AVANT, il ne pouvait qu’exister LA NON-VIOLENCE (ahimsâ en sanskrit).
Depuis, les humains ont inventé le concept de paradis er d’enfer (dualité récompense-punition), le concept de liberté et de soumission, le concept de LOI DE SUCCION VULGAIRE OU PLOMB-PESANTEUR (l’attraction, le poids, la pesée-mesure-calcul) et les religions et ”ismes” y afférents : leur monde de LA TENSION (l’électricité dynamique notamment : 24, 110, 220, 380 volts, etc.), avec le temps, l’espace, et les accidents qui en découlent, la relativité ou dualité entre deux plateaux ou deux pôles de la balance ; dont le système actuel de l’informatique des usines du capitalisme reprend la dualité, même dans le quantisme. DUALITÉ RÉSUMÉE PAR LA RACINE DU MAL(1), LE DEDANS-DEHORS, OU ‘MOI’ ET LE ‘NON-MOI’. Le ‘moi’ qui est construit par rapport à un dehors : le ‘toi’, l’autre, il sera alors limité par ce qui le différencie de ce Dehors, de cet autre.
Or la Réalisation du Soi exprime qu’il ne peut y avoir qu’un Soi, car s’il y en avait deux, chacun serait limité par ce qui le différencie de l’autre et ne serait donc pas le sans commencement ni fin du Soi. Là encore en y réfléchissant un peu cela semble évident.
Seul le Soi, le ‘Je’-‘Je’(2) vécu dans la plénitude du sentiment océanique(2) n’est pas l’invention d’un Dedans et d’un Dehors(1) en un consommateur à côté d’un autre consommateur en ”Vivre ensemble” : cette société fourmilière capitaliste et ses COLLABORATEURS, qui signifie que toute équipe a besoin d’un FLIC, un garde-chiourme comme sur les galères de Louis 14, un contremaître qui pour remplir sa tâche doit avoir le droit de se payer sur la bête. C’est la définition de ce monde du patronat (autorité, président), du FAIRE/FER et du FRIC/FLIC.
Le ‘Je’-‘Je’ n’est pas une collectivité, un communisme, une multitude en troupeaux. Il est au-delà des accidents et de la quantité cosmique (les milliards d’étoiles et de galaxies).
LE CENTRUM CENTRI
– Q. : Il y a des guerres en ce moment dans le monde. Si nous n’y pensons pas, les guerres cessent-elles ?
– M. : Pouvez-vous arrêter les guerres ? Celui qui a créé le monde s’en chargera.
– Q. : Dieu a créé le monde, mais Il n’est pas responsable de l’état actuel de celui-ci. C’est nous qui en sommes responsables.
– M. : Pouvez-vous arrêter les guerres ou refaire le monde ?
– Q. : Non.
– M. : Alors, pourquoi vous faire du souci pour des problèmes hors de votre portée ? Prenez soin de vous-même et laissez le monde se tirer d’affaire tout seul.
– Q. : Nous sommes des pacifistes. Nous voulons instaurer la paix.
– M. : La paix est toujours présente. Débarrassez-vous de ce qui la dérange. Cette paix est le Soi.
– Q. : Le monde doit bien avoir un avenir.
– M. : Savez-vous ce qu’il est dans le présent ? Le monde et toutes choses sont toujours les mêmes, maintenant aussi bien que dans le futur.
– Q. : Le monde a été créé par l’action de l’intelligence sur l’éther et les atomes.
– M. : Tous se réduisent à Ishvara [Dieu ou Seigneur de l’Univers] et Shakti [pouvoir, énergie, Mère divine personnifiant le pouvoir latent de Shiva]. Vous n’êtes pas séparée d’Eux. Eux et vous, vous êtes la manifestation de la même et seule Intelligence(3).
(Ramana Maharshi 480, 22-3-1938).
– Q. : Le bonheur de la réalisation du Soi peut-il être complet si l’on ne contribue pas au bonheur du monde ? Comment peut-on être heureux quand il y a une guerre en Espagne, une guerre en Chine, etc. ? N’est-ce pas de l’égoïsme que de rester dans l’état de Réalisation sans aider le monde ?
