Les USA le camp du bien la satanocratie du faire/fer.
L’utilitarisme et winnerisme anglo-américain (qui transparaît jusque dans leurs médias et films).
Le « Camp du Bien ».
La spiritualité ne peut s’accorder avec le rationalisme. La spiritualité est transcendante (centripète).
« Les États-Unis n’ont réalisé pleinement l’idéal démocratique, pour autant qu’une utopie puisse passer dans les faits, qu’en dissolvant totalement le sens de la « personne », entité métaphysique et non temporelle. L’intégration de l’individu dans le social s’accomplit sur le plan de l’uniformité des attitudes psychologiques dans l’usage des biens matériels. Il ne s’agit pas pour l’individu d’être une « personne », ce serait se singulariser, mais de « faire comme tout le monde ». C’est l’American way of life que l’Américain s’imagine ingénument pouvoir convenir à tous les peuples. Les nouvelles excroissances du protestantisme américain : christian-science, témoins de Jéhovah, spiritisme, qui gagnent l’Occident européen, relèvent elles-mêmes d’un désir de ressentir les émotions religieuses comme venant d’un Dieu inclus dans la matière. La démocratie ne semble avoir triomphé aux États-Unis que parce qu’on n’y a plus de recherche sur la question de savoir ce qu’est l’homme en soi. Les dernières lueurs d’un besoin de doctrine de l’homme, vu par l’intérieur, qui subsistent en France dans le socialisme et le communisme, semblent bien éteintes aux États-Unis. Il n’y a plus que l’opinion sur la « moralité » des machines à sous ou des bidets à douche ascendante, et les cuisses des pin-up qui portent les pancartes y sont l’artillerie lourde de la propagande électorale ». (Jean Coulonval, Synthèse et Temps Nouveaux, écrits de 1960).
Il est significatif que la chefferie de la Satanocratie ou « Camp du Bien » a choisi la ville d’Astana, capitale du Kazakstan, pour accueillir tous les 3 ans depuis 2003 le Congrès mondial des leaders de tous les cultes planétaires (religions mondiales). C’est également au sein de sa pyramide judéo-maçonnique, portant évidemment le nom de « Palais de la Concorde », cette « concorde » comme la place parisienne et fourguée à toutes les sauces de manipulation mentale par la chefferie de la Sanatocratie : pyramide de la concorde, plutôt de la CORDE(1) en vue de cette religion mondiale dont le monothéisme unilatéral républicain est le préambule.
RAISON, MENTAL, TÊTE, CALCUL (coaguler, fixer, dogmatiser, fabriquer des lois, projeter, planifier, organiser, goûter), CAPITAL, CHEF, OPINION (OPINER DE LA TÊTE OU CHOISIR, VALEUR D’ÉCHANGE) sont tous le même thème du MENTAL ou du SATAM, CELUI QUI AIDE À ORGANISER ET À FOUTRE LE CHAOS PARTOUT.
SATAM = SYMBOLE DE LA RAISON, SYMBOLE DU MENTAL HUMAIN et son créationnisme à base de FEU VULGAIRE ou de thermodynamique.
- LE MENTAL-CAPITAL-TÊTE-CAPITALISME-CALCUL.
- « Si un homme pense que son bonheur dépend de causes extérieures et de ce qu’il possède, il est raisonnable de conclure que son bonheur augmentera lorsqu’il possédera davantage et diminuera proportionnellement à la diminution de ces possessions [dualité du manque et du reste]. Par conséquent, s’il ne possède rien, son bonheur devra être réduit à zéro. Or, quelle est l’expérience réelle de l’homme ? Correspond-elle à cette optique ?
Dans le sommeil profond, l’homme ne possède rien, pas même son propre corps. Et au lieu d’être malheureux il est parfaitement heureux. Chacun désire dormir profondément. La conclusion en est que le bonheur est inhérent à l’homme et n’est pas dû à des causes extérieures. Pour ouvrir les réserves du bonheur parfait, il faut réaliser le Soi(2) ». (Ramana Maharshi 3, 15-5-1935). - « Comment empêcher les distractions du mental ? »
– M. : Vous ne voyez les objets que lorsque vous oubliez votre propre Soi. Maintenez-vous dans le Soi et vous ne verrez pas le monde objectif.
(Ramana Maharshi 6, 15-5-1935). - « Les perceptions participent de l’état dans lequel on se trouve, quel que soit cet état.
