Vraie Demeure du sans Demeure : LE CELLIER

Vraie Demeure du sans Demeure : LE CELLIER
LE SURFEU OU « SÉSAME OUVRE-TOI ».
En d’autres mots : « Je suis ce JE-SUIS », traduit par le mot ”JEHOVAH”(1), Lui-Même ”représenté” par un CERCUEIL VIDE, celui du N’ÊTRE PAS, celui de la TAUTOLOGIE A est A (et non A=A qui fait seulement républicanisme : ”Vivre ensemble” : je suis le numéro 1, mon voisin est le numéro deux, etc., etc., dans la logique du DÉMON DE L’IDENTITÉ (comptage, chiffre, analyse, classement, etc…)
OCCIDENT = CE CERCUEIL VIDE : LA MORT (la Délivrance du cadavre : le Corps d’Arc-en-Ciel dans le Blanc de l’Instant, ou de Celui de Jehovah(1)).

Quand on étudie les sources taoïstes et bouddhistes, on peut y voir des histoires qui évoquent des maîtres ou Éveillés qui, au moment de leur mort nommée qian hua (la transformation de transfert, ou classiquement : le SURFEU), ou parfois dans la vie même (comme Shântideva qui selon Târanâtha disparut dans les airs), dissolvent leur corps comme une fumée, ce qui ne laisse pas de cadavre, ils disparaissent pour réapparaître dans un autre corps ou sous une autre forme, « en se dépouillant comme une cigale », dit la Tradition, ou comme un salarié qui enlève ses vêtements pour se coucher en revêtant un vêtement de nuit. Il y a aussi ceux dont le corps après leur mort perdure inchangé à travers le temps qui coule, tel le corps du moine bouriate de nostre 21è siècle. La littérature mystique regorge de tels faits, souvent haut en couleur et irrationnels au possible.

L’historien Si Ma Qian affirme que ces êtres éveillés, à la fin de leur vie ou non, cultivent une pratique qui consiste à transformer et dissoudre le corps, shi jie dun bian. On retrouve la sandale ou le bâton du Réalisé, comme dans la légende de la disparition de Bodhidharma. Dans le Bao pu zi, Ge Hong, célèbre Taoïste d’il y a plus de 2000 ans, il décrit trois sortes d’Immortels :

– Ceux qui ont pratiqué la délivrance du cadavre et qui à leur mort se dépouillent de leur corps.
– Ceux qui sont des immortels terrestres qui hantent les monts sacrés.
– Les Immortels célestes [proche du cas de Ramana Maharshi(1)] qui s’élèvent avec leur corps et montent dans le Vide de l’espace.

Dans le premier cas, les Éveillés n’ont pas réussit de leur vivant à sublimer suffisamment leur corps physique pour pouvoir s’envoler avec lui. Le travail de purification se poursuit après la Mort ou le Surfeu et le corps ne s’envole qu’alors. Le cercueil reste vide.
Pour le deuxième cas, les Éveillés ont un corps physique qui ne peut s’élever dans le ciel, mais qui s’ébat librement dans le « paradis terrestre » sous forme d’une sorte de ”brume” ou ”purée”.
Pour le troisième cas les corps s’envolent en plein jour. Leurs os luisent comme une lumière : tout leur corps émet une lumière surnaturelle. Évidemment, ça fait très conte de fées…
Bref, dans tous les cas il s’agit d’abandon de la ”coque” ou du ”vaisseau”, « SORTIR DE LA BOUTEILLE » ; SORTIR DE L’A-VOIR (qui n’est pas sans rappeler le ”Bouteille” du ”Bout-œil” ou VAS-Y VOIR d’une certaine Franc-Maçonnerie).

Tout ne serait que pur délire s’il n’y avait le fait proche de nous de Ramana Maharshi, souvent cité, et le témoignage des dzogchenpa tibétains. Il y a peu, jusque dans les années 1980, circulaient quelques témoignages, par des témoins directs, de maîtres ayant réalisé le CORPS ARC-EN-CIEL ou CORPS DE LUMIÈRE.

Il y a deux Variations dans le CORPS ARC-EN-CIEL ou CORPS DE LUMIÈRE :
– Avant la mort.
– Au moment du décès, ce sera alors le SURFEU. Ce dernier recouvre lui-même quatre modes : comme l’espace, comme un Feu, comme meurent les dâkini (divinités), comme le mode du vidyâdhâra (sortes d’Élémentals).

Il y a aussi le corps qui disparaît soudain en plein jour, celui qui disparaît en laissant : ongles, cheveux, le cœur ou la langue, celui dont le corps grossier a disparu, mais qui conserve une apparence de corps visible aux yeux du conventionnel et est apte à communiquer et à transmettre à ce conventionnel.

IMPORTANT : Aucun des grands maîtres récents, hormis Ramana Maharshi, n’a réalisé le CORPS ARC-EN-CIEL ou CORPS DE LUMIÈRE. Au contraire, C’EST L’INSIGNIFIANT, la personne insignifiante ou discrète, presque inconnu du monde et même non investi dans le ”monde spirituel”, bien qu’ayant pour certains ou certaines une charge de famille, qui disparaît dans le Corps Arc-en-Ciel.

RAPPEL : pour le conventionnel, la limite COLLECTIVE ou même temps pour tous À L’ÉTAT DE VEILLE est la mort, on comprendra dans quel sens recevoir en Alchimie l’expression ”Élixir d’Immortalité” (ou Médecine Universelle) appliquée à la PIERRE PHILOSOPHALE, équivalente du CORPS ARC-EN-CIEL, CORPS DE LUMIÈRE DU BLANC DE L’INSTANT, donc le DÉPASSEMENT du ‘moi’ ou ego périssable. La Réalisation du CORPS DE LUMIÈRE DU BLANC DE L’INSTANT est la ”STARGATE” ou PORTE DES PORTES qui fait ”passer” dans un MONDE-TEMPS nouveau qui, depuis au minimum la catastrophe Oxygène, est SÉPARE DU NOSTRE PAR UN VOILE, UN MASQUE INFERNAL APPELÉ « TEMPS » (espace : la chose pleine…).

