La Réalisation du Soi : Yoga, le FAY ou FÉE, la Connaissance du Soi

La Réalisation du Soi : Yoga, le FAY ou FÉE, la Connaissance du Soi, le Hêtre (du francisque : jeune arbre, kêtre ou Fag, Fou, Idiotès : être dans sa Vraie Nature, dans son êtreté originelle [H : jonction du Ciel et de la Terre ou en Haut comme en Bas]).
Le CHAT BOTTÉ est un FILS UNIQUE. Il n’est pas le Fils au Moulin (utilitarisme et commerce, identification au corps) ; il n’est pas le fils à l’Âne (effectif, émotionnel) ; ces deux caractéristiques sont du monde économique : A-chat, du A privatif et chat : privation du Chat.

L’énergie, le Zéro Indien, c’est le Fils au Chat (chat sacré en Égypte ancienne, chez les Indiens Pawnees d’Amérique du Nord, autre forme d’énergie : la chat noir dans beaucoup de traditions symbolise le caché et la mort, le chat est parfois conceptualisé comme un serviteur des Enfers).

CHAT ZÉRO INDIEN : sens PUTRÉFACTION, DÉTACHEMENT OU RENONCEMENT ET ALIMENTation, donc le contraire de l’opinion qui soumet : L’É-LI-MIN-ation (neti neti en sanskrit : ni ceci ni cela variation en fausse tautologie ou identification aliénante) si présente actuellement.
Le CONTE DE FAY est la TAUTOLOGIE OU L’EXISTENCE PAR EXCELLENCE (A EST A)(1), et non A = A qui est la copie, la réitération, le faux.
RAPPEL : l’être humain conventionnel du rejet ou de l’opinion est soumis au mot ”réitérer” : A = A.

A EST A = Je suis de JE-SUIS, Principe d’identité et Principe du Seul Réel. Le ‘Je’ ne peut être défini que par SON fait tautologique même d’être Réel.
La définition du Seul Réel est l’INSAISISSABLE, LE SEUL RÉEL EST SANS DÉFINITION, INNOMMABLE, ou du moins sans autre définition qu’une RÉITÉRATION de son propre fait : « Je suis ce JE-SUIS ».

RAPPEL : est Seul Réel ce qui est non seulement ici et maintenant ou au milieu, mais aussi au début et à la fin.

Le NOM étant ce qui nomme, ne peut être nommé Lui-même. Le Nom n’est rien d’autre que le Réel, et c’est pourquoi iL NE SAURAIT AVOIR DE NOM OU DE DÉFINITION, DE NUMÉRISATION au sens des industries informatiques du capitalisme possessif. Le ‘Je’ est une forme qui OUVRE comme L’OUVRIER et sa définition. L’OUVRIER n’est pas « objectivé » ou transformé en objet-machine.

OBJECTIVITÉ ou SYSTÈME : les ”ismes” du productivisme, tout culte d’I-d’Ole, tout régime politique évoque un AUTRE DIEU QUE DIEU, et définition du PROMÉTHÉISME RÉPUBLICAIN ET LAÏCITÉ À LA FRANÇAISE, c’est-à-dire une UNITÉ, LA RÉPUBLIQUE,, INDÉPENDANTE DE L’UNITÉ PRIMORDIALE OU SEUL RÉEL : ELLE VERRA AINSI 2 FILS DISTINCTS : CHAÎNE SANS FIN DE CAUSES ET D’EFFETS, TISANT UNE TRAME SPATIO-TEMPORELLE OU MISE EN VALEUR DU TEMPS. Et cet autre Dieu ou ”isme” voudra lutter contre l’un des deux, c’est la fabrication de l’opinion SUIVANT SON PROPRE INTÉRÊT, donc suivant sa propre loi de succion opinionesque, et ainsi il se soumettra volontairement en se produisant son propre drame, comme l’illustre le Thème du Collier de la femme par Ramana Maharshi(1).

L’exemple tragique d’essayer de SAISIR LA TAUTOLOGIE est illustré par les policiers Dupont et Dupond et leur : ”Je dirais même plus…. ». Leur ”Plus” est la réitération commercial et productiviste actuelle, leur ”Plus” est le FAUX, le POIDS, le PLOMB-PESANTEUR de la dualité MANQUE-RESTE…..

Dans le conte du Chat Botté le Meunier rejette un instant le Chat que lui lègue son Père ; il dévalorise le Chat puisque ses valeurs sont déviées : elles sont conduites par trois plans, pour lui, et le conte les répertorie : valeur matérielle (le Moulin offert à son frère), valeur émotionnelle (l’Âne reçu par l’autre), et valeur mentale (conclusion du conte équivalent au conseil du Père dans Le Laboureur et ses enfants). Le Chat n’ayant pas de valeur matérielle et n’étant pas perçu comme valeur de purification mentale par ce futur Marquis de Carabas, sera rejeté. Le Meunier n’était visiblement pas dans l’Instant, pas dans les leçons de vie, il n’acceptait pas son SORT (celui qui sort ou le SOLVE, par rapport au fixe ou COAGULE), tant que le GATE GATE n’est pas complet, au sens trinitaire, tant que doit être forcée la conduite pour que « ça sorte », alors il est en ”COMME SI” : IL FATT SEMBLANT.
L’origine du mot ”sort” vient du latin sors : objet mis dans l’urne pour ”tirer un sort”, ou ”tirer au sort”, principe de l’élection présidentielle et autres dans le régime républicain. En Vénerie, ”sors” désigne un oiseau qui n’a pas mué…..

Le Meunier en ”COMME SI” refuse l’Instant, dénué de mise en valeur du temps : le ”mieux”, le ”bien”, le ”mal” ou le pur-impur. La Marâtre (femme du père par rapport aux enfants) veut la mort du ‘Je’ le Inné-Igné par la mort de ses sujets du conte, les objets de son monde. Ce sera LA GUERRE D’OPINION OU DE RELIGIONS ; L’ALIÉNANTE PSYCHOSE RÉPÉTITIVE DE L’INTROUSION (DANS LE TROU : VOIR LE TROU), AU SENS DE REMPLISSAGE OU PRODUCTIVISME.
Une des Marâtres actuelles sera macron-rothschild : L’ACCAPAREUR, LE SCLÉROSANT, LE FORMULATEUR, LE SYSTÉMATISANT, LE WINNERISANT, etc. À y ajouter une autre Marâtre ou une autre COAGULATION : la personnalité, la volonté, donc l’identité tout simplement, ses intérêts sous loi de succion vulgaire.
– Le Fils du Meunier veut la Vie selon son opinion.
– La Marâtre de Blanche-Neige comme macron-rothschild veut diriger la vie des autres.
– Blanche-Neige veut échapper à la mort.
– Le Prince charmant veut la Princesse qui veut le Prince (ou chez les gay la princesse veut aussi son prince [son mec, son idéal] et l’idéal, qu’est-ce qu’il peut vouloir puisqu’ainsi il est le winner, or seul un total peut connaître un total……)
Chacun d’eux est une COAGULATION opinionesque qui dit ”aimer” depuis sa création de besoins : ”L’amour, c’est offrir à quelqu’un qui n’en veut pas quelque chose que l’on n’a pas“. (Jacques Lacan). Et en 1840 les frères Abraham et Simon Oppenheim déclaraient ceci : « Vendre une perle que vous avez à quelqu’un qui en a envie, ce n’est pas faire des affaires ; mais vendre une perle que vous n’avez pas à quelqu’un qui n’en veut pas, voilà ce qui s’appelle faire des affaires ». (Réf. page 451 du livre de Jacques Attali, Les Juifs, le monde et l’argent).

Chacun agit sur l’Objet devant, DEHORS, ET PAR LE GATE GATE IL LE PERCE À TRAVERS dans le TIC-TAC du SOLVE-COAGULE afin de libérer la FÉLICITÉ NATURELLE : LE FLUX DU CENTRE QUI EST NULLE PART : LE TROU, mais sans qui l’Objet Circonférence ne sera pas. À l’exemple impitoyable de l’équerre à centrer :

LE ”COMME SI”.
La Vérité, pour l’humain et pour chaque être humain, c’est l’opinion qu’il se fait de sa nature d’humain.
Il se trouve que dans un outil qui s’appelle ”équerre à centrer” (ci-dessous), qui sert à situer le centre d’une façon subjective sur un bloque métallique bosselé (schéma ci-dessous), par approche approximative et imaginative, aucune idée de l’humain acquise par le discours logique ou de la ”raison”, et qu’on appelle ”opinion”, n’a de valeur scientifique, quoi qu’elle en prétende.

« Le discours logique qui cherche les essences au travers des accidents [du spatio-temporel, dont les microbes] opère à la façon de l’équerre à centrer qui ne peut tenir compte de toutes les lignes AB possibles pour la simple raison qu’elles sont en nombre inépuisable, in-défini (ce qu’on appelle à tort l’infini). Pas plus que l’équerre à centrer, il ne peut tenir compte de tous les accidents existants ou possibles dans le spatio-temporel, et en conséquence aucun discours logique (tous les philosophismes sont des discours logiques) ne peut atteindre à la vision de l’Absolu. Il est toujours couillonné. L’Homme ne peut atteindre l’Absolu que si l’Esprit vient lui-même le chercher pour le placer au centre, c’est-à-dire en LUI ». (Jean Coulonval, Synthèse et Temps Nouveaux).

Ce monde meurt sous la coque de la COAGULATION : le O de la tyrannie de l’Opinion, le O de l’objet (des technologies des industries du capitalisme), sur la Marâtre des macron-rothschild, sur le cristallisateur ou normalisateur, sur le sclérosant, etc. Jusque sous le O de Ogre (du Chat Botté comme du Petit Poucet), le destructeur si Plomb-Pesantueur recréateur des noms-les-formes : CANNIBALISME DES INFOS, DES POUR-VOIR OU DES SAISIES.

