Airs de la campagne Russe

Airs de la campagne Russe
Lyriques – ЛИРИЧЕСКИЕ ПРИПЕВКИ

Arrangement : Michel Roudakoff
Inspiration d’après des airs campagnards russes.
Ici avec 1 Flûte, 1 Hautbois, 2 Clarinettes en Si, 2 Bassons, 2 Cors en Fa, 2 Trompettes en Ut, 2 Trombones, Violons A et B, Altos, Violoncelles, Contrebasses.

Partition : lyric07-2025_Score

Publié dans - Musiques | Commentaires fermés sur Airs de la campagne Russe

Virgule, Vrille, Pique, Pointe, Chic

Virgule, Vrille, Pique, Pointe, Chic
Le Trait ou Lance, Pique, Bâton de Michel-Ptah, du celte trago comme du latin trahere : TIRER, ce premier Bâton de Ptah est en fait une VIRGULE, UN LINGA, UNE VERGE (pénis).
Virgula en latin : petit bâton, force (vir), canalisée (latin gula ; gueule, bouche ; à rapprocher du celte guthn gilb : pointe, bec, aiguillon, gargouille, gar, de Gargantua : la force, voir le persan gulu : bouche.

La Pique sera alors un flux de vie : SPIRITUS, SOUFFLE.
ARUNACHALA(1) = LA VIRGULE, rejoint directement le SOUFFLE DE L’ART DE LA CALLIGRAPHIE (le TRAIT du PINCEAU, immensément plus riche que le trait de crayon…).

REFRAIN :
TOUT, tourne autour du POINT, de la PIQUE, de la LANCE : le « UN POINT C’EST LE TOUT ».
ET C’EST LÀ LA VÉRITABLE ALLIANCE : Nous ne pouvons qu’en TRAIT-er partout, car ce TRAIT est la LANCE de Michel Archange ou BÂTON DE PTAH (la baguette magique de la Fée), le LINGA(1) : « Le linga est manifesté, depuis les origines jusqu’à nos jours, sous la forme d’Arunāchala [le mont sacré] ». (Ramana Maharshi 218, 30-6-1936).

ART VÉRITABLE DE LA CALLIGRAPHIE, pas l’esthéticien de la graphie de nos jours amplifiée par la technologie béquilles des machines produites dans les usines du capitalisme : LE PRODUIT-PRODUCTION COMMERCIALE : Proliférer :
pro pour l’I faire E.
Est-éthique n’est pas ÉTHIQUE (ligne de vie, morale, conduite). Esthétique : 1753, du latin moderne æsthetica (1750), grec aisthêtikos, de aisthanesthai : sentir, et donc passant par le mental et ses cinq sens, À L’ÉTAT DE VEILLE !

Comme le dit Ramana Maharshi dans l’entretien ou enseignement 602 du 1-1-1939 : VOUS EXISTEZ AUSSI DANS LE SOMMEIL PROFOND ; « De même qu’en ce moment [à l’état de veille]. Lequel de ces deux états est votre état réel ? ». Parce que dans le sommeil profond, on ne « sent » rien !
SENTIR, se séparer de la morale en « étant » (est-) n’est pas la morale, idem en se faisant circoncire au huitième jour de sa naissance : le moeurs ou éthique. Un spécialiste de quoi que de soit N’EST PAS UN ÊTRE : le spécialiste résulte de l’uniformité comme le totalitarisme égalitaire républicain, et par là même, cette spécialisation ne connaît pas de limite, les circoncis au huitième jours de leur naissance, UNE FOIS ADULTE ILS NE CONNAISSENT PAS DE LIMITE : D’OÙ LEUR « ALLIANCE AVEC DIEU » DANS LEUR FLÈCHE DU TEMPS EN GÉOMÉTRIE EUCLIDIENNE DE LA LIGNE DROITE, ce qui donnera le « libre arbitre » et sa tyrannie de l’opinion et forcément du COM-merce, nostalgie du paradis. « L’humanité a désormais un objectif : dépasser sa faute. Elle dispose d’un moyen pour l’atteindre : mettre en valeur le temps », écrit Jacques Attali, page 18, dans : Les juifs, le monde et l’argent.

Spire, Spiration et Spirale hélicoïdale, Inspiration, Cabires, Souffle.

