Le BLANC de l’Instant ou couleur de la Vérité l’Instant de la Mort, couleur de la Libération : lividité, couleur plombée au sens de l’ABSENCE DU PLOMB-PESANTEUR (et non au sens de la pesanteur qui ferait que tout pèse-pèze tellement que l’on ne peut plus se mouvoir : loco).
LE MONDE PRÉSENT EST UNE FAUSSE LIVIDITÉ (la transition) QUI CROIT, OU PLUTÔT, QUI COURT DÉSESPÉRÉMENT VERS LE « MIEUX » POUR ÉCHAPPER À LA MORT, POUR ÉCHAPPER AU BLANC DE LA MORT, AU BLANC DE LA VÉRITÉ.
LE BÂTON, LE TRIDENT DE PTAH.
Comme Neptune, Chalchiutlicue, Hermès, Shiva, de toutes les divinités de l’Eau, le Bâton de Ptah est composé comme un Trident, à sa tête figure une tête sethienne, un lien (à Seth, dans le sens si important de la bascule des contraires), et une plume. On a donc à faire à un Trident comme chez Shiva. Le Trident composé du I, Axe, et des 3 branches, qui forment la lettre E. Le I de Instant, de I-c-I, le Ici du JE-SUIS.
Ce I est le VRAI FEU : Spiritualité ou SOUFFLE, et QUART TIERS libre : Lui seul peut rassembler, comme Ptah Dieu des Artisans, unifier les énergies (VRILLE (1)…) déployées par la trinité pour assurer le Retournement de la Lumière, la Réalisation du Soi, le Retour de l’humain à l’Homme primordial puis à sa Source.
C’est alors d’I-cerner ou Perce-voir le JE-SUIS ou Vérité de toutes les vérités : Ver-I-Té.
Le salissure du Blanc de l’Instant sera : RÉ-ITÉRER (re- : de nouveau). Le Vrai devient alors faux parce qu’il est vu, saisi, possédé, donc déformé, reformé en « mieux » et donc déformé par mise en forme ou en caractéristique, en « ordre », en « identification » : RE- signifie également : « chose », « objet » : de nos jours les humains sont « chosés » par les choses des industries du capitalisme.
RÉ-I-terer = chosifier, spécialiser, matérialiser, fixer, coaguler emprisonner le I ; on est alors dans la mise en valeur du temps, on est alors dans le COM-MERCE.
BLANC, VLAN DE L’INSTANT = « TAPER DANS LE 1000 », au Centrum Centri unificateur de l’humain, l’Absence de Plomb-pesanteur (la plume du Bâton de Ptah, Plume ou Vérité).
PTAH enserré dans ses bandelettes est une copie du CABIRE par excellence : enserré dans ses bandelettes il n’a ni bras, ni jambes, ni sexe, jusqu’à n’avoir pas de bouche : comme un « ESTROPIÉ DE TOUS SES MEMBRES », comme « DÉPOUILLÉ DE TOUTES SES FACULTÉS » ; PTAH EST ALORS LE KYKLOPS : L’ŒIL, comme celui gravé sur le billet vert de un dollar, Ptah est donc LE CENTRE QUI EST NULLE PART MAIS SANS LUI IL N’Y A PAS DE CIRCONFÉRENCE PARTOUT : EFFECTIVEMENT LE DOLLAR ET SA LANGUE ANGLAISE EST PARTOUT…….
Son Nom est Héphaïstos : Ptah le feu corporifié, manifesté, créateur de toutes les possibilités et fonctions ; il correspond à l’Héphaïstos (père des Cabires) ou Vulcain. Il a été conçu dans la Matière inerte, passive, dont il devient alors le « mobile » créateur de la forme corporelle (aspect ondulatoire). PTAH LA LOCO-
- Prière à Ptah, l’Eau, le Noun ou Saint Chaos :
Salut à toi !