L’explication en est que dans l’état de veille (jâgrat), le corps grossier perçoit les noms et les formes eux aussi grossiers ; dans le svapna (état de rêve), le corps mental perçoit les créations mentales sous leurs multiples noms et formes ; dans la sushupti (état de sommeil profond), il n’y a plus d’identification avec le corps et donc pas de perceptions ; de même, dans l’état transcendantal, l’identité avec le brahman [l’Absolu, le Centrum Centri] met l’homme en harmonie avec toutes choses, et il n’y a rien qui soit séparé du Soi ». (Ramana Maharshi 2, 15-5-1935).
Le « Camp du Bien » est en fonction pour le verrouillage mental mondial depuis 1945, surtout en passant par sa langue anglaise et par ses technologies essentiellement du FAIRE/FER américain.
Toutes les guerres ne peuvent avoir leur source que depuis l’ADORATION DU SOLEIL par ces humains qui découvrirent le feu vulgaire qu’ils arrivèrent à domestiquer (coaguler, fixer), ce qui engendra le spatio-temporel en la dualité SUJET-OBJET ou DEDANS-DEHORS c’est la même chose. Alors il allait apparaître le concept d’”intellectus” : LA PENSÉE À L’ÉTAT DE VEILLE et DONC L’ARRIVÉE DE L’EGO-OPINION, dont le fondement est L’IDENTIFICATION AU CORPS-MENTAL, incluant les émotions, la volonté et le faire/fer qui forcément rouille.
Avec ce concept de corps-mental apparaît le mot latin ”intuitus” : ce qui ÉCHAPPE à la prison de la raison, et qui a ainsi des conséquences directes présentes ou futures sur le Dehors.
Intuitus, INTUITION : ce qui est MAÂT, DIRECT.
– MAÂT, la Déesse égyptienne : ce qui est DIRECT : l’information issue de sources immédiates, sans la mise en valeur du temps par la raison qui calcul.
– RAISON : information subjective issue de sources qui ne sont pas immédiates, ce sera la pensée sur la pensée, LA PENSÉE OBJET (info) comme de tout maintenant de ce monde achat-vente, manque-reste ; ce monde de l’acquisition, y compris du Salut ou de la Liberté comme si c’était une voiture ou un smartphone à acquérir pour AVOIR son « autonomie » ! « Vous ne posséderez rien et vous serez heureux », disent les Schwab-Harari du ”camp du bien” et comble de la possession !
À partir de cette transmutation majeure de l’humain PAR LA RAISON LA NAISSANCE DU CONCEPT DE « BIG BANG » POUVAIT COMMENCER À L’IDENTIQUE DE CE QUE CETTE DOMESTICATION DU FEU ALLAIT PRODUIRE : MÉTALLURGIE (soudure, étamage, bronze, acier, etc.), CHIMIE ET GUERRES, IMPÉRIALISME OU WINNERISME ENTRAÎNANT INÉVITABLEMENT L’ÉVOLUTIONNISME :
c’est toujours sous les églises modernes qu’il faut chercher les traces des religions précédentes.
« Camp du Bien » LE MENTAL-CAPITAL-TÊTE-CAPITALISME-CALCUL = ÉGRÉGORE ou « esprit de groupes ».
De nos jours de pensée sur la pensée ou de pensée sur la représentation des choses, l’information diffusée à tous est NÉCESSAIREMENT FORMATÉE, BIDOUILLÉE. Ce qui permet de procéder au VERROUILLAGE MENTAL, CE QUI PERMET L’ORGANISATION DE LA SATANOCRATIE.
En d’autres mots, si des groupes de personnes humaines peuvent être amenées d’une façon ou d’une autre, à s’accorder, la concorde, sur le sens de quelque chose, alors inévitablement leurs processus mental communs pourront être verrouillés sur une même phase. La pensée de groupe ou ÉGRÉGORE, les « grumeaux » de pensées, peut alors se coaguler au regard de tel ou tel segment de données, avec pour résultat ce phénomène mental nommé OPINION : OPINER DE LA TÊTE, DUALITÉ SUJET-OBJET, avec pour conséquence ce qui est appelé « CAPITAL », ou essentiel, la construction de l’esprit de groupe devient effective, ou coagulée, fixée.