Comme il semble que le « vivant » ne semble exister que s’il y a une personne pour le voir, comme me temps n’existerait que s’il y a une personne pour le voir, de même : que fait la chute d’un arbre s’il n’y personne pour l’observer ?…
Lorsque nous mourons, il se passe pour l’observateur extérieur quelque temps comme 48 heures avant que le processus de destruction chimique ne soit irréversible. Qu’est-ce qui différencie le vivant du mort chez qui la dégradation chimique n’est pas encore intervenue ? Le « nouveau mort » n’est plus « socialisé » : il n’a plus de contact APPARENT avec « l’extérieur ». De la même façon il en est de même de celui qui est en SOMMEIL PROFOND (sans rêve) par rapport à celui qui est en état de veille, donc le social. Or le sens du spatio-temporel dépend d’une conscience qui « VIT DEDANS » : LES CHANGEMENTS PERMANENTS DANS LE SPATIO-TEMPOREL : LES SAISONS, LE JOUR ET LA NUIT, DONC L’HEURE.
Lorsque l’on rêve, le temps devient PERSONNEL, il n’est plus cette même soupe pour tous : l’actuel temps « de travail », les jours de la semaines, etc. Bref, il est possible de faire un rêve qui paraît durer plusieurs siècle ; la même soupe temporel pour tous est rompu, LA MÊME MISE EN VALEUR DU TEMPS EST ROMPU, ET LES JUIFS N’ONT QU’A ALLEZ VOIR AILLEURS(2).

Après la mort ”clinique” (aux yeux d’un ”vivant”), après la mort chimique, après les 48 heures, la mort semble inéluctable pour l’OPINION DU VIVANT À L’EXTÉRIEUR. Mais c’est oublier le mort : qu’en est-il du ”temps du mort” ?
Le mort a simplement quitté LA MÊME SOUPE POUR TOUS, LE MÊME SPATIO-TEMPOREL POUR TOUS, LA MÊME MISE EN VALEUR DU TEMPS(2) POUR TOUS. Pour le mort, il n’existe pas de 48 heures de dégradation chimique, mais seulement une « éternité », conceptualisé évidemment à l’état de veille, donc OPINION, COMME DE TOUT L’ÉTERNALISME EST UNE OPINION FABRIQUÉE À L’ÉTAT DE VEILLE.

LE VRAI « EST » du « Je suis ce JE-SUIS » est nécessairement ANDROGYNE, ce que semble bien préciser Ramana Maharshi dans l’entretien 169 du 24-2-1936 : « Parce que vous croyez que vous êtes le corps, vous voyez l’autre comme étant un corps.
Ainsi naît la différence de sexe. Mais vous n’êtes pas le corps. Soyez le vrai Soi. Alors il n’y a pas de sexe ».
Le passé : ‘je’, et le futur : ÈVE (l’Eau) sera. Le premier ‘je’ représente l’Avant. Le second représente un LIVRE CELLÉ : LA VIERGE NOIRE ET SON ENFANT formant la réunion des deux ‘je’ pour former la COÏNCIDENTIA OPPOSITORUM : ‘Je’-‘Je’ (3) : le EST. Puisque non seulement la VIERGE est Noire du « Blanc-Noir » de l’Instant : aucun œil ne peut saisir le reflet de l’Univers comme aucun œil ne peut voir le corps de la Vierge : COMME LE VRAI, L’UNIVERS EST SANS AILLEURS, SANS COPIE, SANS COMPLÉMENT EN MIROIR. Le monde et tout ce qu’il contient manquent à jamais de leur complément en miroir : ILS SONT DANS LEUR « EST » (ou ”Idiots” : du I l’Axe du Point sur le I ou ”Un Point c’est Tout”, et Diot : Dieu).
LE SEUL RÉEL EST UNE IDIOTIE : LA VRAIE DEMEURE DU SANS DEMEURE, LE CELLIER, LA MARMITE ou le POT, lequel pas si bizarrement que cela est rendu par le populaire par : ”IDIOT”, par ”manque de pot”, il devient donc UNE TARE, LOSER, une déficience mentale. Mais le Pot dans son POSITIF devient CE QU’IL Y A DEDANS, comme ce qu’il y a DANS LE CELLIER. Le Pot comme la Vierge est symbole féminin (et de la Fertilité originelle : le GRAIN, et « avoir un grain » rejoint l’expression ”manque, ou pas de pot” déjà cité).

AVOIR UN GRAIN = LA NON-CONTAMINATION DE LA VIERGE NOIRE PAR LE CONVENTIONNEL, PAR L’IDÉE REÇUE.

LE PRINCIPE VIVANT est symbolisé par L’AGNEAU (et symbole du troupeau, avec ”l’agneau-clef”) : IL ROMPT LE SCEAU DU LIVRE OU DE LA MARMITE, DU POT ; IL VIOLE LE SECRET DU FUTUR : IL PROJETTE. CE VIOL EST DANS L’INSTANT SUIVI DU CHÂTIMENT, qui peut s’exprimer par : « L’INSTANT OÙ JE PENSE, PUIS JE PARLE, EST DÉJÀ LOIN DE L’INSTANT, DÉJÀ LOIN DE DIEU ». L’agneau violeur LA VICTIME : le violé qui a ouvert la marmite et l’a violée. Cet Agneau violeur est désormais en GATE GATE(5) de la Connaissance pour combler son ignorance.

Ce châtiment ou cette mort, DRAME DU LANGAGE DANS CE MONDE DU SYSTÈME DES SIGNES ET DES INFORMATIONS QUI N’ONT PAS DE RÉFÉRENT AU DEHORS AUX SIGNIFIANT-SIGNIFIÉS, était exprimé par les Anciens par l’action qu’ils.« clouait cette mort » du Seul Réel, de l’Instant, sur un POTEAU(4) : la loi, le ban (publication, proclamation publique). Donc dans son aspect NÉGATIF : TOUTE LOI FAITE PAR L’HUMAIN NE PEUT QU’ÊTRE NÉGATIVE : ELLE VIOLE LE VRAI QUI DEVIENT COPIE ET FAUX, ELLE VIOL IRRÉMÉDIABLEMENT LE ”EST”. LA VIERGE N’EST PLUS VIERGE, L’INCONNU DEVIENT LE CONNU, L’INCERTAIN DEVIENT NUMÉRIQUE : CERTIFIÉ. C’EST LE VIOL PAR L’HUMAIN, LE VIOL DU SAINT CHAOS.

