La découverte du feu vulgaire cause de violence et guerre

AVANT, il ne pouvait qu’exister LA NON-VIOLENCE (ahimsâ en sanskrit).
Depuis, les humains ont inventé le concept de paradis er d’enfer (dualité récompense-punition), le concept de liberté et de soumission, le concept de LOI DE SUCCION VULGAIRE OU PLOMB-PESANTEUR (l’attraction, le poids, la pesée-mesure-calcul) et les religions et ”ismes” y afférents : leur monde de LA TENSION (l’électricité dynamique notamment : 24, 110, 220, 380 volts, etc.), avec le temps, l’espace, et les accidents qui en découlent, la relativité ou dualité entre deux plateaux ou deux pôles de la balance ; dont le système actuel de l’informatique des usines du capitalisme reprend la dualité, même dans le quantisme. DUALITÉ RÉSUMÉE PAR LA RACINE DU MAL(1), LE DEDANS-DEHORS, OU ‘MOI’ ET LE ‘NON-MOI’. Le ‘moi’ qui est construit par rapport à un dehors : le ‘toi’, l’autre, il sera alors limité par ce qui le différencie de ce Dehors, de cet autre.
Or la Réalisation du Soi exprime qu’il ne peut y avoir qu’un Soi, car s’il y en avait deux, chacun serait limité par ce qui le différencie de l’autre et ne serait donc pas le sans commencement ni fin du Soi. Là encore en y réfléchissant un peu cela semble évident.
Seul le Soi, le ‘Je’-‘Je’(2) vécu dans la plénitude du sentiment océanique(2) n’est pas l’invention d’un Dedans et d’un Dehors(1) en un consommateur à côté d’un autre consommateur en ”Vivre ensemble” : cette société fourmilière capitaliste et ses COLLABORATEURS, qui signifie que toute équipe a besoin d’un FLIC, un garde-chiourme comme sur les galères de Louis 14, un contremaître qui pour remplir sa tâche doit avoir le droit de se payer sur la bête. C’est la définition de ce monde du patronat (autorité, président), du FAIRE/FER et du FRIC/FLIC.

Le ‘Je’-‘Je’ n’est pas une collectivité, un communisme, une multitude en troupeaux. Il est au-delà des accidents et de la quantité cosmique (les milliards d’étoiles et de galaxies).

LE CENTRUM CENTRI
– Q. : Il y a des guerres en ce moment dans le monde. Si nous n’y pensons pas, les guerres cessent-elles ?
– M. : Pouvez-vous arrêter les guerres ? Celui qui a créé le monde s’en chargera.
– Q. : Dieu a créé le monde, mais Il n’est pas responsable de l’état actuel de celui-ci. C’est nous qui en sommes responsables.
– M. : Pouvez-vous arrêter les guerres ou refaire le monde ?
– Q. : Non.
– M. : Alors, pourquoi vous faire du souci pour des problèmes hors de votre portée ? Prenez soin de vous-même et laissez le monde se tirer d’affaire tout seul.
– Q. : Nous sommes des pacifistes. Nous voulons instaurer la paix.
– M. : La paix est toujours présente. Débarrassez-vous de ce qui la dérange. Cette paix est le Soi.
– Q. : Le monde doit bien avoir un avenir.
– M. : Savez-vous ce qu’il est dans le présent ? Le monde et toutes choses sont toujours les mêmes, maintenant aussi bien que dans le futur.
– Q. : Le monde a été créé par l’action de l’intelligence sur l’éther et les atomes.
– M. : Tous se réduisent à Ishvara [Dieu ou Seigneur de l’Univers] et Shakti [pouvoir, énergie, Mère divine personnifiant le pouvoir latent de Shiva]. Vous n’êtes pas séparée d’Eux. Eux et vous, vous êtes la manifestation de la même et seule Intelligence(3).
(Ramana Maharshi 480, 22-3-1938).

