Le prix du dynamiteur est le comble du winnerisme occidental le ”camp du bien” et sa ”démocratie” mercantile du ”pouvoir d’achat”.
Le bien n’est qu’une illusion par conséquence le « camp du bien » tel celui de l’empire du Washingtonisme et Westminsterisme est la même escroquerie que l’État français républicain et tous États en régime républicain ou monarchique et depuis 1789 leur commerciale démocratie en idolâtrie de la marchandise : un citoyen à côté d’un autre citoyen et que c’est ça leur ”social-”isme” dans le principe des CONFLITS puisque le citoyen ou consommateur N’EST PAS LIBRE, il se définit par rapport à l’autre, au Dehors, il est donc LIMITÉ par ce qui le différencie de ce Dehors, de cet autre consommateur, donc leur seule égalité est celle de la loi de succion vulgaire ou attraction, l’emprise mentale (1) ; et c’est là-dessus que s’est construit le capital-socialisme et l’État (de ”droit”) et sa civilisation de consommation, de loi de succion vulgaire.
CONFLITS : Bien ou Bonté ne sont que RELATIF-OPINION :
”Le bien implique toujours le mal. Ils coexistent toujours. Ils sont comme la face et le revers d’une médaille”. (Ramana Maharshi 326, 13-1-1937).
– M. : « Vous parlez du monde et des événements qui s’y déroulent. Ils ne sont que des idées en vous. Ces idées sont dans le mental. Et le mental est en vous. Donc le monde est en vous.
– Q. : Je ne vous suis pas. Même si je ne pense pas au monde, il n’en existe pas moins.
– M. : Voulez-vous dire que le monde est séparé du mental et qu’il peut exister en l’absence de celui-ci ?
– Q. : Oui.
– M. : Le monde existe-t-il dans votre sommeil profond ?
– Q. : Il existe.
– M. : Le voyez-vous dans votre sommeil ?
– Q. : Non, pas moi. Mais les autres qui restent éveillés le voient [donc le ‘je’ qui se définit par rapport à un ‘toi’, et qu’il est donc limité par ce qui le différencie de ce ‘toi’].
– M. : Dans votre sommeil, en étiez-vous consciente ? Ou ne serait-ce pas plutôt maintenant que vous savez que les autres voient le monde ?
– Q. : Oui, dans mon état de veille.
– M. : Vous parlez donc de votre perception du monde à l’état de veille et non pas de votre expérience dans le sommeil. Vous admettez l’existence du monde dans les états de veille et de rêve parce qu’ils sont le produit du mental. Le mental se retire durant le sommeil profond et le monde se trouve dans la condition d’une graine. Au réveil, le monde se manifeste à nouveau. L’ego s’élance, s’identifie avec le corps et voit le monde. Ainsi, le monde est bien une création du mental.
– Q. : Comment cela se peut-il ?
– M. : Ne créez-vous pas un monde dans votre rêve ? L’état de veille est également un rêve, mais prolongé. Il faut qu’il y ait quelqu’un qui voie les expériences du rêve et du sommeil. Qui est-il ? Est-ce le corps ?
– Q. : Il ne peut pas l’être.
– M. : Est-ce le mental ?
– Q. : Ce doit être lui.
– M. : Mais vous existez aussi en l’absence du mental.
– Q. : Comment ça ?
– M. : Oui, en sommeil profond.
– Q. : Je ne sais pas si j’existe alors.
– M. : Si vous n’existiez pas, comment pourriez-vous vous souvenir de vos expériences d’hier ?
Est-il possible qu’il y ait eu une cassure dans la continuité du ‘je’ durant le sommeil ?
– Q. : C’est possible.
– M. : Si c’était le cas, un Johnson pourrait alors se réveiller comme un Benson. Comment l’identité de l’individu est-elle alors maintenue dans ces conditions ?
– Q. : Je n’en sais rien.
– M. : Si cet argument n’est pas clair, suivez alors un autre raisonnement. Vous admettez
« J’ai bien dormi », « Je me sens reposé après un bon sommeil ». Vous avez donc fait l’expérience du sommeil. Celui qui a fait cette expérience s’identifie maintenant avec le ‘je’ de celui qui parle. Ce même ‘je’ doit avoir existé aussi durant le sommeil.
– Q. : Oui.
– M. : Donc le ‘je’ a existé durant le sommeil. Si le monde s’y trouvait aussi, vous a-t-il dit qu’il existait ?
– Q. : Non. Mais le monde me prouve maintenant qu’il existe. Même si je nie son existence, lorsque je me heurte à une pierre et blesse mon pied, la blessure me prouve l’existence de la pierre et donc celle du monde.
– M. : C’est cela. La pierre blesse le pied. Le pied dit-il qu’il y a une pierre ?
– Q. : Non, moi ‘je’ le dis.
