Pour QUI est le monde, pour QUI est l’illusion que certains humains fabriquent à outrance pour récolter du fruit-fric ?
LE SEUL CRIMINEL DANS CE MONDE, C’EST LE MENTAL DE L’HUMAIN, AINSI L’INTELLIGENCE NE PEUT AVOIR QUE POUR ÉTYMOLOGIE : MENTIR, SE SOUVENIR, donc PENSER, MONTRER, ESPRIT. MENSONGE ET MENTAL SONT IDENTIQUE ET C’EST LE CRIME HUMAIN. Et le « matérialisme dialectique », ou d’objet-objectivité est directement le système de la pensée marxiste : analyser par la pensée qui calcul tout (historicité, mémorisation tueuse : met-I-a-mort, met l’Axe à mort). Charles Marx procède à l’envers de Ramana Maharshi, le Soi, le CENTRUM CENTRI ne doit pas être réalisé, CE SONT TOUTES LES CROYANCES AU CORPS QUI DOIVENT FORMER UN TOUT EN SE RÉALISANT ENSEMBLE, COMME PAR COUP DE BAGUETTE MAGIQUE DU MENTAL. Bref, chez Marx c’est le Moi-Collectif qui prime ; chez Ramana Maharshi, l’émancipation ou la Réalisation N’EST PAS : ELLE EST DÉJÀ LÀ et donc n’a pas à « être », n’a pas à « naître » !!!
Charles Marx semble tout ignorer de la Non-Pensée, et sa pensée ne pouvait naître qu’au paroxysme du capitalisme et du productivisme d’objets et de banques tout au long de l’après 1789 français et pendant le 19è siècle européen et ce qui va s’appeler ”révolution industrielle”, à cause de la naissance de nombreuses banques (juives et autres). Ce n’est pas un hasard que parallèlement à cette révolution industrielle LE CRIME SUPRÊME DE L’HUMAIN SERA LA FABRICATION DE « FAUSSE MONNAIE » (à la place des banques et autres fabricants de planches à billets), ET LE VOLE DANS LES COMMERCES, D’OÙ LA CRÉATION DE NOMBREUX BAGNES POUR ADULTES COMME POUR ENFANTS (qui aussi s’y retrouvaient pour avoir volé un pain, parce qu’ils avaient faim et aucun sous pour se le payer).
Parce que CALCULER, COMPTER ET CONTER (les médias aux ordres comptent, content en mentir) le ”ment-AL” a nécessairement la sonorité et l’étymologie de ‘ment-ir’, et AL (le Divin, ou EL), donc ”Ce qui ment au Divin”, ou ” Celui qui ment a sa propre Nature : la pureté, la non-pensée”, d’où le terme : d’IDIOT (sens conventionnel : ignorant, comme ne pensant pas, bête, non-intelligent, sot, stupide).
Mais le Vrai Sens de IDIOT est celui de la VIERGE, ET NOIRE, AVEC SON ENFANT : LES DESTRUCTEURS DU DÉMON OU DU DIABLE QUE TUE MICHEL ARCHANGE : L’IDENTITÉ, C’EST-À-DIRE L’ILLUSION DE S’APPARTENIR(1), confirmé par la possessivité mercantile actuelle du consommateur ou usager : « Votre député, votre santé, vos vacances, vos droits, votre boulanger, votre chien, votre ceci, votre cela », ”COMME SI” le monde était à vous(1), PAR LA PENSÉE DU MONDE ET DE SES OBJETS.
UNIVERS = SANS PENSÉE : AUCUNE DUALITÉ ENTRE UN SUJET ET UN OBJET N’EXISTE. Comme disait Ernest Mach : « L’univers, un être unilatéral dont le complément en miroir n’existe pas, ou, ne nous est pas connu ».
Aucun miroir ne peut saisir la VIERGE NOIRE : non seulement Elle est vierge mais en plus : noire, et en plus Elle a un enfant, LA GRAINE DU RIEN DU TOUT, parce que l’Univers est SANS AILLEURS : le corps NOIR de la Vierge est le TOUT (l’enfant) : le mental sans le mental : L’ENFANT-MONDE de la Vierge et noir, manquent à jamais de leur complément en miroir, puisque le VRAI cesse d’être vrai dès qu’il est vu, ou possédé, dans la dualité du sujet face à l’objet à voir.
