Le riche n’existe que par le pauvre comme le bon n’existe que

Le riche n’existe que par le pauvre comme le bon n’existe que par le méchant. C’est le régime politique mondialiste du monothéisme unilatéral républicain dérivé du catholicisme de l’Église de Rome : le ”camp du bien” identique à celui de la république et ses « valeurs ».

Depuis l’Église de Rome, le catholicisme étant un « isme » ou système, il en est de même du régime républicain : tous deux sont une caricature de la FOI, c’est pourquoi le régime républicain parle de « valeurs ». Dans les deux cas il peut y avoir ce qui est appelé les « confession spontanées ». Le communisme ou le socialisme ou république et les tortures (en hôpital psychiatrique) qui précèdent ces confessions peuvent être consenties et vécues COMME UNE GUÉRISON et elles peuvent faire naître, non pas la haine du bourreau, pardon, du ”médecin”, mais l’amour du médecin, surtout de ses pilules magiques.
Les lavages de cerveaux ne sont rien d’autre que l’application d’une technologie qui par ses procédés ont beaucoup à voir avec les réflexes conditionnées d’Ivan Pavlov : dissoudre la géométrie logique du complexe intellectuel, des accidents-connaissance (dans le spatio-temporel) qui se sont greffés sur l’intellect issu de l’ESSENCE(1), les noumènes façon Kant.
Cela produit un déluge de l’âme, un déluge de la vision de l’Univers. Et sur ces ruines peut alors se construire un nouveau corps, UNE NOUVELLE CHAIR D’OPINIONS OU DE PENSÉES.

Bref, on déguise le mental dans un autre accoutrement « conforme » à la mode de vie du moment.
C’est la mise en œuvre dans un sens pervers, UTILITAIRE, à l’envers, de la connaissances des seules essences(1).

Ce nouvel accoutrement du mental pour être en « conformité » avec la pensée générale du moment, ne peut affecter que ce qui, dans le mental, EST ENTRÉ PAR LA VOIE DES SENS PHYSIQUES ET DE LA MÉMOIRE SENSIBLE (la raison ou conscience qui calcul, l’apprentissage), et NON pas ce qui est venu de la Conscience Infinie.
Dans le catholicisme il y a nombre de chrétiens dont la foi est purement sensible (voir le cas de funérailles d’un pape), cette foi toute construite d’opinions morales style ”camps du Bien” dans la dualité pur-impur, entièrement tributaire de la soupe sociale et éducative, ou même simplement par une esthétique culturelle. Ce type de chrétiens peut être hanté par le fait de « perdre sa foi ». Alors il s’entoure d’un rempart fait d’éducation close (voir l’affaire Bétharam), une défense et un système censé être d’obligations « morales » et utilitaires, qui voudrait atteindre les béatitudes ou la félicité sans passer par la VÉRITÉ qui la conditionne et les font être ce qu’elles sont.

Morales évidemment coupées de ses références ontologiques, c’est alors une morale mollusque, liée aux circonstances, qui n’informe pas l’âme, mais lui est une simple protection, UN MASQUE, UNE COUVERTURE SOCIALE contre les choses du Dehors (hors norme), et qui évite soigneusement les voisinages « impurs », craignant de pénétrer par le DEDANS en tentant de RETOURNER LA LUMIÈRE (en tentant de se réaliser au sens unique du Soi(2)).

République et catholicisme sont cette morale manichéenne ou de dualité pur-impur, SANS AUCUNE NUANCE.
C’est pourquoi les « bons » ont besoin des « méchants » comme les riches ont besoin des pauvres. C’EST UNE QUESTION DE DUALITÉ : CONNAISSEUR-CONNAISSANCE : TOUS CES GENS COMBATTENT L’IMPUR MAIS SANS DÉSIRER SA DISPARITION, SANS CELA, ILS PERDENT LEUR LOI DE SUCCION VULGAIRE OU ILS PERDENT L’ATTRACTION QUE CELA LEUR PROCURE.
FABRIQUER LA QUALITÉ DE « BON » EXIGE DE FABRIQUER SON CONTRAIRE : LE MÉCHANT. COMME FABRIQUER LA SERRURE C’EST FABRIQUER LE VOLEUR.