– Q. : Le bonheur de la réalisation du Soi peut-il être complet si l’on ne contribue pas au bonheur du monde ? Comment peut-on être heureux quand il y a une guerre en Espagne, une guerre en Chine, etc. ? N’est-ce pas de l’égoïsme que de rester dans l’état de Réalisation sans aider le monde ?
– M. : On vient de vous démontrer que le Soi englobe tout l’Univers et le transcende aussi. Le monde ne peut rester séparé du Soi. Si la réalisation d’un tel Soi est appelée égoïsme, cet égoïsme doit aussi englober le monde. Il n’y a là rien de méprisable.
– Q. : Les êtres réalisés ne continuent-ils pas à vivre comme les êtres non réalisés ?
– M. : Oui. Avec cette différence que l’être réalisé ne voit pas le monde comme séparé du Soi. Il possède la véritable connaissance et le bonheur intérieur d’un Être parfait [le scribe de la page souligne et qu’en on se concentre un peu ”la-dessus” cela semble d’une évidence tranchante….]. Tandis que l’être non réalisé voit le monde comme séparé, ressent son imperfection et en devient malheureux. Autrement,
leur comportement extérieur est semblable.
– Q. : L’être réalisé sait donc, comme les autres, que des guerres font rage dans le monde.
– M. : Oui.
– Q. : Comment peut-il alors être heureux ?
– M. : L’écran de cinéma est-il affecté par des scènes d’incendie ou d’inondation ? Il en est de même avec le Soi.
L’idée « je suis le corps ou le mental » [le ”COMME SI” des images projetées sur l’écran de cinéma ou du smartphone] est si enracinée qu’il est difficile de s’en défaire, même quand on est convaincu du contraire. Quand on a fait un rêve, on sait au réveil qu’il était irréel ; et l’expérience de veille devient irréelle dans les autres états. Par conséquent, chaque état contredit les autres. ILS NE SONT DONC QUE DES ÉTATS CHANGEANTS QUI SE DÉROULENT DANS LA CONSCIENCE DE CELUI QUI LES
PERÇOIT. CE SONT DES PHÉNOMÈNES APPARAISSANT DANS LE SOI QUI, LUI, NE CHANGE PAS ET RESTE NON AFFECTÉ PAR EUX.
Tout comme les états de veille, de rêve et de sommeil profond ne sont que des phénomènes, la naissance, la croissance et la mort ne sont, elles aussi, que des phénomènes dans le Soi, lequel continue à demeurer inchangé et non affecté. Naissance et mort ne sont que des idées. Elles relèvent du corps ou du mental. Le Soi existait avant la naissance de ce corps et demeurera après la mort de celui-ci. Il en est de même de tous les corps qui ont été pris successivement. Le Soi est immortel. Les phénomènes changent et sont mortels. La peur de la mort relève du corps, pas du Soi. Une telle peur est due à l’ignorance. Réalisation signifie vraie connaissance de la perfection et de l’immortalité du Soi. La mortalité n’est qu’une idée qui cause la souffrance. Vous pouvez vous en débarrasser en réalisant la nature immortelle du Soi.
(Ramana Maharshi 487, 2-5-1938).

En France le ”siècle des lumières”, plutôt des loupiotes, sous la sidération de la raison qui calcule tout, il a enfouie lentement et surement PAR SON MENTAL TOTALITAIRE ET DICTATORIAL jusqu’à la magie d’un simple ciel nuageux. Depuis, cette MÉCANIQUE INFORMATIQUE ET PROCHAINEMENT D’INTELLIGENCE ARTIFICIELLE, réduit la Connaissance de soi et du Soi à un BONHEUR COMMERCIAL À COMMERCIALISER, soit le résultat de cette civilisation BARBARE EN UNE INTELLIGENCE DES PLUS PERVERS CONDUISANT AU DÉSENCHANTEMENT DU MONDE PAR LA VIOLENCE ET LA GUERRE.
Toutes les Traditions et acquis à forces de tâtonnements, d’efforts d’apprentissage, sont en train de se perdre. Tout se résume maintenant pas des BAGATELLES, DES FUTILITÉS TECHNIQUES : L’ABANDON DU VRAI POUR S’ILLUSIONNER AU FAUX ; « ARRIVER AU BUT », POSSÉDER, COMME DES SOURDS QUI ÉCOUTENT DE LA MUSIQUE, ou comme des consommateurs qui plongent sous les eaux pour attraper un faisan et des lièvres.

La Vraie Religion n’est que le ”QUI SUIS-JE ?” : L’ART DE VIVRE.
Et l’Homme qui atteint cet art de vivre est ignoré du monde, donc le contraire de cet infernal totalitarisme, de cet impérialisme du ”Vivre ensemble” de l’étatisme du monothéisme unilatéral républicain.
L’Homme qui a réalisé le Soi est forcément ignoré du monde, puisqu’il est comme à l’exemple de l’écran de cinéma cité plus haut : « L’écran de cinéma est-il affecté par des scènes d’incendie ou d’inondation ? Il en est de même avec le Soi ». C’est une Vérité universelle.