« Pour qui est l’illusion ? Il faut bien qu’il existe quelqu’un qui subisse cette illusion [comme pour le temps qui coule, il faut une personne pour le voir].
L’illusion, c’est l’ignorance. Selon vous, c’est le soi [l’ego] ignorant qui voit les objets. Quand les objets eux-mêmes ne sont pas présents, comment la māyā peut-elle exister ? Māyā est yā ma (la māyā est ce qui n’est pas). Ce qui demeure est le Soi véritable. Si vous affirmez que vous voyez les objets ou que vous ne connaissez pas l’Unité réelle, vous devez en conclure qu’il y a deux soi : le connaisseur et l’objet connaissable. Or, personne n’admettrait qu’il existe en lui-même deux soi. L’homme réveillé dit que c’était lui qui était plongé dans le sommeil profond, mais qu’il était inconscient. Il ne dit pas que le dormeur était différent de celui ici présent. Il n’y a qu’un Soi. Ce Soi est toujours conscient. Il ne change pas. Il n’existe rien d’autre que le Soi » (Ramana Maharshi 144, 23-1-1936).
– M. : La Réalisation est déjà là. L’état libre de toute pensée est le seul état réel. Il n’y a aucune action correspondant à une réalisation. Y a t-il quelqu’un qui ne réalise pas le Soi ? Y a-t-il quelqu’un qui nie sa propre existence ? [le scribe de la page souligne]
Lorsqu’on parle de Réalisation, cela implique l’existence de deux soi : l’un qui réalise, et l’autre qui doit être réalisé. On cherche à réaliser ce qui n’est pas encore réalisé. Une fois que nous admettons notre existence, comment se fait-il que nous ne connaissions pas notre Soi ?
– Q. : À cause de nos pensées, de notre mental.
– M. : Tout à fait. C’est le mental qui empêche et voile notre bonheur. Comment savons-nous que nous existons ? Si vous dites que c’est à cause du monde environnant, alors comment pouvez-vous savoir que vous existiez pendant votre sommeil profond ?
– Q. : Comment pouvons-nous nous débarrasser du mental ?
– M. : Est-ce le mental qui désire se tuer ? Le mental ne peut pas se tuer lui-même. Par conséquent, ce que vous avez à faire, c’est rechercher la nature réelle du mental. Vous découvrirez alors qu’il n’y a pas de mental. Quand on est à la recherche du Soi, le mental n’est plus nulle part.
Quand on demeure dans le Soi, on n’a plus besoin de s’inquiéter du mental.
– M. : La Réalisation est déjà là. L’état libre de toute pensée est le seul état réel. Il n’y a aucune action correspondant à une réalisation. Y a t-il quelqu’un qui ne réalise pas le Soi ? Y a-t-il quelqu’un qui nie sa propre existence ?
Lorsqu’on parle de Réalisation, cela implique l’existence de deux soi : l’un qui réalise, et l’autre qui doit être réalisé(2). On cherche à réaliser ce qui n’est pas encore réalisé. Une fois que nous admettons notre existence, comment se fait-il que nous ne connaissions pas notre Soi ?
– Q. : À cause de nos pensées, de notre mental.
– M. : Tout à fait. C’est le mental qui empêche et voile notre bonheur. Comment savons-nous que nous existons ? Si vous dites que c’est à cause du monde environnant, alors comment pouvez-vous savoir que vous existiez pendant votre sommeil profond ?
– Q. : Comment pouvons-nous nous débarrasser du mental ?
– M. : Est-ce le mental qui désire se tuer ? Le mental ne peut pas se tuer lui-même. Par conséquent, ce que vous avez à faire, c’est rechercher la nature réelle du mental. Vous découvrirez alors qu’il n’y a pas de mental. Quand on est à la recherche du Soi, le mental n’est plus nulle part.
Quand on demeure dans le Soi, on n’a plus besoin de s’inquiéter du mental.
(Entretien 146, 26-1-1936).
Dans le ’N’EST PAS X’ il n’y a pas de pensée, comme le confirme l’exemple plus bas du Sûtra du Diamant.
INSAISISSABLE = LA NON-PENSÉE, LA PENSÉE PURE, ABSOLUE.