  • Itérer : le Gate Gate : « Gate gate pâragate pârasamgate bodhi svâhâ », du Soûtra du Diamant (Allé, allé, allé au-delà, allé complètement au-delà, l’Éveil, ainsi). La CAVE, CAVITÉ est le GATE GATE ou lieu de PASSAGE : DESCENTE AUX ENFERS ET MONTÉE AU CIEL.
    OUPOUAOUT est une Variation du Chat Botté : PETITE CAVE, LE TROU, L’OUVERTURE, LE GATE GATE QUI OUVRE LES CHEMINS : NE POINT ATTACHER UN INSTANT QUI PASSE À UN AUTRE INSTANT. « Gate gate pâragate pârasamgate bodhi svâhâ », du Soûtra du Diamant (Allé, allé, allé au-delà, allé complètement au-delà, l’Éveil, ainsi).
    Rien de plus difficile que le sans trace, l’insignifiant.
  • – Le HÉROS (R.O) si à la mode dans cette sotte siété à satiété du sécuritaire et du winner est le contraire de l’Or si vénéré et est devenu le symbole de la Manifestation du conventionnel si oublieuse de la Racine, du Principe ; cependant par la H du mot il nous prévient de sa présence.
  • – R.O.in.E : fille du R.O.I. héros igné-inné (connaissance du I par intuition. Cela rejoint la VRAIE LOI DE SUCCION : L’A-MOUR : du A privatif et Mort : privation de mort. VRAIE LOI DE SUCCION = L’OR ROSE DU POMMIER, LA R.OSE.

ASMODÉE : signifie : QUI RETOURNE À LA CAVE, OU À L’INCONSCIENT, LE CACHÉ, LE FLÉAU, OU LA VÉRITÉ QUI NE PARDONNE PAS : L’INSTANT DU BLANC-NOIR, LA ”RAISON” QUI CALCUL ET COMPLOTE NE SERT PLUS À RIEN. L’ANTI SEUL RÉEL = CELUI QUI VEUT VIVRE, ORGANISER, CELUI QUI FAIT LA CHUTE COMME INDIQUÉ SI CLAIREMENT DANS L’ANCIEN TESTAMENT PAR LE CROQUE-POMME (dont un marque de l’industrie informatique a fait une pomme avec un morceau en moins) : LA VIE EST DEVENU UN CHÂTIMENT, UN EXIL : ILS VIRENT QU’ILS ÉTAIENT NUS, définition du mental : ILS VIRENT, LE POUR-VOIR, LE TRANSHUMANISME MESSIANIQUE ET SURTOUT UTILITAIRE……

Et qu’est-ce que l’utilitarisme ?
C’est la CONSOLATION, dont l’essence est la FEMME, (ou le ”Mec” chez un gay). L’autre consolation, c’est LA RELIGION. Pour les moins chanceux, ce sera le litron de rouge : le Divine Bouteille, le « vas-y-voir », le bout-oeil, puisque l’ivrogne voit l’illusion : il voit que le Faux est faux parce qu’il s’est déboublé, L’IVROGNE VOIT DONC LA SINGULARITÉ, L’UNITÉ, VISION IMPARTIALE, ET SEULE CHOSE AU MONDE QU’IL SOIT INCAPABLE DE REGARDER. C’EST L’ACCÈS AU SEUL RÉEL. Pas seulement la seule Réalisation du Soi, puisque pour la santé du corps-mental il vaut mieux « consommer avec modération » et ne pas coaguler la Réalisation du Soi à de l’ivrognerie !…..

Un autre exemple de Singularité en forme de Réalisation du Soi concerne LE CONFORT-RÉCONFORT : du point de vue matériel on est en plein DÉSARROI, PANique le jour où le courant électrique est coupé partout dans le monde, on y était si habitué qu’on se retrouve comme une guêpe qui est entré dans une pièce par une fenêtre et qui tente d’en sortir en se heurtant par un battant de cette fenêtre alors que le battant à côté est largement ouvert, CELUI PAR LEQUEL LA GUÊPE EST LIBREMENT ENTRÉ. Dans le cas de cette fenêtre et de la Guêpe, la comparaison du COLLIER DE LA FEMME s’impose : la guêpe s’ignorise elle-même en ne voyant pas le battant ouvert de la fenêtre par laquelle elle est librement entré. Pourtant, et en d’autres cas, AIDER L’AUTRE quel qu’il soit, cailloux, plante, insecte, animal ou humain, C’EST MANIFESTER LA RÉALISATION du Soi en Lui, car ce service EST POUR LA SINGULARITÉ : « ce service est pour le Soi, et non pour quelqu’un d’autre : VOUS N’AIDEZ PERSONNE D’AUTRE QUE VOUS-MÊME » (réf. à Ramana Maharshi au jour le jour, et à sa citation dans Padamalai, page 344 : « Guru Vachala, strophe 926, Pozhippurai : Comme Nous ne connaissons aucun autre être en dehors de nous-même ou nature véritable du Soi (Atma svarupa), seule la pure Conscience libre des attributs qui brille (les ”eyes candy” du ”camps du Bien”) en tant que plénitude, sans limitation aucune, est en vérité omniscience sans égal ; elle n’est pas l’autre connaissance qui comprend l’entière et simultanée connaissance des trois temps (passe, présent, futur) et des trois mondes (veille, rêve, sommeil profond) ».
« Les Véda proclament haut et fort que Dieu est omniscient simplement par égard pour ceux qui sont dans la confusion, car ils pensent maîtriser la connaissance limitée. Après un examen minutieux (on s’apercevra qu’) à aucun moment Dieu ne sait quoi que ce soit parce que dans Sa Nature même Il est la plénitude d’ÊTRE (Je suis ce JE-SUIS) ».
« Étant donné qu’en vérité il n’existe rien en dehors de la Conscience [le Soi], l’omniscience est ignorance puisque par nature elle implique des différences [le sujet en face de l’objet à analyser donc à différencier, À IDENTIFIER, À POSSÉDER…..] »).

Toujours le Thème du COLLIER DE LA FEMME AVEC LE MOT ESSENCE = Le mot est comme le Nid, et le sens est l’Oiseau, dit le Mathnawî 3292, Livre deuxième. La forme, les mots, la grammaire en sont le Nid (Matrice, Maison).
Les scolarisés du conventionnel de la république et de ses médias partent du DEHORS : DE LA LETTRE, DU MOT, pour invoquer le sens en imaginant l’oiseau à la convenance du nid. Le ”QUI SUIS-JE ?” est de construire le nid à la convenance de l’oiseau, soit la démarche inverse du conventionnel du Dehors et de l’étudiant forcément du conventionnel au Dehors, la même soupe pour tous.

Comme l’oiseau en cage, ou la guêpe qui pénétré par une fenêtre ouverte et qui ne sait pas comment en sortir, alors qu’elle est toujours ouverte, et leurs effort permanents pour retourner à leur résidence naturelle en volant vers le haut, le chemin de l’esclavage, plutôt que de se diriger vers le BAS, LA FENÊTRE DE L’ARTIFICIELLE CONSTRUCTION HUMAINE, SOIT LA VOIE PAR LAQUELLE ILS ÉTAIENT ENTRÉS LIBREMENT. Pareillement chez les humains cela explique que leurs efforts incessants pour atteindre la Liberté naturelle ne sont aucunement couronnés de succès, c’est qu’ils sont eux aussi dirigés vers le dehors, vers ce qui asservit, au lieu du dedans, là d’où ils ont émergé.
La tendance naturelle de l’oiseau à se diriger vers le haut se manifeste avec force, alors qu’il essaye de se libérer ; de même la tendance naturelle de la guêpe à se diriger vers le haut de la lumière d’un ciel clair. « Semblablement, la tendance naturelle des individus [jiva] d’errer vers le dehors s’affirme même lorsqu’ils tentent de se libérer. C’est là une tendance propre à l’individu [jiva]. Cependant, si grâce au discernement juste et à la conscience pure, ce dernier inverse la direction de sa vision, d’une vision dirigée vers le dehors à une vision intérieure [Retournement de la Lumière] et qu’il s’en tient à elle, cela ne fait aucun doute qu’il atteindra la Libération à l’instant même ». (Padamalai, Muruganar, chapitre Le mental et ses créations).

Humain, oiseau et guêpe se retrouvent, comme dans l’exemple de l’ivrogne comme PANique : LE MONDE LEUR DEVIENT SOUDAIN INTRAITABLE, FROID, DIRECT, BLANC, MAÂT : UN DÉCERVELAGE, UN LAVAGE DE CERVELLE : plus rien ne s’inscrit dans leur cervelle; ils sont PANiqués. LE COLLIER DE LA FEMME : LE CHEMIN LE PLUS PROCHE, SURTOUT POUR LES HUMAINS, EST DE TOUT TEMPS LE PLUS LONG ET LE PLUS INCONFORTABLE !!! CELA VEUT AUSSI DIRE QUE LE RÊVE EST LÀ POUR NOUS Y AIDER ; le rêve au sens de l’Imagination créatrice d’Ibn’Arabi…..

Note.
1. Celui qui examine, le sujet, et ce qui est examiné, l’objet, sont soumis l’un a l’autre. Toute analyse ou synthèse recours AU CONVENTIONNEL DU SENS COMMUN, DU SENS DE L’INCONSCIENT COLLECTIF À LA C.G. JUNG.
Et dès lors que l’analyse approfondie elle-même est soumise à l’analyse, cette dernière SE TROUVERA EN EFFET LARSEN AVEC RISQUE ET PÉRIL….
Quand l’objet a été complètement analysé par le sujet, c’est la vacuité : l’analyse n’a plus rien a manger. En l’absence de nourriture, ou de loi de succion, rien ne sort (par le derche…) : IL N’Y A PAS DE NAISSANCE : C’EST CE QUI PEUT S’APPELER ”NIRVANA”.