– M. : On vient de vous démontrer que le Soi englobe tout l’Univers et le transcende aussi. Le monde ne peut rester séparé du Soi. Si la réalisation d’un tel Soi est appelée égoïsme, cet égoïsme doit aussi englober le monde. Il n’y a là rien de méprisable.
– Q. : Les êtres réalisés ne continuent-ils pas à vivre comme les êtres non réalisés ?
– M. : Oui. Avec cette différence que l’être réalisé ne voit pas le monde comme séparé du Soi. Il possède la véritable connaissance et le bonheur intérieur d’un Être parfait [le scribe de la page souligne et qu’en on se concentre un peu ”la-dessus” cela semble d’une évidence tranchante….]. Tandis que l’être non réalisé voit le monde comme séparé, ressent son imperfection et en devient malheureux. Autrement,
leur comportement extérieur est semblable.
– Q. : L’être réalisé sait donc, comme les autres, que des guerres font rage dans le monde.
– M. : Oui.
– Q. : Comment peut-il alors être heureux ?
– M. : L’écran de cinéma est-il affecté par des scènes d’incendie ou d’inondation ? Il en est de même avec le Soi.
L’idée « je suis le corps ou le mental » [le ”COMME SI” des images projetées sur l’écran de cinéma ou du smartphone] est si enracinée qu’il est difficile de s’en défaire, même quand on est convaincu du contraire. Quand on a fait un rêve, on sait au réveil qu’il était irréel ; et l’expérience de veille devient irréelle dans les autres états. Par conséquent, chaque état contredit les autres. ILS NE SONT DONC QUE DES ÉTATS CHANGEANTS QUI SE DÉROULENT DANS LA CONSCIENCE DE CELUI QUI LES
PERÇOIT. CE SONT DES PHÉNOMÈNES APPARAISSANT DANS LE SOI QUI, LUI, NE CHANGE PAS ET RESTE NON AFFECTÉ PAR EUX.
Tout comme les états de veille, de rêve et de sommeil profond ne sont que des phénomènes, la naissance, la croissance et la mort ne sont, elles aussi, que des phénomènes dans le Soi, lequel continue à demeurer inchangé et non affecté. Naissance et mort ne sont que des idées. Elles relèvent du corps ou du mental. Le Soi existait avant la naissance de ce corps et demeurera après la mort de celui-ci. Il en est de même de tous les corps qui ont été pris successivement. Le Soi est immortel. Les phénomènes changent et sont mortels. La peur de la mort relève du corps, pas du Soi. Une telle peur est due à l’ignorance. Réalisation signifie vraie connaissance de la perfection et de l’immortalité du Soi. La mortalité n’est qu’une idée qui cause la souffrance. Vous pouvez vous en débarrasser en réalisant la nature immortelle du Soi.
(Ramana Maharshi 487, 2-5-1938).
En France le ”siècle des lumières”, plutôt des loupiotes, sous la sidération de la raison qui calcule tout, il a enfouie lentement et surement PAR SON MENTAL TOTALITAIRE ET DICTATORIAL jusqu’à la magie d’un simple ciel nuageux. Depuis, cette MÉCANIQUE INFORMATIQUE ET PROCHAINEMENT D’INTELLIGENCE ARTIFICIELLE, réduit la Connaissance de soi et du Soi à un BONHEUR COMMERCIAL À COMMERCIALISER, soit le résultat de cette civilisation BARBARE EN UNE INTELLIGENCE DES PLUS PERVERS CONDUISANT AU DÉSENCHANTEMENT DU MONDE PAR LA VIOLENCE ET LA GUERRE.
Toutes les Traditions et acquis à forces de tâtonnements, d’efforts d’apprentissage, sont en train de se perdre. Tout se résume maintenant pas des BAGATELLES, DES FUTILITÉS TECHNIQUES : L’ABANDON DU VRAI POUR S’ILLUSIONNER AU FAUX ; « ARRIVER AU BUT », POSSÉDER, COMME DES SOURDS QUI ÉCOUTENT DE LA MUSIQUE, ou comme des consommateurs qui plongent sous les eaux pour attraper un faisan et des lièvres.
La Vraie Religion n’est que le ”QUI SUIS-JE ?” : L’ART DE VIVRE.