En régime républicain le culte de l’opinion a conduit au rêve d’une « UNITÉ DE L’OPINION », et ce désir, dans ses profondeurs, ne vient pas d’une volonté d’impérialisme ou de totalitarisme façon URSS ou Allemagne nazi, mais du BESOIN DE L’HOMO RELIGIOSUS de trouver la Paix dans l’âme et par conséquence dans la communauté humaine et sur la planète, cette communauté humaine qui cherche des solutions et sa satisfaction par des voies fausses : et le papisme et le pape est une solution fausse : les fidèles : ressembler à une caricature de pureté figurée par un pape, celui qui fait « passer le pont » (souverain pontife : le PASSEUR, celui qui fait passer le pont) ; les fidèles se cherchent AU DEHORS un modèle tout cuit.
Besoin spirituel égaré, reposant sur le Vrai Besoin spirituel de RE-trouver le CENTRUM CENTRI, le Centre immuable qui est nulle part, non-possédable, mais sans qui la Circonférence qui est partout : Nous, n’existerait pas.

Le religieux, le spirituel repose sur la dualité pur-impur : l’impur, c’est ce qui DÉRANGE. Le pur, c’est la Paix, la santé, la Félicité naturelle.

Les façons de se sentir bien ou mal sans ses pompes sur le plan de la vie sensible, donc sur le plan du mental dans le temps de l’horloge COMMERCIALE la même pour tous, sont indéfiniment diverses, in-copiables. À chacun de savoir l’Être qu’il doit devenir. C’est une immense erreur de croire que ces façons de vivre peuvent être uniformisées, et c’est pourtant de cette illusion que naît une certaine conception de l’éducation des humains par L’UNIFORMISATION des choses qu’on donne à digérer, à vivre sur le plan sensible. LA MÊME SOUPE POUR TOUS. « C’EST PAS D’LA, C’EST DU RATA. C’EST PAS D’LA MERDE MAIS ÇA VIENDRA ». Et de nos jours de technologies du com-merce et des humains-objets, LA MERDE EST LÀ, L’ILLUSION COMMENCE À NE PLUS PRENDRE.

  • La recherche de l’uniformité républicaine et commerciale des choses qu’on donne à sentir et vivre, ne peut tendre qu’à l’uniformité des intellects individuels, impossible à atteindre, et supprime du même coup la vie spirituelle, l’essentiel.
    La qualité, qui est de l’ordre de l’infini, ne peut être engendré par la quantité technologique qui est par nature indéfinie, jamais achevée et ainsi multipliable à l’illimité productiviste. Une telle méthode actuelle conduit à la société fourmilière, où n’est tolérée aucune liberté individuelle vers la Réalisation du Soi, ou recherche de l’Infini spirituel. Le régime actuel républicain en forme de monothéisme unilatéral, multiplie, cumule les êtres-objets pour en faire des troupeaux, et ainsi REFUSE LES PERSONNES, les Êtres dans le sens qualitatif.
    La Liberté n’existe que pour l’oligarchie et les industriels actuels, celle qui décide de ce qui devra être vécu et senti uniformément par tout le monde. C’est la liberté du diable(3) ou du SATAM, Grand Architecte, Grand Organisateur, qui ne cherche pas à libérer mais à posséder les êtres-objets.
    C’est l’erreur, le péché, qui a sa source dans un Occident prétendument de civilisation chrétienne à partir ce l’Église de Rome.

La foi par conditionnement éducatif : se faire une opinion de Dieu à partir du spatio-temporel. La Vraie Foi est le Soi : voir le spatio-temporel à partir du Soi, et alors pouvoir repenser ce qu’est vraiment ce spatio-temporel. Vraie Foi, ou Connaissance, Soi, Vérité, Centrum Centri, Dieu, etc.

”Ne croyez pas que je sois venu apporter la paix sur la terre; je ne suis pas venu apporter la paix, mais l’épée”. (Matthieu 10,34). Ce monde fait le contraire et se ZOMBIFIE PAR CASTRATION.