Escargot, Coquillage, etc., = ÉNERGIE = le GATE GATE(2), et illustration du : Centre nulle part mais sans qui la Circonférence partout n’existerait pas.
SPIRALE = RETOURNEMENT DE LA LUMIÈRE : rayonnement et continuité cyclique mais en énergie de Zéro Indien (comme par exemple dans le cas de l’”Eau en poudre”)

Eau en Poudre = fertilisation, RYTHME ou « TIC-TAC » au sens du caractère CYCLIQUE, EN CERCLE, de l’évolution (alors que chez les Juifs l’évolution est en géométrie euclidienne de la ligne droite : l’Âge d’Or est placé exclusivement « à la fin de temps » (à la fin de l’HOTC [Histoire-Opinions-Temps qui Coule]), au lieu de mettre l’Âge d’Or AUSSI au début ; les Juifs procèdent donc selon le principe du 1789 français copié par les Juifs en 1917 en Russie : ON EFFACE TOUT (”great reset”), ON DÉTRUIT TOUT ! ON DEVIENT « AUTONOME », « RESPONSABLE » (on ”prend sur soi”, et ”libre arbitre” force enivrante comme un alcool fort), « ON CROIT ».

Retournement de la Lumière vers le « JE-SUIS »(3) : permanence de l’Être sous la fugacité des mouvements et du spatio-temporel.
Si la spirale est plate, elle devient comme un LABYRINTHE.
Plate, la Spirale doublée devient le double enroulement autour du Caducé. Minotaure, LABYRINTHE, fil d’Ariane = PUITS : LA FOSSE OÙ IL N’Y A POINT D’EAU, qui rejoint le FIL D’ARIANE : les bouts de bois, l’un mâle, et l’autre femelle ou l’un ”gras” et l’autre ”sec” (celui taillé en mâle ou pointe), le ”gras” était appelé « christos ». Bref, c’était la machine à engendrer le feu vulgaire, machine perfectionnée par l’addition d’une corde et d’un archet, à l’aide duquel on manœuvrait le FUSEAU, comme les forets dont se servaient les serruriers au 19è siècle. Nous retrouvons ces trois pièces sous le nom de Lachésis, Capu ou Hécube qui veut dire FOSSE, AUGE ou CAVITÉ, qui se nomme en sanskrit gupyaka, et dans laquelle s’introduisait la pointe du ”prométhée” ; Clodo était la corde et Atropos ou Aterpa celle qui ne tourne pas, qui donnera le nom hellénique de la FUSAÏOLE, LA FUSÉE, LE MENHIR OU PIERRE LEVÉE, LE LINGA. Le nom grec de cette machine à feu vulgaire signifie ; ”Fil d’Ariane”, « Ariadne » ou « Aridela », qui était le nom grec de ce « briquet ». On donnait le nom de « Thésée », (l’esclave), au FUSEAU emprisonné dans la corde qui devait délivrer le feux vulgaire captif dans le SVASTIKA (BRIQUET en forme de croix phénicienne). Le billot ou support était le « paladium » sur lequel étaient fixés avec des chevilles deux morceaux de bois en CROIX, tordus à leurs extrémités, pour le pas être entraînés dans le mouvement de rotation du fuseau. « Ces morceau de bois représentaient « la cavale liée », ”marim” ou ”la vache liée“, PYRIM « DANS LE PUITS SANS EAU », en grec ΠΡEAVE, en hébreu MIKI, d’où le nom de l’Archange MICHEL, vainqueur du Dragon » (réf. Grasset d’Orcet, Archéologie mystérieuse, vol.1 chapitre Les incendies de Troie).

Minotaure, LABYRINTHE, fil d’Ariane = PUITS : LA FOSSE OÙ IL N’Y A POINT D’EAU, qui rejoint le FIL D’ARIANE : L’ÉTOILE POLAIRE, LE CENTRUM CENTRI. Tout le ciel tourne autour de ce Point Fixe, véritable MOTEUR IMMOBILE de l’Univers : c’est par rapport à la Polaire que se définissent la position des étoiles, celle des navigateurs, celle des nomades autant dans les déserts que sur les mers et dans le ciel. La Polaire est comme le PIQUET-PILIER, le PUNCTUS QUI FIXE LA TENTE.

LA POLAIRE : LE TROU, LE PUNCTUS : À PARIS NOSTRE POLAIRE MONDIALE EST MATÉRIALISÉE PAR LA TOUR-SAINT JACQUES (miraculeusement échappée de la destruction des républicains de 1789)

TOUR-SAINT JACQUES NOSTRE KUNDALINI (énergie symbolisée par la vrille, la spirale du Serpent lové au bas de la colonne vertébrale) PLANÉTAIRE.