– M. : Qui est ce ‘je’ ? Il ne peut être le corps, ni le mental, comme nous l’avons déjà vu. Ce ‘je’ est celui qui fait l’expérience des états de veille, de rêve et de sommeil profond. Ces trois états sont des changements qui n’affectent pas [l’identité de] l’individu. Les expériences sont comme des images qui défilent sur un écran de cinéma. L’apparition et la disparition des images n’affectent pas l’écran. Ainsi, les trois états alternent successivement laissant le Soi non affecté. Les états de veille et de rêve sont des créations du mental. Le Soi les englobe toutes. Savoir que le Soi demeure heureux dans sa perfection est la réalisation du Soi. C’est la réalisation de la Perfection et ainsi du Bonheur.
– Q. : Le bonheur de la réalisation du Soi peut-il être complet si l’on ne contribue pas au bonheur du monde ? Comment peut-on être heureux quand il y a une guerre en Espagne, une guerre en Chine, etc. ? N’est-ce pas de l’égoïsme que de rester dans l’état de Réalisation sans aider le monde ?
– M. : On vient de vous démontrer que le Soi englobe tout l’Univers et le transcende aussi. Le monde ne peut rester séparé du Soi. Si la réalisation d’un tel Soi est appelée égoïsme, cet égoïsme doit aussi englober le monde. Il n’y a là rien de méprisable.
– Q. : Les êtres réalisés ne continuent-ils pas à vivre comme les êtres non réalisés ?
– M. : Oui. Avec cette différence que l’être réalisé ne voit pas le monde comme séparé du Soi. Il possède la véritable connaissance et le bonheur intérieur d’un Être parfait. Tandis que l’être non réalisé voit le monde comme séparé, ressent son imperfection et en devient malheureux. Autrement, leur comportement extérieur est semblable.
– Q. : L’être réalisé sait donc, comme les autres, que des guerres font rage dans le monde.
– M. : Oui.
– Q. : Comment peut-il alors être heureux ?
– M. : L’écran de cinéma est-il affecté par des scènes d’incendie ou d’inondation ? Il en est de même avec le Soi.
L’idée « je suis le corps ou le mental » est si enracinée qu’il est difficile de s’en défaire, même quand on est convaincu du contraire. Quand on a fait un rêve, on sait au réveil qu’il était irréel ; et l’expérience de veille devient irréelle dans les autres états. Par conséquent, chaque état contredit les autres. Ils ne sont donc que des états changeants qui se déroulent dans la conscience de celui qui les perçoit. Ce sont des phénomènes apparaissant dans le Soi qui, lui, ne change pas et reste non affecté par eux.
Tout comme les états de veille, de rêve et de sommeil profond ne sont que des phénomènes, la naissance, la croissance et la mort ne sont, elles aussi, que des phénomènes dans le Soi, lequel continue à demeurer inchangé et non affecté. Naissance et mort ne sont que des idées. Elles relèvent du corps ou du mental. Le Soi existait avant la naissance de ce corps et demeurera après la mort de celui-ci. Il en est de même de tous les corps qui ont été pris successivement. Le Soi est immortel. Les phénomènes changent et sont mortels. La peur de la mort relève du corps, pas du Soi. Une telle peur est due à l’ignorance. Réalisation signifie vraie connaissance de la perfection et de l’immortalité du Soi. La mortalité n’est qu’une idée qui cause la souffrance. Vous pouvez vous en débarrasser en réalisant la nature immortelle du Soi [le scribe de cette page souligne].
(Ramana Maharshi 487, 2-5-1938).
Note.
1. Emprise mentale ou racine du mal : la dualité Dedans-Dehors avec naissance de la SAISIE.
Exemple d’emprise mentale dans le capitalisme juif et leur ”mise en valeur du temps” pour soi-disant ”racheter les péchés” (système du tikkounolamisme rabbinique ou réparation) :
En 1840 les frères Abraham et Simon Oppenheim déclaraient ceci : « Vendre une perle que vous avez à quelqu’un qui en a envie, ce n’est pas faire des affaires ; mais vendre une perle que vous n’avez pas à quelqu’un qui n’en veut pas, voilà ce qui s’appelle faire des affaires ». (Réf. page 451 du livre de Jacques Attali, Les Juifs, le monde et l’argent).
Saisir = déception….. Et principe de L’IDOLÂTRIE DE LA MARCHANDISE, L’EMPRISE MENTALE : LA DROGUE, LE BESOIN ET LE ”TOUJOURS PLUS” EN ÉVOLUTIONNISME APPELÉ AUSSI ”SALUT”, LA DÉMOCRATIE : FABRIQUER LE CONSENTEMENT-CONSOMMATEUR ET AINSI ÊTRE FORCÉMENT PERPÉTUELLEMENT DÉÇU, BLASÉ, INSATISFAIT, ANGOISSÉ (d’où le principe sans fin et qui a toujours faim des RÉFORMES… ”Agiter le peuple avant de s’en servir”…).
RESSENTIR L’ATTRACTION ”UNIVERSELLE” OU LOI DE SUCCION EN UN APPÉTIT INSATIABLE, ÊTRE SOUS EMPRISE.