Se sentir « inutile », « bon à rien » (le ”VAURIEN” : NE RIEN VALOIR), est la marque de génie qui ne trompe pas. (Cas d’Albert Einstein d’après sa correspondance à quelques amis). Ce « sentir inutile » est donc le Principe de la Connaissance.
LE VRAI FEU SAUVERA CE MONDE, LE VRAI FEU OU L’IN-SIGNIFIANT, LE DÉRISOIRE, L’INUTILE, LE PAUVRE, LE LOSER (« Ainsi les derniers seront les premiers, et les premiers seront les derniers ». Matthieu 20,16). ENFIN LE CHANDELIER (Menorah) N’AURA PLUS 7 BRANCHES…… Chandelier, le candélabre nécessairement suite à la découverte du feu vulgaire CE NOUVEAU « SALUT » QUI FOURBIRA LES LOUPIOTES DU 18è SIÈCLE FRANÇAIS DES LOUPIOTES…. NOUVEAU SALUT DU CHANDELIER À 7 BRANCHES QUI DONNERA CE MONDE ÉCONOMIQUE DU SALUT PAR LE POUVOIR DU SALARIAT ET DE L’ACHAT….. DONC, QUE LA MENORAH CRÈVE, QUE CE SYMBOLE ”COSMIQUE” DU CHAOS HUMAIN CRÈVE, QUE CE SYMBOLE DE LA MISE EN VALEUR DU TEMPS CRÈVE.

VRAI FEU = LE MANQUE D’INTÉRÊT (absence de loi de succion, absence du Plomb-pesanteur, absence de revenu, de cause, de rapport, d’agio, de taux, de rendement, de ”mieux”)
MANQUE D’INTÉRÊT = MANQUE DE POIDS OU MANQUE DE PLOMB-PESANTEUR : LA COAGULATION NE PREND PAS, LA CONSISTANCE EST NULLE.
DE NOS JOURS DE DESPOTISME DE L’OPINION : RÉUSSIR À NE RIEN DIRE, EST CHRISTIQUE ! CAR N’EST PAS INSIGNIFIANT OU N’EST PAS CHRISTIQUE AUTHENTIQUE QUI VEUT !!!

VRAI FEU : INSIGNIFIANT, NE RESSEMBLER À RIEN, c’est le VRAI FEU, LE GRAND FEU, parce qu’il ne ressemble à rien, et surtout pas au Soleil qui cuit. Car si le Vrai Feu ressemblait à celui de l’astre solaire, il y a déjà des millénaires que ce feu est petit petit petit de la thermodynamique et de sa métallurgie…….

Comme l’humain contaminé par la découverte du feu vulgaire devient en même temps contaminé par le mental, IL NE POUVAIT QU’ÊTRE JAMAIS SATISFAIT : ALORS IL VIVRA À L’ÉCART DU SEUL RÉEL, il vivra à l’écart du Soi-Instant, COMME SI il y avait un autre univers ou autre monde, qui n’existe pas encore ; il se prive ainsi de ce qui existe en inventant des besoins et d’autres mondes ; depuis sa découverte du feu vulgaire il est incapable de vivre dans l’Instant, mais seulement dans le futur et le passé, dans l’angoisse et le regret. ET C’EST LA CHUTE, au sens Ancien Testament ; la CHUTE DANS LA DUALITÉ DU MANQUE ET DU RESTE. L’expérience de la vie sera alors une expérience CRUELLE de l’absence de l’Ici et du Maintenant, l’Instant, qui ne se donnera JAMAIS, sinon par le biais et par le regret du DÉJÀ LOIN, LE BIAIS DU ”COMME SI” OU DU GRAND JEU DU FAIRE SEMBLANT : « ITINÉRAIRE N’EST PAS ITÉRER » : Saint Bonaventure : « Jamais l’âme et Dieu ne peuvent coexister ».

L’insignifiant, le loser, le dernier devenant le Premier, marquera enfin la FIN DES CRIMINELS « RÉSULTATS OBJECTIFS » DE CE MONDE DE L’AVOIR, DE L’ORDINATEUR, ET DE SE FAIRE AVOIR PAR SES CALCULS (”intelligence artificielle”).

