Pointe, Jarre, Chicot, le RIEN, l’I-NUTILE.
Tous des FONTAINES DE JOUVENCE (aucune limite :
son contenu est BREUVAGE d’IMMORTALITÉ : amrita).
Jarre ou Pointe = le DRAGON-GARDIEN (en Dehors(1) les choses ne sont pas gardées, et Jarre = aussi Coffre-Cellier : voir plus bas le cas de l’enfant mort dans la tombe est la Jarre.
LA JARRE-DIV-BOUTEILLE UNIVERSELLE : LA TR-INQ : LA LOI DE SUCCION (à distinguer de l’actuelle loi du succion vulgaire, la DESTINÉE FUNESTE du consommateur soumis aux marchands-marchandises des usines à salariés, les solde-ats du capitalisme, avec leurs GRANDS PRÊTRES RÉPUBLICAINS : les médias).
L’EAU PRIMORDIALE A LE GOÛT DU VIN (et non du ”pinard”, celui de la masse, des soudards [à la solde ou salariés], celui de la m(a)esse des consommateurs de la république-être-suprême(2))
La Jarre-Pointe est universelle : chez les populations montagnardes du Viêt-nam, la Jarre contenant de la bière de riz est la COÏNCIDENTIA OPPOSITORUM(3) la COMMUNION à l’identique de la CÈNE. (mais pas celle du monothéisme unilatéral républicain représentée aux jeux olympiques de Paris 2024). Les Anciens Chinois y enfermaient aussi du vin, mais avant tout la Jarre était, comme pour les Anciens Égyptiens, « LA VACHE DU CIEL » : une image du Ciel, les énergies Yang, et la Jarre fendue laissait s’échapper la foudre par les fissures, comme les POINTES du Ciel d’Orages.
RAPPEL : c’est dans une Jarre et non dans un tonneau (ancêtre de la bouteille en verre transparent), que le sage Diogène avait décidé de vivre. En Crète, les enfants morts étaient ramenés à l’attitude fœtale et enfermés dans une Jarre. Jarres symbolisant la MATRICE, l’ÉTERNELLE RETOUR, LA RÉALISATION DU Soi.
Concernant le CHICOT, il est comme le Soi, le Seigneur, le BINDU, le ”Point sur le I” du ”Un Point c’est Tout”. Le Point du X de la CROISEL et du ’N’EST PAS X’(4).
Le X de la TOUPIE, l’Axe du I en pivot très aigu (telle Isis , surnommée ”la Chaise” quelle porte sur sa tête, évidemment pas une chaise classique à quatre pieds, mais à un unique pied, comme le tabouret (étymologie de l’ancien français de 1525 : pelote à aiguille, de ”tambour”, à cause de la forme circulaire de ce siège), tabouret à un pivot s’enfonçant dans la terre et encore utilisé au 19è siècle par les montagnards Auvergnats au moment où ils trayaient leurs vaches. C’est donc le T, ”SAMEK”, signifiant escabeau… POUR ABOUTIR À L’AURORE, LA POINTE DU JOUR, l’Or Rose du POMMIER du TOUT EST POSSIBLE……. Si on connaît son SEIGNEUR ou son DRAGON(a) : IDENTIQUE AU ”SANG DE L’ALLIANCE” OU LA COÏNCIDENTIA OPPOSITORUM(3), évidemment aussi le symbole du MERCURE de l’Alchimie (des deux Dragons Solve-Coagule) et en rapport AVEC L’OR ROSE DE LA POINT DU JOUR DE LA POMME DU JARDIN DES HESPÉRIDES ; on peut alors CROQUER LES POMMES SANS CRAINTE DE TOMBER DANS L’ADAMISME D’ADAM-ÈVE et le faire/fer de mise en valeur du temps et du capitalisme et de ses marchandises.
Le CHICOT, LA POINTE OU CHAISE D’ISIS sera le FOYER, LE CENTRUM CENTRI, L’ACCORD ABSOLU ENTRE LA MATIÈRE-CORPS SOUS ABSOLUE DISPARITION DE LA RACINE DU MAL(2), LE ”VIEIL ADAM” sera alors comme mort, L’AUBE DE L’OR ROSE SERA ALORS RÉELLE, L’HUMAIN NOUVEAU RETROUVERA SON ORIGINE, SES NOUVEAUX CIEUX ET NOUVELLE TERRE.