Celui qui se trouve sur le SENTIER de ces deux concepts se trouve en très mauvaise posture. Car si la conscience vulgaire, la relativiste, a le pouvoir de prouver son objet, SUR QUOI REPOSE SON EXISTENCE ?
Si au contraire, c’est l’objet, si vital pour l’humain de ce hui, c’est l’objet qui prouve la raison ou conscience relativiste, QUEL EST LE POINT D’APPUI DE CET OBJET ?
S’ils dépendent l’un de l’autre pour exister, AUCUN DES DEUX N’EXISTENT RÉELLEMENT.
Comment peut-il y avoir NATURELLEMENT un père sans fils ?
D’où viendrait le fils ?
De même qu’il n’est pas de père NATUREL sans un fils inexistant, ni l’un ni l’autre n’existe réellement !

Si la pousse qui naît de la graine révèle la réalité de la graine, pourquoi la conscience relativiste née de l’objet n’en révélerait pas l’existence (réelle) ? Donc aucune certitude AUCUNE SAISIE.
L’existence de la graine est constatée par une conscience différente de celle de la pousse. Mais qui constate l’existence de la conscience à laquelle l’objet est révélé ? FRACTAL, FRACTAL, FRACTAL……
(En référence à Shântideva : Bodhicaryâvatâra – La Marche vers l’Éveil).

Bien-sûr la TAUTOLOGIE EST DU THÈME DE RAMANA MAHARSHI SUR LE ”COLLIER DE LA FEMME” :

  • Une femme s’imagine par erreur avoir perdu son collier qu’elle a toujours à son cou. Elle se met à le chercher partout, jusqu’à ce qu’une amie lui dise qu’il est à son cou. Elle a créé son sentiment d’avoir perdu le collier, sa propre anxiété de le rechercher, puis son propre plaisir de le retrouver [c’est comme cela que les têtes d’œufs au pouvoir INVENTENT LA LIBERTÉ ET LEUR RÉPUBLIQUE].
    De même le Soi est toujours présent, que vous le cherchiez ou non. Tout comme la femme s’imagine que son collier a été retrouvé, de même éprouve-t-on le sentiment que le Soi, toujours présent ici et maintenant, se révèle lorsque cessent l’ignorance et la fausse identification. C’est ce qu’on nomme Réalisation. Mais il n’y a rien de nouveau. C’est simplement l’élimination de l’ignorance, et rien de plus.
    Le vide est le résultat néfaste de la recherche du mental. Le mental doit être tranché, racines et branches. Cherchez qui est le penseur, qui est le chercheur. Demeurez le penseur, le chercheur. Toutes les pensées disparaîtront.
    – Q. : Alors demeure l’ego – le penseur.
    – M. : Cet ego-là est le pur Ego, purgé de toute pensée. Il est le même que le Soi. Tant que la fausse identification persiste, les doutes persistent aussi et des questions s’élèvent sans fin. Les doutes cesseront seulement lorsqu’on aura mis fin au non-Soi. Le résultat sera la réalisation du Soi. Il n’y aura plus personne pour douter ou questionner. Chacun devrait résoudre tous ces doutes en lui-même.
    Même une multitude de paroles ne pourrait donner satisfaction. Tenez fermement le penseur.
    Ce n’est que lorsque le penseur est abandonné [en devenant le consommateur] que les objets apparaissent à l’extérieur ou que des doutes s’élèvent dans le mental.
    (Ramana Maharshi, entretien 245, 8-9-1936).

Publié dans - Insaisissable Yokai | Marqué avec , | Commentaires fermés sur La Réalisation du Soi : Yoga, le FAY ou FÉE, la Connaissance du Soi

Petite CAVE OU CHAT BOTTÉ : LA HAINE DU JUIF OU DU RUSSE

Petite CAVE OU CHAT BOTTÉ : LA HAINE DU JUIF OU DU RUSSE est ce PETIT CAVE ou POINTE aspirante (anti-gravité) : Miscouri (petite cave en chipriote à cause des lieux où il vit) le Blanc de l’Instant attire Toujours et les Juifs et les Russes le savent : ILS SONT COMME DES AIMANTS (magnétite ou LOI DE SUCCION VULGAIRE ou MATÉRIEL, UTILITAIRE, mais aussi SPIRITUEL : loi de succion vulgaire et Vraie Loi de Succion).
Juifs comme Russes, et plus anciens : SCYTHES, sont INSAISISSABLES DONC INNOMMABLES, CACHÉ COMME DES TERRORISTES.

INSAISISSABLE : AUCUN MIROIR NE PEUT SAISIR LE REFLET DE L’UNIVERS COMME AUCUN ŒIL NE PEUT VOIR LE CORPS DE LA VIERGE NOIRE, OU D’UNE AUTRE COULEUR TOUT AUSSI PENSÉE.
L’Univers est SINGULARITÉ, c’est ce qui entre dans le PARADOXE et problème depuis des millénaires du Néolithique du Moi-Collectif et Moi-Individuel.
INSAISISSABLE COMME LA RECHERCHE DE SA PROPRE IDENTITÉ : dès que le Vrai est saisi, il devient faux. Car le Vrai ou Seul Réel étant l’Instant, le Ici et Maintenant, il est sans double, sans la dualité d’un sujet examinant son double : l’objet. Le Dedans-Dehors n’existe que dans le mental.
IDENTITÉ = NON-IDENTITÉ EN UN ENSEMBLE ILLIMITÉ. CAR S’IL ÉTAIT IDENTIFIÉ IL SERAIT PAR LÀ-MÊME LIMITÉ. C’EST POURQUOI IL NE PEUT EXISTER DEUX UNIVERS, DEUX GLOBALITÉS DE CONSCIENCE ET D’EXISTANT, CAR AUCUN NE POURRAIT ALORS ÊTRE DIT « UNIVERSEL », PARCE QUE NE CONTENANT PAS L’AUTRE ET ÉTANT LIMITÉ PAR LUI. Cela pour la même raison que, si l’on tient que le Soi, l’Instant, Dieu, est infini, il y en a nécessairement un seul, puisque s’ils étaient deux, chacun étant limité par ce qui le distingue de l’autre, aucun ne pourrait être dit ”infini”.
Le concept d’Univers, d’où découle la notion d’universel, se présente donc comme identique au concept du TOUT INSAISISSABLE ET ILLIMITÉ.

SINGULARITÉ, INSAISISSABLE, PARCE QUE RIEN NE PARAÎT CE QU’IL PARAÎT ÊTRE.
INSAISISSABLE COMME CE QU’ON APPELLE DE NOS JOURS : « INCONSCIENT » (mot récent daté, d’après le Dic. Le Robert, de 1820), et équivalent du SOMMEIL PROFOND (ou dans le sens médical actuel : COMA, comme si le corps était réduit à l’état de ZOMBI, coma en grec : kôma : sommeil profond).

SOMMEIL PROFOND (en sanskrit, état de sushupti) : « il n’y a plus
d’identification avec le corps et donc pas de perceptions ; de même, dans l’état transcendantal, l’identité avec le brahman [l’Absolu] met l’homme en harmonie avec toutes choses, et il n’y a rien qui soit séparé du Soi ». (Ramana Maharshi, entretien 2 du 15-5-1935).
Dans l’entretien 3, même date : « Dans le sommeil profond, l’homme ne possède rien, pas même son propre corps. Et au lieu d’être malheureux il est parfaitement heureux. Chacun désire dormir profondément. La conclusion en est que le bonheur est inhérent à l’homme et n’est pas dû à des causes extérieures. Pour ouvrir les réserves du bonheur parfait, il faut réaliser le Soi ». Le Soi qui est le témoin dans les états de sommeil profond, de rêve et de veille. « Ces trois états appartiennent à l’ego. Le Soi transcende même l’ego.
N’existiez-vous pas durant le sommeil profond ? Saviez-vous alors que vous dormiez et que vous étiez inconscient du monde ? Ce n’est qu’en état de veille que vous décrivez cette expérience de sommeil comme étant inconscience ; pourtant votre conscience quand vous dormez est la même que lorsque vous êtes éveillée. Si vous savez ce qu’est cette conscience de veille, vous connaîtrez la conscience qui se tient comme témoin dans les trois états. Cette conscience peut être trouvée en cherchant la conscience telle qu’elle était durant le sommeil profond [c’est le site qui souligne] ». (Entretien 13a du 7-1-1935).
Si on vous répond que c’est le vide, le néant, le Maharshi répond ainsi dans le même entretien 13a : « Pour qui est le vide ? Cherchez. Vous ne pouvez vous nier vous-même à aucun moment. Le Soi est toujours présent et subsiste dans les trois états [veille, rêve, sommeil profond (appelé ”coma” par des médecins)] ».

Le Juif ERRANT, le Russe tout aussi errant.

Le Juif est protégé depuis 1945 par le ”Camp du Bien”, la même fausse protection que celle de l’étatisme du régime républicain de 1789 qui se croit « ARRIVÉ » (dans sa logique du ”Plus jamais ça”, c’est-à-dire : toujours [moins de liberté]).
Le Russe ne sera protégé par PERSONNE, sauf par sa SINGULARITÉ, DONC AU-DESSUS DU JUIF qui lui a besoin des autres pour se faire VALOIR : LE RUSSE ARRIVE AINSI AVANT le Juif, et ce temps est venu.

LE RUSSE C’EST CARABAS, LE CHAT MISCOURI, LA PETITE CAVE.

Le Juif est un FAUX JUIF ERRANT en forme de commerce dans un « monde-hôtel » où l’argent erre puisqu’il est accepté partout comme la langue anglais : IL N’A PAS D’ODEUR, IL N’EST DONC PAS SALE, PAS CACHÉ, IL SE MONTRE, IL SE WINNERISE : voyez les BIG-BOYS ET LEUR GIGANTISME PAR L’ARCHITECTURE DANS LAQUELLE ILS VIVENT.
Le Russe est un VRAI HUMAIN ERRANT, ce serais-ce que par la géographie où il vit. Le ”camp du bien” le fabrique en LOSER : infériorité matériel, technologique et économique, et bien-sûr politico-social : comme si le Russe était un sauvage et un ivrogne buveur de vodka.
Le Russe en tant que VRAI RUSSE ERRANT, EN GATE GATE, est OUPOUAOUT (aussi appelé Ophoïs), le Gate gate d’Assiout : Celui-qui-ouvre-la-voie, le préposé au bon déroulement du Voyage de Ré. Représentation applicable bien-sûr à tous les chiens de chasse et les chiens de policiers qui effectuent des recherches. Sa nature divine recouvre deux aspects distincts : Dieu guerrier et Dieu funéraire, tous deux associés aux divinités canines.