Dans toutes les cultures la Spirale est au centre.
La spirale logarithmique a la propriété du Centrum Centri : croître d’une manière aboutit tout en conservant la forme de la figure totale et étant constamment dans son Centrum Centri malgré sa croissance asymétrique (genre ”Nombre d’Or”).
La COQUILLE DE L’ESCARGOT constitue LE SYMBOLE UNIVERSEL DE L’IMMORTALITÉ DE L’ÊTRE À TRAVERS LE CHAOS DU CHANGEMENT.

RÉALISER LE Soi = stabiliser la permanence de l’Être à travers les problèmes du changements. Le premier de l’an est une singerie de Réalisation du Soi : assurer le RE-Départ du cycle annuel, sans lequel ce serait ”la fin du monde”.

Spirale = Involution/Évolution : LA ROUE

  • Retourner la Lumière = apprendre, dans le sens où l’écran de cinéma est neutre puisqu’il n’est pas influencé par les images qui lui sont projetées dessus : donc vivre l’Unité, le Centrum Centri à travers les multiples, les changements. C’est d’ailleurs le sens de l’entretien 107 de Ramana Maharshi : « Les instructions spirituelles diffèrent selon le tempérament des individus et leur maturité spirituelle. Il n’est pas possible d’instruire en masse ».

    Une évolution supérieure ou Initiation authentique de groupe ne peut se faire que lorsque le Groupe est devenu, par le travail de Réalisation du Soi de chaque Personne, le ”Multiple Unitif” : le groupe n’est plus ce monothéisme unilatéral républicain en un ensemble de consommateurs qui vont cahin-caha dans leur dualité sujet-objet et leur ”pouvoir d’achat”, mais au contraire le ‘Je’ de chaque Personne qui n’est plus une partiellité à côté d’autres, qui n’est pas non plus la perception d’une collectivité, un ”vivre ensemble”, une multitude, une quantité cosmique.

SPIRALE, COQUILLAGE.

De ce qui reste de l’étrange église Saint-Jacques de la Boucherie. De cette église partaient les pèlerins pour saint-Jacques de Compostel (compost : engrais), mais surtout CONQUE, précisément COQUILLE SAINT-JACQUES. COQUILLE = SYMBOLE DE FÉCONDITÉ (son dessin et sa profondeur rappellent l’organe sexuel féminin). En Espagne le prénom Conchita signifie la coquille…. Voir aussi les naissances de VÉNUS (Titien, Botticelli) et les Vénus Anadyomène (sortie des Eaux) toujours représentée entièrement nue, et la Vénus de Milo (lumière solaire) parce qu’elle n’a parcouru que la moitié de sa course ascendante, elle est drapée jusqu’à mi-corps.
Chez les Maya le coquillage symbolise le MONDE SOUTERRAIN, LE NOIR, LE ROYAUME DES MORTS, LE SOLEIL NOIR (sa fonction nocturne, la dimension Anubis dans l’Arbre de Vie chez les Anciens Égyptiens). Coquillage = Renaissance, prospérité, après la Mort.
LE COQUILLAGE REPRÉSENTE BIEN L’ENTRÉE, le vagin, l’Entrée de la grotte, de la chambre au trésor, puisque toute coquille peut contenir une perle (une fruit).LE COQUILLAGE, LA CONQUE OUROBOROS : LA FENTE (vibration) DE L’OR ROSE DU POMMIER (Jardin des Hespérides), AUBE/OR ROSE d’où tout était venu et où tout retourne, circulus, et non évolutionnisme de causes à effets qui ne bouclent pas. La Tour Saint-Jacques est merveilleusement AUTO-PROTÉGÉE….

L’EAU EN POUDRE : ce n’est pas un hasard si l’Ancien Testament décrit : « l’homme crée de la poussière du sol », et Isaïe 65,25 : « Le loup et l’agnelet paîtront ensemble. Le lion comme le boeuf mangeront de la paille, et le serpent se nourrira de poussière ».

Notes.
1. Arunâchala Axe, Axis Mundi. Le Pilier ou Poteau du monde, la Colonne de Feu sans racine ni sommet (Elle n’est pas dans l’évolutionnisme). Cette Colonne de Feu, le linga, symbolise l’Absolu, l’Immanence (Tout est dans Tout) : « Existe-t-il un seul endroit où Il n’est pas ? ».
Pour Ramana Maharshi (entr. 492 du 08-05-1938), la Colline d’Arunâchala (photo en haut de page) est le linga de Shiva, avec l’Absolu, et l’Être parfait. « Originellement, Shiva apparut sous la forme d’une Colonne de lumière. Lorsqu’Il fut prié de se manifester concrètement, la Colonne de lumière disparut dans la Colline et se manifesta sous la forme d’un lingam. Les deux, lumière et lingam, sont Shiva ».
LINGA-AXE (”être Cour”) : « Le jnani [le Réalisé ou l’état véritable, originel et naturel, celui qui n’a pas d’ego], en revanche, est pleinement conscient que le véritable état d’être demeure fixe et immobile et que toutes les actions se déroulent autour de lui. Sa nature en change pas et son état n’est nullement affecté. Il regarde toutes choses avec indifférence et demeure dans la pleine Félicité » (Ramana Maharshi, entretien 607 du 17 janvier 1939).