Carl Gustav Jung évoque le ’N’EST PAS X’ identique à l’insaisissable du GATE GATE, tout aussi insaisissable que le THÈME devenant une VARIATION qui à son tout deviendra un nouveau THÈME et ainsi de suite.
Il écrit, dans Synchronicité et Paracelsica, page 188, L’ASPECT DU ’N’EST PAS X’ en un concept pouvant être employé à la place d’un autre et de façon quasi illimitée. Ainsi chaque concept se comporte EN CIRCULUS : chacune des trois substances du trinitaire en tant que distincte des deux autres mais sont consubstantielle entre elles ; c’est le CIRCULUS. C’est-à-dire que chaque concept serait en même temps de pouvoir en être une autre, SANS ESPACE-TEMPS, SANS LOCALISATION (une apparence de résolution du Moi-Collectif et du Moi-Individuel).
Jung y voit la source de ce qu’il appelle ”la pensée primitive”, qui se retrouve dans la pensée indienne, laquelle fourmille de Circulus (hypostases au sens philosophique et théologique). Bien-sûr ce sera le cas des Dieux de l’Égypte et de la Grèce antiques, avec des Dieux tous en contradiction les uns des autres en ce qui concerne leurs affirmations, mais en Thèmes et Variations et de SYMBOLES JAMAIS FIXES, ils ne se gênent nullement.
– La logique de pensée actuelle ne fonctionne plus QUE SUR DES CHOSES, QUE SUR DES OBJETS, QUE SUR DES IMAGES D’OBJETS-INFORMATIONS, L’HUMAIN ÉTANT LUI-MÊME DEVENU UN OBJET-INFORMATION, et non une PÈRE-sonne, non un Être, il est devenu un AVOIR, UNE VALEUR (de la république commerciale).
– Les Anciens voyaient les choses comme des fonctions d’acquisition de l’information : au Moyen-Âge, signes et choses sont intimement mêlés : après les dévastations des Conquistadors espagnols et portugais, la Renaissance, la Réforme et la découverte de l’imprimerie, les signes deviennent OPINIONS ou artificiels en devenant DES MODES DE REPRÉSENTATION : LES CHOSES FINISSENT PAR ÊTRE RADICALEMENT DISTINGUÉES DES CHOSES REPRÉSENTÉES (ce sera ce que certains appellent : « la société du spectacle »).
Depuis, quand Nous pensons à l’intellect ou à la fameuse ”raison” à la mode du siècle des loupiotes du 18è siècle français – ”raison” elle-même devenu un OBJET COMMERCIAL SOUS LE NOM DE « DROIT D’AUTEUR » OU DE « PROPRIÉTÉ INTELLECTUELLE », tout est ainsi CHOSIFIÉ, RENDU ARTIFICIEL OU RENDU OBJET-OPINION -, Nous utilisons ces fonctions comme des outils si opinionesquement représentés dans l’Encyclopédie des Diderot et Cie. au sens de POSSÉDER DE L’INFORMATION, l’ordinateur de nos jours est CE SUPER OUTIL D’ACQUISITION DE L’INFORMATION, DÉRIVANT VERS L’”INTELLIGENCE ARTIFICIELLE”. EN CE SENS, NOUS AVONS PLACÉ L’OUTIL, L’ORDINATEUR, COMME SI L’INTELLIGENCE ARTIFICIELLE EXISTAIT AVANT L’INFORMATION SUPPOSÉE A RÉCOLTER ET A TRAITER, d’où justement l’appellation anthropomorphiste d’”intelligence artificielle”.
Ainsi les Ancien Égyptiens partaient du concret pour aller vers l’abstrait. Nous, monde de l’ordinateur, Nous faisons le contraire en partant du numérique de l’industrie capitaliste de l’informatique pour aller vers le DEHORS, FAUX ÉVIDEMMENT ! L’INFIRMATIQUE SI INFIRME AUX CHOSES DE LA VRAIE VIE. INFORMATIQUE OU NUMÉRISATION, NORMALISATION DU MONDE QUI STOP, QUI TUE TOUTE PROGRESSION EN GATE GATE DU CONCRET DU MONDE VERS SON ABSTRAIT, VERS SES EAUX PRIMORDIALES ORIGINELLES.