OUPOUAOUT est une Variation du Chat Botté.
Oupouaout ou Ophoïs devenir le Thème Osiris.
Ici une prière à Ophoïs, stèle (893) 47 du British Museum lignes 11-18 : les lignes 1-11 constituent un hymne à Osiris reproduisant le chap. 128 du Livre des Morts.
Salut à toi, Ophoïs, qui est à la tête des baïs [Ankh, Ka, Ba : éléments constitutif de la Personne et des Dieux, le Ba est souvent représenté comme un oiseau jabirou]].
Toi qui apportes et qui fais ce qui est bon,
apporte ce que tu as fait de bon pour moi [la qualification de ”le bon” le rapproche d’Osiris et explique la démarche du suppliant confiant en son intervention bienfaisante].
Salut à toi, Rê, Seigneur de l’Énnéade,
Ophoïs le parfait,
Harsaphès [une Variation d’Osiris] qui es à la tête d’Abydos,
Qu la vie soit à toi !
Que ton sceptre hepet [insigne du roi lors d’un parcours rituel d’intronisation] soit à toi !
Que ta couronne oureret [couronne blanche caractéristique d’Osiris] soit à toi !
Que le septre-hepet soit donné au Seigneur du hepet,
Harsaphès qui est à la tête d’Abydos.

Salut à toi, Ophoïs,
à qui a été donnée a parole (?) de l’Unique.
Ton ka vit de tes formules,
ô Nema [Dieu nain en une Variation du Thème Osiris], Dieu unique, doux d’allégresse !
Tu as donné la force, les fleuves, les offrandes, les eaux (?)
lors de ta venue ;
ô Ophoïs, Seigneur de l’Oliban [résine odoriférante],
qui produit l’encens.

Hathor [Divinité céleste] te contente en ce jour où je suis entré vers Ophoïs,
en qualité d’Horus, Seigneur de justice [assimilation de ce Dieu à Osiris, on est toujours dans LA MUSIQUE DE THÈME ET VARIATION ET DE TRANSMUTATION DE L’UN EN L’AUTRE SELON LE PRINCIPE DU GATE GATE],
et o où j’ai reçu les faveurs d’Ophoïs,
où j’ai répandu ma crainte sur la terre.
Ô toi qui protège (?) sans cesse,
je suis le quatrième de ces quatre Dieux
qui écartent le faux-pas [glisser et allusion obscure possible au mythe d’Osiris].

Que Chou [Dieu de l’air] démembre [massacre] et frappe de stupeur quiconque forme un dessein (mauvais, la finale du texte a une coloration magique).
tout Dieu qui se sera opposé à Ophoïs.
Qu’il entende la bonne parole en ce jour !
Qu’il me protège contre tout mal
de cette <année ?>, de cette nuit, de ce jour ;
de la main de […….]
(Hymnes et prières de l’Égypte ancienne, par André Barucq et François Daumas).
Oupouaout un Abaris le Scythe avant l’heure !]

OUPOUAOUT est une Variation du Chat Botté : PETITE CAVE, LE TROU, L’OUVERTURE, LE GATE GATE QUI OUVRE LES CHEMINS : NE POINT ATTACHER UN INSTANT QUI PASSE À UN AUTRE INSTANT. « Gate gate pâragate pârasamgate bodhi svâhâ », du Soûtra du Diamant (Allé, allé, allé au-delà, allé complètement au-delà, l’Éveil, ainsi).
Rien de plus difficile que le sans trace, l’insignifiant. LE RUSSE EST LE SANS TRACE. LE JUIF LAISSE DES TRACES PARTOUT OÙ IL PASSE, COMME L’ARGENT, IL SE PLANQUE MÊME DANS LE SANS TRACE : IL SE PLANQUE MAINTENANT DANS LE VIRTUEL (Google etc. du sionisme en vallée siliconnée).

Le Russe est en OUPOUAOUT, EN GATE GATE ou en DHYANA (contemplation) : ENGAGÉ SUR LA VOIE, COMME EN GATE GATE, COMME OUPOUAOUT. OUVRIR sans arrêt des PORTES, OUVRIR LA PORTE DES PORTES, SANS FIN. Et c’est le Mystère d’Oupouaout ou du Miscouri, la Petite Cave, LA POINTE, LE TROU, L’INNOMMABLE, LE NOIR-BLANC DE L’INSTANT, LE CELLIER, TOUT CE QUI EST CACHÉ : O, EAU, ORIGINALE.

Le Russe en tant qu’OUPOUAOUT ou Petite Cave ne dévoile JAMAIS ses possibilités. C’est pourquoi Vladimir Poutine pouvait déclaré récemment :

  • « Aujourd’hui, la Russie dispose de toutes sortes d’armes dans l’histoire du monde, je le souligne. (J’ajoute : vous n’en avez aucune idée.)
    Vous n’avez rien vu de la Russie et de ses possibilités en Ukraine, car l’Ukraine est notre pays historique, et il y a des Russes en Ukraine, et nous les sauvons, et il ne s’agit pas d’une guerre, mais d’une opération militaire. (C’est vrai.)
    En revanche, ce ne sera pas comme en Ukraine ; Voilà ce que vous devez savoir.
    Quant à savoir si nous sommes prêts à négocier la paix, nous l’avons toujours été, mais personne ne voulait négocier avec nous.
    Bien sûr, la Russie n’a pas d’amis parmi les dirigeants de l’OTAN et de l’Europe, car elle est un pays puissant et immense, ce que vos collègues de l’OTAN et de l’Europe ne souhaitent pas.
  • Mais acceptez-le !
    Vous aurez beau répéter qu’un jour la Russie sera vaincue… Je crois en Dieu, et Dieu est avec nous. La fin du monde peut arriver plus tôt, mais la Russie ne tombera pas ».
    Nous n’avons pas besoin d’un monde sans Russie ».

La Russie ne tombera pas parce qu’elle est LA PARÈDRE (ou la Variation du Thème) de PAR-ISIS (Paris en France) : LE PAYS DU SURFEU.

PARISIS LE SURFEU. ISIS = LA FRANCE – OCCIDENT DE ”OCCIR” = MORT, PUTRÉFACTION, RENONCEMENT, LIQUÉFACTION = PARIS NOUVEL ATLANTIDE = YS.
L’ESSENCE DE LA FRANCE, DE L’EUROPE, EST DANS L’ANCIENNE ÉGYPTE, et dans la RUSSIE comme l’indique PARIS LA VILLE D’YS (Cassiopée) ; DANS LE NOIR, LA NUIT OBSCURE, COMME LE SILENCE ; Paris et Par (pair) YS, PARISIS en proclamant que la fin de la capitale PARIS SERA la re-découverte de la ville engloutie d’YS… YS l’Eau Primordiale, TIAMAT, le SAINT CHAOS, le NIRVANA…

PARIS C’EST LA VILLE D’YS (Cassiopée) ; DANS LE NOIR, LA NUIT OBSCURE, COMME LE SILENCE ; Paris et Par (pair) YS, PARISIS en proclamant que la fin de la capitale PARIS SERA la re-découverte de la ville engloutie d’YS… YS l’Eau Primordiale, TIAMAT, le SAINT CHAOS, le NIRVANA… et bien-sûr LA CHAISE D’ISIS, genre celle des montagnards auvergnats du 19è siècle avec son pied unique (en forme de T) qui s’enfonce en terre quand le paysan s’apprête à traire sa vache. Là on est dans le Thème de l’Aiguille, du Point Focal (et de la MASSE au sens ”électronique” ses débuts avec les tubes, TERRE-CIEL : en Haut comme en Bas et l’inverse. IMPORTANT puisque une forme de l’électronique devait bien exister dans l’Égypte ancienne en un mélange d’électricité statique, de magnétisme, et de minéraux divers….).

Les deux voies les deux vagues raciales. RE-TROUVER LA VRAIE VOIE, CELLE DE L’EAU PRIMORDIALE.
Avant “la Chute Trinitaire” (biblique) la Matière était arrangée autrement : la 3ème race androgyne les Lémuriens, ceux d’avant la Chute dans la Matière, là où l’Espace n’avait pas de “temps”. C’est leurs “parties matériels” qui ont donné naissance aux Atlantes d’où la Chute EN DEUX VOIES : LA SAGESSE DE VIE DE CERTAINS ATLANTES, LE MERCANTILISME COMMENÇANT-COMMERÇANT CHEZ D’AUTRES. alors arrive la Chute et l’abus du Savoir, l’abus de la Connaissance, comme ce qu’il se passe actuellement.
Une cité hyperboréenne pourrait bien se situer « vers » la Sibérie. Ce n’est pas par dérision que l’écrivain russe Ossip Senkovski, dans : Voyages fantastiques du baron Brambeus, trad. Paul Lequesne, où il est question de la découverte du sens concret de la lecture des Hiéroglyphes de l’Ancienne Égypte AVANT Champollion, découverte par l’égyptologue Ivan Alexandrovitch Goulianov (1749-1841), dans son Archéologie Égyptienne, qu’Ossip Senkovski, héritier d’un esprit frondeur à la Savinien de Cyrano de Bergerac, aborde l’origine de la naissance des Hiéroglyphes de l’Égypte ancienne.