CE MONDE DES SIGNES ET DES INFOS EST UNE ILLUSION PROVOQUÉ PAR LE ‘MOI’ SE DÉPLAÇANT À RECULONS DANS LE GATE GATE(5), le mythe de l’Éternel Retour. Comme un voyageur dans un train qui suit les images à travers la fenêtre de son wagon, puis ces images défilantes sont remplacées par d’autres en effaçant jusqu’à la mémoire. Si l’on baisse le rideau sur la fenêtre du wagon, le voyageur est comme mort dans son cercueil : il lui reste alors SES SOUVENIRS : SON NOUVEAU LIVRE. Certaines sectes nommaient ce phénomène : LUNEL : ”lit en elle” (LIT DANS LE LIVRE, OU MYTHE DE L’ÉTERNEL RETOUR : LA CONSCIENCE FONDAMENTALE INDIVIDUELLE, qui forcément n’a rien à voir avec l’actuelle conscience collective que les informaticiens des industries du capitalisme voudraient mettre dans une puce informatique. Dans les tombeaux de l’époque européenne de la Renaissance, cette LUNEL était représenté par la sculpture d’une femme lisant dans son lit. Équivalence de la Cendrillon du conte qui RE-trouve « CHAUSSURE À SON PIED ».

CENDRILLON C’EST JEHOVAH, le « Je suis ce JE-SUIS ».
L’HORREUR EST ARRIVÉ PAR « CERTAINS » JUIFS, CERTAINS MEMBRES DE L’ANCIEN TESTAMENT, LESQUELS ONT FAIT CROIRE AU TEMPS EN GÉOMÉTRIE EUCLIDIENNE DE LA LIGNE DROITE : « Pour la première fois, une cosmogonie ne se vit pas comme cyclique [Tore, Circulus trinitaire, Ouroboros trinitaire] ; elle ne se donne pas pour but le retour du même [l’Éternel retour]. Elle fixe un sens au progrès ; elle fait de l’Alliance avec Dieu la flèche du temps ; elle accorde à l’homme le choix de son destin : le libre arbitre. Ainsi est posé la fonction de l’économie : cadre matériel de l’exil et moyen de réinvention du paradis perdu. L’humanité a désormais un objectif : dépasser sa faute. Elle dispose d’un moyen pour l’atteindre : mettre en valeur le temps ». (Jacques Attali : Les Juifs, le monde et l’argent, page 18).

EN GÉNÉRAL, les Juifs ne sont pas des matérialistes, sauf les commerçants juifs et leurs banques allant ensemble. On prétend encore que les Juifs ne croyaient pas à l’Après-Vie. C’est donc le CONTRAIRE : si les Juifs ne maudissaient pas l’Instant, en revanche ILS MAUDISSAIENT CELUI QUI AVAIT OUVERT LE RIDEAU DE LA FENÊTRE DU WAGON, OU CELUI QUI PROJETAIT LES IMAGES HOLLYWOODIENNES SUR L’ÉCRAN (6), ET QUI EN FAISAIT COMMERCE (voilà pourquoi l’industrie de Hollywood et de l’entertainment est essentiellement entre des mains de financiers et d’artistes juifs).
HOLLYWOOD + TRANSHUMANISME + VALLÉE SILICONÉE = AVOIR SOULEVÉ LE COUVERCLE DE L’ARCHE D’ALLIANCE AFIN DE DONNER NAISSANCE AU DÉMON DE L’IDENTITÉ. L’Arche d’Alliance devenait par là même LE PREMIER ORDINATEUR AU MONDE, CE QUI ALLAIT APPORTER LA SOUFFRANCE (si on y ajoute et utilise « l’intelligence artificielle »).

OUVRIR LE COUVERCLE DE L’ARCHE D’ALLIANCE provoque le républicanisme, le social, la racine du mal(7) et la TRIBU DE PHALEG, L’ARCHITECTE DE LA TOUR DE BABEL. Arrivée donc du social, du ”vivre ensemble” et plus tard du protestantisme de Cromwell : les réseaux sociaux avant ceux de l’ordinateur actuel, arrivée du COM-merce dans sa maturité absolue.

Le CELLIER, le SURFEU dans le Tao-tö king, Verset 11, symbole du TOUT, nombre symbole du TAO :
Trente rayons convergent au moyeu
mais c’est le Vide médian
qui fait marcher le char.

On façonne l’argile pour en faire des vases,
mais c’est du Vide interne
que dépend leur usage.

Une maison est percée de portes et de fenêtres,
c’est encore le Vide
qui permet l’habitat.

L’Être donne des possibilités,
c’est par le non-être qu’on les utilise.
(Tao-Tö-King, Verset 11, traduc. Liou Kia-hway).

Notes.
1. « Le Soi est connu de chacun, mais pas clairement. Vous existez toujours. Le fait d’être est le Soi. « Je suis » est le nom de Dieu. De toutes les définitions de Dieu, nulle n’est mieux exprimée que celle de la Bible (Exode, 3) : « Je suis ce JE SUIS. » Il y a d’autres déclarations, telles que brahmaivâham, aham brahmâsmi et so ’ham. Mais aucune n’est aussi directe que le nom de Jehovah = JE SUIS [JE-SUIS(a)]. L’Être absolu est ce qui est. C’est le Soi. C’est Dieu. En connaissant le Soi, on connaît Dieu. En fait, Dieu n’est rien d’autre que le Soi ». (Ramana Maharshi 106, 29-11-1935)

2. La NORME JUIVE de leur dualité winners-losers (élus/non-élus et Dedans-Dehors) résumé page 18 du livre de Jacques Attali, Les Juifs, le monde et l’argent : « Pour la première fois, une cosmogonie ne se vit pas comme cyclique [Tore, Circulus trinitaire, Ouroboros trinitaire] ; elle ne se donne pas pour but le retour du même [l’Éternel retour]. Elle fixe un sens au progrès ; elle fait de l’Alliance avec Dieu la flèche du temps [dans un seul sens et concept du mental par l’idéation] ; elle accorde à l’homme le choix de son destin : le libre arbitre [et par là l’individualisme, l’opinion, la démocratie et le consommateur et forcément des limites]. Ainsi est posé la fonction de l’économie : cadre matériel de l’exil et moyen de réinvention du paradis perdu [donc la religion de l’argent et du salariat, de la marchandise idole et de la consommation]. L’humanité a désormais un objectif : dépasser sa faute [et inventer la liberté]. Elle dispose d’un moyen pour l’atteindre : mettre en valeur le temps [la carotte du messianisme et de leur ”Jour du jugement dernier”…] ».
« Mettre en valeur »…. Là est le problème !!! Et LE JUDAÏSME EST, DU MOINS POUR UN GRAND NOMBRE DE JUIFS, UN SYSTÈME POLITIQUE REPOSANT SUR L’ÉCONOMIQUE, SUR LE MATÉRIEL, SUR LE COMMERCE, SUR LE SOCIAL.