Tu es vénérable, tu es ancien,
To-Tjenen père des dieux,
dieu Aîné de la première fois,
Modeleur des hommes,
qui a fait les dieux,
qui a inauguré l’existence comme dieu primordial,
premier à exister pour tout ce qui est venu après lui ;
qui a fait le ciel comme création de son cœur,
qui s’est dressé dans ce-que-soutient-Chou, (Ptah a successivement accompli tous les gestes créateurs de la mythologie)
qui a fondé la terre par ce qu’il a fait lui-même (par son œuvre propre),
qui entoure (le monde) comme Noun et Très-Verte, qui a fait la Douat, y fait reposer les cadavres
et y laisse circuler Rê pour qu’ils soient revigorés.
Il est Régent de l’éternité, v.s.f. (vie, santé, force)
et Seigneur de la pérennité.
Seigneur de la vie,
Il fait respirer les gorges,
donne l’air à tous les nez,
fait vivre tout homme par ses aliments.
Durée de vie, Psaïs et Ermouthis l’accompagnent.
On vit de ce qui sort de sa bouche.
Il fait les offrandes pour tous les dieux
en sa manifestation de Noun le Vénérable (assimilé à To-Tjenen, Ptah l’est aussi à l’abîme primordial des eaux, le Noun),
Seigneur de l’éternité et de la pérennité.
Les souffles de vie pour tout visage l’accompagnent.
(Il est) le guide du roi vers son Siège-Vénérable
en son nom de Roi du DoublePays.
Je suis ton fils que tu as fait apparaître comme roi sur le trône de son père, en paix
(la suite est une énumération de ce que le roi a fait en l’honneur de Ptah)…
(Hymne à Ptah du papyrus Harris I)
Ce monde demon du CORPS-OBJETS-INFORMATIONS.
Son contraire est le TROU DU TROUVÈRE, LE PUITS(2), la NON-DUALITÉ.
PTAH-HÉPHAISTOS (Aphaistos : du A sumérien : EAU COURANTE, SOURCE, VEILLE, DANS L’INSTANT), du même Thème que les Dieux aquatiques du TRIDENTS : Neptune-Poséidon, Shiva, Chalchiutlicue, Hermès, LE CENTRUM CENTRI ou CENTRE QUI EST NULLE PART, L’(INSAISISSABLE : LE KYKLOS : PIEU, PUITS ou ESSENCE = LE KYKLOS : SURFEU OU VÉRITABLE ÉTAT D’ÊTRE : la nature des choses consiste en les choses et en elles seules (MAÂT) : LEUR ESSENCE, LEUR SINGULARITÉ OU LEUR IDIOTÈS) ; avoir le chic, POINTE, TROU, ou avoir la transparence, la facilité, la liberté, être en harmonie avec ce qu’il convient. Bref, chic renvoie à l’Amour, à la Gratuité, à la Félicité naturelle, au Soi. Le français du Moyen-Âge dit : chiche : 1175, du bas grec kikkon, au figuré : un rien (tel le Centre qui est nulle part mais sans qui la Circonférence qui est partout serait impossible…).
« … être protégé dans son tabernacle contre le déchaînement des langues, c’est être submergé dans cette eau ténébreuse que David appelle le tabernacle de Dieu. Aussi, comme l’âme est sevrée de toutes ses tendances et de toutes ses attaches, et que ses puissances sont dans les ténèbres, elle est affranchie de toutes les imperfections qui étaient en opposition avec son esprit, comme de sa chair et de tout le créé.
Elle peut donc dire à bon droit qu’ELLE MARCHE DANS LES TÉNÈBRES ET EN SÛRETÉ ». (Jean de la Croix, La nuit obscure, chapitre 16).
Aphaistos : se compose d’aba, qui veut dire une roue, un cri, et d’aistos, ”dont on n’a jamais eu de nouvelles”, puisque les Mots, plutôt les MORTS, ne reviennent pas pour donner leurs opinions à un Dehors.