Et l’Homme qui atteint cet art de vivre est ignoré du monde, donc le contraire de cet infernal totalitarisme, de cet impérialisme du ”Vivre ensemble” de l’étatisme du monothéisme unilatéral républicain.
L’Homme qui a réalisé le Soi est forcément ignoré du monde, puisqu’il est comme à l’exemple de l’écran de cinéma cité plus haut : « L’écran de cinéma est-il affecté par des scènes d’incendie ou d’inondation ? Il en est de même avec le Soi ». C’est une Vérité universelle.
Notes.
1. LA VALEUR D’ÉCHANGE ENTRE DEDANS ET DEHORS et RESTE ET MANQUE DE LA SOUMISSION AUX MARCHANDISES, LA SOUMISSION À LA LOI DE SUCCION, LE PLOMB PESANTEUR.
– Quelle est donc la racine du mal ?
– La « saisie » [loi de succion vulgaire à distinguer de la Vraie Loi de succion ou Eucharistie, mais ne pas tomber dans la gloutonnerie spirituelle qui existe aussi, c’est-à-dire ne pas tomber dans LA FIXATION OU COAGULATION D’UNE SPIRITUALITÉ COMME FIN EN SOI OU COMME « FIN DES TEMPS » !].
– La saisie de quoi ?
– La saisie du triple monde [de la Forme, du Désir, du Sans-Forme ; le connaisseur, la connaissance et le connu].
– Comment arrêter cette saisie ?
– En recourant à l’introuvable, car dans l’introuvable il n’y a pas de saisie.
– Qu’est-ce que l’introuvable ?
– La fin du dualisme.
– Qu’est-ce que le dualisme ?
– La vision d’un dedans et d’un dehors, lesquels sont introuvables.
(Soûtra de la Liberté inconcevable, chapitre V, 14)
2. « Le ‘Je’-‘Je’ est toujours là. Il n’y a pas à le connaître. Il n’est pas une connaissance nouvellement acquise. Or, ce qui est nouveau et qui n’est pas ici et maintenant ne peut être qu’évanescent [comme le politisme étatique]. Le ‘Je’ est toujours là. Il y a obstruction à sa connaissance et cela s’appelle ignorance.
Éliminez cette ignorance et la connaissance resplendira. En fait, cette ignorance et même la connaissance ne concernent pas l’âtman [le Soi et soi]. Ce ne sont que des excroissances qu’il faut couper. C’est pourquoi il est dit que l’âtman est au-delà de la connaissance et de l’ignorance. Il demeure tel qu’il est naturellement. C’est tout ». (Ramana Maharshi 49, 24-4-1935).
« Le ‘Je’-‘Je’ ininterrompu est l’océan infini ; l’ego, la pensée ‘je’, n’est qu’une bulle à la surface de cet océan ; on l’appelle jīva ou âme individuelle. De même, la bulle d’eau, lorsqu’elle éclate, ne fait que se mêler à l’océan ; et quand elle est bulle, elle fait toujours partie de l’océan. Dans l’ignorance de cette vérité simple, d’innombrables méthodes, sous différentes dénominations, telles que yoga, bhakti, karma, etc., ont été enseignées. Chacune apportant de nombreuses modifications,
elles ont été enseignées avec beaucoup d’habileté et des détails compliqués seulement pour séduire les chercheurs et semer la confusion dans leurs esprits. Il en va de même pour les religions, les sectes et les dogmes. À quoi servent-ils ? Uniquement à faire connaître le Soi. Ce sont des aides et des pratiques dont on a besoin pour connaître le Soi.
On parle de connaissance immédiate (pratyaksha) quand les objets sont perçus par les sens, mais peut-il y avoir quelque chose d’aussi direct que le Soi, dont on fait l’expérience continuelle sans l’aide des sens ? Les perceptions sensorielles ne peuvent donner qu’une connaissance indirecte et non une connaissance directe. Seule notre propre conscience est connaissance directe : c’est l’expérience commune à tout le monde. Aucune aide n’est nécessaire pour connaître son propre Soi, c’est-à-dire pour être conscient.