Le « vivre ensemble » facilité par l’informatique et ses « réseaux sociaux » a augmenté la croyance que la TÉLÉPATHIE se passerait de cerveaux à cerveaux, soit sous un crâne vers un autre crâne comme un émetteur de radio vers un récepteur de radio, comme si la tête et donc le corps était le siège de la pensée. Cette croyance ne peut que naître en Occident en pleine révolution industrielle avec l’électromagnétisme, et cette logique illusoire de télépathie qui additionnent les cerveaux ou les petites vérités pour en former une grosse lui confère un statut de vérité, comme lors des élections où c’est la quantité d’électeurs qui « possèdent la vérité ». LE MODÈLE DE CERVEAUX À CERVEAUX NE PEUT QUE PRODUIRE UN VERROUILLAGE MENTAL D’AMPLEUR PLANÉTAIRE QUI EMPÊCHE TOUTE REMISE EN CAUSE : NOTAMMENT TEL GENRE DE VIE = TEL GENRE DE PENSÉE, laquelle n’est qu’un PRODUIT, le RÉSULTAT du genre de vie qui n’est pas à proprement une pensée, mais une OPINION.
Le « Vivre ensemble » en marche de cette actuelle société va produire la société fourmilière où seul un petit groupe de personnes aura le droit de vie ou de mort sur l’ensemble des Terriens. Cette société fourmilière est déjà en place avec ses citoyens ou habitants des villes, des cités, consommant, marchant les uns à côté des autres en un ensemble de « multiples séparatifs », des unités qui vont cahin-caha avec leur dualité.

3. « Le ‘Je’-‘Je’ est toujours là. Il n’y a pas à le connaître. Il n’est pas une connaissance nouvellement acquise. Or, ce qui est nouveau et qui n’est pas ici et maintenant ne peut être qu’évanescent. Le ‘Je’ est toujours là. Il y a obstruction à sa connaissance et cela s’appelle ignorance.
Éliminez cette ignorance et la connaissance resplendira. En fait, cette ignorance et même la connaissance ne concernent pas l’âtman [le Soi]. Ce ne sont que des excroissances qu’il faut couper. C’est pourquoi il est dit que l’ātman est au-delà de la connaissance et de l’ignorance. Il demeure tel qu’il est naturellement. C’est tout ». (Ramana Maharshi 49, 24-4-1935).

« Le ‘Je’-‘Je’ ininterrompu est l’océan infini ; l’ego, la pensée ‘je’, n’est qu’une bulle à la surface de cet océan ; on l’appelle jîva ou âme individuelle. De même, la bulle d’eau, lorsqu’elle éclate, ne fait que se mêler à l’océan ; et quand elle est bulle, elle fait toujours partie de l’océan. Dans l’ignorance de cette vérité simple, d’innombrables méthodes, sous différentes dénominations, telles que yoga, bhakti (dévotion), karma, etc., ont été enseignées. Chacune apportant de nombreuses modifications, elles ont été enseignées avec beaucoup d’habileté et des détails compliqués seulement pour séduire les chercheurs et semer la confusion dans leurs esprits. Il en va de même pour les religions, les sectes et les dogmes. À quoi servent-ils ? Uniquement à faire connaître le Soi. Ce sont des aides et des pratiques dont on a besoin pour connaître le Soi ». (Ramana Maharshi 92, 7-11-1935).

« Lorsque l’ego disparaît, un autre ‘Je’-‘Je’ se manifeste spontanément dans toute sa gloire… » Et il [Ramana Maharshi] cita encore la Skandar-anubûthi : « Ni réel ni irréel ; ni obscur ni lumineux, C’EST » (122, 1-1-1936). TOUTE PENSÉE OU PAROLE serait en trop, et établirait la dualité du manque et du reste : le « MIEUX », L’ÉVOLUTIONNISME, L’A-MÉLIORATION (LE WINNERISME, LE MEILLEUR), LA CHAÎNE SANS FIN QUI A TOUJOURS FAIM DE CAUSES ET D’EFFETS.

4. LOI, BAN, à rapprocher de FUSÉE, FUSEAU, FUNESTE : Fuseau, Toupie, écheveau (même Thème que la Chaise d’Isis, écheveau, du 15è eschevel, du latin scabellum (tabouret), dérivant vers escabeau, par extension « dévidoir », puis « écheveau »). Voir eschiele et eschale en français du Moyen-Âge qui signifient : échelle, escalier, escalade, et sorte de PILORI où l’on exposait les criminels. Pilori ou Bâton, Axe. La croix se lisait crux en latin, et stavros en grec [qui par dérivation donnera le symbole de la crucifixion, ”Stavros” ou ”Tavros” le poteau où les Anciens fixaient leurs lois : voir les Pierres-Lois ou Édits du roi Ashoka. Voir le LINGAM (SHIVA-LINGAM).

5. « Gate gate pâragate pârasamgate bodhi svâhâ » du Soûtra du Diamant (Allé, allé, allé au-delà, allé complètement au-delà, l’Éveil, ainsi).

6. « La lumière est projetée sur l’écran et les ombres qui y passent donnent l’impression aux spectateurs d’une représentation de film. Et ce serait pareil si dans ce même film on montrait aussi des spectateurs. Celui qui voit et ce qui est vu ne seront alors rien d’autre que l’écran. Appliquez cela à vous-même. Vous êtes l’écran, le Soi a créé l’ego et l’ego a ses formations de pensées qui se manifestent comme le monde, les arbres, les plantes, etc., dont vous parliez. En réalité tout cela n’est pas autre chose que le Soi. Si vous voyez le Soi, vous trouverez le Soi en tout, partout et toujours. Rien d’autre que le Soi n’existe ». (Ramana Maharshi 13a, 7-1-1935)