Linga ou lingam (mot sanskrit) : symbole Axial de Shiva. À l’entretien 216 du 22-06-1936, le Maharshi explique le sens du nom Arunâchala : Aruna : rouge, brillant comme le feu [l’Axis mundi ou Colonne de Feu, voir ci-dessous]. Ce feu n’est pas le feu ordinaire, qui n’est que chaud. Il s’agit du jnanagni (le feu de la sagesse) qui n’est ni chaud ni froid. Achala : colline. Arunachâla signifie donc Colline de la Sagesse.
Colonne de Feu : Le Feu, Agni, Van ou Souffle, ce qui est insaisissable (ni par les mains ni par le mental). Purificateur Il est Renaissance, comme l’Eau l’est également. L’idolâtrie du feu a donné la thermodynamique.

2. « Gate gate pâragate pârasamgate bodhi svâhâ » du Soûtra du Diamant (Allé, allé, allé au-delà, allé complètement au-delà, l’Éveil, ainsi). S’accompagne nécessairement de la Connaissance transcendante par le Principe du ”N’EST PAS X” : revient à dire que les choses ne sont que des désignations, des pointages sur les choses, de simples imputations nominales (en tibétain : tha-snyad), elles sont dépourvues d’être en et par soi…

3. LA SPIRALE : « La seule chose permanente est la Réalité ; et cela est le Soi. Vous dites : « Je suis », « Je suis en train de marcher », « Je suis en train de parler, de travailler, etc. ». Ajoutez un trait d’union à « Je suis » chaque fois, et cela devient « JE-SUIS ». Cela est la Réalité permanente et fondamentale. Cette vérité fut enseignée par Dieu à Moïse quand Il lui dit « Je suis ce JE-SUIS ». « Sois tranquille et sache que JE-SUIS Dieu ». Donc « JE-SUIS » est Dieu ». (Ramana Maharshi 503, 17-8-1938).

Publié dans - Insaisissable Yokai | Marqué avec , | Commentaires fermés sur Virgule, Vrille, Pique, Pointe, Chic

Le BLANC de l’Instant ou couleur de la Vérité

Le BLANC de l’Instant ou couleur de la Vérité l’Instant de la Mort, couleur de la Libération : lividité, couleur plombée au sens de l’ABSENCE DU PLOMB-PESANTEUR (et non au sens de la pesanteur qui ferait que tout pèse-pèze tellement que l’on ne peut plus se mouvoir : loco).
LE MONDE PRÉSENT EST UNE FAUSSE LIVIDITÉ (la transition) QUI CROIT, OU PLUTÔT, QUI COURT DÉSESPÉRÉMENT VERS LE « MIEUX » POUR ÉCHAPPER À LA MORT, POUR ÉCHAPPER AU BLANC DE LA MORT, AU BLANC DE LA VÉRITÉ.

LE BÂTON, LE TRIDENT DE PTAH.

Comme Neptune, Chalchiutlicue, Hermès, Shiva, de toutes les divinités de l’Eau, le Bâton de Ptah est composé comme un Trident, à sa tête figure une tête sethienne, un lien (à Seth, dans le sens si important de la bascule des contraires), et une plume. On a donc à faire à un Trident comme chez Shiva. Le Trident composé du I, Axe, et des 3 branches, qui forment la lettre E. Le I de Instant, de I-c-I, le Ici du JE-SUIS.
Ce I est le VRAI FEU : Spiritualité ou SOUFFLE, et QUART TIERS libre : Lui seul peut rassembler, comme Ptah Dieu des Artisans, unifier les énergies (VRILLE (1)…) déployées par la trinité pour assurer le Retournement de la Lumière, la Réalisation du Soi, le Retour de l’humain à l’Homme primordial puis à sa Source.

C’est alors d’I-cerner ou Perce-voir le JE-SUIS ou Vérité de toutes les vérités : Ver-I-Té.

