mer ne peut supprimer sa source. C’est le EST, le
« Je suis ce JE-SUIS ».

JE-SUIS = INSIGNIFIANT, INUTILITÉ.

Comme admirablement montré chez Tchouang-tseu dans
”La Patrie du Rien du Tout” :
« Vous avez un grand Arbre et vous vous souciez de son inutilité. Pourquoi ne le plantez-vous pas dans le Pays du néant et de l’infini ? Tout le monde pourra se promener à loisir sous son ombrage et s’y coucher à son aise [description de l’énergie libre]. Il ne subira ni les coups de la hache, ni les attaques des autres êtres [insectes, champignons, etc.]. Ainsi, comment son inutilité [sa gratuité] peut-elle vous inspirer du soucie ? » (Tchouang-tseu, chapitre : Liberté naturelle, trad. Liou Kia-hway).

Pourquoi une chose aurait-elle une raison d’être ? Car alors il n’y a ni cause ni effet. Raison d’être = POSSESSION, EGO, ET SURTOUT FRUIT OU BÉNÉFICE DU JOUISSEUR ; Raison pouvant facilement s’appeler FUIT DE LA JOUISSANCE, À CE HUI COMMERCIALISÉ (”intelligence artificielle”)
Donc en l’absence de cause, l’effet ou le fruit n’existe pas et encore moins le jouisseur ou consommateur !!!

NON, NON, NON, en niant le fruit de l’acte on ne tombe pas dans le nihilisme, car effet, fruit ou acte du Faire/fer sont SANS IDENTIFICATION OU SANS CARACTÉRISTIQUE PROPRE : il leur manque leur ”QUI SUIS-JE ?” : pour « nihilister », il faut une personne, un FAIRE/FER qui rouille !

C’est-à-dire que de nos jours Nous dirions que : effet, acte, passions ou loi de succion vulgaire, l’attraction du Plomb-Pesanteur, existent que par le mode du N’ÊTRE PAS (”N’EST PAS X”) ; il y a donc une grande différence entre le oui et le non ou le binaire ouvert-fermé de l’industrie capitaliste de l’informatique.
Le fait d’être dépourvu de caractéristique, le X du ”N’est pas X” du sans nature propre, l’inaction LE SILENCE de la traditionnelle quadrature : Savoir, Pouvoir, Oser, SE TAIRE, permet l’usage, PERMET LE ZÉRO INDIEN : LA PUTRÉFACTION, LE VRAI ”COMME SI”.
Comme les images qui défilent sur l’écran de cinéma, l’écran n’est pas influencé par une scène d’incendie : il ne va pas brûler, cependant l’écran est comme CONNAISSEUR de la scène d’incendie, il n’en acquière pas les caractéristiques qui le ferait brûler.
HÉLAS, certains ont fait de ce Vrai ”COMME SI”, un FAUX ”comme si”, un COM-MERCE, UN BRUIT, UN FAUX SILENCE PUISQUE BRUIT APPELÉ « PAIX » : SEULS DES HUMAINS ONT CE VILAIN MOT ET MAUX À LA GUEULE.