FUSEAU-FUSÉE À RAPPROCHER DE L’ARCHE (d’Alliance et celle de Noé du déluge) ; ARCHE OU SHIP, ESQUIF… Embarcation en forme de FUSEAU, aussi du Thème de Shiva le destructeur et transformateur. Dans les pays scandinaves ces fuseaux-embarcations servaient de cercueil. Ce vaisseau devait conduire le Viking dans la Vraie Demeure : celle de l’éternité. L’arche de Noé embarque tous les noms-les-formes de l’inconscient collectif du moment, idem avec la barque de Charon. Si bien que l’archétype de l’Arche pourrait être d’origine boréale (au Nord, et les Hiéroglyphes égyptiens pourraient avoir naissance AU NORD, vers l’ÎLE AUX OURS, mais à une époque où tous ces pays du Nord avaient un climat tropical, qui se transformera en Sibérie septentrionale et glaciale, et pays tropicaux qui seront englouti pour partie par l’océan Arctique, « comme le démontre assez la configuration de la Lena. Voila pourquoi nous trouvons des inscriptions égyptiennes sur l’Île aux Ours » (page 93, Ossip Senkovski, Voyages fantastique du baron Brambeus).

Shiva est le principe de construction-destruction : la mort en forme de SURFEU où le corps s’INSTANTISE (s’actualise) exprimant telle la flamme de la bougie ou la BRAISE si lumineuse avant de s’éteindre la preuve absolue de son EST, de son ÊTRE.
Le culte du VOILE ou du RIDEAU institué par Moïse était inspiré des Lévites qui l’avaient probablement importé de la Baltique, dont comme ci-dessus vers l’Île aux Ours, avant d’atterrir en Égypte par les tribus sémitiques déjà envahissant la Palestine. L’apparition du « Buisson Ardent » en fournit une preuve. « Le nom d’Herta, la terre vierge, se retrouve dans l’assyrien Irsit, dans l’hébreu Herets (à rapprocher du hepet égyptien cité plus haut dans la prière à Oupouaout) et dans le chypriote Ersa ou Arsos, qui veut dire hérissé, et par extension RONCE, FOURRÉ, à rapprocher de la Pierre levée, LINGA, et la Couronne d’épines : les rayons lumineux qui émanent du corps du Rédempteur. La RONCE et ses épines évoquent évidemment OUPOUAOUT : le Sentier est encore vierge, il est couvert de RONCE, la terre est vierge, Oupouaout ouvre le chemin, comme le Christ….
Le buisson ardent dans lequel apparaît « Élohim » se nomme en hébreu Çnah, d’où est venu le nom de Sinaï. C’est le genre de ronce qui produit chez nous la mûre sauvage (1), et la mûre est elle-mêle la Déesse Myrrha ou Miriam, fille du Buisson. Aussi porte-t-elle toujours dans sa coiffure des fleurs de cet arbuste épineux, qui, en latin, se nomme sentis. Zan est resté le nom du vieux Jupiter doriens, et la capitale des Chétas se nommait ”Sanis”. Le même Dieu se nomme en étrusque ”Tinia”. Tous ces mots sont synonymes et veulent dire ÉPINE, du latin TENUIS, AIGU (pointe). C’est donc un équivalent de Shiva, qui s’applique à tout ce qui finit en pointe [comme le trident de Shiva et des déités de l’Eau, Neptune, Chalchiutlicue, Satan] » (Archéologie mystérieuse, de Grasset d’Orcet, page 87).

  • La CAVE, CAVITÉ est le GATE GATE ou lieu de PASSAGE : DESCENTE AUX ENFERS ET MONTÉE AU CIEL. En Chine les êtres célestes descendent à la cave ou dans la GROTTE. TROU OU GROTTE, GATE GATE, sera transformé en PURGATOIRE : la Caverne elle-même de Platon est une Variation du Gate Gate Purgatoire, où la lumière n’est perçue que la L’ÉCHO, LA COPIE, LE VRAI ÉTANT DEVENU FAUX PAS COPIE, PAR PROJECTION ET DONC PAR MISE EN VALEUR DU TEMPS : les noms-les-formes de la grotte attendent leur transmutation VERS MAÂT OU VERS LE BLANC DE L’INSTANT. La caverne, la CAVITÉ symbolise non seulement L’ANTI-GRAVITATION (voir : Grebennikov découvre en 1988 les effets antigravitationnels de l’enveloppe de chitine de certains insectes), MAIS SYMBOLISE DE CE FAIT, DE « S’ENVOYER EN L’R » : LA RÉALISATION du Soi : PADAM, LE PIED EN SANSKRIT : L’ÊTRE DEVIENT ENFIN L’ÊTRE VÉRITABLE, le Soi : PADAM.
    Padam, le Réel, existe et brille comme vide omniprésent sans ni survenir d’où que ce soit, ni engendre quoi que ce soit.
    Padam est la forme du Soi véritable qui existe si immuable, qu’on ne peut ni le perdre ni l’acquérir [comme la Vraie Foi, elle ne s’acquière pas ni ne se perd].
    Bien que Padam existe, imprégnant chaque (objet) du Dedans comme du Dehors, aucun objet n’existe jamais en Lui.
    (Padamalai, recueil de courts aphorismes, par Muruganar (1890-1973) l’un des proches disciples éveillés de Ramana Maharshi).
  • La Caverne symbolise LA SUPPRESSION DE LA RACINE DU MAL : LA DUALITÉ DEDANS-DEHORS QUI ENGENDRE LA SAISIE, le dilemme Moi-Collectif/Moi-Individuel disparaît. C’est en ce sens que le GATE GATE ou OUPOUAOUT se révèle éternel : LA PORTE DES PORTES TOUJOURS À OUVRIR (et non la chaîne stérile sans fin des causes et effets). Le BLANC DE L’INSTANT OUVRE TOUJOURS D’INSTANT EN INSTANT, ET ÇA TRANSPORTE : LA FÉLICITÉ……. LE POINT OU BINDU, LA GRAINE DE LUMIÈRE : LE SOUFFLE VITAL DE CHAQUE NOMS-LES-FORMES, et du principe de la lumière de la conscience(2), ou raison. L’Ensemble se nomme FÉLICITÉ.

Ce qui est caché est depuis la découverte du feu vulgaire considéré comme : sale, innommable, FLÉAU, enfer style ASMODÉE, une VARIATION DU TROU OU DU CHAT CARABAS LA PETITE CAVE, LE FROID HUMIDE DE PUTRÉFACTION-RENONCEMENT ce Feu froid. A fortement rapprocher de COLÈRE : BILE, NOIR (”colère noire”), FOIE OU FIEL. COLÈRE : LA POINTE, LE PIQUANT du ”Un Point c’est le TOUT”, le TROU du Point sur le I, l’Axe…..

ASMODÉÉ ou FLÉAU : CE QUI PORTE LE NOM D’OMNISCIENCE EST ASSOCIÉ AUTANT AU WINNERISME DE L’EGO HUMAIN QU’À L’ILLUSION PRODUITE PAR LA LOI DE SUCCION VULGAIRE, PARCE QUE RÉELLEMENT, LE FAIT DE CONNAÎTRE DE FAÇON « OBJECTIVE » EST L’ILLUSION, EST ASMODÉE, C’EST VOULOIR VOIR LE TROU, DOMPTER OUPOUAOUT. ASMODÉE-AGITATION, SPEED contemporain.
ASMODÉ SOUFFLE SUR LE TROU comme si Il-Elle voulait en remplir de quelque chose, COMME SI il fallait former du social, de la quantité, du chiffre :

Cité dans Padamalai, page 344 : « Guru Vachala, strophe 926, Pozhippurai : Comme Nous ne connaissons aucun autre être en dehors de nous-même ou nature véritable du Soi (Atma svarupa), seule la pure Conscience libre des attributs qui brille (les ”eyes candy”, ou la ’démocratie’ du ”camps du Bien”) en tant que plénitude, sans limitation aucune, est en vérité omniscience sans égal ; elle n’est pas l’autre connaissance qui comprend l’entière et simultanée connaissance des trois temps (passe, présent, futur) et des trois mondes (veille, rêve, sommeil profond) ».
« Les Véda proclament haut et fort que Dieu est omniscient simplement par égard pour ceux qui sont dans la confusion, car ils pensent maîtriser la connaissance limitée. Après un examen minutieux (on s’apercevra qu’) à aucun moment Dieu ne sait quoi que ce soit parce que dans Sa Nature même Il est la plénitude d’ÊTRE (Je suis ce JE-SUIS) ».
« Étant donné qu’en vérité il n’existe rien en dehors de la Conscience [le Soi], l’omniscience est ignorance puisque par nature elle implique des différences [le sujet en face de l’objet à analyser donc à différencier, À IDENTIFIER, À POSSÉDER…..] »

De nos jours l’omniscience c’est le MONOTHÉISME UNILATÉRAL RÉPUBLICAIN : L’INCLUSIVISME DE L’INDIFFÉNCÉ ENGENDRANT LE PRODUCTIVISME, LA QUANTITÉ INDUSTRIELLE ET L’INTELLIGENCE ARTIFICIELLE ET LE ROBOT…..

Notes.
1. En Chine ancienne le mûrier est l’arbre du levant et résidence de la Mère des soleils et l’arbre par où s’élève le soleil levant. Ovide raconte que les fruits du mûrier étaient à l’origine BLANC, mais qu’ils sont devenus rouge à la suite du suicide de deux amants, Pyrame et Thisbé, qui se donnaient rendez-vous à l’ombre d’un mûrier près d’une source. (Réf. dic. des Symboles, de Chevalier et Gheerbrant).

2. La partie essentielle du Secret de la Fleur d’Or explique : « ”La lumière jaillit dans la chambre vide”. Cette lumière n’est pas lumineuse mais, explique-ton, il s’agit d’une preuve d’efficacité au début, avant qu’on n’ait vue la lumière. Si vous la voyez sous forme de lumière et que vous fixez votre attention là-dessus, vous tomberez dans la conscience conceptualisante qui N’EST PAS la Lumière de l’Essence [la Conscience Infinie].