Le salissure du Blanc de l’Instant sera : RÉ-ITÉRER (re- : de nouveau). Le Vrai devient alors faux parce qu’il est vu, saisi, possédé, donc déformé, reformé en « mieux » et donc déformé par mise en forme ou en caractéristique, en « ordre », en « identification » : RE- signifie également : « chose », « objet » : de nos jours les humains sont « chosés » par les choses des industries du capitalisme.
RÉ-I-terer = chosifier, spécialiser, matérialiser, fixer, coaguler emprisonner le I ; on est alors dans la mise en valeur du temps, on est alors dans le COM-MERCE.

BLANC, VLAN DE L’INSTANT = « TAPER DANS LE 1000 », au Centrum Centri unificateur de l’humain, l’Absence de Plomb-pesanteur (la plume du Bâton de Ptah, Plume ou Vérité).

PTAH enserré dans ses bandelettes est une copie du CABIRE par excellence : enserré dans ses bandelettes il n’a ni bras, ni jambes, ni sexe, jusqu’à n’avoir pas de bouche : comme un « ESTROPIÉ DE TOUS SES MEMBRES », comme « DÉPOUILLÉ DE TOUTES SES FACULTÉS » ; PTAH EST ALORS LE KYKLOPS : L’ŒIL, comme celui gravé sur le billet vert de un dollar, Ptah est donc LE CENTRE QUI EST NULLE PART MAIS SANS LUI IL N’Y A PAS DE CIRCONFÉRENCE PARTOUT : EFFECTIVEMENT LE DOLLAR ET SA LANGUE ANGLAISE EST PARTOUT…….

Son Nom est Héphaïstos : Ptah le feu corporifié, manifesté, créateur de toutes les possibilités et fonctions ; il correspond à l’Héphaïstos (père des Cabires) ou Vulcain. Il a été conçu dans la Matière inerte, passive, dont il devient alors le « mobile » créateur de la forme corporelle (aspect ondulatoire). PTAH LA LOCO-

  • Prière à Ptah, l’Eau, le Noun ou Saint Chaos :
    Salut à toi !
    Tu es vénérable, tu es ancien,
    To-Tjenen père des dieux,
    dieu Aîné de la première fois,
    Modeleur des hommes,
    qui a fait les dieux,
    qui a inauguré l’existence comme dieu primordial,
    premier à exister pour tout ce qui est venu après lui ;
    qui a fait le ciel comme création de son cœur,
    qui s’est dressé dans ce-que-soutient-Chou, (Ptah a successivement accompli tous les gestes créateurs de la mythologie)
    qui a fondé la terre par ce qu’il a fait lui-même (par son œuvre propre),
    qui entoure (le monde) comme Noun et Très-Verte, qui a fait la Douat, y fait reposer les cadavres
    et y laisse circuler Rê pour qu’ils soient revigorés.
    Il est Régent de l’éternité, v.s.f. (vie, santé, force)
    et Seigneur de la pérennité.
    Seigneur de la vie,
    Il fait respirer les gorges,
    donne l’air à tous les nez,
    fait vivre tout homme par ses aliments.
    Durée de vie, Psaïs et Ermouthis l’accompagnent.
    On vit de ce qui sort de sa bouche.
    Il fait les offrandes pour tous les dieux
    en sa manifestation de Noun le Vénérable (assimilé à To-Tjenen, Ptah l’est aussi à l’abîme primordial des eaux, le Noun),
    Seigneur de l’éternité et de la pérennité.
    Les souffles de vie pour tout visage l’accompagnent.
    (Il est) le guide du roi vers son Siège-Vénérable
    en son nom de Roi du DoublePays.
    Je suis ton fils que tu as fait apparaître comme roi sur le trône de son père, en paix
    (la suite est une énumération de ce que le roi a fait en l’honneur de Ptah)…
    (Hymne à Ptah du papyrus Harris I)