7. LA VALEUR D’ÉCHANGE ENTRE DEDANS ET DEHORS et RESTE ET MANQUE DE LA SOUMISSION AUX MARCHANDISES, LA SOUMISSION À LA LOI DE SUCCION, LE PLOMB PESANTEUR.
– Quelle est donc la racine du mal ?
– La « saisie » [loi de succion vulgaire à distinguer de la Vraie Loi de succion ou Eucharistie, mais ne pas tomber dans la gloutonnerie spirituelle qui existe aussi, c’est-à-dire ne pas tomber dans LA FIXATION OU COAGULATION D’UNE SPIRITUALITÉ COMME FIN EN SOI OU COMME « FIN DES TEMPS » !].
– La saisie de quoi ?
– La saisie du triple monde [de la Forme, du Désir, du Sans-Forme ; le connaisseur, la connaissance et le connu. ”Les triades ne sont que des apparences dans le temps et l’espace, tandis que la Réalité s’étend au-delà et derrière elles. Elles sont comme un mirage qui cache la Réalité. Elles proviennent de l’illusion [elle proviennent du ”Comme si”]” (Ramana Maharshi, entr. 28, 4-2-1935) ; jusqu’à la gloutonnerie spirituelle].
– Comment arrêter cette saisie ?
– En recourant à l’introuvable, car dans l’introuvable il n’y a pas de saisie.
– Qu’est-ce que l’introuvable ?
– La fin du dualisme.
– Qu’est-ce que le dualisme ?
– La vision d’un dedans et d’un dehors, lesquels sont introuvables.
(Soûtra de la Liberté inconcevable, chapitre V, 14)

a. « La seule chose permanente est la Réalité ; et cela est le Soi. Vous dites : « Je suis », « Je suis en train de marcher », « Je suis en train de parler, de travailler, etc. ». Ajoutez un trait d’union à « Je suis » chaque fois, et cela devient « JE-SUIS ». Cela est la Réalité permanente et fondamentale. Cette vérité fut enseignée par Dieu à Moïse quand Il lui dit
« Je suis ce JE-SUIS ». « Sois tranquille et sache que JE-SUIS Dieu ».
Donc « JE-SUIS » est Dieu.
Vous savez que vous êtes. Vous ne pouvez nier votre existence à aucun moment. Car pour nier votre existence, il faut que vous existiez. C’est cela (la pure Existence) que l’on entend par un mental tranquille. Le mental est la faculté d’extériorisation de l’individu. S’il est tourné vers l’intérieur, il devient peu à peu tranquille. C’est alors que seul prévaut le « JE-SUIS ». « JE-SUIS » est toute la Vérité ». (Ramana Maharshi 503, 17-8-1938).

Non, non, le scribe de cette page ne se convertit pas au judaïsme !
De plus : comment voulez-vous que le Soi (Dieu) choisisse Dieu ???
Le problème vient donc du ISME ou système engendré par le Judaïsme tout comme le ISME engendré par le concept de ”république”.

Publié dans - Insaisissable Yokai | Marqué avec | Commentaires fermés sur Vraie Demeure du sans Demeure : LE CELLIER

Langage et mental humain = MALE-DICTION

Langage et mental humain = MALE-DICTION
la Tour de Babel ymbolise cette CON-FUSION provoquée par le mental-langage, ce qui fait de l’humain un animal-humain par rapport à l’animal-animal, et cet animal-humain CROIT, parce qu’avec son mental il a construit une machine qu’il appelle ”intelligence artificielle” il va dépasser sa condition humaine, IL N’Y A PAS PIRE ERREUR QUE LE MYTHIQUE CROC-POMME D’ADAM-ÈVE ! LA « PERTE DU PARADIS » DEVIENT DOUBLÉ, maintenant quasiment CYCLIQUE (jamais deux sans trois, ou X). PERTE cyclique en augmentation constante de l’éloignement des EAUX PRIMORDIALES.
Le Mythe de la TOUR DE BABEL ne pouvait s’installer QU’APRÈS la découverte du feu vulgaire, puis de la métallurgie et de sa thermodynamique.

Énième page dédiée à l’Empereur Julien, très conscient du changement, non de climat, mais pire : de TEMPS, qui devenait linéaire avec l’arrivée des Chrétiens. (Julien dans sa Défense du Paganisme, emploi le mot MYRIADE pour exprimer ce changement de temporalité qui annonçait l’évolutionnisme et la ”Jérusalem céleste”, les ”Temps Nouveaux”)

La TOUR DE BABEL c’est l’actuel NOUVEL ORDRE MONDIAL avec au sommet de la Tour la Jérusalem ce symbole messianique et républicain, qui se voudrait « SYNTHÈSE ET TEMPS NOUVEAUX » (pour référence au livre de Jean Coulonval portant le même titre, et qui ne voit nullement ce symbolisme mondialiste à l’oeuvre, mais la tradition du « Je suis ce JE-SUIS » dans le courant de Ramana Maharshi, que Jean Coulonval ne devait pas connaître, il n’en parle pas dans son livre. Le sens de Ramana Maharshi et de Jean Coulonval est celui du NATUREL INNÉ-IGNÉ : VRAI FEU (Agni), le FOYER, la FOCAL, le ‘Je’-‘Je’). La Jérusalem, ”céleste” ou non étant du messianisme, du ICI ET AILLEURS, elle ne peut que promettre du DORG (Demain On Rase Gratis) et de la carotte pour faire avancer les ânes. C’est typiquement de L’ÉVOLUTIONNISME : la Jérusalem nouvelle EN MARCHE est résumé page 18 du livre de Jacques Attali sur les Juifs et l’argent :

  • « Pour la première fois, une cosmogonie ne se vit pas comme cyclique [Tore, Circulus trinitaire, Ouroboros trinitaire] ; elle ne se donne pas pour but le retour du même [l’Éternel retour]. Elle fixe un sens au progrès ; elle fait de l’Alliance avec Dieu la flèche du temps [dans un seul sens et concept du mental par l’idéation] ; elle accorde à l’homme le choix de son destin : le libre arbitre [et par là l’individualisme, l’opinion, la démocratie et le consommateur et forcément des limites]. Ainsi est posé la fonction de l’économie : cadre matériel de l’exil et moyen de réinvention du paradis perdu [donc la religion de l’argent et du salariat, de la marchandise idole et de la consommation]. L’humanité a désormais un objectif : dépasser sa faute [et inventer la liberté]. Elle dispose d’un moyen pour l’atteindre : mettre en valeur le temps [la carotte du messianisme et de leur ”Jour du jugement dernier”…] ».
     Mettre en valeur »…. Là est le problème !!! DE L’ÉVIDENCE… Et LE JUDAÏSME EST, DU MOINS POUR UN GRAND NOMBRE DE JUIFS, UN SYSTÈME POLITIQUE REPOSANT SUR L’ÉCONOMIQUE, SUR LE MATÉRIEL, SUR LE COMMERCE, SUR LE SOCIAL OU SUR LE RÉPUBLICANISME(1).

