La catastrophe humaine est annoncée par l’intelligence artificielle

La catastrophe humaine est annoncée par l’intelligence artificielle car ce monde est construit sur la racine du mal(1) sur le sujet face à l’objet et donc dans un espace temps production du mental, production de la pensée : LE FAUX, L’OPINION.

Le Seul Réel N’EST PAS LA DUALITÉ du sujet et son objet. Le Seul Réel se suffit à Lui-Même : Il EST. Il n’a pas de tension ou de résistance qui chauffe entre deux pôles : début-fin, ici-ailleurs, avant-après, pur-impur, vide-plein, et évidemment DEDANS-DEHORS(1).

NON, PANique ET DIA-BLE (deux et à travers) indique : TRANSPARENCE, NON-DUALITÉ, AU-DELÀ DU BINAIRE DE L’INFORMATIQUE INDUSTRIELLE DU CAPITALISME. DIA veut dire À TRAVERS. Ce monde qui se croit « arrivé » (pur) a fait du Diable le mauvais (la Malin comme la raison maligne qui calcule), le Diable opposé au « juste » assimilé FAUSSEMENT AU « VRAI ».

Or l’informatique industrielle actuelle de l’humain est construite sur la dualité ouvert-fermé, oui-non, zéro-un, et par conséquence, sur la séparation ‘moi’ et ‘non-moi’ de la logique du ”Votre ceci, votre cela” : « je fais, j’agis, je travaille », ce verbiage opinionesque.

Ce monde est donc LE MONDE DE LA TENSION, et l’”intelligence artificielle” forcément issue de la pensée humaine et donc de la mise en valeur du temps idéation, sera L’AMPLIFICATION DE LA TENSION, L’ABSOLU CONTRAIRE DE LA CONTEMPLATION, L’ABSOLU CONTRAIRE DE LA LUMIÈRE BLANCHE DU BLANC DE L’INSTANT DE L’ARC-EN-CIEL, L’ABSOLU CONTRAIRE DU « RESTE TRANQUILLE », L’ABSOLU CONTRAIRE DU ”CORPS-ARC-EN-CIEL” (Celui qui dissous son corps sans laisser de cadavre à sa mort physique).

  • – M. : Seul le Soi est réel. Tout le reste est irréel. L’esprit et l’intellect ne sont pas séparés de vous.
    La Bible dit : « Reste tranquille et sache que Je suis Dieu. » La tranquillité est la seule condition à la réalisation du Soi qui est Dieu.
    – Q. : L’Occident comprendra-t-il jamais cet enseignement ?
    – M. : Il n’est pas question de temps ni d’espace. La compréhension dépend de la maturité mentale. Qu’est-ce que cela peut bien faire, que l’on vive en Orient ou en Occident ?
    (Ramana Maharshi 338, 23-1-1937).
  • M. : Le sentiment d’être celui qui agit est la servitude et non pas les actions elles-mêmes.
    Reste tranquille et sache que je suis Dieu. Ici, la tranquillité est l’abandon total, sans trace d’individualité [le ”Votre ceci votre cela”]. Le calme prévaut et il n’y a plus d’agitation mentale. L’agitation mentale est la cause du désir(1), du sentiment d’être celui qui agit et de la personnalité. Si cela s’arrête, la tranquillité s’instaure. Là, « savoir » veut dire « être ». Il ne s’agit pas du savoir relatif qui implique la triade connaissance, sujet et objet [et l’informatique et son I.A. est construite sur cette triade]
    – Q. : La pensée « Je suis Dieu » ou « Je suis l’Être suprême » est-elle utile ?
    – M. : « Je suis ce JE SUIS. » « JE-SUIS » est Dieu et non pas le fait de penser « Je suis Dieu »(2).
    Réalisez JE SUIS » et ne pensez pas « JE SUIS ». Il est dit : « Sache que je suis Dieu » et non pas « Pense que je suis Dieu.
    Plus tard, Shrî Bhagavān reprit : « Il est dit : “Je suis ce JE SUIS.” Cela veut dire qu’on doit demeurer en tant que ‘je’. On est toujours le seul ‘Je’. On n’est rien d’autre [il n’existe rien d’autre que ”soi-même”, pas de Dedans-Dehors]. Et cependant, on demande “Qui suis-je ?”. Seule une victime de ses illusions demanderait “Qui suis-je ?” et non un homme pleinement conscient de lui-même. C’est la fausse identification du Soi avec le non-Soi qui incite à demander “Qui suis-je ?”. [Et parfaite définition de la dualité SUJET-OBJET DE CE MONDE MONDIALISÉ PAR LA TECHNOLOGIE DES INDUSTRIES DU CAPITALISME] »…
    (Ramana Maharshi 354, 8-2-1937).

