Les Hébreux (juifs) faiseur de lumière et de fric/flic.
Ils se prétendent avoir été choisit « par Dieu », COMME SI ce « dieu » faisait en GROS, EN QUANTITÉ, ”COMME SI” ce « dieu » inoculait d’un coup de baguette magique la spiritualité dans la totalité d’un groupe humain !!! Les faisant ainsi comme des « prêtres » destinés à promulguer partout la « bonne parole » (la vérité cachée bien-sûr).
Ça commence par le mental : Adam voyant sa nudité commence à se « couvrir »…. par Ève : Adam et Ève, en toutes lettres !
SCIENCE des FRÉQUENCES IMPERTURBABLES (les Essences(1)) MAIS SCIENCE PERTURBABLE PAR LE MENTAL DE L’HUMAIN, PERTURBABLE PAR L’ADN-GLÈBE (Glèbe adamique de Genèse 2,7) autour du SOUFFLE-FRÉQUENCE : LA MÈRE L’OIE(1) maltraitée ou la Vraie Loi de Succion (Eucharistie) mal-traitée (devenant la vulgaire loi de succion ou « attraction universelle » le Plomb-Pesanteur…). Nostalgie de cet a-pesanteur qui se retrouve dans L’ÉCONOMIE MONDIALE DE LA DROGUE, sans laquelle ce monde ne pourrait fonctionner, en y ajoutant la fabrication et le commerce des ARMES.
- Les religions commencent à être perverti par l’arrivée des Hébreux et leurs prophètes qui veulent « réguler » les religions en une seule, COMME ÇA SE PASSE ACTUELLEMENT SOUS COUVERTURE DE ”VIVRE ENSEMBLE” EN RÉGIME ÉTATICO-MARCHAND RÉPUBLICAIN.
Or le Sentier vers I.T., vers TI : de a-verti, du A privatif et vers TI, N’EST PAS LE SENTIER DE VERS-I.T.. C’EST UN NON SENTIER, UN TROU OÙ IL N’Y A RIEN DU TOUT, C’EST LE Soi OU CONSCIENCE INFINIE, CONSCIENCE FONDAMENTALE.
C’EST LA NUIT OBSCURE DE JEAN DE LA CROIX, LA NUIT DES SENS DES CHRÉTIENS (LE RENONCEMENT-PUTRÉFACTION), LE NON-AGIR DU TAO.
Le plus tendre en ce monde
domine le plus dur.
Seul le rien s’insère dans ce qui n’a pas de failles.
À quoi je reconnais l’efficace du non-agir.
L’enseignement sans parole
L’efficace du non-agir,
Rien ne saurait les égaler.
(Tao-tö king, Verset 43, trad. Liou Kia-hway)
Et au Verset 48 :
Celui qui s’adonne à l’étude
Augmente de jour en jour.
Celui qui se consacre au TAO
Diminue de jour en jour.
Diminue et diminue encore
Pour arriver à ne plus agir.
Par le non-agir
Il n’y a rien qui ne se fasse.
C’est par le non-faire
que l’on gagne l’Univers [puisque Nous sommes DEDANS].
Celui qui vaut faire
ne peut gagner l’Univers [puisqu’il SORT de l’Univers pour le voir : Pour-Voir].
(”Sortir [du Tao], c’est vivre ; entrer [dans le Tao], c’est mourir”. Début du Verset 50).
Les religions commencent à être perverti par l’arrivée des Hébreux et leurs prophètes qui veulent « réguler » les religions en une seule, COMME ÇA SE PASSE ACTUELLEMENT SOUS COUVERTURE DE ”VIVRE ENSEMBLE” EN RÉGIME ÉTATICO-MARCHAND RÉPUBLICAIN.
En effet : Les prophètes des Hébreux attaquent la spiritualité de la Mère Divine, ce qu’ils appellent « la prostitution », la Mère Divine qui représente la forme la plus répandue de la spiritualité cosmique. Cette spiritualité cosmique prolongeait la plus élémentaire dimension du sacré et de la rêverie, surtout dans la croyance que le Divin s’incarne ou se manifeste dans les objets et les rythmes cosmiques. Or une telle croyance a été dénoncé par les Hébreux (juifs) comme « idolâtrie » par excellence, et ceci depuis leur invasion de la Palestine (déjà !).
Ainsi jamais la spiritualité de la Mère Divine ne fut assaillie aussi sauvagement : les prophètes finir par faire évacuer la Nature de toute présence Divine. Seule la SILICE du sable du désert était importante et sacré. Des secteurs entiers du monde naturel, les hauts-lieux, les pierres, les sources et fontaines, les arbres, certaines récoltes, certaines fleurs, seront dénoncés comme « IMPURS », puisque souillés par le culte à la Mère Divine (la Fertilité).