La Pointe, le Chicot, le Chic et Chiche est encore le OM sacré de l’Inde : le Germe à l’intérieur de la Jarre ou du Vase. Le OM ou Saint Chaos, parce que rigoureusement informel, non-conventionnel des noms-les-formes, et donc au-delà des possessives et catastrophiques opinions qui conduisent aux guerres sans fin et qui ont toujours faim.
JARRE : I-dub en sumérien (grande jarre à huile ou à graisse)
Concernant le Soi, le Seigneur(a), en sumérien il peut se nommer dans le signe déterminatif MU :
– nom, mot, année, ligne sur une tablette d’argile, témoignage, nommer, parler.
– MÛ : pousser, bourgeonner, apparaître.
– MÛ-MÛ : renaître sans cesse.
– MÛ : moudre du grain, hacher.
MU = LE X DU ’N’EST PAS X’ : pointer, désigner, DE FAÇON NEUTRE, SANS OPINION-POSSESSION CAR DANS L’INSTANT, SPONTANÉ, SANS CALCUL OU SANS RÉSISTANCE-CHAUFFERIE.
Le ”N’EST PAS X’ en sumérien pourrait se traduire : Mu-a-da-lam, qui n’est loin de ”Maintenant” (la main-tenant…), et a-da-lam n’est pas loin non plus de ”Adam”, autre ”forme” du « Un Point c’est Tout «.
L’éternel Retour.
Le Seigneur-Christ ou le LA du TOUT.
POINT, INSTANT (a-da-al en sumérien), PIVOT (a-sa-ga).
La perfection suprême semble imparfaite,
Son action n’a pas de cesse [et fait la source du business surtout de la paroisse des metteurs en scène du temps dans leurs industries marchandises périssables, et qui ont toujours plus faim de fin de la faim en compagnie de leur régime républicain] ;
La plénitude suprême semble vide,
Son action n’a pas de limite [et c’est le ”Zéro indien”, le Bindu].
La droiture suprême paraît sinueuse,
L’habilité suprême paraît maladroite [scolaire, conventionnelle].
L’éloquence suprême parait bégayante [scolaire et creuse…].
Le mouvement triomphe du froid [le frottement-chaleur].
Le repos triomphe de la chaleur [et de la mise en valeur du temps].
Pureté et quiétude sont normes du monde.
(Tao-tö king, Verset 45, traduction : Liou Kia-hway)
Notes.
1. La stratégie des 2 W, Washingtonisme, Westminsterisme, les Protestants ces ”bénis-bouffe-tout” N’EST PAS LA PAIX MAIS LA DIVISION SANS FIN QUI A TOUJOURS FAIM AFIN DE PRATIQUER SA LOI DE SUCCION VULGAIRE :
Pour piller et posséder les territoires des Amérindiens, il leur fallait morceler les territoires en attribuant ”gracieusement” des parcelles de terre individuelles dans la mode du ”Votre député, votre santé, votre sécurité, votre boulanger, votre ceci, votre cela”, pour pouvoir ensuite MIEUX CONTRÔLER, OU RACHETER la parcelle à l’Indien. Donc la tactique destinée à détruire le MOI-COLLECTIF de la Tribu et de sa terre natale et de sa culture. C’est le principe de la DÉMOCRASSE-I, ou PRINCIPE DU NOUVEL ORDRE MONDIAL, L’INFECTION DU MONOTHÉISME UNILATÉRAL RÉPUBLICAIN à pensée normalisée en ”vivre ensemble” LA FAUSSE COMMUNION (surtout amplifiée par les industries informatiques du capitalisme et leurs ”réseaux sociaux”).
La Démocrasse-I ou principe du Nouvel Ordre mondial républicain et son transitionnisme repose sur l’âge du fer/faire (L.C.F.R. Luci-fer/faire) en DUALITÉ ÉLUS-PROFANES : les élus n’existent que par les profanes, mais les élus peuvent tout se permettre (ils fabriquent des lois), cependant ils sont naturellement dépendant des profanes contre lesquels tout est permis.