Ce monde est sous l’emprise de la tiqounerie rabbinique :
le « MIEUX » (que la Nature, le pro-jet, l’ob-jet du jet, de JETER : BOLG, racine celtique de enfler, comme ventre, sac, peau, emballage, packaging du capitalisme, et aussi : balle, qu’on jette ou qu’on projette avec son pied ou ses mains. De là la construction des SYM-BOULE, des SYM-BOLG, ces ventres qui ont toujours faim de pensées sans fin.

La tiqounerie rabbinique fait la partie de ce monde de l’État, du salariat, et de la marchandise : MONDE DU FAIRE/FER, LE CONTRAIRE DU « RESTE TRANQUILLE » (la Vraie Paix). Tout y est fait pour vivre la racine du mal(1) : vivre DEHORS, pour faire ”mieux” que, « COMME SI » il y avait à NETTOYER quelque chose, à l’ARRANGER, donc à SAISIR, ou à TUER, à ILLUMINER. Or le mental n’est pas un objet ”COMME SI” ON SORTAIT DE L’UNIVERS pour l’améliorer et s’en emparer. Il n’y a rien à purifier ni à éradiquer, rien non plus à vider ou à remplir dans cette dualité du manque et du reste ; rien de sale qui serait à nettoyer.

La tiqounerie rabbinique est dans l’erreur : son travail du chapeau coupé au huitième jour de sa naissance lui joue des tours biochimériques de pensées.

LA CHUTE C’EST LE « TERREUX ÉPAIS » STÉRILE.
Le mental ne peut contrôler le mental : « En cherchant si le mental existe ou non, on s’aperçoit qu’il n’existe pas. C’est là le contrôle du mental. Autrement, si on admet l’existence du mental et qu’on cherche à le contrôler, cela équivaut à obliger le mental à se contrôler lui-même, à l’instar d’un voleur se transformant en policier pour procéder à sa propre arrestation. De cette manière, le mental continue à subsister, mais échappe à lui-même », explique Ramana Maharshi à l’entretien 43 du 28-3-1935.
« Le corps ne pas se teindre lui-même, si ce n’est par son propre extrait, caché en son ventre, et il faut que le corps et l’âme aient été dépouillés de leur esprit [ou tendance] ; sachez aussi ce qu’est la Teinture spirituelle, d’où les couleurs apparaîtront. Car le terreux épais ne teint pas, mais ce qui est de nature Ténue, et par quoi le corps est transpercé [DIA…], colore » (La Tourbe, Discours vingt-cinquième).