 

Notes.
1. LA VALEUR D’ÉCHANGE ENTRE DEDANS ET DEHORS et RESTE ET MANQUE DE LA SOUMISSION AUX MARCHANDISES, LA SOUMISSION À LA LOI DE SUCCION, LE PLOMB PESANTEUR.
– Quelle est donc la racine du mal ?
– La « saisie » [loi de succion vulgaire à distinguer de la Vraie Loi de succion ou Eucharistie, mais ne pas tomber dans la gloutonnerie spirituelle qui existe aussi, c’est-à-dire ne pas tomber dans LA FIXATION OU COAGULATION D’UNE SPIRITUALITÉ COMME FIN EN SOI OU COMME « FIN DES TEMPS » !].
– La saisie de quoi ?
– La saisie du triple monde [de la Forme, du Désir, du Sans-Forme ; le connaisseur, la connaissance et le connu].
– Comment arrêter cette saisie ?
– En recourant à l’introuvable, car dans l’introuvable il n’y a pas de saisie.
– Qu’est-ce que l’introuvable ?
– La fin du dualisme.
– Qu’est-ce que le dualisme ?
– La vision d’un dedans et d’un dehors, lesquels sont introuvables.
(Soûtra de la Liberté inconcevable, chapitre V, 14)

2. « Le ‘Je’-‘Je’ est toujours là. Il n’y a pas à le connaître. Il n’est pas une connaissance nouvellement acquise. Or, ce qui est nouveau et qui n’est pas ici et maintenant ne peut être qu’évanescent [comme le politisme étatique]. Le ‘Je’ est toujours là. Il y a obstruction à sa connaissance et cela s’appelle ignorance.
Éliminez cette ignorance et la connaissance resplendira. En fait, cette ignorance et même la connaissance ne concernent pas l’âtman [le Soi et soi]. Ce ne sont que des excroissances qu’il faut couper. C’est pourquoi il est dit que l’âtman est au-delà de la connaissance et de l’ignorance. Il demeure tel qu’il est naturellement. C’est tout ». (Ramana Maharshi 49, 24-4-1935).

« Le ‘Je’-‘Je’ ininterrompu est l’océan infini ; l’ego, la pensée ‘je’, n’est qu’une bulle à la surface de cet océan ; on l’appelle jīva ou âme individuelle. De même, la bulle d’eau, lorsqu’elle éclate, ne fait que se mêler à l’océan ; et quand elle est bulle, elle fait toujours partie de l’océan. Dans l’ignorance de cette vérité simple, d’innombrables méthodes, sous différentes dénominations, telles que yoga, bhakti, karma, etc., ont été enseignées. Chacune apportant de nombreuses modifications,
elles ont été enseignées avec beaucoup d’habileté et des détails compliqués seulement pour séduire les chercheurs et semer la confusion dans leurs esprits. Il en va de même pour les religions, les sectes et les dogmes. À quoi servent-ils ? Uniquement à faire connaître le Soi. Ce sont des aides et des pratiques dont on a besoin pour connaître le Soi.
On parle de connaissance immédiate (pratyaksha) quand les objets sont perçus par les sens, mais peut-il y avoir quelque chose d’aussi direct que le Soi, dont on fait l’expérience continuelle sans l’aide des sens ? Les perceptions sensorielles ne peuvent donner qu’une connaissance indirecte et non une connaissance directe. Seule notre propre conscience est connaissance directe : c’est l’expérience commune à tout le monde. Aucune aide n’est nécessaire pour connaître son propre Soi, c’est-à-dire pour être conscient.
L’unique totalité, infinie et indivisible (le plenum), devient consciente d’elle-même en tant que ‘Je’. C’est son nom originel. Tous les autres noms, tels que OM, ne viennent qu’après. La Libération consiste uniquement à rester conscient du Soi. Le mahâvâkya « Je suis le brahman » en est l’affirmation qui fait autorité. Bien que l’on ait toujours l’expérience du ‘Je’, l’attention doit y être dirigée. Alors seulement, la Connaissance émerge. C’est pourquoi l’on a besoin de l’enseignement des Upanishad et des Sages ». (Ramana Maharshi 92, 7-11-1935).

À TRAVERS LE « COMME SI » :

« Lorsque l’ego disparaît, un autre ‘Je’-‘Je’ se manifeste spontanément dans
toute sa gloire… » Et il cita encore la Skandar-anubûthi : « Ni réel ni irréel ; ni obscur ni lumineux, C’EST » (Ramana Maharshi 122, 1-1-1936).

‘Je’-‘Je’ = LUMIÈRE DE L’ESSENCE, la partie essentielle du Secret de la Fleur d’Or explique : « ”La lumière jaillit dans la chambre vide”. Cette lumière n’est pas lumineuse mais, explique-ton, il s’agit d’une preuve d’efficacité au début, avant qu’on n’ait vue la lumière. Si vous la voyez sous forme de lumière et que vous fixez votre attention là-dessus, vous tomberez dans la conscience conceptualisante (la raison) qui N’EST PAS la Lumière de l’Essence [la Conscience Infinie].