- LA NON-PENSÉE DANS LE SÛTRA DU DIAMANT (le Charbon, le feu caché, il est noir comme la Vierge Noire, son enfant est le FEU, LA VOIE DU DIAMANT, LA VOIE DU CHARBON NOIRE, la formule du charbon est identique à celle du diamant : LA VOIE DE LA RÉALISATION : LE DIAMANT OU CHRIST-AL). Là encore Nous retrouvons Michel Archange en DIAMANT-FOUDRE, PIQUE, POINTE : LE KYKLOPS : Ptah le privé de tout ses membres, et Gardien du Seuil, LE SEUL DRAGON (la Vouivre, le Lion, le Sphinx, la Mélusine) QUE MICHEL NE PEUT TUER (voir la page PTAH en bandelettes privé de ses membres)
- « Dis-moi, Subhûti, peut-on voir le Tathagâta [le Libéré vivant ou Bienheureux] dans les marques d’excellence qui le parent ?
– Certes non, Bienheureux, on ne verra pas le Tathagâta dans les marques d’excellences qui le parent. Pourquoi ? Parce que, comme l’enseigne le Tathagâta, ce qu’on appelle ”marques d’excellence” ne constitue nullement des marques d’excellences ».
À ces mots, le Bienheureux répondit au vénérable Subhûti : « Subhûti, tout ce qui comporte des marques est trompeur. Tout ce qui est dépourvu de marques ne recèle aucune tromperie. Ce n’est donc pas à ces marques que l’on reconnaîtra le Tathagâta, car dans ce qu’on appelle ”marques” on ne trouvera rien de tel que des ”marques” ». (Soûtra du Diamant, V).
Ici on est dans le neutre pur, sans l’anthropomorphisme que l’humain colle sur tout ce qu’il pense. L’anthropomorphisme c’est la racine du mal(1) le Dedans-Dehors : l’humain imagine Dieu Dehors, dans le ciel.
PENSÉE = LOI DE SUCCION VULGAIRE : LA QUESTE DE REPÈRES DE L’HUMAIN, SANS SES BÉQUILLES-INFOS IL SEMBLE PERDU ; sans son évolutionnisme il semble perdu. SANS SA CROYANCE IL SEMBLE PERDU : IL A BESOIN DE CROIRE : au foot, à l’argent, aux systèmes : politiques-économiques, scientifiques, religieux, philosophiques, à la magie, aux Dieux. C’est la SIGNATURE DU CONTRAT AVEC LE SATAM (l’organisateur, celui qui pense) : COM-PRENDRE, SAISIR, par sa loi de succion vulgaire.
L’humain ne peut qu’avoir peur du noir, surtout depuis que l’électricité existe et ses ampoules avec qui fout de la lumière partout jour et nuit et de ce fait tue des formes de vie. L’humain a peur du noir ”COMME SI” l’insaisissable, l’inconnu, devait être connu et DÉGUISÉ EN « SURNATUREL », pour signifier à son mental que ce n’est pas bon a manger ! Pour l’humain des ”Lumières” l’irrationnel ce n’est pas bon à manger, c’est du POISON : LA « SCIENCE » NE L’A PAS ENCORE FAIT VACCINER.
Il est évident que la Réalisation du Soi est beaucoup plus dérangeante, et dangereuse, pour les systèmes dogmatiques et d’opinions tels que : la science, la politique étatique, la religion, la philosophie, qui tous reposent sur LE MENTAL BIEN SOLIDIFIÉ, BIEN OBJECTIVÉ : L’OPINION.
La Réalisation du Soi, vivre L’INSTANT autant dans le sens du sommeil profond que dans « L’ILLUSION DE L’ÉTAT DE VEILLE » EST LE DANGER SUPRÊME POUR LE MONOTHÉISME UNILATÉRAL RÉPUBLICAIN, CETTE VARIATION DU THÈME DU MATÉRIALISME DIALECTIQUE OU DU MENTAL-OBJET MARCHANDABLE, DONT LES ”PROLÉTAIRES” SONT LES CONSOMMATEURS : LES CONSOMMATEURS DE PENSÉES, LES CONSOMMATEURS D’INFOS (réseaux-sociaux et smartphoniques les machines à penser des industries du capitalisme.