« LA NATURE N’EST CORRIGÉE QUE DANS SA NATURE, COMME TU NE PEUX ÊTRE AMÉLIORÉ QUE DANS TON FILS, C’EST-À-DIRE L’HOMME DANS L’HOMME » (fondamental précepte de la Tourbe, Discours vingt-neuvième). Correspondance au : ”Le Royaume des Cieux est en vous”. Correspondance au ”QUI SUIS-JE ?” Correspondance à la Réalisation du Soi, du CENTRUM CENTRI : LA LUMIÈRE DU BLANC DE L’INSTANT RÉUNISSANT LES COULEURS DE L’ARC-EN-CIEL. Centrum Centri signifie Réaliser le Soi de TOUS LES NOMS-LES-FORMES, C’EST-À-DIRE, EN PREMIER, DE VOTRE PROPRE FOND SANS VOUS LAISSER ATTAQUER PAR LA RACINE DU MAL(1).
ATTENDRE, DES PREVUES DE QUOI QUE CE SOIT DU DEHORS, C’EST METTRE EN VALEUR LE TEMPS, C’EST TOMBER DANS LA DUALITÉ SUJET-OBJET ET SORTIR DE L’UNIVERS POUR LE VOIR ET EN SAISIR (du profit, de l’exploitation ou du FAIRE/FER). Le pire étant d’attendre des preuves de l’opinion généralisée ou opinion publique, le conventionnel donc, L’EXPÉRIENCE, LE JOHN LOCKISME OU EMPIRISME, LE SITUATIONISME (l’opinion qui situe la Conscience sous un corps-crâne en identifiant cette conscience à un CORPS-OBJET comme une machine à laver, donc une conscience au Dehors).
La seule preuve valable est la Vraie Expérience du ”QUI SUIS-JE ?”. Et certainement pas celle du Dehors, du conventionnel des êtres et de leur Faire/Fer ou inter-actions, doublés d égrégores, de chercheurs, de tiqounistes, de transhumanistes comme Laurent Alexandre qui se prennent pour des Dieux, idem avec les athées qui inconsciemment en font autant.

NON, il n’y a pas d’autre ailleurs que ‘moi’, la Vraie Demeure du Sans demeure.
« Moi et le Père Nous sommes Un » (Jean 10,30).
L ‘humain est devenu grégaire, social, collectif, républicain, démocrate : voir le H de Hébreu et de Homme, ou de Humain. Hébreu, en langue hébraïque = ”qui parle avec Dieu” (rejoint plus haut le travail du chapeau circoncis au huitième jour de leur naissance). Le mental joue ainsi des tours à sa façon = Homme, E : matière, la boue adamique, br = opinion ou langue parlée, E de la terre, U vers l’air, vers le ciel (et plus tard en faire/fer de vaisseau spatial pour s’envoyer en l’R)…. Bref, commençait la dialectique matérialiste et historique (mise en valeur du temps qui coule, le ”mieux”, l’évolutionnisme nécessairement juif à commencer par leur tiqounerie, sans oublier l’origine du ”Mieux” : LA DÉCOUVERTE DU FEU VULGAIRE ET SA DOMESTICATION, ce qui engendrera LA DIVISION, LE SOCIAL(4), LA THERMODYNAMIQUE, AVEC LA MÉTALLURGIE ET LES GUERRES).

La découverte du feu vulgaire est du même Thème que la dualité naissant quand Adam se dédouble en Ève par identification au corps : ils se virent nus (Genèse 2,24-25 et 3,7), donnant naissance au ”couple” : ‘moi’ et l’autre, les autres, le sociale, LA DIVISION.

« Le sentiment d’être celui qui agit est la servitude et non pas les actions elles-mêmes.
Reste tranquille et sache que je suis Dieu. Ici, la tranquillité est l’abandon total, sans trace d’individualité. Le calme prévaut et il n’y a plus d’agitation mentale. L’agitation mentale est la cause du désir, du sentiment d’être celui qui agit et de la personnalité. Si cela s’arrête, la tranquillité s’instaure.
Là, « savoir » veut dire « être ». Il ne s’agit pas du savoir relatif qui implique la triade connaissance, sujet et objet. (Ramana Maharshi 354, 8-2-1937).

– Q. : Si on reste tranquille, comment l’action peut-elle continuer ? Où est alors la place pour le karma-yoga ?
– M. : Comprenons d’abord ce qu’est le karma, du karma de qui il s’agit et qui en est l’auteur. En analysant ces trois points et en cherchant à connaître leur vérité, on reste obligatoirement en paix dans le Soi. Ce qui n’empêche pas les actions de continuer à se dérouler.
– Q. : Comment les actions peuvent-elles continuer à se dérouler si je n’agis pas ?
– M. : Qui pose cette question ? Est-ce le Soi ou quelqu’un d’autre ? Le Soi est-il concerné par les actions ?
– Q. : Non, pas le Soi. C’est un autre, différent du Soi.
– M. : Il est donc clair que le Soi n’est pas concerné par les actions et que la question ne se pose pas.
– Q. : Je suis d’accord.
(Ramana Maharshi 445, 9-1-1938).