L’unique totalité, infinie et indivisible (le plenum), devient consciente d’elle-même en tant que ‘Je’. C’est son nom originel. Tous les autres noms, tels que OM, ne viennent qu’après. La Libération consiste uniquement à rester conscient du Soi. Le mahâvâkya « Je suis le brahman » en est l’affirmation qui fait autorité. Bien que l’on ait toujours l’expérience du ‘Je’, l’attention doit y être dirigée. Alors seulement, la Connaissance émerge. C’est pourquoi l’on a besoin de l’enseignement des Upanishad et des Sages ». (Ramana Maharshi 92, 7-11-1935).
À TRAVERS LE « COMME SI » :
« Lorsque l’ego disparaît, un autre ‘Je’-‘Je’ se manifeste spontanément dans
toute sa gloire… » Et il cita encore la Skandar-anubûthi : « Ni réel ni irréel ; ni obscur ni lumineux, C’EST » (Ramana Maharshi 122, 1-1-1936).
‘Je’-‘Je’ = LUMIÈRE DE L’ESSENCE, la partie essentielle du Secret de la Fleur d’Or explique : « ”La lumière jaillit dans la chambre vide”. Cette lumière n’est pas lumineuse mais, explique-ton, il s’agit d’une preuve d’efficacité au début, avant qu’on n’ait vue la lumière. Si vous la voyez sous forme de lumière et que vous fixez votre attention là-dessus, vous tomberez dans la conscience conceptualisante (la raison) qui N’EST PAS la Lumière de l’Essence [la Conscience Infinie].
Quand le mental forme une pensée, cette pensée est le mental, dans l’Instant. Ce mental est Lumière, il est remède. Lorsqu’on regarde les objets et qu’on les perçoit spontanément tous ensemble, sans discrimination, c’est la Lumière de l’Essence, pareille à un miroir qui reflète tout, sans intention de le faire [sans calcul, sans concept, qui correspond exactement à l’exemple de l’écran de cinéma qui n’est pas influencé par les images projetées dessus].
Mais il suffit d’un Instant de discrimination [et donc de saisie] pour que cela devienne la lumière de la conscience [les Bulles-Sucres [effet dominos], ou attacher un instant à un autre instant]. Lorsqu’une image occupe l’espace du miroir, il n’y a plus réflexion [d’autres images]. Lorsque la conscience occupe l’espace de la lumière, quelle lumière reste-t-il ? ». (Le Secret de la Fleur d’Or, trad. Thomas Cleary).
Comme l’exprime le Secret de la Fleur d’Or, si on « pense » on chute dans la raison ou conscience relativiste, et comme l’exprime Ramana Maharshi cité dans Padamalai : « Aucune investigation ne peut porter sur le Soi [Atman]. L’investigation [”Qui suis-je ?”] ne peut porter que sur ce qui n’est pas le Soi. Seule l’élimination du non Soi est possible. Étant constamment évident de Lui-même, le Soi resplendira seul de Lui-même ».
« L’essence qui voit est la seule chose qu’on ne puisse attribuer à rien » dit Le Secret de la Fleur d’Or. « Mais, lorsqu’on voit le voir, si ce voir n’est pas le voir, l’essence qui voit est alors aussi attribuable à quelque chose. Cela renvoie à l’essence qui voit, telle qu’elle s’exerce dans la continuité répétitive de la conscience habituelle – ce que les Écritures bouddhiques évoquent en ces termes : « Faire usage de la conscience habituelle et répétitive, c’est faire erreur ».
Lorsqu’on pratique les huit formes d’attribution liées à la perception discriminante [la raison, le Pour-Voir, l’opinion], les sept premières montrent que chacune est attribuable à quelque chose de précis [l’identification, la saisie] et que l’essence qui voit est temporellement conservée comme béquille pour l’Adepte. Mais à terme, tant que l’essence qui voit continue à nourrir la huitième conscience, elle reste toujours imputable [sous la cause] de quelque chose. Ce n’est que lorsque ce dernier point a été dépassé que se fait jour l’authentique Essence qui voit [être COUR, comme ”distant” (écran de cinéma), comme dans un état insaisissable], celle qu’il est véritablement impossible d’attribuer à quoi que ce soit [donc INSAISISSABLE, NON-OPINION].