L’épisode COVID-19 est une formidable OPÉRATION ÉGRÉGORIENNE DE MANIPULATION ET VERROUILLAGE MENTALE MONDIALE. OPÉRATION DE VERROUILLAGE MENTAL qui repose TOUJOURS sur le physique, donc du les pensées-opinions, L’OPINION : « J’appelle OPINION toute conception de l’Être en soi issue de l’expérience de l’existant. Dans la vision des choses, aucune doctrine ne peut être immuable [ou dite ‘universelle’] parce qu’elle a sa source dans la [chronologie tueuse, parce qu’elle a sa source dans la mise en valeur du temps] » (réf. Jean Coulonval, Synthèse et Temps Nouveaux, écrits de 1960).
En cet état des choses où les Terriens ne se sont pas réalisés au sens du Soi(2), ILS SONT HAUTEMENT MALLÉABLES, et par suite d’une longue habitude, les Terriens opèrent seulement sur une mise en phase mentale ou « géométrie mentale » sur une dimension limitée, et rejettent les autres géométries mentales qui ne n’accordent pas de ce verrouillage.
Ainsi, l’ensemble de toutes les dimensions de données possibles, reste : EN PIÈCES DÉTACHÉES, EN FORME D’ENGRENAGES : La fausse spécialisation actuelle est celle de la MÉCANISATION DE LA SOCIÉTÉ : des fragments, des engrenages de la MATRICE-MACHINE ABSTRACTION. Engrenages = les consommateurs les uns aux côtés des autres et qui consomment.
PHÉNOMÈNE DU FAIRE/FER : tenter de remonter une bagnole, ou tenter de reconstruire le monde, et comme au final on s’aperçoit qu’il y a des pièces en trop, on décide alors de construire une machine à coudre, ON FAIT SEMBLANT, dans la dualité du manque et du reste, donc dans la réparation (tiqounisme rabbinique).
ON FAIT SEMBLANT = LE GRAND JEU DU DIVISER POUR RÉGNER, ET AINSI TRANSFORMER LES HUMAINS EN SPÉCIALISTE, EN « JUMEAUX D’EUX-MÊMES » (comme dans la RACINE DU MAL(0) TENTER DE SAISIR, DE SE TOURNER VERS LE DEHORS, L’EXTÉRIEUR ET L’INTELLIGENCE ARTIFICIELLE EST LE PRINCIPE MÊME DE LA RACINE DU MAL EN SE TOURNANT VERS L’EXTÉRIEUR EN CONCEPTUALISANT UN DOUBLE MENTAL : LA COPIE DE L’HUMAIN, COMPARABLE AU PRINCIPE DU FILM DE DON SIEGEL : The Body Snatchers : les humains seront transmutés NON PAS PAR LE DEHORS, et par un virus ou quelques méchants ”terroristes” et ”vaccins” de Big Pharma, MAIS PIRE : PAR UN INCOMPRÉHENSIBLE « DEVENIR AUTRE », DONC ALIÉNÉ, qui ne s’effectue pas en une quelconque dialectique historique matérialiste, MAIS DE FAÇON TOUTE NATURELLE SANS INSTANCE DU DEHORS, PAR UN IRRÉSISTIBLE PROCESSUS DE DUPLICATION QUI S’EMPARE DES HUMAINS EN LES TRANSMUTANT EN JUMEAUX D’EUX-MÊMES, SOIT UNE ZOMBIFICATION DES HUMAINS LES RENDANT ALIÉNÉS, PRIVÉS D’EUX-MÊMES, SOUMIS À L’UNIQUE DEHORS, DEVENU L’UNITÉ À LA PLACE DE L’UNITÉ (voir l’exemple d’Astana, capitale du Kazakstan, cité plus haut).
Notes.
0. LA VALEUR D’ÉCHANGE ENTRE DEDANS ET DEHORS et RESTE ET MANQUE DE LA SOUMISSION AUX MARCHANDISES, LA SOUMISSION À LA LOI DE SUCCION, LE PLOMB PESANTEUR.
– Quelle est donc la racine du mal ?
– La « saisie » [loi de succion vulgaire à distinguer de la Vraie Loi de succion ou Eucharistie, mais ne pas tomber dans la gloutonnerie spirituelle qui existe aussi, c’est-à-dire ne pas tomber dans LA FIXATION OU COAGULATION D’UNE SPIRITUALITÉ COMME FIN EN SOI OU COMME « FIN DES TEMPS » !].
– La saisie de quoi ?