Notes.
1. LA VALEUR D’ÉCHANGE ENTRE DEDANS ET DEHORS et RESTE ET MANQUE DE LA SOUMISSION AUX MARCHANDISES, LA SOUMISSION À LA LOI DE SUCCION, LE PLOMB PESANTEUR.
– Quelle est donc la racine du mal ?
– La « saisie » [loi de succion vulgaire à distinguer de la Vraie Loi de succion ou Eucharistie, mais ne pas tomber dans la gloutonnerie spirituelle qui existe aussi, c’est-à-dire ne pas tomber dans LA FIXATION OU COAGULATION D’UNE SPIRITUALITÉ COMME FIN EN SOI OU COMME « FIN DES TEMPS » !].
– La saisie de quoi ?
– La saisie du triple monde [de la Forme, du Désir, du Sans-Forme ; le connaisseur, la connaissance et le connu].
– Comment arrêter cette saisie ?
– En recourant à l’introuvable, car dans l’introuvable il n’y a pas de saisie.
– Qu’est-ce que l’introuvable ?
– La fin du dualisme.
– Qu’est-ce que le dualisme ?
– La vision d’un dedans et d’un dehors, lesquels sont introuvables.
(Soûtra de la Liberté inconcevable, chapitre V, 14)

2. QUELLE EST LA « SOURCE DE LA CONSCIENCE ? ».
ELLE EST NÉCESSAIREMENT DANS LA VACUITÉ.
Or la Vacuité ne peut qu’être un mental qui ne pense pas à sa Vacuité !
De ce fait la Vacuité est à la fois Source du monde-objet ou physique et celle de la conscience.
La partie essentielle du Secret de la Fleur d’Or explique : « ”La lumière jaillit dans la chambre vide”. Cette lumière n’est pas lumineuse mais, explique-ton, il s’agit d’une preuve d’efficacité au début, avant qu’on n’ait vue la lumière. Si vous la voyez sous forme de lumière et que vous fixez votre attention là-dessus, vous tomberez dans la conscience conceptualisante qui N’EST PAS la Lumière de l’Essence [la Conscience Infinie].

Quand le mental forme une pensée, cette pensée est le mental, dans l’Instant. Ce mental est Lumière, il est remède. Lorsqu’on regarde les objets et qu’on les perçoit spontanément tous ensemble, sans discrimination, c’est la Lumière de l’Essence, pareille à un miroir qui reflète tout, sans intention de le faire [sans calcul, sans concept].
Mais il suffit d’un Instant de discrimination [et donc de saisie] pour que cela devienne la lumière de la conscience [les Bulles-Sucres [effet dominos], ou attacher un instant à un autre instant]. Lorsqu’une image occupe l’espace du miroir, il n’y a plus réflexion [d’autres images]. Lorsque la conscience occupe l’espace de la lumière, quelle lumière reste-t-il ? ». (Le Secret de la Fleur d’Or, trad. Thomas Cleary).

Comme l’exprime le Secret de la Fleur d’Or, si on « pense » on chute dans la raison ou conscience relativiste, et comme l’exprime Ramana Maharshi cité dans Padamalai : « Aucune investigation ne peut porter sur le Soi [Atman]. L’investigation [”Qui suis-je ?”] ne peut porter que sur ce qui n’est pas le Soi. Seule l’élimination du non Soi est possible. Étant constamment évident de Lui-même, le Soi resplendira seul de Lui-même ».