La TOUR DE BABEL NUMÉRO DEUX EST DÉJÀ EN CONSTRUCTION AVEC LES PIERRES DE L’INTELLIGENCE ARTIFICIELLE : une « civilisation » sans âme et sans Amour VOUÉE À S’ÉCROULER COMME LA PREMIÈRE FOIS.
La TOUR DE BABEL est identique à un ”COMME SI”, donc à une MAGIE : QUAND UNE MAGIE PARLE TOUTES LES MAGIES PARLENT, QUAND UNE SE TAIT TOUTES SE TAISENT OU S’ÉCROULENT COMME LA TOUR.

Pour que la TOUR DE BABEL ne s’écroule pas, il est urgent que les humains se libèrent de leur identification au corps et au ‘moi’, se libérant ainsi des contraintes et limites matérielles qui les emprisonnent mécaniquement par le phénomène de POSSESSION OU D’IDENTIFICATION.
Il n’y a pas pire PRISON que l’identification au corps, au ‘moi’ ou au mental (la ”raison”).

Or, le ‘moi’, la ”raison” sont VIDES de nature du ‘moi’, vides, de toute substantialité saisissable : le COM-prendre, le CON-naître (naître avec).
Le ‘moi’, le ‘monde’, sont SANS NATURE PROPRE (qui leur appartiendrait), ils existent sur le mode ou sur la FRÉQUENCE du « N’ÊTRE PAS », C’EST LA POSITION DU « N’ÊTRE PAS » EST CELLE DU ”NON-AGIR” DU TAOÏSME : le fait d’être dépourvu de nature propre, ou d’identité(4)

Le D’ANGE(r) d’absence d’être en soi est de se prendre pour un être en soi : le ‘je’ ou ego : le ”responsable”, l’électeur, l’usager, ce qui va former le régime de la république. C’EST LE SEUL D’ANGE(r).

L’absence d’être en soi est résumé dans le Tao-tö king, Verset 11, symbole du TOUT, nombre symbole du TAO :
Trente rayons convergent au moyeu
mais c’est le Vide médian
qui fait marcher le char.

On façonne l’argile pour en faire des vases,
mais c’est du Vide interne
que dépend leur usage.

Une maison est percée de portes et de fenêtres,
c’est encore le Vide
qui permet l’habitat.

L’Être donne des possibilités,
c’est par le non-être qu’on les utilise.
(Tao-Tö-King, Verset 11, traduc. Liou Kia-hway)(b)

LE D’ANGE(r) EST QUE ”L’Être donne des possibilités” : L’ORDRE DU ”COMME SI”, L’ORDRE DE L’ILLUSION : TOUT SE PASSE ”COMME SI” : C’EST LA CROYANCE, C’EST LA MAGIE. Alors ce monde des êtres à leur état de veille n’est qu’un SYSTÈME DE SIGNES ET D’INFORMATIONS, SANS PLUS, SANS RÉFÉRENT AUX SIGNIFIANTS-SIGNIFIÉS proches de la chaîne sans fin de causes et d’effets(5)

Nous ne sommes que de PASSAGE, en GATE GATE(a) ici-bas.

– Les Anciens ne se prenaient pas pour un être en soi, ou en eux-même, ILS RESTAIENT DANS LE MOI-EAUX PRIMORDIALES (qui n’est pas un moi-collectif à la façon de l’URSS, qui n’est pas une collectivité style république, ses électeurs et son ”Vivre ensemble”). Parce que le temps des Anciens était CYCLIQUE (2).
– Le temps des ”modernes” des trois religions abrahamistes est en géométrie de la ligne droite, il n’y a plus de CIRCULUS, on ne boucle plus, la chaîne sans fin de causes et d’effets aura toujours faim d’EFFETS et évidemment de CAUSES. On ne boucle plus : SI, encore un peu dans le rituel conservé du « JOUR DE NOËL » ET DU « JOUR DE L’AN », ces rituels devenus simple COM-merce : le grand temps des cadeaux pour faire fonctionner le capitalisme.

Notes.
1. « La mort n’est qu’une pensée et rien de plus. Celui qui pense provoque des difficultés. Que le penseur nous dise ce qui lui arrive quand il meurt. Le ‘Je’ réel est silencieux. On ne devrait pas penser « Je suis ceci », « Je ne suis pas cela ». Dire « ceci » ou « cela » est faux. Ce sont aussi des limitations [de faux pointages du ”Un Point c’est Tout”]. Seulement « Je suis » est la vérité. Le silence est ‘je’. Si l’un pense « Je suis ceci », un autre pensera « Je suis cela » et ainsi de suite. Il se produit des conflits de pensées et tant de religions en résultent. La vérité reste ce qu’elle est, elle n’est affectée par aucune déclaration, conflictuelle ou autre ». (Ramana Maharshi 248, 15-9-1936).

« La nature du Soi, ou ‘Je’ doit être la lumière(2). Vous percevez toutes les modifications et leur absence. Comment ? Dire que vous recevez la lumière d’un autre amènerait à se demander d’où il l’a reçue lui-même et il n’y aurait pas de fin à cette chaîne de raisonnements. Vous êtes donc vous-même la Lumière [le scribe de cette page souligne].
L’exemple courant à ce propos est le suivant : vous préparez avec divers ingrédients toutes sortes de sucreries aux formes diverses. Elles ont toute un goût sucré car elles contiennent du sucre et la saveur sucrée et la nature même du sucre. De même, toutes les expériences, comme aussi leur absence, contiennent la lumière qui est la nature même du Soi. Sans le Soi, ces expériences n’existeraient pas, tout comme sans sucre aucun des plats que vous préparez ne peut avoir une saveur sucrée.
[…]
D’abord on voit le Soi comme objets, ensuite comme vide et puis comme le Soi. C’est seulement dans cette dernière étape qu’il n’y a pas de ‘voir’ [comme dans un Trou il n’y a rien d’autre que le Trou, donc pas de Trou à voir] car voir, c’est ÊTRE ». (Ramana Maharshi au jour le jour, 21-7-1946).

2. La ”Lumière”, le Soi, n’est ni en soi (dans un lieu) ni en dehors de Soi. Arbres, montagnes, rivières, soleil, lune etc., tous participent de cette Lumière qui ne se trouve donc pas seulement en s(S)oi. Intelligence, sagesse, connaissance, participent aussi de cette Lumière qui n’est ni Dedans ni Dehors. De même que la lumière du Ciel et de la Terre participent de l’Univers, Nous, Si l’on Retourne la Lumière ou si l’on Réalise le Soi, le monde entier naturellement se réalise de lui-même.