Ce monde demon du CORPS-OBJETS-INFORMATIONS.
Son contraire est le TROU DU TROUVÈRE, LE PUITS(2), la NON-DUALITÉ.
PTAH-HÉPHAISTOS (Aphaistos : du A sumérien : EAU COURANTE, SOURCE, VEILLE, DANS L’INSTANT), du même Thème que les Dieux aquatiques du TRIDENTS : Neptune-Poséidon, Shiva, Chalchiutlicue, Hermès, LE CENTRUM CENTRI ou CENTRE QUI EST NULLE PART, L’(INSAISISSABLE : LE KYKLOS : PIEU, PUITS ou ESSENCE = LE KYKLOS : SURFEU OU VÉRITABLE ÉTAT D’ÊTRE : la nature des choses consiste en les choses et en elles seules (MAÂT) : LEUR ESSENCE, LEUR SINGULARITÉ OU LEUR IDIOTÈS) ; avoir le chic, POINTE, TROU, ou avoir la transparence, la facilité, la liberté, être en harmonie avec ce qu’il convient. Bref, chic renvoie à l’Amour, à la Gratuité, à la Félicité naturelle, au Soi. Le français du Moyen-Âge dit : chiche : 1175, du bas grec kikkon, au figuré : un rien (tel le Centre qui est nulle part mais sans qui la Circonférence qui est partout serait impossible…).
« … être protégé dans son tabernacle contre le déchaînement des langues, c’est être submergé dans cette eau ténébreuse que David appelle le tabernacle de Dieu. Aussi, comme l’âme est sevrée de toutes ses tendances et de toutes ses attaches, et que ses puissances sont dans les ténèbres, elle est affranchie de toutes les imperfections qui étaient en opposition avec son esprit, comme de sa chair et de tout le créé.
Elle peut donc dire à bon droit qu’ELLE MARCHE DANS LES TÉNÈBRES ET EN SÛRETÉ ». (Jean de la Croix, La nuit obscure, chapitre 16).

Aphaistos : se compose d’aba, qui veut dire une roue, un cri, et d’aistos, ”dont on n’a jamais eu de nouvelles”, puisque les Mots, plutôt les MORTS, ne reviennent pas pour donner leurs opinions à un Dehors.
PTAH privé de LOCO-, estropié de tous ses membres est Celui dont on n’a jamais eu de nouvelles puisqu’Il est le Centre qui est nulle part, le ”NON-NÉ”. Mais, en tant qu’estropié de tous ses membres Il allait alors œuvrer AVEC SON SOUFFLE, comme le copiera la Genèse 1,2 : « Un vent de Dieu tournoyait sur les Eaux ».
Ce vent, c’est l’estomac-souffle de Ptah. Vulcain Forgeron travaillait avec son Souffle. Un Vulcain-SALAMANDRE (lividité de la Mort chez les Anciens Égyptiens)…… Dans le sens non d’un métallurgiste, mais plutôt dans le sens d’un TISSERAND (quenouille, FUSEAU(1). TISSER renvoie évidemment au RETOURNEMENT DE LA LUMIÈRE : réaliser son Soi(2), c’est-à dire réaliser le ZÉRO INDIEN, comme PTAH LE Créateur de Lui-Même, comme l’ARAIGNÉE qui construit sa toile d’elle-même.

SOUFFLE : le vent du SOLVE-COAGUL (Involution-Évolution) : LE MONDE, L’UNIVERS PROVIENT DE NOUS, ET NOUS PROVENONS DE LUI. « Dieu créa l’homme ; et l’homme créa Dieu. Ils sont tous deux les créateurs des noms et des formes. Mais en réalité, ni Dieu ni l’homme n’ont été créés ». (Ramana Maharshi, entretien 264, du 20 octobre 1936).

LE FIL DE LA TOILE D’ARAIGNÉE : LE DESTIN-COCON, qui laisse S’ÉCHAPPER : donc le FEU NATUREL DU GATE GATE l’Ainsité : épithète des Bouddhas, des Éveillés.
PIVOT, AXE, TOUPIE LE TROU : Pourquoi le Christ Jésus a-t-Il une couronne de Ronce sur le CRÂNE ?)
La PORTE DE L’ISSUE, LES CHIOTTES OU LA PUTRÉFACTION = LE PLOMB-PESANTEUR TRANSMUTÉ EN ÉVEILLÉ, EN BOUDDHA, EN OR (au sens spirituel et de la Libération) : l’Illumination ou PANique car jaillissement du Soi DANS LE BLANC DE L’INSTANT : LES FONTANELLES S’OUVRENT, comme l’exprime un dicton picard : « Lorsque les fontanelles se ferment, l’enfant se coupe des Anges », alors le CRÂNE LE CHRIST SAIT TOUT DE LUI-MÊME : IL EST LE ”Je suis ce JE-SUIS”, comme le SCARABÉE roulant sa BOUSE, son EXCRÉMENT-ÉNERGIE ; AUSSI À L’IMAGE DE L’OUROBOROS QUI MET SA QUEUE DANS SA BOUCHE, ou mieux : QUI SE FERME LA BOUCHE (sens de Ptah privé se tous ses membres), et symbole du sans commencement ni fin.