LE MENTAL OU LE CERVEAU N’EST PAS DE PRODUIRE, MAIS DE TRANSMETTRE. Mais de nos jours l’ordinateur est CE SUPER OUTIL D’ACQUISITION DE L’INFORMATION, DÉRIVANT VERS L’”INTELLIGENCE ARTIFICIELLE”. EN CE SENS, NOUS AVONS PLACÉ L’OUTIL, LA « PENSÉE-ORDINATEUR », ”COMME SI” L’INTELLIGENCE ARTIFICIELLE EXISTAIT AVANT L’INFORMATION SUPPOSÉE A RÉCOLTER ET A TRAITER, d’où justement l’appellation anthropomorphiste d’”intelligence artificielle”. EN UN SENS CHARLES MARX EST LE WINNER DU MOMENT : LE RÈGNE DE L’OPINION À SON ÂGE D’OR EST LE MASQUE DE L’UNIVERSEL EN INVERSANT LES RÔLES : CE SONT LES ACCIDENTS DU SPATIO-TEMPOREL QUI ENGENDRENT LE Soi…. Le monothéisme unilatéral républicain est une catholicité en creux, comme l’envers d’un cuivre repoussé (pour référence à Jean Coulonval, Synthèse et Temps Nouveaux, lettre 47 au Père Brückberger le 21-1-1978, à propos de sa chronique dans le journal L’Aurore sur le livre de Maurice Clavel : Deux siècles chez Lucifer)
LES ACCIDENTS (du spatio-temporel) C’EST CE QUI NOUS FABRIQUE, QUI NOUS COLLE UN ADJECTIF, UNE ÉTIQUETTE, UNE CARACTÉRISTIQUE, MAIS NON LA LUMIÈRE BLANCHE DE L’INSTANT, SI DANGEREUSE POUT TOUS LES BÉQUILLEUX OU DOGMATISTES, LES FIXISTES, CEUX QUI COAGULENT, QUI FONT DES LOIS PAR LEUR MONDE DES SENS, LEUR MONDE DE LA PENSÉE, DE LA RAISON.
Le catholicisme du monothéisme unilatéral républicain est le ”isme” qui FABRIQUE les consommateurs dans une MATRICE IMAGINÉE PAR LES « DIRIGEANTS » ASSOIFFÉS DE PRODUITS, ce monothéisme qui n’est rien de plus qu’une OPINION-PUBLIQUE : LE PROLÉTARIAT DE CHARLES MARX : UN COMPLEXE SOCIAL D’OPINIONS PRODUCTION DU MENTAL CRIMINEL.
Le monothéisme unilatéral républicain n’est que la MATURITÉ D’OPINIONS CONÇUE COMME CRITÈRE DE VÉRITÉ POLITIQUE : LA MANIÈRE DE VIVRE DANS UNE COMMUNAUTÉ HUMAINE, ce qui est historiquement récent puisque cela date nécessairement du coup d’État du 1789 français. Ce qui n’était que l’éclosion d’une maturation dont les débuts historiques peuvent être reculés en Occident à la Renaissance, après la destruction des Peuples du Soleil par les Conquistadors espagnols et portugais, et l’invention de l’imprimerie qui provoquera la Réforme (protestantisme) : lecture des « infos » disponible pour tous, pour ceux qui pouvaient se payer les livres……
« Existe-t-il deux atman [deux Soi ou deux Dieu] dont l’un réalise l’autre ? Il n’y a pas deux soi. Atteignez d’abord l’âtma-sâkshâtkâra [Réalisation du Soi] et puis voyez ce qui suit ». (Ramana Maharshi 173, 3-3-1936).
« L’ignorance du Soi. Qui est ignorant du Soi ? Le soi serait alors ignorant du Soi. Y aurait-il deux soi ? » (Ramana Maharshi 262, 20-10-1936).
– M. : La tranquillité mentale, la paix, est Réalisation. Il n’y a pas un instant où le Soi n’est pas.
Aussi longtemps qu’il y a doute ou sentiment de non-réalisation, on doit s’efforcer de se débarrasser de ces pensées.