Quand le mental forme une pensée, cette pensée est le mental, dans l’Instant. Ce mental est Lumière, il est remède. Lorsqu’on regarde les objets et qu’on les perçoit spontanément tous ensemble, sans discrimination, c’est la Lumière de l’Essence, pareille à un miroir qui reflète tout, sans intention de le faire [sans calcul, sans concept, qui correspond exactement à l’exemple de l’écran de cinéma qui n’est pas influencé par les images projetées dessus].
Mais il suffit d’un Instant de discrimination [et donc de saisie] pour que cela devienne la lumière de la conscience [les Bulles-Sucres [effet dominos], ou attacher un instant à un autre instant]. Lorsqu’une image occupe l’espace du miroir, il n’y a plus réflexion [d’autres images]. Lorsque la conscience occupe l’espace de la lumière, quelle lumière reste-t-il ? ». (Le Secret de la Fleur d’Or, trad. Thomas Cleary).

Comme l’exprime le Secret de la Fleur d’Or, si on « pense » on chute dans la raison ou conscience relativiste, et comme l’exprime Ramana Maharshi cité dans Padamalai : « Aucune investigation ne peut porter sur le Soi [Atman]. L’investigation [”Qui suis-je ?”] ne peut porter que sur ce qui n’est pas le Soi. Seule l’élimination du non Soi est possible. Étant constamment évident de Lui-même, le Soi resplendira seul de Lui-même ».

« L’essence qui voit est la seule chose qu’on ne puisse attribuer à rien » dit Le Secret de la Fleur d’Or. « Mais, lorsqu’on voit le voir, si ce voir n’est pas le voir, l’essence qui voit est alors aussi attribuable à quelque chose. Cela renvoie à l’essence qui voit, telle qu’elle s’exerce dans la continuité répétitive de la conscience habituelle – ce que les Écritures bouddhiques évoquent en ces termes : « Faire usage de la conscience habituelle et répétitive, c’est faire erreur ».
Lorsqu’on pratique les huit formes d’attribution liées à la perception discriminante [la raison, le Pour-Voir, l’opinion], les sept premières montrent que chacune est attribuable à quelque chose de précis [l’identification, la saisie] et que l’essence qui voit est temporellement conservée comme béquille pour l’Adepte. Mais à terme, tant que l’essence qui voit continue à nourrir la huitième conscience, elle reste toujours imputable [sous la cause] de quelque chose. Ce n’est que lorsque ce dernier point a été dépassé que se fait jour l’authentique Essence qui voit [être COUR, comme ”distant” (écran de cinéma), comme dans un état insaisissable], celle qu’il est véritablement impossible d’attribuer à quoi que ce soit [donc INSAISISSABLE, NON-OPINION].

Retourner la Lumière [ou Réaliser le Soi] consiste à correctement retourner la Lumière Primordiale qu’on ne peut attribuer à rien, de telle sorte que n’intervienne aucune pensée consciente [le scribe de la page souligne].
[…]
Retourner la lumière sans tomber dans la conscience [la raison], c’est faire usage de l’ESSENCE ORIGINELLE des sens.
Retourner la lumière en tombant dans la conscience [la raison], c’est user de la nature de la conscience inhérente au sens. Là se trouve la différence, aussi fine qu’un cheveu.
Quand la méditation s’accompagne d’un effort, c’est la lumière de la conscience qui se fait jour. Lâcher prise pour que jaillisse la lumière de l’essence. Un cheveu de différence vaut autant qu’un bon millier de kilomètres : aussi faut-il faire preuve de discernement.
Tant que la conscience ne s’arrête pas [donc tant qu’il y a idéation ou vagabondage des pensées], le mental n’est pas vivant. Tant que le mental n’est pas vidé, l’élixir ne se cristallise [Christ] pas.

3. QUE DES SURFACES : selon Philon d’Alexandrie : « L’intellect en nous, est chassé de sa demeure au moment où arrive le souffle divin ; lorsque ce dernier repart, le nostre est réintroduit ; car il n’est pas permis au mortel de cohabiter avec l’immortel » (Philon, Quis heres, 264s). Ce qui rejoint le TROU où il n’y a rien d’autre que le Trou, donc pas de Trou à posséder ou à voir ; ce que confirme Saint Bonaventure : « Jamais l’âme et Dieu ne peuvent co-exister ». (”Mors ultima linea rerum est”, le Savoir, Pouvoir, Oser, SE TAIRE ; le SILENCE étant l’Essence-Ciel).
Même un Verset qorânique (8,17) énonce cette confirmation de Saint Bonaventure : « Ce n’est pas toi qui lances le trait lorsque tu le lances, c’est Dieu qui le lance. Et pourtant si fait, tu le lances, toi ; et pourtant, non fait, ce n’est pas toi qui le lances ».

Ramana Maharshi le confirme aussi :
« De même que vous confondez ces mouvements avec les vôtres [les mouvements d’un voyage d’un lieu à un autre], vous faites ainsi pour les autres activités. Mais ce ne sont pas les vôtres. Ce sont les activités de Dieu ». (Ramana Maharshi, entretien 78 du 29-9-1935).