La religion des élus conduit à la tyrannie des hommes de la ”raison” ou du mental, et la religion des hommes du profane conduit à la tyrannie des imbéciles. Ainsi le monothéisme unilatéral républicain est a éviter, mais la première mouture de ce monothéisme républicain par ”suffrage ‘universel’” est encore la moins dangereuse, car elle ne sert strictement à rien, c’est d’ailleurs pourquoi elle est qualifiée de ”suffrage universel” ; si elle était efficace, elle serait nommée ”suffrage général” (pour harmoniser le quantitatif, ce qui n’est que du corps-matière, de la terre), car l’”Universel” ne peut qu’être du Soi, et introduire le mot ”universel” à la participation du régime étatique républicain en fait nécessairement par ce fait UNE OPINION-RELIGION (la ”République universelle”).
Les 2 W, Washingtonisme, Westminsterisme, se comportent pareillement à leurs lointains ancêtres qui décidèrent de METTRE EN VALEUR LE TEMPS EN IMPOSANT LA LOI DE SUCCION DANS UN UNIQUE SENS : ON NE POUVAIT PLUS RECULER, L’ÂGE D’OR DEVENAIT L’ÂGE DÉVORANT DU FER ET FAIRE, le Moi-Collectif allait se transformer en un unique MOI-INDIVIDUEL caricaturé récemment en ”Moi-Collectif” par le ”Vivre ensemble” du monothéisme unilatéral républicain et de son artillerie normative du réchauffisme et autre flèche du temps VISANT UNIQUEMENT LE CORPS (réchauffisme et covidisme [ou autres ”virus” s’attaquant au corps] étant les deux mamelles du SATAM ou GRAND ARCHITECTE DE SA TRANSITION(b)).
2. LA VALEUR D’ÉCHANGE ENTRE DEDANS ET DEHORS et RESTE ET MANQUE DE LA SOUMISSION AUX MARCHANDISES.
– Quelle est donc la racine du mal ?
– La « saisie » [loi de succion vulgaire à distinguer de la Vraie Loi de succion ou Eucharistie, mais ne pas tomber dans la gloutonnerie spirituelle qui existe aussi, c’est-à-dire ne pas tomber dans LA FIXATION OU COAGULATION D’UNE SPIRITUALITÉ COMME FIN EN SOI OU COMME « FIN DES TEMPS » !].
– La saisie de quoi ?
– La saisie du triple monde [de la Forme, du Désir, du Sans-Forme ; le connaisseur, la connaissance et le connu. ”Les triades ne sont que des apparences dans le temps et l’espace, tandis que la Réalité s’étend au-delà et derrière elles. Elles sont comme un mirage qui cache la Réalité. Elles proviennent de l’illusion [elle proviennent du ”Comme si”]” (Ramana Maharshi, entr. 28, 4-2-1935) ; jusqu’à la gloutonnerie spirituelle].
– Comment arrêter cette saisie ?
– En recourant à l’introuvable, car dans
l’introuvable il n’y a pas de saisie.
– Qu’est-ce que l’introuvable ?
– La fin du dualisme.
– Qu’est-ce que le dualisme ?
– La vision d’un dedans et d’un dehors,
lesquels sont introuvables.
(Soûtra de la Liberté inconcevable, chapitre V, 14)
L’INTROUVABLE DONC L’INNOMMABLE, LE TERRORISTE, L’EXCRÉMENT COMME DIEU SONT CACHÉS.
Ils sont introuvables pour la raison naturelle que Nous sommes l’Univers et que la racine du mal fait SORTIR de l’Univers comme pour l’examiner et POUR-VOIR comment il fonctionne : ON SORT DU TROU POUR EXAMINER LE TROU, et comme dans un Trou il
n’y a rien d’autre que le Trou : pas de Trou à voir.