Quand le mental forme une pensée, cette pensée est le mental, dans l’Instant. Ce mental est Lumière, il est remède. Lorsqu’on regarde les objets et qu’on les perçoit spontanément tous ensemble, sans discrimination, c’est la Lumière de l’Essence, pareille à un miroir qui reflète tout, sans intention de le faire [sans calcul, sans concept].
Mais il suffit d’un Instant de discrimination [et donc de saisie] pour que cela devienne la lumière de la conscience [les Bulles-Sucres [effet dominos], ou attacher un instant à un autre instant]. Lorsqu’une image occupe l’espace du miroir, il n’y a plus réflexion [d’autres images]. Lorsque la conscience occupe l’espace de la lumière, quelle lumière reste-t-il ? ». (Le Secret de la Fleur d’Or, trad. Thomas Cleary).

Comme l’exprime le Secret de la Fleur d’Or, si on « pense » on chute dans la raison ou conscience relativiste, et comme l’exprime Ramana Maharshi cité dans Padamalai : « Aucune investigation ne peut porter sur le Soi [Atman]. L’investigation [”Qui suis-je ?”] ne peut porter que sur ce qui n’est pas le Soi. Seule l’élimination du non Soi est possible. Étant constamment évident de Lui-même, le Soi resplendira seul de Lui-même ».

« L’essence qui voit est la seule chose qu’on ne puisse attribuer à rien » dit Le Secret de la Fleur d’Or. « Mais, lorsqu’on voit le voir, si ce voir n’est pas le voir, l’essence qui voit est alors aussi attribuable à quelque chose. Cela renvoie à l’essence qui voit, telle qu’elle s’exerce dans la continuité répétitive de la conscience habituelle – ce que les Écritures bouddhiques évoquent en ces termes : « Faire usage de la conscience habituelle et répétitive, c’est faire erreur ».
Lorsqu’on pratique les huit formes d’attribution liées à la perception discriminante [la raison, le Pour-Voir, l’opinion], les sept premières montrent que chacune est attribuable à quelque chose de précis [l’identification, la saisie] et que l’essence qui voit est temporellement conservée comme béquille pour l’Adepte. Mais à terme, tant que l’essence qui voit continue à nourrir la huitième conscience, elle reste toujours imputable [sous la cause] de quelque chose. Ce n’est que lorsque ce dernier point a été dépassé que se fait jour l’authentique Essence qui voit [être COUR, comme ”distant”, comme dans un état insaisissable], celle qu’il est véritablement impossible d’attribuer à quoi que ce soit [donc INSAISISSABLE, NON-OPINION].

Retourner la Lumière [ou Réaliser le Soi] consiste à correctement retourner la Lumière Primordiale qu’on ne peut attribuer à rien, de telle sorte que n’intervienne aucune pensée consciente [le scribe de la page souligne].
[…]
Retourner la lumière sans tomber dans la conscience [la raison], c’est faire usage de l’ESSENCE ORIGINELLE des sens.
Retourner la lumière en tombant dans la conscience [la raison], c’est user de la nature de la conscience inhérente au sens. Là se trouve la différence, aussi fine qu’un cheveu (Asmodée….).
Quand la méditation s’accompagne d’un effort, c’est la lumière de la conscience qui se fait jour. Lâcher prise pour que jaillisse la lumière de l’essence. Un cheveu de différence vaut autant qu’un bon millier de kilomètres : aussi faut-il faire preuve de discernement.
Tant que la conscience ne s’arrête pas [donc tant qu’il y a idéation ou vagabondage des pensées], le mental n’est pas vivant. Tant que le mental n’est pas vidé, l’élixir ne se cristallise [Christ] pas.

Publié dans - Insaisissable Yokai | Marqué avec | Commentaires fermés sur Petite CAVE OU CHAT BOTTÉ : LA HAINE DU JUIF OU DU RUSSE

Ni éternel ni non-éternel aucun humain n’est ici-bas pour

Ni éternel ni non-éternel aucun humain n’est ici-bas pour l’opinioner à son état de veille forcément périssable !
Comment à l’état de veille peut-on fabriquer « l’éternité » ?
C’est absurde !
Alors l’ego humain, le ‘je’ à l’état de veille fonctionne en ”COMME SI”, en ”On fait semblant”, ”on signe le contrat de CONVENTION : ON FAIT COMME LES AUTRES FONT ET DISENT”, on fonctionne alors sur L’OPINION : à la façon d’un mécano amateur (un spécialiste donc) qui, ayant démonté une bagnole essaie de la remonter et, trouvant des pièces en trop, décide de construire une machine à coudre. C’est un exemple du : ” ON FAIT SEMBLANT”, ou est en ”COMME SI”, ON Y CROIT. (L’exemple de la bagnole en machine à coudre est tiré de Synthèse et Temps Nouveaux, de Jean Coulonval, lettre 13 à Aimé Michel, le 2-9-1972).

Le ”ON FAIT SEMBLANT” est illustré par le ”Vivre ensemble” de ce monothéisme unilatéral républicain : À LA KARL OU CHARLES MARX : un dividu aux côtés d’autres dividus et ça se prend pour des individus, des corps donc, des consommateurs parmi d’autres consommateurs, et que ça formerait « une société », évidemment dans le dilemme Moi-Collectif/Moi-Individuel, ce problème si mal posé depuis les millénaires du Néolithique et de sa voie de l’Agriculture.

Le ”marxisme” c’est ça : tenter de remonter une bagnole, ou tenter de reconstruire le monde, et comme au final on s’aperçoit qu’il y a des pièces en trop, on décide alors de construire une machine à coudre, ON FAIT SEMBLANT, dans la dualité du manque et du reste, donc dans la réparation (tiqounisme rabbinique).

Les marxistes construisent le monde UNIQUEMENT À L’ÉTAT DE VEILLE, ils ne le construisent pas en rêve ni en sommeil profond ! Leur monde est donc OPINION ET NULLEMENT UNE RÉALITÉ. Mais pour eux le monde existe parce qu’ils peuvent le voir, à l’état de veille, alors à l’état de veille ils disent aux autres que le monde existe parce qu’ils le voit, CONVENTIONNELLEMENT, C’EST-À-DIRE EN OPINIONS PAR LEURS CINQ SENS.

LE MONDE OPINIONESQUE.

Tout résultat de recherche ou d’”infos” qui ne peut être coagulé, fixé (expliqué) par l’opinion conventionnelle de l’égrégore dominant du moment sera opinioné d’« anomalie », au sens du « sale », de l’innommable, du caché, du « terroriste », de Dieu tout aussi caché que l’excrément, parce que le caché, le sale, qui n’est pas dans le ”Camp du Bien”, MENACE LE CONFORT DU MONDE DOMINANT ET DE SES ATTENTES MESSIANIQUES SOUS LOI DE SUCCION VULGAIRE, ET CETTE MÉNACE DE L’INNOMMABLE EST LE DANGER PREMIER POUR LE MESSIANISME OU LES ATTENTES SUSCITÉ PAS CETTE LOI DE SUCCION VULGAIRE.
L’innommable sera alors rejeté et qualifié de « sale », de « terroriste », d’aberration, ou tourné en ridicule. L’après-Vie ou LA VRAIE VIE fait partie de ces « cochonneries ».

Pour le « Camp du Bien », ou pour les marxistes, les républicains et leur démocratie, pour les historicistes, la conscience donc la ”raison” n’est qu’un OBJET ou DE LA MATIÈRE, DU POUR-VOIR, DU SPATIO-TEMPOREL, et la sensation forcément subjective d’avoir une conscience relativiste ou en dualité de sujet face à son objet, ou l’inverse, et donc une conscience INDIVIDUELLE(1), UNE CONSCIENCE DIFFÉRENTE DE CELLE DU VOISIN, EST UNE ILLUSION. En d’autres mots/maux, ce « Camp du Bien » ou camp du conventionnel à l’état de veille NIE le Soi, NIE LA CONSCIENCE INFINIE OU FONDAMENTALE. OR LA CONSCIENCE INFINIE N’EST PAS COLLECTIVE, ELLE EST PUREMENT INDIVIDUELLE, CE QUE NIE LE MONDE RÉPUBLICAIN ACTUEL ET « CAMPS DU BIEN », CAMP DU MARXISME.

Selon ce monde républicain et marxiste, la conscience fondamentale, le Soi, proviendrait UNIQUEMENT de l’espace-temps-matière : le fixe, le coagulé, CONTENU DANS LE CORPS SOUS UN CRÂNE. Si c’était la réalité, le Vrai, toutes nos expériences à l’état de veille ne seraient que la manifestation d’une machine actionnée par la mécanique et la chimie CONVENTIONNELLE, LA MÊME SOUPE POUR TOUS, et nostre comportement traduirait nécessairement l’activité des cellules nerveuses de notre crâne. Bien-sûr, si pensées ou sentiments n’étaient que le produit de l’activité cérébrale, le fameux libre arbitre ne serait qu’une illusion de plus.