Donc en Europe, en France en 1789, il fallait détruire LA SURFACE (surtout en Vendée entre 1792-1802), LES CHAMPS, POUR PASSER À LA SURFACE DU BÉTON DE L’URBAIN, CONFORMÉ-CONFIRMÉ PAR CETTE BÉTONNISATION DE LA TERRE POUR Y CONSTRUIRE LES USINES DU CAPITAL ET DE LEUR I.A. ET DE LEUR CHEMIN DE FAIRE.
Le « Tout le monde » va surtout se fabriquer dans la concentration urbaine laquelle va ENGENDRER LE SPECTRE-SPECTACLE AVEC EXALTATION OU AMPLIFICATION DU CORPS OU MENTAL À COUPS DE DROGUES (celle de ”l’élite” merdiatique et politique : tout ça est cocaïné à l’infini), OU DE « RAISON », OU PIRE : DE CROYANCE-CRÉDIT-CRÉDO, CES DROGUES, CES SURFACES, TRÈS DURES, BÉTONNÉES, QUI ÉLOIGNENT DE L’INSTANT (et surtout bétonnage qui détruit toute vie de la surface détruite).
« Il n’y a pas non plus de libération. Elle pourrait exister seulement s’il y avait asservissement. Mais en réalité, il n’y a pas d’asservissement et, par conséquent, pas de libération non plus », dit Ramana Maharshi à l’entretien 264, du 20-10-1936.
IL Y A ASSERVISSEMENT PAR LA RACINE DU MAL(1) : LA SAISIE (des noms-les-formes) ; et arrêter cette saisie en recourant à l’introuvable : la fin de la dualité Dedans-Dehors qui est introuvable vu que l’Univers est DANS le mental.

Publié dans Les News | Marqué avec | Commentaires fermés sur La découverte du feu vulgaire cause de violence et guerre

Le feu vulgaire c’est la raison-perversion

Le feu vulgaire c’est la raison-perversion
Un animal n’allume pas de feu.
L’animal humain, lui, depuis un moment seulement, allume un feu.
Lorsque le ”civilisé” oppose sa ”culture” à Nature (au ”Primitif”), le dit civilisé ne tient pas compte de la réalité qui fait de l’animal humain un nom-la-forme énormément plus redoutable que « l’animal naturel »(0), lequel est rarement pervers. À LA PERVERSION IL FAUT LA RAISON, LA RÉFLEXION, LE MENTAL OU CONSCIENCE CONCEPTUELLE, L’IDÉATION VAGABONDE DANS SA MISE EN VALEUR DU TEMPS.

Le SMARTPHONE doublé de l’”intelligence artificielle” forment CETTE NOUNOU-NOUNOURS actuelle comme le doigt, le pouce sucé par l’enfant humain : CET OBJET DU
« COMME SI », ou OBJET TRANSITIONNEL COMME L’ACTUELLE TRANSITION CAPITALISTE EN MARCHE, qui, normalement dans le cas du pouce et du nounours, objet intermédiaire ou homosexuel qui devrait permettre la constitution intérieure du symbole dans l’identification au parent du même sexe.

Toutes ces pulsions sont des « COMME SI » (ce que Freud appelait ”pulsions partielles”), qui se fixent « à un stade archaïque de leur développement », peuvent facilement chez l’humain devenu ”adulte” devenir PERVERSIONS, ou moins grave : névrose, psychose. C’est donc « l’archaïque » humain qui pose problème, cet « archaïque » étant la question perpétuelle : QUI SUIS-JE ?

Le QUI SUIS-JE ? destiné à résoudre le « COMME SI », qui est un véritable État dans l’État : chez l’enfant ou chez l’homme originel, chaque ensemble et sous-ensemble, comme les poupées russes, fonctionne plus ou moins pour son propre compte, COMME DIVISÉ, comme le DIVIDU (et non l’individu qui n’est qu’un dividu ou divisé), comme un Démon ou un Dieu, comme un Prométhée. CE SONT LES FABRICANTS DU « COMME SI » : LA PERCEPTION HALLUCINATOIRE (animisme projection, interprétation). Ainsi le monde, le ‘moi’ ou ego, ne sont ni réels ni irréels, IL SONT DE L’ORDRE OÙ TOUT SE PASSE « COMME SI », DE L’ORDRE DE L’ILLUSION, DE L’ORDRE DU GRAND JEU DU FAIRE SEMBLANT, COMME ”SIGNER UN CONTRAT” (les valeurs républicaines). Comme au cinéma, les images qui bougent sur l’écran forment un mouvement : ON CROIT VOIR LE MONDE ET SES PERSONNAGES BOUGER, ALORS ON Y CROIT, TOUT SEMBLE SE TENIR, DANS CETTE ILLUSION EN CASCADE.
Par exemple en dessin animé, on dessine un personnage sur un papier, puis sur un autre papier du même format superposé sur le premier papier on dessine le même personnage en une position légèrement différente, et ainsi de suite par exemple pour une seconde de mouvement ; on dessinera théoriquement 24 dessins (on peu n’en faire que 12 filmé deux fois), qui, projetés une fois enregistrés par une caméra et rendu par un projecteur sur l’écran donneront L’ILLUSION DU MOUVEMENT DE UNE SECONDE : TOUT SE TIENT, L’HISTOIRE SE TIENT(1), exactement comme : QUAND UNE MAGIE PARLE TOUTE LES MAGIES PARLENT, QUAND UNE SE TAIT TOUTES SE TAISENT.