« L’essence qui voit est la seule chose qu’on ne puisse attribuer à rien » dit Le Secret de la Fleur d’Or. « Mais, lorsqu’on voit le voir, si ce voir n’est pas le voir, l’essence qui voit est alors aussi attribuable à quelque chose. Cela renvoie à l’essence qui voit, telle qu’elle s’exerce dans la continuité répétitive de la conscience habituelle – ce que les Écritures bouddhiques évoquent en ces termes : ”Faire usage de la conscience habituelle et répétitive, c’est faire erreur”.
Lorsqu’on pratique les huit formes d’attribution liées à la perception discriminante [la raison, le Pour-Voir, l’opinion], les sept premières montrent que chacune est attribuable à quelque chose de précis [l’identification, la saisie] et que l’essence qui voit est temporellement conservée comme béquille pour l’Adepte. Mais à terme, tant que l’essence qui voit continue à nourrir la huitième conscience, elle reste toujours imputable [sous la cause] de quelque chose. Ce n’est que lorsque ce dernier point a été dépassé que se fait jour l’authentique Essence qui voit [être COUR, comme ”distant”, comme dans un état insaisissable], celle qu’il est véritablement impossible d’attribuer à quoi que ce soit [donc INSAISISSABLE, NON-OPINION].

Retourner la Lumière [ou Réaliser le Soi] consiste à correctement retourner la Lumière Primordiale qu’on ne peut attribuer à rien, de telle sorte que n’intervienne aucune pensée consciente [le scribe de la page souligne].
[…]
Retourner la lumière sans tomber dans la conscience [la raison], c’est faire usage de l’ESSENCE ORIGINELLE des sens.
Retourner la lumière en tombant dans la conscience [la raison], c’est user de la nature de la conscience inhérente au sens. Là se trouve la différence, aussi fine qu’un cheveu.
Quand la méditation s’accompagne d’un effort, c’est la lumière de la conscience qui se fait jour. Lâcher prise pour que jaillisse la lumière de l’essence. Un cheveu de différence vaut autant qu’un bon millier de kilomètres : aussi faut-il faire preuve de discernement.
Tant que la conscience ne s’arrête pas [donc tant qu’il y a idéation ou vagabondage des pensées], le mental n’est pas vivant. Tant que le mental n’est pas vidé, l’élixir ne se cristallise [Christ] pas.

  • Tout nom-la-forme est un ”nom-la-forme” de la Vacuité. La LUMIÈRE DE L’ESSENCE englobe la Vacuité non local ou NON-OBJET, et la ”raison” ou conscience qui calcul tout. C’est donc chaque INSTANT de nostre conscience qui englobe toute la Vacuité puisque Nous sommes l’Univers, et chaque Nous ou ”Instant” n’a ni commencement ni fin. Voilà une définition du concept de Vacuité authentique.
    « Comme il n’y a rien à atte(i)ndre [pas de messie], la Réalisé, le Grand Être, se repose sur la Connaissance transcendante et son mental ne rencontre aucun obstacle ; libre de tout obstacle, il ne craint plus rien. Totalement dégagé du rêve des représentations distordues et de leurs souffrances [l’actuelle société du spectacle et du politisme], il atteint l’ultime Nirvana(3) ». (Soûtra du Diamant).

La VRAIE CONSCIENCE englobe les trois états : veille, rêve, sommeil profond….. Elle n’est donc pas ”située” !