LE CABIRISME EST UNE MOUTURE DU BOUDDHISME, DU CHAN : LA VACUITÉ, LE NON-NÉ : « Celui dont on a jamais eu de nouvelles ».
NON-NÉ : un phénomène ne peut en examiner un autre.
La racine du mal de sa dualité Dedans-Dehors ou Manque-Reste, ne devrait pas exister, le commerce ne devrait pas exister, car cette absence de dualité ne peut que s’appeler : INSAISISSABLE, IMPÉNÉTRABLE, DONC LA SALETÉ, L’IMPUR, L’INNOMMABLE, LE SANS-NOM, LE VAURIEN (sans valeur donc insaisissable).
En effet, est opinioné comme ”sale” tout ce qui se situe dans la dualité sujet-objet, l’objet ici étant l’identification au ”sale”, à l’impure, au vaurien. Quand l’objet a été SAISI, IDENTIFIÉ, il n’est plus sale, il devient une VALEUR. Est « sale » ou « impur » tout ce qui, après SAISI OU EXAMEN, n’est ni comme ceci ni comme cela considéré comme sale, ni comme quoi que ce soit d’identifiable. Seul est opinioné comme « sale » tout objet NON-IDENTIFIÉ, DONC « INNOMMABLE », TERRORISTE, qui exprime par ce seul mot l’idée de l’indéterminé et l’idée de dégoûtant, ce qui fait la liaison entre le caché, l’inexistence, L’IMPÉNÉTRABLE assimilé à l’immonde, au terroriste.
Le SEUL RÉEL étant caché, impénétrable, ”Celui dont on n’a jamais eu de nouvelles” : POUR QU’IL NE SOIT PAS « SALE » : INEXISTENCE DE LA DUALITÉ DEDANS-DEHORS, illustré par : LÀ OÙ L’ON ENTRE SANS ENTRER, CE NE PEUT QU’ÊTRE L’IMPÉNÉTRABLE, L’INSAISISSABLE, L’INNOMMABLE, LE NON-NÉ.
Un né, ou un mot, un nom-la-forme, ne peut voir et faire/fer que dans la mise en valeur du temps, donc dans le COM-merce…

Vouloir fabriquer le « Mieux » c’est vouloir saisir l’espace, c’est cracher en l’air contre Dieu et prendre le crachat sur la gueule !

RÉ-I-ter c’est coaguler, mettre en conformité (con : avec, et forme : mettre en forme, pour que ce ne soit plus « sale », « innommable »). Le Vrai devient faux dès qu’il est vu, saisi, possédé, identifié, IL DEVIENT IMAGINAIRE, CHOSE, NOM-LA FORME, et donc parfaitement monnayable. ALORS : VIVE LA PUTRÉFACTION-RENONCEMENT ! VIVE L’INCERTITUDE.

NON-NÉ : PARCE QUE NOUS AVONS TOUJOURS ÉTÉ ICI ET MAINTENANT…. PAS D’IMBÉCILITÉ DE BIG-BANG EN SORTIE DE L’UNIVERS (alors que Nous sommes Dedans, Nous sommes l’Univers : il n’y a pas un observateur et un observé, qui éliminerait n’innommable par identification…..).

PTAH-OSIRIS-CHRIST se reconstruit LUI-MÊME dans son berceau-tombeau.

C’EST TRÈS CLAIR, LE 8 MAI 1945 EST LE NON-NÉ INVERSÉ DES WINNERS QUI SONT EN FAIT LES LOSERS PROCHAINS, et définitifs, MAIS ILS NE VEULENT PAS LE SAVOIR ET SE CONTENTE D’ÊTRE NÉ EN SURVIVANT À COUPS DE TOTALITARISME DICTATORIAL. AINSI, BIENTÔT, LES LOSERS ACTUELS SERONT LES PREMIERS COMME ORIGINELLEMENT. La caste des gold-men et de la certitude des winneristes et de leur ”service d’ordre” sera définitivement loser.

Ré-I-térer, COM-merce :
ce monde du consommateur =
ANTI VRILLE, ANTI TOUPIE :
condamnation à vivre,
châtiment à vivre.
Le Vrai devient faux dès
qu’il est consommé ou vu.
Le Vrai n’est pas non plus
un Ailleurs qui demande
son Ici.