POUR-VOIR OU POUVOIR SIGNIFIERA ALORS : D’É-couvrir : augmentation de l’ego par l’opinion ou le recouvrement de toutes choses par le MASQUE, LE RIDEAU DE SON EGO, CE SERA LA CHUTE :
SORTIR, DEHORS, SAISIR… ET TENTER D’AMÉLIORER LA CONDITION HUMAINE…
3. LE TRAIT D’UNION, LE ”SANG DE L’ALLIANCE” OU LA COÏNCIDENTIA OPPOSITORUM (Union des Contraires, TELLE LA TRINQ) et autre nom de la Réalisation du Soi ou de la non-dualité, la seule issue possible, aussi bien au spiritualisme dialectique qu’au matérialisme dialectique. Non plus la triade à la Hegel : thèse-antithèse-synthèse, qui n’est qu’une construction mentale en chaine sans fin de causes et d’effets :
« La seule chose permanente est la Réalité ; et cela est le Soi. Vous dites : « Je suis », « Je suis en train de marcher », « Je suis en train de parler, de travailler, etc. ». Ajoutez un trait d’union à « Je suis » chaque fois, et cela devient « JE-SUIS ». Cela est la Réalité permanente et fondamentale. Cette vérité fut enseignée par Dieu à Moïse quand Il lui dit « Je suis ce JE-SUIS ». « Sois tranquille et sache que JE-SUIS Dieu ». Donc « JE-SUIS » est Dieu.
Vous savez que vous êtes. Vous ne pouvez nier votre existence à aucun moment. Car pour nier votre existence, il faut que vous existiez. C’est cela (la pure Existence) que l’on entend par un mental tranquille. Le mental est la faculté d’extériorisation de l’individu. S’il est tourné vers l’intérieur, il devient peu à peu tranquille. C’est alors que seul prévaut le « JE-SUIS ». « JE-SUIS » est toute la Vérité ». (Ramana Maharshi, entretien 503 du 17-8-1938).
4. ”Dans la question ”Qui suis-je ?”, le ‘je’ désigne l’ego. En essayant de suivre sa trace et de trouver ainsi sa source, on s’aperçoit qu’il n’a pas d’existence séparée mais qu’il se fond dans le Vrai ‘Je’”.
”Quelque soit la voie que vous suivez, vous devez vous perdre en l’UN. L’abandon [Putréfaction, Renoncement] n’est complet que si vous arrivez au stade où vous pouvez dire : ”Tu es Tout” et ”Que ta Volonté soit faite”.
”Dans la Réalité il n’y a ni dvaita [dualité] ni advaita [non-dualité], mais CELA qui est, EST.
L’abandon de soi paraît facile parce que les gens s’imaginent que, s’ils prononcent simplement les mots ”Je m’abandonne” et remettent leur fardeau au Seigneur, ils sont libres et peuvent faire ce qu’ils veulent [façon ”libéralisme” du protestantisme anglo-américain : le self].
Mais en réalité, une fois que vous vous êtes abandonné, vous ne pouvez avoir ni préférences ni aversions [donc délivré de l’opinion]. Votre volonté doit disparaître, laissant la place à celle du Seigneur (a).
Cette mort de l’ego n’est pas différente du jnâna [celui qui a réalisé le Soi].
Ainsi, quelque soit la voie que vous empruntez, vous devez arriver au jnâna, à l’Unité”.
(2-1-1946).
C’est-à-dire que le ”arriver au jnâna” ne veut pas dire être en possession de quoi que ce soit ou en possession de quelque réalité de Libéré vivant dans l’Éveil insurpassable, authentique et parfait.
Le ”vous devez arriver au jnâna” signifie que dans cet état on ne peut concevoir la moindre réalité.
En conséquence, on ne fait, éventuellement, que de parler d’Éveil insurpassable, authentique et parfait.
Cela correspond au Thème de la Carotte, ici la SUPER CAROTTE, qui n’est évidemment pas une SUPER CAROTTE, c’est pourquoi elle peut être ici l’objet de sa mention.
SEUIL, PASSAGE : QUADRATURE ou TRANSPARENCE du Circulus et aussi définition de l’ÉVEIL INSURPASSABLE, AUTHENTIQUE ET PARFAIT.
Si bien que le Fruit de la Simplicité unique qu’on appelle ”Fruit de la Simplicité unique” (I), le Réalisé vivant dit que le Fruit de la Simplicité unique (II) N’EST PAS le Fruit de la Simplicité unique (III) ; et c’est bien pourquoi on l’appelle ”Fruit de la Simplicité unique” (IV).
Le Libéré Vivant ou Réalisé Vivant est comparé au reflet dans un miroir sans tâche [miroir clair ou sans tain] dans un autre miroir semblable. « Que peut-on trouver dans un tel reflet ? Le pur akasha [éther, ou Lumière de la Conscience]. De même, la Félicité reflétée du jnâni [Sage, Bienheureux] représente la véritable Félicité (ânanda).