De même : Une goutte d’eau pure suffit à purifier un océan, comme dans le principe des HAUTES DILUTIONS EN HOMÉOPATHIE ET DANS LA TECHNOLOGIE ANCIENNE (notamment l’orfévrerie), une goutte d’eau impure suffit à souiller l’Univers entier : tout dépend du sens moral de l’action choisie par l’imagination créatrice : si elle rêve le mal, elle sera la maîtresse de la propagation de l’impureté, elle sera la MAÎTRESSE ORGANISATUEUR COMME LE SATAM, COMME LE MACRON-ROTHSCHILD ; si elle rêve le BIEN, elle aura confiance en une goutte de la substance pure, elle saura faire rayonner la pureté bienfaisante. C’EST LE FOND DU DEVENIR D’UNE PERSONNE, C’EST SON « QUI SUIS-JE ? ».
Une telle conception EN FAIRE SEMBLANT QUI EST UN VÉRITABLE CONSTAT-CONTRAT, fait que ce monde est un langage en un système de signes formant des informations, SANS PLUS, comme des MOI-INDIVIDUEL, DES CONSOMMATEURS, SANS RÉFÉRENT AU MOI-COLLECTIF ou AUX SIGNIFIANTS (le ”COAGULÉ” du symbole, or le Soi n’est ni Dedans ni Dehors et n’a pas à avoir une référence à un Dehors ou à un Dedans : IL EST)

DES INDORMATIONS ou INFORMATIONS TUEUSES (elles forment-déforment), GRÂCE À L’INTELLIGENCE ARTIFICIELLE VONT DE PLUS EN PLUS PROLIFÉRER……. LE « COMME SI » OU LE MODE, LE MONDE DU FAIRE SEMBLANT OU DU N’ÊTRE PAS PEUT SE RÉJOUIR : LES JUIFS ET LEURS HISTOIRES(1) ONT ENCORE DE BEAUX JOURS DEVANT EUX AVANT QUE LES ÉTOILES DANS LE CIEL NE S’ÉTEIGNENT UNE À UNE (pourquoi pas, comme dans Les neuf milliards de noms de Dieu, comme dans l’entretien 164 de Ramana Maharshi(2)).

L’image du corps est depuis un moment est définit pas l’humain sous la forme d’OSIRIS : SES MORCEAUX, que la persona aura pour tâche de « recoller » COMME SI c’était une certaine réalité, du moment que ça constitue un « ordre symbolique » porteur DE LA FAUSSE LOI DE SUCCION OU LOI DE SUCCION VULGAIRE CONSTRUITE SUR L’ESPACE-TEMPS, L’HISTOIRE : COLLECTIVE ET INDIVIDUELLE, ET C’EST LÀ LE PROBLÈME COMME L’AVAIT VÉCU JEAN COULONVAL DANS SYNTHÈSE ET TEMPS NOUVEAUX : « J’appelle OPINION toute conception de l’Être en soi issue de l’expérience de l’existant. Dans la vision des choses, aucune doctrine ne peut être immuable [ou dite ‘universelle’] parce qu’elle a sa source dans la chronologie tueuse. Donc la doctrine communiste est perpétuellement fluante, souple, se pliant au circonstances. De là ses contradictions toujours imprévues qui déroute les Occidentaux, et qui pourtant n’en sont pas dans la morphologie de la pensée communiste.
L’intellect-personne [le Moi-Individuel, le consommateur] tend par nature, par sa fonction ontologique, à figer, ossifier, conférer un semblant d’absolu et de valeur éternelle à une connaissance du sensible, qui pourtant, par nature, ne peut en avoir. Cet ersatz d’absolu, je l’appellerai « opinion ». L’opinion n’est jamais en sécurité, elle porte en elle l’angoisse de pouvoir être remise en question. Aussi est-elle toujours en position de défense, ou d’attaque. Aussi, l’opinion est nécessairement sectaire, intolérante. Tout ce qui n’adhère pas à l’opinion, absolutisée collectivement sous le nom de «parti», est ennemi. ».