Notes.
1. ESSENCE : dans le sens par exemple du principe de l’outil appelé tour : déplacer un outil coupant sur une pièce qui tourne, produisant des copeaux. N’existerait-il rien au monde, pas même la Création, que ce principe SERAIT, Essence éternelle du tour ; mais ce qui ne serait pas, c’est le tour concret, et on peut en réaliser une infinité de modèles à partir du principe ou Essence : l’ex-istant. Un tour ne peut engendrer son principe, ni aucun machine, même construite par un transhumaniste : la recherche ou le bricolage peuvent éveiller l’idée d’un principe, elles ne le créent pas.…. Quand un humain découvre un principe, c’est qu’il le portait déjà en lui, comme une plaque photographique non révélée, dans les structures intimes de son être.

ESSENCE : ce qui existe de toute éternité à l’état latent, en Vraie Télépathie, et qu’on a appris à connaître au fur et à mesure de l’évolution de notre cerveau. Ce qui n’a pas l’Essence ne peut produire l’Essence. « L’essence qui voit est la seule chose qu’on ne puisse attribuer à rien » dit Le Secret de la Fleur d’Or. « Mais, lorsqu’on voit le voir, si ce voir n’est pas le voir, l’essence qui voit est alors aussi attribuable à quelque chose. Cela renvoie à l’essence qui voit, telle qu’elle s’exerce dans la continuité répétitive de la conscience habituelle – ce que les Écritures bouddhiques évoquent en ces termes : « Faire usage de la conscience habituelle et répétitive [la raison], c’est faire erreur ». L’AVERTISSEMENT TRADITIONNEL : « NE POINT ATTACHER UN INSTANT QUI PASSE À UN AUTRE INSTANT ».

Comme tout est conscience, y compris les objets ou le monde extérieur, et qu’il n’y a pas de conscience sans un monde ou sans des objets extérieurs, RESTE À RE-TROUVER CE QUI EST ESSENCE OU CONSCIENCE INFINIE SEULEMENT (à retrouver par le « QUI SUIS-JE ? »). Et MYSTÈRE du « Faut-il le voir pour le croire ou le croire pour le voir ?? ».

2. « Si vous affirmez que vous voyez les objets ou que vous ne connaissez pas l’Unité réelle, vous devez en conclure qu’il y a deux soi : le connaisseur et l’objet connaissable. Or, personne n’admettrait qu’il existe en lui-même deux soi. L’homme réveillé dit que c’était lui qui était plongé dans le sommeil profond, mais qu’il était inconscient. Il ne dit pas que le dormeur était différent de celui ici présent. Il n’y a qu’un Soi. Ce Soi est toujours conscient. Il ne change pas. Il n’existe rien d’autre que le Soi ». (Ramana Maharshi 144, 23-1-1936).

3. Extrait de la conférence de Jiddu Krishnamurti à Omen en 1929, où il expliquait que « La Vérité est un pays sans chemin ».
« Peut-être avez-vous souvenir de cette histoire du diable et de son ami : ils marchaient dans la rue quand ils virent devant eux un homme se baisser pour ramasser quelque chose et le mettre dans sa poche. L’ami dit au diable : « Qu’est ce que cet homme vient de ramasser ? » « Un petit bout de Vérité », répondit le diable. « Mauvaise affaire pour vous, alors ! », remarqua l’ami. « Oh, pas du tout, répliqua le diable, je vais l’aider
à l’organiser ! »
Je maintiens que la vérité est un pays sans chemin que vous ne pouvez l’approcher par aucune route, quelle quelle soit : aucune religion, aucune secte. Tel est mon point de vue, et j’y adhère d’une façon absolue et inconditionnelle. La vérité étant illimitée, inconditionnée, ne peut être approchée par quelque sentier que ce soit, elle ne peut pas être organisée on ne devrait pas non plus créer des organisations qui conduisent ou forcent les hommes à suivre un chemin particulier. Si vous comprenez bien cela dès le début, vous verrez à quel point il est impossible d’organiser une croyance ».

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