PTAH privé de LOCO-, estropié de tous ses membres est Celui dont on n’a jamais eu de nouvelles puisqu’Il est le Centre qui est nulle part, le ”NON-NÉ”. Mais, en tant qu’estropié de tous ses membres Il allait alors œuvrer AVEC SON SOUFFLE, comme le copiera la Genèse 1,2 : « Un vent de Dieu tournoyait sur les Eaux ».
Ce vent, c’est l’estomac-souffle de Ptah. Vulcain Forgeron travaillait avec son Souffle. Un Vulcain-SALAMANDRE (lividité de la Mort chez les Anciens Égyptiens)…… Dans le sens non d’un métallurgiste, mais plutôt dans le sens d’un TISSERAND (quenouille, FUSEAU(1). TISSER renvoie évidemment au RETOURNEMENT DE LA LUMIÈRE : réaliser son Soi(2), c’est-à dire réaliser le ZÉRO INDIEN, comme PTAH LE Créateur de Lui-Même, comme l’ARAIGNÉE qui construit sa toile d’elle-même.
SOUFFLE : le vent du SOLVE-COAGUL (Involution-Évolution) : LE MONDE, L’UNIVERS PROVIENT DE NOUS, ET NOUS PROVENONS DE LUI. « Dieu créa l’homme ; et l’homme créa Dieu. Ils sont tous deux les créateurs des noms et des formes. Mais en réalité, ni Dieu ni l’homme n’ont été créés ». (Ramana Maharshi, entretien 264, du 20 octobre 1936).
LE FIL DE LA TOILE D’ARAIGNÉE : LE DESTIN-COCON, qui laisse S’ÉCHAPPER : donc le FEU NATUREL DU GATE GATE l’Ainsité : épithète des Bouddhas, des Éveillés.
PIVOT, AXE, TOUPIE LE TROU : Pourquoi le Christ Jésus a-t-Il une couronne de Ronce sur le CRÂNE ?)
La PORTE DE L’ISSUE, LES CHIOTTES OU LA PUTRÉFACTION = LE PLOMB-PESANTEUR TRANSMUTÉ EN ÉVEILLÉ, EN BOUDDHA, EN OR (au sens spirituel et de la Libération) : l’Illumination ou PANique car jaillissement du Soi DANS LE BLANC DE L’INSTANT : LES FONTANELLES S’OUVRENT, comme l’exprime un dicton picard : « Lorsque les fontanelles se ferment, l’enfant se coupe des Anges », alors le CRÂNE LE CHRIST SAIT TOUT DE LUI-MÊME : IL EST LE ”Je suis ce JE-SUIS”, comme le SCARABÉE roulant sa BOUSE, son EXCRÉMENT-ÉNERGIE ; AUSSI À L’IMAGE DE L’OUROBOROS QUI MET SA QUEUE DANS SA BOUCHE, ou mieux : QUI SE FERME LA BOUCHE (sens de Ptah privé se tous ses membres), et symbole du sans commencement ni fin.
LE CABIRISME EST UNE MOUTURE DU BOUDDHISME, DU CHAN : LA VACUITÉ, LE NON-NÉ : « Celui dont on a jamais eu de nouvelles ».
NON-NÉ : un phénomène ne peut en examiner un autre.
La racine du mal de sa dualité Dedans-Dehors ou Manque-Reste, ne devrait pas exister, le commerce ne devrait pas exister, car cette absence de dualité ne peut que s’appeler : INSAISISSABLE, IMPÉNÉTRABLE, DONC LA SALETÉ, L’IMPUR, L’INNOMMABLE, LE SANS-NOM, LE VAURIEN (sans valeur donc insaisissable).
En effet, est opinioné comme ”sale” tout ce qui se situe dans la dualité sujet-objet, l’objet ici étant l’identification au ”sale”, à l’impure, au vaurien. Quand l’objet a été SAISI, IDENTIFIÉ, il n’est plus sale, il devient une VALEUR. Est « sale » ou « impur » tout ce qui, après SAISI OU EXAMEN, n’est ni comme ceci ni comme cela considéré comme sale, ni comme quoi que ce soit d’identifiable. Seul est opinioné comme « sale » tout objet NON-IDENTIFIÉ, DONC « INNOMMABLE », TERRORISTE, qui exprime par ce seul mot l’idée de l’indéterminé et l’idée de dégoûtant, ce qui fait la liaison entre le caché, l’inexistence, L’IMPÉNÉTRABLE assimilé à l’immonde, au terroriste.