  • Seul un TOTAL peut connaître un TOTAL. Mais depuis des millénaires, le ‘moi’ ne peut être un Total, une globalité, un infinie, puisqu’il se définit par rapport à un ‘toi’ ou par rapport à un autre consommateur,
    il est ainsi limité par ce qui le différencie de ce ‘toi’, de cet autre consommateur. Ainsi il ne peut exister QU’UN Soi, car s’il y en avait deux, chacun serait limité par ce qui le différencie de l’autre et ne serait donc pas infini, sans commencement ni fin. Il est est ainsi de ce monde du GRAND JEU DU FAIRE SEMBLANT avec le ‘moi’ de chaque DIVIDU (OSIRIS, DIVISÉ, COUPÉ EN MORCEAUX), qui ne peut être un TOUT.

L’humain actuel recherche son MOI-IDÉAL, surtout au DEHORS à travers le confort de l’I.A., du transhumanisme et des technologies tous issues du capitalisme et de ses usines À BÉQUILLES. Car recherche du MOI-IDÉAL PAR RAPPORT AU DEHORS, DONC PAR RAPPORT À UNE MODE CULTURELLE FORCÉMENT CHANGEANTE, NON FIXE : la relativité d’Einstein et le quantisme de Max Planck à la mode depuis un court moment seront relayées demain par une nouvelle cosmologie opinionesque, comme la cosmologie einsteinnienne a relayé la cosmologie de Copernic-Newton, qui avait elle-même relayé celle de Ptolémée, et ainsi de suite, donc OPINION (voir plus haut). La seule différence EST que les Ptolémée et avant lui, jusqu’au Copernic-Newton, TOUS CONSERVAIENT UN SEMBLANT DE « RACINE » AU NATUREL, alors que depuis l’impérialisme technologique du capitalisme de l’après 1945, ce sont les têtes d’œufs du capitalisme et de la Bourse qui CONSTRUISENT LA RÉALITÉ, QUI CONSTRUISENT LA COSMOGONIE, si bien que les Laurent Alexandre et les Google se sentent pousser des ailes…..

Notes.
0. « Les Upanishad et les Écritures affirment que les êtres humains ne sont que des animaux tant qu’ils ne sont pas réalisés. Peut-être même sont-ils pires ». (Ramana Maharshi 79, 29-9-1935).

1. Hébreux-juifs les spécialistes de l’EXUBÉRANCE en des histoires à dormir debout (exode, Salomon et autres systèmes de correspondances labyrinthiques notamment leur ”temple”, correspondances COPIÉS sur les Anciens Égyptiens. Copies juives ”qui seront retranscrites progressivement sous une forme littéraire exotérique et, d’autre part, transmises par les loges secrètes de la Franc-Maçonnerie [donc judéo-maçonnerie spéculative]” (page 144, Rites Mystiques antiques – Une brève histoire de la Franc-Maçonnerie, de Charles W. Leadbeater).

2. « Dieu créa l’homme ; et l’homme créa Dieu. Ils sont tous deux les créateurs des
noms et des formes. Mais en réalité, ni Dieu ni l’homme n’ont été créés ».
Ramana Maharshi, entretien 264, du 20 octobre 1936.

« Mais en réalité, ni Dieu ni l’homme n’ont été créés » : ILS SONT DE L’ORDRE DU « COMME SI », LE GRAND JEU DU FAIRE SEMBLANT (d’y croire : SIGNER UN CONTRAT : ON Y CROIT, et ainsi on fabrique le ”réel”.).
« Il n’y a pas de plus grand mystère que celui-ci : nous cherchons à atteindre la Réalité alors que nous sommes la Réalité. Nous pensons que quelque chose nous cache notre Réalité et qu’il faut le détruire avant d’obtenir cette même Réalité. C’est ridicule. Un jour viendra où vous rirez vous-même de tous les efforts passés. Et ce qui sera le jour où vous rirez est déjà ici et maintenant.
– Q. : Alors, c’est un grand jeu du « faire semblant » ?
– M. : Oui.
Dans le Yoga-vâsishtha il est écrit : « Ce qui est réel nous est caché, mais ce qui est faux se révèle à nous comme vrai ». En fait, la seule chose dont nous faisons l’expérience, c’est la Réalité ; pourtant nous ne le savons pas. N’est-ce pas la merveille des merveilles ? [les étoiles dans le ciel…….]
La recherche « Qui suis-je ? » est le glaive qui sert à trancher l’ego.
(Ramana Maharshi 146, 26-1-1936)

Publié dans Les News | Marqué avec , , | Commentaires fermés sur Le feu vulgaire c’est la raison-perversion

Palette harmonique ou MUSETORE

Palette harmonique ou MUSETORE

Premièrement, il n’existe pas de « fausses notes » ou « dissonance », comme il n’existe pas de « mauvaises herbes ». C’est l’ego qui invente selon son opinion, et surtout selon son mécanisme ou norme, sa routine, son habitude, son confort ; bref selon la mode et le conformisme ! Tout ce qui « dérange » l’ego sera qualifié de « mauvais » ou de « dissonance », ou selon la mode actuelle de « terroriste ».