Ce ne sont là que des mots. Il suffit que la personne devienne antamukti (tournée vers l’intérieur). Les shâstra [écritures sacrées] ne présentent pas d’intérêt pour ceux dont le mental est tournée vers l’intérieur. Ils sont destinés aux autres ». (Ramana Maharshi, entretien 513 du 16-9-1938).
MIROIR SANS TAIN = le SOIS TRANQUILLE ET SACHE QUE JE SUIS DIEU : « La seule chose permanente est la Réalité ; et cela est le Soi. Suite sur l’entretien 503 cité plus haut. Oeil du cyclone ou FLÉAU …. Le Centre est nulle part.
a. CON-NAÎTRE le Soi = CON-NAÎTRE SON SEIGNEUR CON-NAÎTRE SONT GARDIEN-DRAGON (en tant que Dragonnier).
Dans un ensemble d’hymnes dédiés à Shiva et composés par le saint-poète Manikkâvâchakar, cité par Ramana Maharshi le 8-9-1947, à propos du samâdhi, il est question du Seigneur ou Soi :
« Oh, mon Seigneur ! Tu as fait de mon esprit Ta Demeure. Tu T’es donné à moi et, en même temps, Tu m’as reçu en Toi. Qui de nous deux, Seigneur, est le plus malin ? Si tu t’es donné à moi, je jouis d’une Félicité infinie, mais bien que, par Ta Miséricorde sans limites Tu aies fait de mon corps Ta demeure(a), à quoi puis-je bien te servir ? Que puis-je Te donner en retour ? Je n’ai plus rien qui me soit encore en propre ».
Cela signifie qu’il n’y a plus de ‘je’ du consommateur ou de l’usager, le ‘je’ de l’avoir et du FAIRE/FER ou sentiment d’être l’AUTEUR, le COPYRIGHT de celui qui agit et agité.
ICI LE SEIGNEUR C’EST LE SURFEU (Feu Sacré) COMPARABLE À L’ACTE SEXUEL, POURTANT SI DANGEREUX EN LES CIRCONSTANCES DU MENTAL-SPATIO-TEMPOREL.
Le Surfeu est identique à l’AGONIE DU MOURANT QUI ASSUME LE RÔLE DE PUTRÉFACTION-PURIFICATEUR ABSOLU, UNE SUPRÊME ÉNERGIE.
RAPPEL : dans nombre de Traditions, les rituels de purification de la naissance sont presque identiques aux rituels de la mort.
Et SURFEU en correspondance avec Thérèse de l’Enfant-Jésus = Acte d’offrande à l’Amour miséricordieux du bon Dieu : « Afin de vivre dans un acte de parfait Amour, je m’offre comme Victime d’holocauste à Votre Amour miséricordieux, vous suppliant de me consumer sans cesse, laissant déborder en mon âme, les flots de tendresse infinie qui sont renfermés en Vous, et qu’ainsi je devienne martyre de Votre Amour, ô mon Dieu !… ».
La fin de la dualité connaisseur-connaissance se fait par naissance dans l’INSTANT (con = avec) par émission de la partie du TOUT dans l’INSTANT hors de l’identification au corps, et non par l’identification à ce corps-mental comme si il était un ”gros disque dur” (qui sera copié sous le nom ”intelligence artificielle”, une singerie de ”bagage culturel”).
Ainsi cette ”civilisation” qui se croit NÉE à la révolution industrielle en Occident au 19è siècle sous la poussée d’une palanquée de nouvelles banques est devenu SCHIZOPHRÈNE PAR LA NAISSANCE PRODUCTIVISTE LE CONTRAIRE DU ”SOIS-TRANQUILLE…” : DÈS QU’IL Y NAISSANCE IL Y A DUALITÉ, DIVISION SOUS LA FORME D’UN ÊTRE SCINDÉ, UN DIVIDU, UN SCHIZE, SPALTING. ALORS COMMENCE L’ABOMINABLE FRUSTRATION IMPOSÉE AU NOUVEAU-NÉ ÉJECTÉ DU PARADIS (la béatitude ou Félicité intra-utérine, la PERTE DE L’ÂGE D’OR OU PERTE DU SAINT CHAOS), le nouveau-né est traumatisé dés sa naissance identique au CROQUE-POMME D’ÈVE : IL DEVRA ”TRAVAILLER”…. DANS LA DUALITÉ (s’il ne sait pas s’en libérer).