NE PAS PENSER = CENTRUM CENTRI : il est le Centre de l’Univers NULLE PART, mais sans Lui aucune Circonférence n’est possible, l’Univers est impossible. Voilà pourquoi s’explique le mécanisme de toute Création : il suffit du Centrum Centri ou Concentration absolue pour passer le GATE GATE(a), C’EST TOUT.
« Se concentrer » veut dire : POSER son attention là-dessus, mais sans tomber dans une concentration rigide ou possessive ! Car le sens du mot ”se Concentrer” étant le GATE GATE, il est plein de vie. « La concentration, c’est ne pas penser à quoi que ce soit. D’autre part, c’est chasser toutes les pensées qui nous cachent la vision de notre véritable nature […] La force de l’habitude nous pousse à croire qu’il est difficile de cesser de penser. Quand cette erreur est découverte, personne ne serait assez stupide pour s’efforcer à penser inutilement » (Ramana Maharshi 398, 14-4-1937).

« Les termes ”arrêt” et ”voir” sont essentiellement inséparables : ils signifient concentration et pénétration. Désormais, quand les pensées surgissent, ne restez pas immobile comme vous le faisiez auparavant mais explorez : « où est cette pensée ? De qui vient-elle ? Où disparaît-elle ? » Prolongez ce questionnement, répétez-le inlassablement jusqu’à ce que vous compreniez qu’on ne peut saisir [la pensée] et, alors, vous verrez d’où elle vient. Vous n’aurez plus besoin de cherchez son point de départ. « Ayant cherché mon mental, j’ai compris qu’il était insaisissable(a). Eh bien, je te l’ai pacifié ! »
Voilà la Vraie Vision : tout ce qui lui est contraire est fausse vision. Quand vous aurez atteint cette nature insaisissable, continuez à pratiquer continuellement l’arrêt en le prolongeant par la vision, et à pratiquer la vision en la prolongeant par l’arrêt. Cela s’appelle le jumelage de l’arrêt et de la vision. Voilà comment Retourner la Lumière.

Le Retournement correspond à l’arrêt, la Lumière correspond à la vision. Pratiquer l’arrêt sans la vision s’appelle le Retournement SANS la Lumière. La vision sans l’arrêt s’appelle la Lumière sans Retournement. Souvenez-vous en ! » (Le Secret de la Fleur d’Or, traduction : Thomas Cleary)
Se souvenir du TIC TAC du SOLVE-COAGULE…

3. « Cessez d’être le connaisseur [LE SPÉCIALISTE, LE BOSS, LE WINNER, LE PRÉSIDENT], et ce sera la Perfection » (Ramana Maharshi 147, 26-1-1936).
Les spécialistes les esthéticiens prolifèrent depuis que tout le monde est devenu LE ROI depuis le 1789 français et sa ”république universelle”, comme dit le Grand Rabbin de France à propos du mot ”république” : la chose publique des gens tous devenus le ROI, le RESPONSABLE, le SPÉCIALISTE au sens du Réalisé, au sens du JNAN$I (consommateur-connaisseur qui est ”au courant”), « COMME SI » LE RÉGIME RÉPUBLICAIN PERMETTAIT LA RÉALISATION du Soi, le ”QUI SUIS-JE ?”.

Ce ”Grand Rabbin” EST UN MENTEUR. Est-éthique n’est pas éthique (sagesse, félicité, libération, vérité, valeur, harmonie). Sentir, se séparer de la Sagesse en ”étant” (Est- ou E-espace-temps) n’est pas la Réalisation du Soi, n’est pas la Morale, la Sagesse, les mœurs, et famille étymologique de SŒUR, ce qui rejoint le sentiment océanique(2) qui, évidemment, n’est pas la ”république universelle” du Grand Rabbin.
UN SPÉCIALISTE DE QUOI QUE CE SOIT DONC UN RÉPUBLICAIN N’EST PAS UN ÊTRE, mais un Avoir, c’est pourquoi il n’existe pas en parallèle à esthéticien, le mot ”éthicien” (celui qui fabriquerait la morale pour les autre comme tente de le faire la propagande du régime républicain, se plaçant ainsi comme une RELIGION : UN MONOTHÉISME UNILATÉRAL RÉPUBLICAIN : les citoyens ou habitants de l’urbain n’étant plus à même de connaître leur Soi, ils se trouvent alors livrés à une même OMNIPOTENCE INDIFFÉRENCIÉE APPELÉE ”RÉPUBLIQUE ‘UNIVERSELLE’”, tous équidistants et confondus dans une collectivité religieuse ou sociale. Alors il leur est tout confort de confondre leur Soi qu’ils n’ont encore jamais connu tel qu’Il EST à Jamais, et de prétendre l’imposer à tous. C’EST CELA LA « RÉPUBLIQUE UNIVERSELLE » DU RABBIN et sa ”valeur”.

Ayant perdu son lien, sa racine avec son Soi, chaque ego et livré à une hypertrophie, notamment transhumaniste (”Homme augmenté”), un winnerisme dégénérant facilement EN IMPÉRIALISME SPIRITUEL ET C’EST CETTE « RÉPUBLIQUE UNIVERSELLE » DU RABBIN.

4. DÉMON DE L’IDENTITÉ : du sexe, du vêtement et
du Qui suis-je ?
Un ”Chic type”, une ”Chic typesse” ou une réalité du Soi.
Le ”COMME SI” est le DÉMON DE L’IDENTITÉ = L’ILLUSION : se résoudre au ”COMME SI” toujours marqué de la magie qui entraîne TOUTES LES MAGIES, QUI SOCIALISE, QUI COPIE : la DUPLICATION HALLUCINATOIRE DE L’UNIQUE, LE ”COMME SI” QUI FABRIQUE SA « DUPLICITÉ » (dualité sujet-objet).
Or la DÉFINITION DU SEUL RÉEL est d’être soumis au principe d’identité en forme du N’ÊTRE PAS, en forme du N’EST PAS X : RAISON OU MENTAL NE JOUENT AUCUN RÔLE, pas de référent au Dehors. Et la parole ou le langage ajouté, l’identification ajoutée à un Réel qui n’a point besoin d’en rajouter tout une histoire ou un temps qui coule et fait S’ÉCROULER LA TOUR.
Le discours sur le Seul Réel ne pourra être que TAUTOLOGIQUE, sous sa forme du : « Je suis ce JUIS » (symbole : A est A, et non pas A = A comme dans la logique actuel de ce monde objets et COM-merçant du ”Votre ceci, votre cela”, la logique d’un ”Autrement dit”). Dès lors que le Seul Réel est UN, tout ce qui vient en plus, en « mieux », détruit la tour, démoli l’UN. ET AVEC LE CAPITALISME, C’EST N’EST PAS L’OISEAU PHÉNIX, MAIS LE SUPPLICE DE TANTALE, autre nom de la LOI DE SUCCION VULGAIRE, LE PLOMB-PESANTEUR : L’ATTRACTION, la recherche avide se poursuit sans fin, mais qui n’est pas en GATE GATE(a).