Ensuite, les bouquins traitant de l’harmonie en musique sont du même tabac : que de l’opinion, en plus imbuvable. Compositeur amateur, et aquarelliste, plus à l’aise avec les couleurs qu’avec les ergoteries à la grecque et leur « majeur, triton, mineur, diminué, etc. », j’ai trouvé, suite à un rêve de jeunesse en forme de TORE coloré, une correspondance des 7 notes de musique avec les couleurs de l’Arc-en-Ciel. Évidemment bien d’autres s’y sont aventuré, dont Leonardo Fibonacci (dont quelques unes sont indiquées en vert sur le schéma ci-dessous). Le compositeur Alexandre Scriabine s’y est aussi essayé, mais son classement ne me parle pas ! Étant plus un visuel, son assemblage de couleurs me semble pas compréhensible et ses couleurs manquent totalement d’harmonie !

Les tonalités de couleurs « chaudes » correspondent au GRAVE (voir l’effet Doppler par exemple dans une course automobile : les voitures lointaines émettront des sons aigus, dans les Bleus ; quand elles passeront devant nous et en s’éloignant, elles émettront des sons graves, donc dans les Rouges). Le BLANC correspond à l’INSTANT, la réunion des 7 Couleurs de l’Arc-en-Ciel.

RAPPEL : le Rouge ou « passé » se nomme chez les Hébreux Adam (Rouge et Homme). Le Bleu c’est le Ciel, le « futur », les notes aiguës, que peuvent faire la Flûte et surtout le Piccolo.

L’harmonie de cette composition a été étudié avec ma méthode du « Musetore ». C’est pratique, quand on sait s’en servir (tout étant mouvement…). Bien-sûr ça ne fait pas tout ! Mais ça évite bien des erreurs et des gribouillages en crottes de Mouches sur des portés de clés de Sol, de Fa et d’Ut.
Quant aux numéros à 3 chiffres sur chacune des 18 couleurs du schéma, ils proviennent de l’ordonnancement des couleurs par Alfred Hickethier.

De toutes façons, TOUT étant dans le mental, musiques et couleurs n’y échappent guerre (guère). La « musique » comme de tout est UN BRUIT (une vibration).
TOUT est symbole, TOUT est vibrations.

Pour chaque « note-couleur », par exemple pour l’accord DO-MI-SOL, soit : Sol (099), Do (909) et Mi (990) on peut travailler avec ces nombres-couleurs, soit en SÉQUENCE, soit en PARALLÈLE.

PARALLÈLE avec l’exemple de Virgil Thomson (Louisiana Story, mesure 25 de ”Pastoral”) :
099 – SOL : Flûte, Clarinette, Basson, Cor. Peut donner : – Mi Si.
909 – DO : Cor. Le Sol peut donner : Ré – Si.
990 – MI : Cordes. Do (basse) peut donner : Ré Mi -.
DO (couleur vert et sa complémentaire magenta) : Contrebasse ; normalement le Do sur la palette indique une couleur froide, donc dans les aigus ou froid, mais comme sa complémentaire est le magenta, la Contrebasse est utilisable comme dans la mesure 25.

SÉQUENCE : 909 (Do) donne en Séquence le Ré (9 ou jaune à maturation), 0 pour le magenta, 9 ou bleu à maturation ou saturation donc le Si. Comme la complémentaire du jaune 900 est le violet 099, on peut utiliser la note Sol (099).

909 Do en Séquence peut encore donner : pour jaune 9 Ré, pour 0 un Mi unique (faible intensité), pour le bleu 0 (ou Si).
909 Do en Séquence peut encore donner : pour jaune 0, pour magenta Mi, pour bleu Si, et dériver vers 090, jaune 0, magenta Fa (090), bleu Si.

909 (Do) peut donner pour le jaune : Ré rouge 0, bleu Si.
090 (Fa) peut donner 0 pour le jaune, Fa pour le rouge, 9 (Si) ou 0 pour le bleu.
039 (La) peut donner 0 pour le jaune, 3 (Mi#) pour le rouge, 9 (Si) pour le bleu.
Exemple : 933 = jaune 900, rouge 030, bleu 003 (le 3 étant un #).
Complément de 933 : 066 additionné ça donne : 999 (silence, ou naissance de…)…

933 peut indiquer la hauteur de note par chiffre :
DO 1 = Froid (Aigu)
DO 9 = Chaud (Grave)
DO (vert) joué par Flûte devient Chaud joué par Violoncelle
DO (vert) joué par Clarinette joué par sa complémentaire le DO (rouge) : Violoncelle.

Publié dans - Musiques | Commentaires fermés sur Palette harmonique ou MUSETORE