Le SEUL RÉEL étant caché, impénétrable, ”Celui dont on n’a jamais eu de nouvelles” : POUR QU’IL NE SOIT PAS « SALE » : INEXISTENCE DE LA DUALITÉ DEDANS-DEHORS, illustré par : LÀ OÙ L’ON ENTRE SANS ENTRER, CE NE PEUT QU’ÊTRE L’IMPÉNÉTRABLE, L’INSAISISSABLE, L’INNOMMABLE, LE NON-NÉ.
Un né, ou un mot, un nom-la-forme, ne peut voir et faire/fer que dans la mise en valeur du temps, donc dans le COM-merce…
Vouloir fabriquer le « Mieux » c’est vouloir saisir l’espace, c’est cracher en l’air contre Dieu et prendre le crachat sur la gueule !
RÉ-I-ter c’est coaguler, mettre en conformité (con : avec, et forme : mettre en forme, pour que ce ne soit plus « sale », « innommable »). Le Vrai devient faux dès qu’il est vu, saisi, possédé, identifié, IL DEVIENT IMAGINAIRE, CHOSE, NOM-LA FORME, et donc parfaitement monnayable. ALORS : VIVE LA PUTRÉFACTION-RENONCEMENT ! VIVE L’INCERTITUDE.
NON-NÉ : PARCE QUE NOUS AVONS TOUJOURS ÉTÉ ICI ET MAINTENANT…. PAS D’IMBÉCILITÉ DE BIG-BANG EN SORTIE DE L’UNIVERS (alors que Nous sommes Dedans, Nous sommes l’Univers : il n’y a pas un observateur et un observé, qui éliminerait n’innommable par identification…..).
PTAH-OSIRIS-CHRIST se reconstruit LUI-MÊME dans son berceau-tombeau.
C’EST TRÈS CLAIR, LE 8 MAI 1945 EST LE NON-NÉ INVERSÉ DES WINNERS QUI SONT EN FAIT LES LOSERS PROCHAINS, et définitifs, MAIS ILS NE VEULENT PAS LE SAVOIR ET SE CONTENTE D’ÊTRE NÉ EN SURVIVANT À COUPS DE TOTALITARISME DICTATORIAL. AINSI, BIENTÔT, LES LOSERS ACTUELS SERONT LES PREMIERS COMME ORIGINELLEMENT. La caste des gold-men et de la certitude des winneristes et de leur ”service d’ordre” sera définitivement loser.
Ré-I-térer, COM-merce :
ce monde du consommateur =
ANTI VRILLE, ANTI TOUPIE :
condamnation à vivre,
châtiment à vivre.
Le Vrai devient faux dès
qu’il est consommé ou vu.
Le Vrai n’est pas non plus
un Ailleurs qui demande
son Ici.
Notes.
1. Toupie, rejoint aussi la HACHE à la fois arme et outil. En anglais hache se dit AX, AXE, comme le Centre de l’Univers. L’Axe est un symbole fondamental, comme l’essieu plus tard nous donnera le CHARIOT. L’essieu supporte la totalité du poids du chariot ; il est fixe et les deux roues tournent sur les fusées. Donc nous avons une triade (voir la Triskell celte avec le signe du S cher à l’art gaulois), et l’idée de « roue » ou chose qui tourne ou figure un cycle, un rythme, évoque les cycles lunaires et solaires, l’ombre courant sur un cadran solaire indiquant une PÉRIODE, etc.
La Vacuité est représentée par l’immobilité du Vide au centre du moyeu-Axe d’une roue qui ne cesse de tourner : comme la TOUPIE. Le Centre est nulle part (et la Circonférence est partout).