  • Le faux ”comme si” depuis le 1789 français où tous les Français sont devenus des rois et reines, soit LA FAUSSE SPÉCIALISATION qui ne connaît pas de limites, puisque tous des rois et reines, certains appellent ça ”libéralisme”, donc un système par le ”isme”, et, par là même, cette fausse spécialisation ne connaît pas de limites : on peut diviser sans fin un corps anonyme, indifférencié.
    Telle est la clé de cet apparent paradoxe faisant croitre simultanément atomisation et uniformité. PARADOXE DU FAUX ”COMME SI”. PARADOXE DU ”PRENDRE SUR SOI”. Les habitants sont devenus des ”rois”, des possédants puisque ”consommateur”, ils sont tous devenus ”responsables” ou : « PRENDRE SUR SOI » ; et c’est le républicanisme ou la démocratie : c’est-à-dire se séparer de la Manifestation directe, repousser le Jet, le A, suivant la formule : A-sous-Me (assumer, ou être responsable, donc comme le roi), ce qui devient naturellement un ME-fait dans la logique du Faire/Fer qui rouille puisque l’être en devient un A-ni-Mé (A nie Me [A nie le Soi, ou Pris-au-nier [du Soi]). Le consommateur est désormais ANIMÉ PAR LA MATRICE.
    Tel est le Retournement de la Lumière ou Réalisation du Soi : le retour au JE-SUIS, le retour à l’A-ME, au sens véritable du mot, celui du Blanc de l’Instant, et non personnelle ou ”citoyen” (urbanisé, républicanisé), non coagulé au mental ou à la ”raison”, mais ORIGINELLE.
    CE MONDE EST LE MONDE DES PRIS-AU-NIER du Soi.
    La DÉLIVRANCE passe par la PUTRÉFACTION ou RENONCEMENT À CE FAUX SOLEIL DE LA DÉCOUVERTE DU FEU VULGAIRE ET DE LA THERMODYNAMIQUE QUI VA S’EN SUIVRE :
  • I-sol-E : honorer la Manifestation solaire de la Source Re-axée ou Christique : c’est ainsi la SOL-I-tude : IDIOTÈS, SINGULARITÉ : le ‘Je’ ou Soi est un Être UNILATÉRAL dont le complément en miroir n’existe pas, ou ne peut jamais être connu ou saisi. Aucun miroir ne peut saisir le corps de la Vierge, surtout le Vierge Noire : L’univers, le ‘Je’, est sans ailleurs, donc sans temps qui coule, le monde et son contenu est donc jamais sans complément en miroir. Le monde, l’Univers, est à jamais IDIOT, SINGULARITÉ, I-sol-E.
    C’est pourquoi le Bouddhisme parle de « VACUITÉ ».
    CHRIST ou VRAI SOLEIL = SOL-I-tude, de tout ce qui est d’I-vin (d’I-vain : non manifesté, non illusion don NON-MARCHANDISE : PAS DE DUALITÉ DU MANQUE ET DU RESTE, PAS DE COMMERCE.
    LE RETOUR AU UN SANS SECOND OU SANS CHEFFERIE OLIGARCHIQUE NE SE RÉALISE QU’AU-DELÀ DE LA RACINE DU MAL : SANS SAISIE LIÉE AU BINAIRE DU DEDANS-DEHORS. Monde sous loi de succion vulgaire.

A mort l’éducation nationale républicaine du winnerisme de la matrice de démocratie dont la tâche est de fabriquer de futurs consommateurs des « votre ceci, votre cela » !!! Toute une vie de ”vivre ensemble” d’ego de ”Vous ne posséderez rien et vous serez heureux” allant cahin-caha les uns aux côtés des autres dans leur conception de vie construite sur la SAISIE, SUR LA LOI DE SUCCION VULGAIRE, SUR LA RACINE DU MAL(1).

Note.
1. LA VALEUR D’ÉCHANGE ENTRE DEDANS ET DEHORS et RESTE ET MANQUE DE LA SOUMISSION AUX MARCHANDISES, LA SOUMISSION À LA LOI DE SUCCION, LE PLOMB PESANTEUR.
– Quelle est donc la racine du mal ?
– La « saisie » [loi de succion vulgaire à distinguer de la Vraie Loi de succion ou Eucharistie, mais ne pas tomber dans la gloutonnerie spirituelle qui existe aussi, c’est-à-dire ne pas tomber dans LA FIXATION OU COAGULATION D’UNE SPIRITUALITÉ COMME FIN EN SOI OU COMME « FIN DES TEMPS » !].
– La saisie de quoi ?
– La saisie du triple monde [de la Forme, du Désir, du Sans-Forme ; le connaisseur, la connaissance et le connu].
– Comment arrêter cette saisie ?
– En recourant à l’introuvable, car dans l’introuvable il n’y a pas de saisie.
– Qu’est-ce que l’introuvable ?
– La fin du dualisme.
– Qu’est-ce que le dualisme ?
– La vision d’un dedans et d’un dehors, lesquels sont introuvables.
(Soûtra de la Liberté inconcevable, chapitre V, 14)

PADAM : le Soi
Achille sera le FAUX ”comme si”.
Le talon atteint, l’humain tombe. Il n’est nullement négatif pour l’imaginaire utilitariste, ou logique, que ce soit par le TALON QUE LA VIE OU L’ÂME S’ÉCHAPPE AU MOMENT DU SURFEU, C’EST PAR LÀ QU’ENTRE CE QUI EST APPELÉ À L’ÉTAT DE VEILLE : « LA MORT ». D’où le terme de « CROQUE MORT » rattaché au pied (pour savoir s’il est bien mort, et pas seulement évanouie !). Il est d’ailleurs significatif que les morgues confirment l’identité du mort par une étiquette attachée au pied du cadavre.

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