Le winnerisme du Dieu sur la Déesse et le Serpent (fréquence) se traduit dans l’organisation sociale par le passage du MATRIARCAT au PATRIARCAT.
Désacralisation de la Nature, dévalorisation de l’activité spirituelle, bref, le rejet violent et total de la spiritualité à la Mère Divine et surtout développement du Moi-Individuel, étaient les réponses des prophètes aux crises politiques qui menaçaient les Hébreux.
La Félicité naturelle solidaire de toute spiritualité à la Mère Divine, était non seulement une apostasie, une illusion, condamnée à disparaître dans l’imminente catastrophe politique.
Le mystère de la fertilité et de la mort et leur solidarité inébranlable, offrait désormais aux Hébreux une fausse sécurité.
La spiritualité à la Mère Divine encourageait la croyance que la vie se prolonge au-delà de la mort (comme d’ailleurs aussi de nos jours), et ainsi que la nation peut survivre en dépit de la gravité des crises politiques.
Bref, les prêtres et prophètes des Hébreux et leurs peuples étaient enclins à assimiler les adversités historiques ou politiques aux catastrophes naturelles (sécheresse, inondation, épidémies, mouvements sismiques, foudre, météorites).
Les prophètes des Hébreux annonçaient la ruine du pays et la disparition de l’État.
Bref, LES PROPHÈTES DES HÉBREUX ÉTAIENT UNIQUEMENT DES HOMMES POLITIQUES : LA MISE EN VALEUR DU TEMPS.
Mise en valeur du temps par les prophètes des Hébreux (juifs).
Les faits dans le spatio-temporel deviennent LA DUALITÉ du sujet face à « l’objet de dieu », ce qui donne le troisième terme : le sel ou résultat : LA VALEUR. Le spatio-temporel devenait LA VALEUR PREMIÈRE, évidemment à l’état de veille…..
Cette mise en valeur du temps est amplifiée par la découverte du feu vulgaire, et l’ARME PROJECTILE : la lance qui « enfonce la voute céleste », les « flèches à travers les nuages ».
Les EAUX PRIMORDIALES sont cachées dans les fluides des noms-les-formes (le sang commun chez les mammifères).
Les Paléanthropiens (les Chasseurs-Cueilleurs du Paléolithique ancien et des bifaces archaïques) ont vécus de la chasse, des fruits et racines, des mollusques, etc. La chasse a déterminé la division du travail selon le sexe, en amplifiant de cette manière « l’hominisation ».
Chez les carnassiers et dans le monde animal-animal, une telle différence n’existe pas.
Mais la mise à mort des animaux a fini par créer une COÏNCIDENTIA OPPOSITORUM (union des contraires) entre le chasseur et les animaux massacrés.
ACTE DE TUER = AUCUNE DIFFÉRENCE ENTRE L’HOMME ET L’ANIMAL : LE SANG EST ROUGE DES DEUX CÔTÉS. Si bien que la SOLIDARITÉ MYSTIQUE-MYSTÉRIEUSE AVEC LE GIBIER DÉVOILE LA PARENTÉ ENTRE LES SOCIÉTÉS HUMAINES ET LE MONDE ANIMAL. Abattre la bête chassé et plus tard l’animal domestiqué, équivaut à un sacrifice DANS LEQUEL LES VICTIMES SONT INTERCHANGEABLES, ce qui rappel fortement le Saint Chaos où la chair des animaux dépecés repoussait aussitôt, et où l’homme se métamorphisait en animal et réciproquement.
De nos jours d’urbanisme et de smartphonisme capitaliste, un jeune de 14 ans qui tue à coups de couteau un adulte de 30 ans IGNORE totalement cette COÏNCIDENTIA OPPOSITORUM HUMAIN-ANIMAL.
Dans l’état actuel des consciences, IL EST IMPOSSIBLE D’OPINIONER SI LES PALÉANTHROPIENS AVAIENT OU NON DES RÊVES ET CROYANCES SPIRITUELLES OU RELIGIEUSES.
Les chasseurs primitifs voyaient les animaux comme dotés de pouvoirs magiques ou surnaturels ; ils croyaient que l’homme peut se transformer en animal et l’inverse ; que les âmes des morts peuvent pénétrer dans les animaux ; enfin, qu’il existe une relation mystérieuse entre une personne et un animal ET MÊME ENTRE UNE PERSONNE ET UNE PLANTE, UN ARBRE.