PRÉCISÉMENT, parler de l’UN s’est faire en TROP, en sorte que l’UN, le SAINT CHAOS où s’abolissent toutes les différences dans les EAUX PRIMORDIALES, SERA FALSIFIÉ PAR L’INTELLIGENCE, en plus, en puissance X si cette intelligence est devenue ”intelligence artificielle” !!! Parce que l’essence de l’intelligence est justement de DISTINGUER-IDENTIFIER (le numérique des industries du capitalisme s’en donne à cœur d’actions en bourses).
Parler de l’UN s’est faire en TROP d’autant plus avec l’I.A. qui amplifiera tout, comme les réseaux ”sociaux” de ces mêmes industries du capitalisme qui engendrent UNE DOUBLE VIE : celle de la survie dans la consommation ou dans l’utilitaire, et l’autre survie : celle dans les réseaux ”sociaux”. Quant à la Vraie Vie dans le Soi elle est larguée depuis longtemps….

Le N’EST PAS X ne distingue pas : IL POINTE, à l’identique du Trou : comme il n’y a qu’un Trou, il n’y a rien à saisir ou à identifier…. Le Seul Réel est naturellement sans définition.

SANS DEDANS-DEHORS, COMME LA MUSIQUE que rien n’éclaire par un signifiant(5), si on l’interroge sur son identité, elle ne peut que répéter son propre dire : « Je suis ce JE-SUIS ».

L’INSIGNIFIANT, LE BANALITÉ MÊME, EST LE MYSTÈRE DU PUITS SANS EAU, SANS FOND, DU SEUL RÉEL. LE PUITS C’EST LE GATE GATE(a), LA PORTE DES PORTES QU’ON OUVRE SANS FIN.
Alors, où est la « Jérusalem céleste » et sa « Fin des temps » ???

Le N’EST PAS X est l’évidence (voir) : CE QU’IL Y A DE PLUS DIFFICILE À « PANSER » (PENSER, SAISIR). A est A sera l’insaisissable, qui échappe à toute identification, à toute possession ; évidemment pas à la façon capitaliste du ”Vous ne posséderez rien et vous serez heureux” : LE SUPPLICE DE TANTALE.

5. Le Saint Chaos évacué, l’IDENTIFICATION, le signe, l’information naissait et avec elle naissait le CONVENTIONNEL OU DEHORS, QUI DONNA NAISSANCE À LA SAISIE, À LA LOI DE SUCCION VULGAIRE ET UTILITAIRE : le SIGNIFIÉ, donc la copie, puisque différent du Signe. Nous voyons une fumée, signe, et nous y associons l’opinion d’un feu, signifié : nous voyons des nuages sombres, signe, et nous y associons : ”Il va pleuvoir”, signifié ou effet de la cause ”nuages sombres”. La Coïncidentia Oppositorum de signifié-signifiant constituent le VERBE, le LANGAGE de tous les noms-les-formes, ce qui veut dire que le LANGAGE SE TROUVE AUSSI DANS LA PLUS PETIOTE POUSSIÈRE QUI VOLTIGE SOUS LE SOLEIL D’UN APRÈS-MIDI D’ÉTÉ. CAR TOUT LANGAGE S’APPUIE SUR LE MENTAL….. CE MONDE ACTUEL DE GENÈSE 1, 1-2 EST UN SUPER CHAOS ARTIFICIEL CONSTRUIT SUR LA LOI DE SUCCION VULGAIRE OU PLOMB-PESANTEUR.

a. « Gate gate pâragate pârasamgate bodhi svâhâ » du Soûtra du Diamant (Allé, allé, allé au-delà, allé complètement au-delà, l’Éveil, ainsi).

b. Autre traduction de Conradin Von Lauer du Verset 11 :
Les rayons de la roue convergent au moyeu. Ils convergent vers le vide. Et c’est grâce à lui que le char avance. Un vase est fait d’argile mais c’est son vide qui le rend propre à sa tâche. Une demeure est faite de murs percés de portes et de fenêtres, mais c’est leur vide qui la rend habitable. Ainsi, l’homme construit des objets, mais c’est le vide qui leur donne sens. C’est ce qui manque qui donne la raison d’être.

Le problème : on tombe alors dans LA DUALITÉ DU MANQUE ET DU RESTE, QUI N’EXISTE QUE CHEZ LES HUMAINS. Alors, y aurait-il une RACE supérieure aux humains laquelle aurait « tout » ? Des « Dieux » en quelque sorte, qui évidemment NE MANQUE DE RIEN…… COMME LES ROTHSCHILD. PROBLÈME : QU’EST-CE QUE LE RIEN ? Là encore, définition insaisissable, ce serait remplir le rien qui alors ne serait plus « rien ».

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Estelle et Némorin Valse entracte

Estelle et Némorin Valse entracte

Opéra Bouffe en trois actes, musique de Hervé, paroles de A. de Jallais. Représenté pour la première fois à Paris le 2 septembre 1876. Théâtre de l’Opéra-Bouffe. La scène se passe sous Louis XII. Estelle et Némorin est adapté d’un mélodrame pastoral tiré du roman de Monsieur le Chevalier de Florian, représenté pour la première fois à Paris le 25 juin 1733.
Arrangement et orchestration de Michel Roudakoff (29 octobre 2025). Diapason en LA 432.

Pour : 2 Flûtes, Hautbois, 2 Clarinettes en Si, 4 Cors en Fa, 2 Trompettes en Ut, 3 Trombones, Timbales, Percussions, Violons 1 et 2, Altos, Violoncelles, Contrebasses.

Partition : herve_valse_estelle_nemorin432_Score

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