Le FUSEAU tourne uniformément entraînant la rotation de l’ensemble, comme un éternel retour. Le symbolisme du Fuseau est celui du destin : sans pitié ni sentiment, les Parques filent et défilent le temps de la vie : le double aspect de la vie, Involution/Évolution révèle le PARADOXE DE LA RÉALISATION DU SOI : « Le ‘Je’ rejette l’illusion du ‘je’ et cependant demeure en tant que ‘Je’. Tel est le paradoxe de la réalisation du Soi. Ceux qui sont déjà réalisés n’y voient aucune contradiction ». (Ramana Maharshi, entretien 28 du 4-2-1935). Le pouvoir de Dieu est aussi celui du Dia-ble : à travers, les deux se confondent, comme les Parques, dans ce pouvoir de la mort qui est d’annuler ce qui a existé, de faire en somme que ce qui existe n’est pas d’existence. Ainsi : « Dieu créa l’homme ; et l’homme créa Dieu. Ils sont tous deux les créateurs des noms et des formes. Mais en réalité, ni Dieu ni l’homme n’ont été créés ». (Ramana Maharshi, entretien 264 du 20-10-1936). Comme si la nécessité de la mort résidait dans la non nécessité de la vie…
2. « Vous concédez alors que le ‘Je’ n’est pas le corps, mais quelque chose à l’intérieur du corps. Voyez alors d’où s’élève le ‘Je’ depuis le corps. Voyez s’il apparaît ou disparaît où s’il est présent en permanence. Vous allez admettre qu’il y a un ‘je’ qui se manifeste dès que vous vous réveillez, qui perçoit le monde et tout le reste, et qui cesse d’exister dès que vous dormez ; et aussi qu’il y a un autre ‘Je’ qui existe indépendamment du corps et qui est toujours là, même quand le corps et le monde n’existent pas pour vous, par exemple dans le sommeil profond. Demandez-vous alors si vous n’êtes pas le même ‘Je’ dans le sommeil (profond) et dans les autres états (rêve et veille). Existe-t-il deux ‘Je’ ?
Vous êtes toujours la même personne. Alors, lequel des deux est le ‘Je’ réel, celui qui apparaît et disparaît ou celui qui est là en permanence [dans l’Instant ou Ici et Maintenant] ? Ainsi vous découvrirez que vous êtes le Soi. C’est ce que l’on appelle Réalisation du Soi.
La Réalisation du Soi n’est pas un état qui vous est étranger ou qui est loin de vous et que vous devez atteindre. Vous êtes toujours dans cet état. Vous l’oubliez et vous vous identifiez au mental et à tout ce qu’il crée. Vous devez simplement cesser de vous identifier au mental. Nous nous sommes identifiés depuis si longtemps au non-Soi qu’il nous est difficile de considérer que nous sommes le Soi [le ‘Je’-‘je’].
Ce qu’on entend donc par Réalisation du Soi n’est rien d’autre que RENONCER [PUTRÉFACTION] à cette identification au non-Soi. Comment réaliser, rendre réel le Soi ? Nous avons réalisé, considéré comme réel, ce qui est irréel, le non-Soi. Abandonner cette fausse réalisation est la Réalisation du Soi. […] Tout le monde recherche uniquement ce qui lui procure le bonheur [la loi de succion ou attraction ”universelle” copiée par Newton]. Pensant que le bonheur vient de tel ou tel objet [donc du DEHORS], vous cherchez à obtenir cet objet [racine du mal Dedans-Dehors et tentative de ”sortir” de l’Univers et évidemment COMMERCE]. Voyez d’où vient réellement le bonheur, y compris le bonheur qui vous semble provenir des objets des sens [et du capitalisme]. Alors vous comprendrez que la seule source du bonheur est le Soi [Instant, le Blanc du Silence…] et vous demeurerez à jamais dans le Soi ». (Ramana Maharshi au jour le jour, 17-8-1946).