Le chat qui s’en va tout seul
et tous les lieux se valent pour lui.
Composition de Michel Roudakoff
Diapason en LA 432. D’après un motif mélodique de F. Feautrier.
Inspiration d’après : Histoire comme ça, de Rudyard Kipling : Conte : Le chat qui s’en va tout seul. Du temps où tous les animaux étaient nature (sauvages), le plus sauvage était le chat : « Il se promenait seul et tous les lieux sa valaient pour lui. Alors il s’en va par les Chemins Mouillés du Bois Sauvage, sous les Arbres ou sur les toits, remuant la queue et tout seul ». Naturellement l’être humain était « sauvage » aussi, pas de civilisation tôle-boulons-acier-verre-béton et machine à calculer.
Pour : Piccolo, Flûte, Hautbois, Cor anglais, 2 Clarinettes en Si, 2 Bassons, 2 Cors en Fa, 2 Trompettes en Do, 2 Trombones, Timbales, Percussions, Xylophone, Harpe, Violons 1 et 2, Altos, Violoncelles, Contrebasses.