– M. : La tranquillité mentale, la paix, est Réalisation. Il n’y a pas un instant où le Soi n’est pas.
Aussi longtemps qu’il y a doute ou sentiment de non-réalisation, on doit s’efforcer de se débarrasser de ces pensées.
Les pensées sont dues à l’identification du Soi avec le non-Soi. Quand le non-Soi disparaît, seul demeure le Soi. Pour faire de la place quelque part, il suffit d’enlever ce qui encombre. La place ainsi dégagée n’a pas été ajoutée. Mieux encore – la place existait déjà, même quand le lieu était encombré.
L’absence de pensées n’est pas un vide. Il faut qu’il y ait quelqu’un pour connaître le vide [comme pour le temps, il faut quelqu’un]. La connaissance et l’ignorance relèvent du mental. Elles sont nées de la dualité. Mais le Soi est au-delà de la connaissance et de l’ignorance. Il est la lumière même. Il n’est pas nécessaire de voir le Soi avec un autre Soi [comme dans le dilemme Moi-Collectif/Moi-Individuel]. Il n’y a pas deux Soi. Ce qui n’est pas le Soi est non-Soi [comme la Vérité, Elle est, ou Elle n’est pas]. Le non-Soi ne peut pas voir le Soi. Le Soi n’entend ni ne voit. Il est au-delà de ces deux fonctions, tout seul, en tant que pure conscience.
Une femme s’imagine par erreur avoir perdu son collier qu’elle a toujours à son cou. Elle se met à le chercher partout, jusqu’à ce qu’une amie lui dise qu’il est à son cou. Elle a créé son sentiment d’avoir perdu le collier, sa propre anxiété de le rechercher, puis son propre plaisir de le retrouver [c’est comme cela que les têtes d’œufs au pouvoir INVENTENT LA LIBERTÉ ET LEUR RÉPUBLIQUE].
De même le Soi est toujours présent, que vous le cherchiez ou non. Tout comme la femme s’imagine que son collier a été retrouvé, de même éprouve-t-on le sentiment que le Soi, toujours présent ici et maintenant, se révèle lorsque cessent l’ignorance et la fausse identification. C’est ce qu’on nomme Réalisation. Mais il n’y a rien de nouveau. C’est simplement l’élimination de l’ignorance, et rien de plus.
Le vide est le résultat néfaste de la recherche du mental. Le mental doit être tranché, racines et branches. Cherchez qui est le penseur, qui est le chercheur. Demeurez le penseur, le chercheur. Toutes les pensées disparaîtront.
– Q. : Alors demeure l’ego – le penseur.
– M. : Cet ego-là est le pur Ego, purgé de toute pensée. Il est le même que le Soi. Tant que la fausse identification persiste, les doutes persistent aussi et des questions s’élèvent sans fin. Les doutes cesseront seulement lorsqu’on aura mis fin au non-Soi. Le résultat sera la réalisation du Soi. Il n’y aura plus personne pour douter ou questionner. Chacun devrait résoudre tous ces doutes en lui-même.
Même une multitude de paroles ne pourrait donner satisfaction. Tenez fermement le penseur.
Ce n’est que lorsque le penseur est abandonné [en devenant le consommateur] que les objets apparaissent à l’extérieur ou que des doutes s’élèvent dans le mental.
(Ramana Maharshi, entretien 245, 8-9-1936).

« Une femme s’imagine par erreur avoir perdu son collier qu’elle a toujours à son cou. Elle se met à le chercher partout, jusqu’à ce qu’une amie lui dise qu’il est à son cou. Elle a créé son sentiment d’avoir perdu le collier, sa propre anxiété de le rechercher, puis son propre plaisir de le retrouver ». C’est comme cela que les têtes d’œufs au pouvoir INVENTENT LA LIBERTÉ ET LEUR RÉPUBLIQUE : les gens élaborent leur image du monde à partir de leurs perceptions individuelles donc À PARTIR DE LEUR ÉTAT DE VEILLE ET DE LEUR CONSCIENCE OU RAISON QUI CALCUL TOUT(1). Ainsi chaque consommateur dans le sens du terme FABRIQUE SA PROPRE RÉALITÉ-OBJET À L’ÉTAT DE VEILLE COMME LE TYPE QUI REMONTE UNE BAGNOLE ET FINIT PAR EN FAIRE UNE MACHINE À COUDRE (cité plus haut). Quand on est amoureux le monde est beau ; quand on est déprimé le monde est moche ! Chacun fabrique le monde et certains veulent fabriquer le monde pour les autres et ainsi ENFERMENT LES GENS DANS LEUR BOÎTE CRANIENNE : LA RAISON, LE COAGULÉ(1)…..

Bagnole, machine à coudre ou le collier de perles de la femme si souvent cité par Ramana Maharshi dans ses entretiens ou enseignements, sont du DOMAINE DU MONDE DES ACCIDENTS OU SPATIO-TEMPOREL, LE LOCALISÉ, LE COAGULÉ, LE FIXÉ, ce que certains appellent « l’ordre », par rapport au SAINT CHAOS vu comme « désordre », vu comme « EN DEHORS DU CAMPS DU BIEN », et comme « l’ordre » de l’humain n’est jamais qu’un cas particulier ou COAGULÉ, du désordre (dixit Lucrèce), ON FAIT SEMBLANT DE CROIRE À L’ORDRE, ON A SIGNÉ (le contrat), ON CONSTRUIT LA MACHINE À COUDRE, ON RETROUVE SON COLLIER QU’ON AVAIT AUTOUR DE SON COU. Tout cela s’appellent MONDE DES ACCIDENTS OU SPATIO-TEMPOREL : une coagulation produisant une illusion de régularité qui ne témoigne nullement d’un ordre quelconque dans les noms-les-formes, mais plutôt la manifestation D’UN ACCIDENT DANS LE COURS NORMAL DU SPATIO-TEMPOREL VOUÉ À LA MACHINE À COUDRE, VOUÉ À L’ÉVOLUTIONNISME STÉRILE DE LA CHAÎNE SANS FIN DE CAUSES ET D’EFFETS, ET QUI A TOUJOURS FAIM, DE MACHINE À COUDRE OU DE COLLIER DE PERLES.

Le toujours faim en colliers de perles ou de machines à coudre ou autres rejoint le SPÉCIALISTE lui aussi qui remonte une bagnole : il a décidé de se lancer puisqu’il est devenu autonome, amateur, consommateur, donc spécialiste : ”Tout le monde peut le faire”, pourquoi pas moi, puisque maintenant Nous sommes tous égaux, comme dit la république ! Or le VRAI SPÉCIALISTE EST DE LA NATURE DE LA RÉALISATION du Soi, la Réalisation Ici et Maintenant de la Nature authentique. L’ÉGALITARISME RÉPUBLICAIN OU MARXISTE, RÉSULTE DE L’UNIFORMITÉ, LA MÊME SOUPE OU MÊME ”VALEUR” POUR TOUS, et, par là même, ELLE NE CONNAÎT PAS DE LIMITES : C’EST ALORS LA POSSIBILITÉ DU CAPITALISME POUR PRODUIRE, PRODUIRE, PRODUIRE, VENDRE, VENDRE, VENDRE : ON PEUT DIVISER SANS FIN UN CORPS INDIFFÉRENCIÉ, NI CACHÉ, NI NOMMÈ (au sens qualitatif, ou de la PÈRE-sonne), UN CORPS INCLUSIF (marxcisé). Le capitalisme et son monothéisme unilatéral républicain fait croître ENSEMBLE l’atomisation et l’uniformité, afin de favoriser le ”Vivre ensemble”.

La Réalisation du Soi c’est le CENTRE QUI SE TROUVE NULLE PART ET LA CIRCONFÉRENCE QUI SE TROUVE PARTOUT, le Soi se trouve partout comme le BLANC DE L’INSTANT DE TROUVE PARTOUT : le Blanc des sept Couleurs de l’Arc-en-Ciel qui peut surgir PARTOUT à la faveur d’une légère bruine format PRISME décomposant le Blanc de l’Instant en 7 Couleurs. Le Blanc de l’Instant c’est le Soi ou la Conscience infinie, partout, dans une ”dimension’ qui n’est liée ni à un temps qui coule, ni à un lieu, ni dans un passé et encore moins dans un futur messianique. Comme l’Arc-en-Ciel et le Blanc de l’Instant, l’Instant est partout et évidemment toujours en Nous, et pas ”Ailleurs” par rapport à un ”Ici”.
Le Corps ou la raison fonctionne simplement comme un ”relais”, pour recevoir À L’ÉTAT DE VEILLE des ESSENCES(a) de la Conscience Infinie.

Réalisation du Soi = le Trouvère, le Réalisateur du Trou où il n’y a rien à voir ou à réaliser vu qu’il n’y a qu’un Trou, LA POINTE DU ”UN POINT C’EST LE TOUT”, LE CHAS DE L’AIGUILLE, L’ANDROGYNE, LE CARABAS (chat botté). ANDROGYNE = RÉSOLUTION DU DILEMME MOI-INDIVIDUEL/MOI-COLLECTIF, PAR LÀ MÊME DISPARITION DU TEMPS QUI COULE = ÉTERNITÉ RE-TROUVÉ…….

Seuls les marxistes ou les républicains et le libéralisme peuvent avoir peur de la mort, puisqu’ils inversent les Essences : ce sont les opinions du monde du spatio-temporel qui engendrent les Essences, COMME SI on sortait de l’Univers pour le voir alors que Nous sommes naturellement DEDANS : IL EST NOUS. Le régime étatique républicain est une CATHOLICITÉ EN CREUX, INVERSÉE comme l’envers d’un cuivre repoussé.
Un John Stuart Mill (1806-1873) opinionait sur le ”progrès social” dans lequel les ”réformes économiques” allaient transformer la nature humaine grâce aux changements de l’environnement. Là encore : catholicité inversé : les Accidents engendrent les Essences, et BONJOUR PROMÉTHÉE ! ET L’ACTUEL MOT MAGIQUE « TRANSITION » LE PROUVE !

COAGULATION = SEULS LES HUMAINS ONT DES LOIS : la ridicule production de pensées, qui tentent de les imposer à tous les noms-les-formes.

CHAIRES Républicains, où sont les preuves extra-ordinaires de l’hypothèse matérialiste et historique montrant que la Conscience Infinie se résumerait à l’activité cérébrale sous un crâne, et qui serait visible selon vous par une machine (scanner), construite par des humains et à l’état de veille ??? Vous ne voyez que des crânes en fonctionnement mécanique donc UTILITAIRE, MACHINE, C’EST POUR CELA QUE VOUS PARLEZ D’« INTELLIGENCE ARTIFICIELLE ». Anthropomorphisme ou samskâra [tendances innées] quand tu Nous tient !