Notes.
1. Toupie, rejoint aussi la HACHE à la fois arme et outil. En anglais hache se dit AX, AXE, comme le Centre de l’Univers. L’Axe est un symbole fondamental, comme l’essieu plus tard nous donnera le CHARIOT. L’essieu supporte la totalité du poids du chariot ; il est fixe et les deux roues tournent sur les fusées. Donc nous avons une triade (voir la Triskell celte avec le signe du S cher à l’art gaulois), et l’idée de « roue » ou chose qui tourne ou figure un cycle, un rythme, évoque les cycles lunaires et solaires, l’ombre courant sur un cadran solaire indiquant une PÉRIODE, etc.
La Vacuité est représentée par l’immobilité du Vide au centre du moyeu-Axe d’une roue qui ne cesse de tourner : comme la TOUPIE. Le Centre est nulle part (et la Circonférence est partout).

Le FUSEAU tourne uniformément entraînant la rotation de l’ensemble, comme un éternel retour. Le symbolisme du Fuseau est celui du destin : sans pitié ni sentiment, les Parques filent et défilent le temps de la vie : le double aspect de la vie, Involution/Évolution révèle le PARADOXE DE LA RÉALISATION DU SOI : « Le ‘Je’ rejette l’illusion du ‘je’ et cependant demeure en tant que ‘Je’. Tel est le paradoxe de la réalisation du Soi. Ceux qui sont déjà réalisés n’y voient aucune contradiction ». (Ramana Maharshi, entretien 28 du 4-2-1935). Le pouvoir de Dieu est aussi celui du Dia-ble : à travers, les deux se confondent, comme les Parques, dans ce pouvoir de la mort qui est d’annuler ce qui a existé, de faire en somme que ce qui existe n’est pas d’existence. Ainsi : « Dieu créa l’homme ; et l’homme créa Dieu. Ils sont tous deux les créateurs des noms et des formes. Mais en réalité, ni Dieu ni l’homme n’ont été créés ». (Ramana Maharshi, entretien 264 du 20-10-1936). Comme si la nécessité de la mort résidait dans la non nécessité de la vie…

2. « Vous concédez alors que le ‘Je’ n’est pas le corps, mais quelque chose à l’intérieur du corps. Voyez alors d’où s’élève le ‘Je’ depuis le corps. Voyez s’il apparaît ou disparaît où s’il est présent en permanence. Vous allez admettre qu’il y a un ‘je’ qui se manifeste dès que vous vous réveillez, qui perçoit le monde et tout le reste, et qui cesse d’exister dès que vous dormez ; et aussi qu’il y a un autre ‘Je’ qui existe indépendamment du corps et qui est toujours là, même quand le corps et le monde n’existent pas pour vous, par exemple dans le sommeil profond. Demandez-vous alors si vous n’êtes pas le même ‘Je’ dans le sommeil (profond) et dans les autres états (rêve et veille). Existe-t-il deux ‘Je’ ?
Vous êtes toujours la même personne. Alors, lequel des deux est le ‘Je’ réel, celui qui apparaît et disparaît ou celui qui est là en permanence [dans l’Instant ou Ici et Maintenant] ? Ainsi vous découvrirez que vous êtes le Soi. C’est ce que l’on appelle Réalisation du Soi.
La Réalisation du Soi n’est pas un état qui vous est étranger ou qui est loin de vous et que vous devez atteindre. Vous êtes toujours dans cet état. Vous l’oubliez et vous vous identifiez au mental et à tout ce qu’il crée. Vous devez simplement cesser de vous identifier au mental. Nous nous sommes identifiés depuis si longtemps au non-Soi qu’il nous est difficile de considérer que nous sommes le Soi [le ‘Je’-‘je’].
Ce qu’on entend donc par Réalisation du Soi n’est rien d’autre que RENONCER [PUTRÉFACTION] à cette identification au non-Soi. Comment réaliser, rendre réel le Soi ? Nous avons réalisé, considéré comme réel, ce qui est irréel, le non-Soi. Abandonner cette fausse réalisation est la Réalisation du Soi. […] Tout le monde recherche uniquement ce qui lui procure le bonheur [la loi de succion ou attraction ”universelle” copiée par Newton]. Pensant que le bonheur vient de tel ou tel objet [donc du DEHORS], vous cherchez à obtenir cet objet [racine du mal Dedans-Dehors et tentative de ”sortir” de l’Univers et évidemment COMMERCE]. Voyez d’où vient réellement le bonheur, y compris le bonheur qui vous semble provenir des objets des sens [et du capitalisme]. Alors vous comprendrez que la seule source du bonheur est le Soi [Instant, le Blanc du Silence…] et vous demeurerez à jamais dans le Soi ». (Ramana Maharshi au jour le jour, 17-8-1946).

Publié dans - Insaisissable Yokai | Marqué avec , , , , | Commentaires fermés sur Le BLANC de l’Instant ou couleur de la Vérité