3. NIRVANA : L’état de NIRVANA OU OUTRE-SOUFFRANCE. L’état de Nirvana n’est autre que L’ÉVEIL authentique et parfait, aussi appelé ”Nirvanâ sans demeure” (”Fixation cavalante”).
« La douleur n’existe qu’aussi longtemps que l’on s’identifie à une forme définie. Si cette forme est transcendée, on saura que l’unique Soi est éternel. Il n’y a ni mort ni naissance. Ce qui est né, c’est seulement le corps. Le corps est une création de l’ego. Mais l’ego n’est pas perçu en l’absence de corps. Il est toujours identifié avec le corps.
C’est la pensée [L’OPINION] qui pose problème. Que l’homme sensé se demande s’il était conscient de son corps lorsqu’il dormait profondément [le scribe de la page souligne]. Pourquoi le sent-il à l’état de veille ? Mais, bien que le corps ne soit pas ressenti durant le sommeil, est-ce que le Soi n’en existait pas moins ? Comment était cet homme en sommeil profond ? Et comment est-il à l’état de veille ? Quelle est la différence ? L’ego émerge, c’est le réveil. En même temps les pensées s’élèvent. Que l’homme trouve à qui appartiennent ces pensées. D’où proviennent-elles ? Elles ne peuvent que provenir du Soi conscient. S’en rendre compte, même vaguement, aide à l’extinction de l’ego. C’est alors que la réalisation de l’unique Existence infinie devient possible. Dans cet état il n’y a pas d’individus en dehors de l’Existence éternelle. Il ne peut donc plus y avoir de pensée de mort ni de lamentations.
Si l’homme considère qu’il est né, il ne peut pas éviter la peur de la mort. Qu’il cherche donc s’il est né ou si le Soi a quelque naissance [comme le ”Big Bang”]. Il découvrira que le Soi existe depuis toujours, que le corps qui est né se réduit à une pensée et que l’émergence de celle-ci est la racine de tout le mal.
Trouvez d’où jaillissent les pensées. Alors vous demeurerez dans le Soi toujours présent au plus profond de vous-même et vous serez libéré de l’idée de la naissance ou de la peur de la mort ». (Ramana Maharshi, entretien 80 du 3-10-1935).

4. Découverte du feu vulgaire = socialisme, république.

Le feu vulgaire N’EST PAS NATUREL, il devra être provoqué, il est en premier un enseignement, LA PREMIÈRE LOI : le respect du feu est un respect enseigné donc au commencement de la RACINE DU MAL(1) : le feu vulgaire est ainsi un être social dans la dualité d’un ‘moi’ à côté d’un autre ‘moi’ (on parle alors de ” FOYER”), il sera alors limité par ce qui le différencie de cet autre ‘moi’ ».
LA PREMIÈRE LOI DU FEU VULGAIRE PAR L’ÉPISODE DU « BUISSON ARDENT »….. Le ”buisson ardent” phénomène ; l’expérience naturelle ne viendra qu’ensuite comme pour apporter une preuve matérielle non calculée, spontané, donc en dehors de la ”raison” pour construire une ”connaissance objective”, c’est-à-dire conventionnelle. La brûlure, c’est-à-dire l’inhibition naturelle, en confirmant les interdictions sociales ne fait que donner, aux yeux de l’enfant, plus de valeur à l’intelligence paternelle. Il y a donc, à la base de la connaissance enfantine du feu, une interférence du naturel et du social où le social est presque toujours dominant [que dire alors de nos jours DES INTERDICTIONS À LA PELLE DU RÉGIME ÉTATIQUE QUI SE POSE EN DÉMIURGE ET EN FABRICANT D’ÂMES…].

Depuis la découverte du feu vulgaire et sa domestication, l’humain est nécessairement tombé dans L’UTILITARISME et forcément dans le PRODUCTIVISME (thermodynamique, métallurgie, armes, bombes et guerres et industries de Wall Street du capitalisme). L’OPINION TYRANNIQUE SERA LA PREMIÈRE COMPOSANTE DE L’APRÈS DÉCOUVERTE DU FEU VULGAIRE. LES FAIRE/FER DU FEU VULGAIRE SERONT SOUS LA DÉPENDANCE ABSOLUE DU PRINCIPE D’UTILITÉ ET DU RENDEMENT ÉVOLUTIONNISTE.
L’intellectualisme développé à partir de la thermodynamique est exceptionnelle, la découverte du feu vulgaire n’existe pas chez les autres animaux, un singe n’a encore jamais allumé un feu, si c’était le cas, ce serait la série de films de l’industrie d’Hollywood sur des singes fondant une civilisation identique à celle des anciens humains réduits à l’était d’animaux à domestiquer.
RAISON-FEU = intellectualité pure d’un évolutionnisme spécifiquement humain. UN ACCIDENT…… D’où le Complexe de Prométhée, Complexe d’Œdipe de la vie intellectuelle (Gaston Bachelard, La psychanalyse du feu).

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