Croire que seul le culte du NÉCESSAIRE et de L’UTILITARISME et sa transmission à travers la technologie était la seule activité du Paléanthropien est une ERREUR. Homo faber était également homo ludens, sapiens et homo religiosus, il était nécessairement un RÊVEUR BIEN PLUS IMPORTANT que de nos jours de rentabilité de mise en valeur du temps vulgaire. Puisqu’on ne peut pas reconstituer les croyances et pratiques spirituelles ou religieuses du Paléanthropien, on doit pour son respect, au moins indiquer certaines analogies comme le RÊVE (de la Pierre) susceptibles de les éclairer indirectement.
RÊVER = LE TROU DU TROUVÈRE DU « UN POINT C’EST LE TOUT », dans un Trou il n’y a rien d’autre que le Trou, donc RIEN À VOIR OU À POSSÉDER…… LE TROU N’EST PAS LE SENTIER DE VERS-I.T.. C’EST UN NON SENTIER, UN TROU OÙ IL N’Y A RIEN DU TOUT, C’EST LE Soi OU CONSCIENCE INFINIE, CONSCIENCE FONDAMENTALE INDIVIDUELLE : LE TROU PROPREMENT DIT DE ÊTRE/NON-ÊTRE…..
La PIERRE, le « premier outil » du ’QUI SUIS-JE ?’ L’ARTISAN, LE PTAH-ARCHANGE-MICHEL ET SA PIQUE DU TOUR DE POTIER.
[Merci grandement Monsieur Mircea Eliade]
Note.
1. ESSENCE : dans le sens par exemple du principe de l’outil appelé tour : déplacer un outil coupant sur une pièce qui tourne, produisant des copeaux. N’existerait-il rien au monde, pas même la Création, que ce principe SERAIT, Essence éternelle du tour ; mais ce qui ne serait pas, c’est le tour concret, et on peut en réaliser une infinité de modèles à partir du principe ou Essence : l’ex-istant. Un tour ne peut engendrer son principe, ni aucun machine, même construite par un transhumaniste : la recherche ou le bricolage peuvent éveiller l’idée d’un principe, elles ne le créent pas.…. Quand un humain découvre un principe, c’est qu’il le portait déjà en lui, comme une plaque photographique non révélée, dans les structures intimes de son être.
ESSENCE : ce qui existe de toute éternité à l’état latent, en Vraie Télépathie, et qu’on a appris à connaître au fur et à mesure de l’évolution de notre cerveau. Ce qui n’a pas l’Essence ne peut produire l’Essence. « L’essence qui voit est la seule chose qu’on ne puisse attribuer à rien » dit Le Secret de la Fleur d’Or. « Mais, lorsqu’on voit le voir, si ce voir n’est pas le voir, l’essence qui voit est alors aussi attribuable à quelque chose. Cela renvoie à l’essence qui voit, telle qu’elle s’exerce dans la continuité répétitive de la conscience habituelle – ce que les Écritures bouddhiques évoquent en ces termes : « Faire usage de la conscience habituelle et répétitive, c’est faire erreur ».
- Comme tout est conscience, y compris les objets ou le monde extérieur, et qu’il n’y a pas de conscience sans un monde ou sans des objets extérieurs, RESTE À RE-TROUVER CE QUI EST ESSENCE OU CONSCIENCE INFINIE SEULEMENT (à retrouver par le « QUI SUIS-JE ? »).
Le mot « Essence » peut se définir à travers l’entretien 363 du 20-2-1937 de Ramana Maharshi, le guide : « Par « guides spirituels », nous entendons ceux qui sont
« spirituels » [entre guillemets parce que ce mot est un fourre-tout] par opposition à ceux qui sont « matériels ». L’Esprit est illimité et sans forme. Il en est de même du centre spirituel. Il n’y a qu’un seul centre de cette sorte. Que ce soit en Occident ou en Orient, il ne peut être différent ; ni être localisé d’aucune manière. Étant illimité, il inclut les guides, les hommes, le monde, les forces de destruction et de construction. Il n’y a pas de distinction. Vous parlez d’établir des contacts parce que vous pensez que les guides spirituels sont des êtres incarnés. Mais les hommes spirituels ne sont pas des corps ; ils n’ont pas conscience de leur corps. Ils ne sont qu’esprit, sans limite et sans forme. Ils sont toujours en unité entre eux et avec tous les autres ; bien plus, ils englobent tout.
L’Esprit est le Soi. Si le Soi est réalisé, ces questions ne peuvent pas s’élever ».
ESSENCE = CE QUE NE PEUT JAMAIS ÊTRE ILLUSOIRE, PARCE QUE LA SEULE RÉALITÉ.
« Le Soi ne peut jamais être illusoire. Il est la seule Réalité. Ce qui apparaît doit également disparaître, ce n’est pas permanent. Le Soi n’apparaît jamais et ne disparaît jamais, il est donc permanent ». (Entretien 363).