Retourner la Lumière [ou Réaliser le Soi] consiste à correctement retourner la Lumière Primordiale qu’on ne peut attribuer à rien, de telle sorte que n’intervienne aucune pensée consciente [le scribe de la page souligne].
[…]
Retourner la lumière sans tomber dans la conscience [la raison], c’est faire usage de l’ESSENCE ORIGINELLE des sens.
Retourner la lumière en tombant dans la conscience [la raison], c’est user de la nature de la conscience inhérente au sens. Là se trouve la différence, aussi fine qu’un cheveu.
Quand la méditation s’accompagne d’un effort, c’est la lumière de la conscience qui se fait jour. Lâcher prise pour que jaillisse la lumière de l’essence. Un cheveu de différence vaut autant qu’un bon millier de kilomètres : aussi faut-il faire preuve de discernement.
Tant que la conscience ne s’arrête pas [donc tant qu’il y a idéation ou vagabondage des pensées], le mental n’est pas vivant. Tant que le mental n’est pas vidé, l’élixir ne se cristallise [Christ] pas.
3. QUE DES SURFACES : selon Philon d’Alexandrie : « L’intellect en nous, est chassé de sa demeure au moment où arrive le souffle divin ; lorsque ce dernier repart, le nostre est réintroduit ; car il n’est pas permis au mortel de cohabiter avec l’immortel » (Philon, Quis heres, 264s). Ce qui rejoint le TROU où il n’y a rien d’autre que le Trou, donc pas de Trou à posséder ou à voir ; ce que confirme Saint Bonaventure : « Jamais l’âme et Dieu ne peuvent co-exister ». (”Mors ultima linea rerum est”, le Savoir, Pouvoir, Oser, SE TAIRE ; le SILENCE étant l’Essence-Ciel).
Même un Verset qorânique (8,17) énonce cette confirmation de Saint Bonaventure : « Ce n’est pas toi qui lances le trait lorsque tu le lances, c’est Dieu qui le lance. Et pourtant si fait, tu le lances, toi ; et pourtant, non fait, ce n’est pas toi qui le lances ».
Ramana Maharshi le confirme aussi :
« De même que vous confondez ces mouvements avec les vôtres [les mouvements d’un voyage d’un lieu à un autre], vous faites ainsi pour les autres activités. Mais ce ne sont pas les vôtres. Ce sont les activités de Dieu ». (Ramana Maharshi, entretien 78 du 29-9-1935).
Donc en Europe, en France en 1789, il fallait détruire LA SURFACE (surtout en Vendée entre 1792-1802), LES CHAMPS, POUR PASSER À LA SURFACE DU BÉTON DE L’URBAIN, CONFORMÉ-CONFIRMÉ PAR CETTE BÉTONNISATION DE LA TERRE POUR Y CONSTRUIRE LES USINES DU CAPITAL ET DE LEUR I.A. ET DE LEUR CHEMIN DE FAIRE.
Le « Tout le monde » va surtout se fabriquer dans la concentration urbaine laquelle va ENGENDRER LE SPECTRE-SPECTACLE AVEC EXALTATION OU AMPLIFICATION DU CORPS OU MENTAL À COUPS DE DROGUES (celle de ”l’élite” merdiatique et politique : tout ça est cocaïné à l’infini), OU DE « RAISON », OU PIRE : DE CROYANCE-CRÉDIT-CRÉDO, CES DROGUES, CES SURFACES, TRÈS DURES, BÉTONNÉES, QUI ÉLOIGNENT DE L’INSTANT (et surtout bétonnage qui détruit toute vie de la surface détruite).
« Il n’y a pas non plus de libération. Elle pourrait exister seulement s’il y avait asservissement. Mais en réalité, il n’y a pas d’asservissement et, par conséquent, pas de libération non plus », dit Ramana Maharshi à l’entretien 264, du 20-10-1936.
IL Y A ASSERVISSEMENT PAR LA RACINE DU MAL(1) : LA SAISIE (des noms-les-formes) ; et arrêter cette saisie en recourant à l’introuvable : la fin de la dualité Dedans-Dehors qui est introuvable vu que l’Univers est DANS le mental.