– La saisie du triple monde [de la Forme, du Désir, du Sans-Forme ; le connaisseur, la connaissance et le connu. ”Les triades ne sont que des apparences dans le temps et l’espace, tandis que la Réalité s’étend au-delà et derrière elles. Elles sont comme un mirage qui cache la Réalité. Elles proviennent de l’illusion [elle proviennent du ”Comme si”]” (Ramana Maharshi, entr. 28, 4-2-1935) ; jusqu’à la gloutonnerie spirituelle].
– Comment arrêter cette saisie ?
– En recourant à l’introuvable, car dans l’introuvable il n’y a pas de saisie.
– Qu’est-ce que l’introuvable ?
– La fin du dualisme.
– Qu’est-ce que le dualisme ?
– La vision d’un dedans et d’un dehors, lesquels sont introuvables.
(Soûtra de la Liberté inconcevable, chapitre V, 14)
1. « Quand une corde est prise par erreur pour un serpent, il suffit de détruire la fausse perception du serpent pour que se révèle la vérité. Sans l’élimination des fausses perceptions, la vérité n’apparaît pas ». (Ramana Maharshi 25, 4-2-1935).
« L’illusion d’un serpent dans une corde enroulée. L’apparence du serpent est réelle pour l’homme qui y croit [quand une magie parle toutes les magies parlent, quand une se tait toutes se taisent]. Il s’agit d’un phénomène limité dans le temps et qui apparaît dans certaines circonstances ». (Ramana Maharshi 33, 4-2-1935).
« Dès que l’existence de la corde est reconnue, l’illusion du serpent est détruite une fois pour toutes [toutes les magies se taisent] ». (Ramana Maharshi 315, 3-1-1937).
2. « Si vous affirmez que vous voyez les objets ou que vous ne connaissez pas l’Unité réelle, vous devez en conclure qu’il y a deux soi : le connaisseur et l’objet connaissable. Or, personne n’admettrait qu’il existe en lui-même deux soi. L’homme réveillé dit que c’était lui qui était plongé dans le sommeil profond, mais qu’il était inconscient. Il ne dit pas que le dormeur était différent de celui ici présent. Il n’y a qu’un Soi. Ce Soi est toujours conscient. Il ne change pas. Il n’existe rien d’autre que le Soi ». (Ramana Maharshi 144, 23-1-1936).
« Lorsqu’on parle de Réalisation, cela implique l’existence de deux soi : l’un qui réalise, et l’autre qui doit être réalisé. On cherche à réaliser ce qui n’est pas encore réalisé. Une fois que nous admettons notre existence, comment se fait-il que nous ne connaissions pas notre Soi ?
– Q. : À cause de nos pensées, de notre mental.
– M. : Tout à fait. C’est le mental qui empêche et voile notre bonheur. Comment savons-nous que nous existons ? Si vous dites que c’est à cause du monde environnant, alors comment pouvez-vous savoir que vous existiez pendant votre sommeil profond ?
(Ramana Maharshi 146, 26-1-1936).
RÉALISATION du Soi = ENTRER SANS ENTRER : Le ”CONNAÎTRE TOI-MÊME PAR TOI-MÊME” n’est pas correct. Car ”connaître” suppose la dualité du sujet face à l’objet à connaitre, comme s’il y avait deux Soi, une qui connaît, un autre qui est connu, ainsi que le processus de connaître. COMME SI il y avait la dualité du MANQUE ET DU RESTE.
« L’état que nous appelons ”Réalisation” est simplement d’être soi-même et non pas de connaître ou de devenir quelque chose. Être réalisé, c’est être ce qui EST et ce qui a toujours été. On ne peut pas décrire cet état, ON NE PEUT QUE L’ÊTRE [AU SENS DU TROU, A-temporel, et suivant l’exemple de l’aquarelliste faisant UN avec le paysage, avec la tour en pierres. Décrire = mettre en valeur le temps, chuter dans le FAIRE/FER qui forcément rouille ou meurt].
Bien-sûr, nous parlons habituellement de ”Réalisation du Soi” faute d’un meilleur terme. Comment ”réaliser” ou rendre réel ce qui seul est Réel ? Ce que nous faisons tous, c’est ”réaliser” ou considérer comme réel ce qui est irréel. Nous devons renoncer à cette habitude”. (Ramana Maharshi au jour le jour, 22-3-1946, après-midi).