CHAIRES Républicains, votre république est construite sur une série de pamphlets politiques (Deutéronome notamment) d’une extrême violence qui dépasse celles des scénaristes de l’industrie hollywoodienne : PAMPHLETS À L’IMAGE DE VOTRE IMAGE : VIOLENT, INTOLÉRANT, SECTAIRE ET AUTORITAIRE : IL N’EXISTE PAS DE CONCEPTION THÉOLOGIQUE PLUS PAUVRE QUE CELLE DE JEHOVAH DES DERNIERS TEMPS DU JUDAÏSME : VOTRE DIEU RÉPUBLICAIN EST CELUI DE LA GENDARMERIE, tel qu’il vous en fallait pour une bourgeoisie qui, de révolutionnaire, devint conservatrice [la Loi] et cléricale [le Loi], du jour où vous vous avez expulsé la dynastie royale et détruit la caste sacerdotale ; votre Jéhovah devient le Policier-Politicisme le plus ardent défenseur de « l’ordre moral » : LA PAIX DU COMMERCE, qui fonctionne encore à ce hui. Pour combien de temps peut fonctionner ce mosaïsme (de Moïse et ses ‘Commandements’) du ”Peuple de Dieu” ou ”Peuple choisi” ?

Judaïsme = émancipation de l’élément SÉMITE par le COMMERCE, qui avait rendu WINNER l’élément bourgeois au détriment des castes sacerdotales et militaires. En d’autres mots, le temporel assassinait le spirituel. Par rapport au Mosaïsme, le judaïsme est devenu UN PROTESTANTISME : UN LIBÉRALISME RÉPUBLICAIN ET COMMERCIAL, C’EST-À-DIRE LE JARGON D’UNE LANGUE QUI AVAIT CESSÉ D’ÊTRE COMPRISE.
Entretenir le commerce et forcément la division-discorde afin de récolter des sous, des fruits, PRINCIPE JUDAÏQUE (”Le petit coq” du rabbin Rav Ron Chaya : comment arrivera la victoire juive (dans la logique pur-impur du winnerisme en train de cancériser la planète, dans la logique de ”Quand une magie parle toutes les magies parlent et quand une se tait toutes se taisent”).
Qu’il y ait une ”paix” ou une guerre en Ukraine ou à Gaza ou ailleurs (en Europe) ÇA NE CHANGE RIEN AU JUDAÏSME QUI RÉCOLTE DES FRUITS DE FAÇON QUASI ÉTERNEL, LA CONSCIENCE-TIROIR-CAISSE EST IMMORTELLE CHEZ-EUX, C’EST ÇA LA « VALEUR DE LA RÉPUBLIQUE » : CONSOMMEZ, CONSUMEZ, VIOLENTEZ, OPINIONEZ.
L’opinion de la production et de la diversité commerciale et du conditionnement : les facteurs de composition : « Je fais, je touche, je vois, j’entend, je connais, je mange, etc. », la liste n’a pas de fin et a toujours faim.

En mettant du temporel dans du spirituel, le judaïsme a merdé et à sombré dans le politisme, l’utilitaire, la république !

La SEULE PAIX POSSIBLE EST CELLE DU BLANC DE L’INSTANT :

« Le quatrième archétype de la Nature éternelle est manifesté par l’éclair, mais aussi par L’ARC-EN-CIEL. Il est l’Instant où paraissent les couleurs qui sont la splendeur du Néant [le TOUT]. L’Arc-en-Ciel n’est pas seulement un demi-cercle, Il est le cercle tout entier dans lequel s’inscrit la Croix. Il est la Roue de la Vie qui s’immobilise pour être contemplée pendant cet Instant. Elle tournait follement [la roue, le TORE] et elle était le symbole des Ténèbres [Blanc et Noir, ou Ptah pendant le Royaume des Morts]. Maintenant la vie resplendit en son centre. La Clarté du Néant [le Nirvana ou outre-souffrance, au-delà de la souffrance inhérente au monde des accidents, le spatio-temporel] est devenu la lumière dont l’éclat est riche de toutes les couleurs. L’éclat de la lumière est la Teinture. Il est la Fleur du Feu [le chas de l’aiguille ou le Point]. La Teinture est la beauté et le meilleur de toutes choses. Elle est le Remède universel que recherche l’Adepte et qu’il trouve en lui-même [c’est de CELA que le scribe de cette page a rêvé vers ses 25 ans en étant dans un TORE à l’Instant du Blanc de l’Instant, avec aux côtés à droite, à gauche, en haut et en bas, des variations colorées vers des bleues, des roses, des orangés et des violets pâles, pour certainement devenir noires à un autre ”endroit” du Tore ; et effectivement : ÇA TRANSPORTE….]. Elle est au Cœur de l’âme Universelle et de l’âme humaine. Elle est le Trésor, la Perle [du collier de la femme cité plus haut, et le TROU, le chas de l’aiguille] ».
(Jacob Boehme : De la signature des choses, page 25, traduction de Pierre Deghaye)
Les insectes, les moucherons ont aussi un Soi : ils en sont nécessairement la manifestation.

Notes.
1. La partie essentielle du Secret de la Fleur d’Or explique : « ”La lumière jaillit dans la chambre vide”. Cette lumière n’est pas lumineuse mais, explique-ton, il s’agit d’une preuve d’efficacité au début, avant qu’on n’ait vue la lumière. Si vous la voyez sous forme de lumière et que vous fixez votre attention là-dessus, vous tomberez dans la conscience conceptualisante qui N’EST PAS la Lumière de l’Essence [la Conscience Infinie].

Quand le mental forme une pensée, cette pensée est le mental, dans l’Instant. Ce mental est Lumière, il est remède. Lorsqu’on regarde les objets et qu’on les perçoit spontanément tous ensemble, sans discrimination, c’est la Lumière de l’Essence, pareille à un miroir qui reflète tout, sans intention de le faire [sans calcul, sans concept].
Mais il suffit d’un Instant de discrimination [et donc de saisie] pour que cela devienne la lumière de la conscience [les Bulles-Sucres [effet dominos], ou attacher un instant à un autre instant]. Lorsqu’une image occupe l’espace du miroir, il n’y a plus réflexion [d’autres images]. Lorsque la conscience occupe l’espace de la lumière, quelle lumière reste-t-il ? ». (Le Secret de la Fleur d’Or, trad. Thomas Cleary).

Comme l’exprime le Secret de la Fleur d’Or, si on « pense » on chute dans la raison ou conscience relativiste, et comme l’exprime Ramana Maharshi cité dans Padamalai : « Aucune investigation ne peut porter sur le Soi [Atman]. L’investigation [”Qui suis-je ?”] ne peut porter que sur ce qui n’est pas le Soi. Seule l’élimination du non Soi est possible. Étant constamment évident de Lui-même, le Soi resplendira seul de Lui-même ».

a. « L’essence qui voit est la seule chose qu’on ne puisse attribuer à rien » dit Le Secret de la Fleur d’Or. « Mais, lorsqu’on voit le voir, si ce voir n’est pas le voir, l’essence qui voit est alors aussi attribuable à quelque chose. Cela renvoie à l’essence qui voit, telle qu’elle s’exerce dans la continuité répétitive de la conscience habituelle – ce que les Écritures bouddhiques évoquent en ces termes : « Faire usage de la conscience habituelle et répétitive, c’est faire erreur ».
Lorsqu’on pratique les huit formes d’attribution liées à la perception discriminante [la raison, le Pour-Voir, l’opinion], les sept premières montrent que chacune est attribuable à quelque chose de précis [l’identification, la saisie] et que l’essence qui voit est temporellement conservée comme béquille pour l’Adepte. Mais à terme, tant que l’essence qui voit continue à nourrir la huitième conscience, elle reste toujours imputable [sous la cause] de quelque chose. Ce n’est que lorsque ce dernier point a été dépassé que se fait jour l’authentique Essence qui voit [être COUR, comme ”distant”, comme dans un état insaisissable], celle qu’il est véritablement impossible d’attribuer à quoi que ce soit [donc INSAISISSABLE, NON-OPINION].
Le mot « Essence » peut se définir à travers l’entretien 363 du 20-2-1937 de Ramana Maharshi, le guide : « Par « guides spirituels », nous entendons ceux qui sont
« spirituels »
[entre guillemets parce que ce mot est un fourre-tout] par opposition à ceux qui sont « matériels ». L’Esprit est illimité et sans forme. Il en est de même du centre spirituel. Il n’y a qu’un seul centre de cette sorte. Que ce soit en Occident ou en Orient, il ne peut être différent ; ni être localisé d’aucune manière. Étant illimité, il inclut les guides, les hommes, le monde, les forces de destruction et de construction. Il n’y a pas de distinction. Vous parlez d’établir des contacts parce que vous pensez que les guides spirituels sont des êtres incarnés. Mais les hommes spirituels ne sont pas des corps ; ils n’ont pas conscience de leur corps. Ils ne sont qu’esprit, sans limite et sans forme. Ils sont toujours en unité entre eux et avec tous les autres ; bien plus, ils englobent tout.
L’Esprit est le Soi. Si le Soi est réalisé, ces questions ne peuvent pas s’élever ».

Retourner la Lumière [ou Réaliser le Soi] consiste à correctement retourner la Lumière Primordiale qu’on ne peut attribuer à rien, de telle sorte que n’intervienne aucune pensée consciente [le scribe de la page souligne].
[…]
Retourner la lumière sans tomber dans la conscience [la raison], c’est faire usage de l’ESSENCE ORIGINELLE des sens.
Retourner la lumière en tombant dans la conscience [la raison], c’est user de la nature de la conscience inhérente au sens. Là se trouve la différence, aussi fine qu’un cheveu.
Quand la méditation s’accompagne d’un effort, c’est la lumière de la conscience qui se fait jour. Lâcher prise pour que jaillisse la lumière de l’essence. Un cheveu de différence vaut autant qu’un bon millier de kilomètres : aussi faut-il faire preuve de discernement.
Tant que la conscience ne s’arrête pas [donc tant qu’il y a idéation ou vagabondage des pensées], le mental n’est pas vivant. Tant que le mental n’est pas vidé, l’élixir ne se cristallise [Christ] pas.

Publié dans Les News | Marqué avec , | Commentaires fermés sur Ni éternel ni non-éternel aucun humain n’est ici-bas pour