Imaginez ce qu’il se passera au niveau de l’inconscient et de la DÉPENDANCE par dualité dans le cas de la NAISSANCE D’UN BÉBÉ ÉPROUVETTE, OU DANS UNE MATRICE TRANSHUMANISTE ? (mais ce n’est pas le sujet de cette page).
Soi ou Seigneur au sens d’Ibn’Arabi : telle la célèbre sentence dans le soufisme : « CELUI QUI SE CONNAÎT SOI-MÊME, CONNAÎT SON SEIGNEUR ». Seigneur ou Christ que le Fidèle RE-trouve par la connaissance de sa propre Nature, le Seigneur qui n’est évidemment pas la divinité en son essence, moins encore une suressence winneriste, mais le Dieu manifesté en propre en ”son âme” (son soi), « puisque chaque être concret s’origine [se réalise] au Nom divin particulier qui manifeste en lui son vestige et qui est son Seigneur propre. C’est cette origine et ce Seigneur qu’il atteint [retrouve] par la connaissance de soi, – ou qu’inversement il manque, par l’ignorance et par l’inconscience de soi.
Or, lorsque dans la prééternité l’Être divin aspirait à être connu, c’est-à-dire aspirait à la révélation de ses Noms claustrés encore dans l’inconnaissance, qu’il aspirait. De même aussi, lorsque le fidèle atteint à la connaissance de soi, c’est qu’il atteint à la connaissance du Nom divin qui est son Seigneur propre [son Soi], – si bien que le monde des Noms divins représente de part et d’autre ce monde du Soi auquel aspire la nostalgie de l’Être divin désirant être connu, et auquel lui-même encore aspire, comme par désir de revenir à SOI-MÊME [comme l’Éternel Retour], dans la nostalgie de la créature en quête du Nom divin qu’elle révèle, – cela par un Désir infini et éternellement inassouvi [tel le GATE GATE(c)] ».
(Henry Corbin : L’Imagination créatrice dans le soufisme d’Ibn’Arabi, page 177).
b. TRANSITION ÉNERGÉTIQUE OU DE CECI OU DE CELA, OU DE ”GRAND REMPLACEMENT”, c’est le même packaging du Grand Satam ou Grand Organisateur lié à Wall Street et aux 2 W le Washingtonisme, Westminsterisme :
TRANSITION vers l’évolutionnisme, donc la mécanique robotique du ’isme’, où tous les possibles vers les Mondes Libres seront interrompus et il sera procréé à la place une évolution statique, artificielle, dans le Minéral, le Végétal, l’Animal et l’Humain. Le transhumanisme est de cette nature artificielle, mécanique, héritée du 19è siècle européen bancaire et marchandises, suffit d’écouter un peu un Laurent Alexandre et son monde du DORG (Demain On Rase Gratis), qui sera plutôt DEMAIN ON TASE GRATIS), vu que nécessairement le FRIC/FLIC sera en augmentation, artificielle…..
c. LE FLUX, LA TRANSPARENCE, alors toute partie de la Connaissance sera, par son propre : « Je suis ce JE SUIS », une GATE OU PORTE TEL QUE LE SENS DU ZÉRO INDIEN, le X de MU :
IL N’EXISTE ABSOLUMENT AUCUN ÉLÉMENT, DE L’INFINIMENT PETIT À L’INFINIMENT GRAND, COAGULÉ, DE CONNAISSANCE.
LA CONNAISSANCE C’EST LE GATE GATE, LE X (la délivrance de la tyrannie de l’opinion), L’ÉVEIL, LE FLUX, LE SAINT CHAOS.
SAINT CHAOS OU ZÉRO INDIEN SONT UNE MÊME CHOSE DANS LEUR ABSOLUE LABILITÉ.
« Gate gate pâragate pârasamgate bodhi svâhâ » du Soûtra du Diamant (Allé, allé, allé au-delà, allé complètement au-delà, l’Éveil, ainsi). S’accompagne nécessairement de la Connaissance transcendante par le Principe du ”N’EST PAS X” : revient à dire que les choses ne sont que des désignations, des pointages sur les choses, de simples imputations nominales.