Les pensées sont dues à l’identification du Soi avec le non-Soi. Quand le non-Soi disparaît, seul demeure le Soi. Pour faire de la place quelque part, il suffit d’enlever ce qui encombre. La place ainsi dégagée n’a pas été ajoutée. Mieux encore – la place existait déjà, même quand le lieu était encombré.
L’absence de pensées n’est pas un vide. Il faut qu’il y ait quelqu’un pour connaître le vide [comme pour le temps, il faut quelqu’un]. La connaissance et l’ignorance relèvent du mental. Elles sont nées de la dualité. Mais le Soi est au-delà de la connaissance et de l’ignorance. Il est la lumière même. Il n’est pas nécessaire de voir le Soi avec un autre Soi [comme dans le dilemme Moi-Coljectif/Moi-Individuel]. Il n’y a pas deux Soi. Ce qui n’est pas le Soi est non-Soi [comme la Vérité, Elle est, ou Elle n’est pas]. Le non-Soi ne peut pas voir le Soi. Le Soi n’entend ni ne voit. Il est au-delà de ces deux fonctions, tout seul, en tant que pure conscience.
Une femme s’imagine par erreur avoir perdu son collier qu’elle a toujours à son cou. Elle se met à le chercher partout, jusqu’à ce qu’une amie lui dise qu’il est à son cou. Elle a créé son sentiment d’avoir perdu le collier, sa propre anxiété de le rechercher, puis son propre plaisir de le retrouver [c’est comme cela que les têtes d’œufs au pouvoir INVENTENT LA LIBERTÉ ET LEUR RÉPUBLIQUE].
De même le Soi est toujours présent, que vous le cherchiez ou non. Tout comme la femme s’imagine que son collier a été retrouvé, de même éprouve-t-on le sentiment que le Soi, toujours présent ici et maintenant, se révèle lorsque cessent l’ignorance et la fausse identification. C’est ce qu’on nomme Réalisation. Mais il n’y a rien de nouveau. C’est simplement l’élimination de l’ignorance, et rien de plus.
Le vide est le résultat néfaste de la recherche du mental. Le mental doit être tranché, racines et branches. Cherchez qui est le penseur, qui est le chercheur. Demeurez le penseur, le chercheur. Toutes les pensées disparaîtront.
– Q. : Alors demeure l’ego – le penseur.
– M. : Cet ego-là est le pur Ego, purgé de toute pensée. Il est le même que le Soi. Tant que la fausse identification persiste, les doutes persistent aussi et des questions s’élèvent sans fin. Les doutes cesseront seulement lorsqu’on aura mis fin au non-Soi. Le résultat sera la réalisation du Soi. Il n’y aura plus personne pour douter ou questionner. Chacun devrait résoudre tous ces doutes en lui-même.
Même une multitude de paroles ne pourrait donner satisfaction. Tenez fermement le penseur.
Ce n’est que lorsque le penseur est abandonné [en devenant le consommateur] que les objets apparaissent à l’extérieur ou que des doutes s’élèvent dans le mental.
(Entretien 245, 8-9-1936).
Ainsi ce n’est pas pour demain la VICTOIRE MARXISTE DU PROLÉTARIAT !!! La pensée de Marx ne peut que s’inscrire DANS LE TEMPS (l’historicisme) ET LE CONVENTIONNEL : LA MÊME SOUPE POUR TOUS.
Car comme l’exprime si clairement Ramana Maharshi à 107 le 29-11-1935 : « Les instructions spirituelles diffèrent selon le tempérament des individus et leur maturité spirituelle. Il n’est pas possible d’instruire en masse ». « Instruire en masse » est même le propre du régime républicain et commercial……
MARXISME OU DICTATURE PROLÉTARIENNE = VERROUILLAGE MENTAL PLANÉTAIRE.
Le Terrien, surtout actuel, ne s’intéresse qu’aux objets, donc à l’information formatée ou conventionnelle, dont le sens est prétraité, et qui permet du DEHORS de précéder à la mise en phase mentale de noms-les-formes séparés. Ou simplement, sur au minimum deux humais partageant la même OPINION, alors leur GÉOMÉTRIE MENTALE commune sera comme verrouillée dans une même phase. Les deux personnes pourront alors parler de ”réalité”, soit UNE PENSÉE DE GROUPE au regard de l’opinion ainsi formée, ce résultat de pensée coagulé en OPINION. La conséquence immédiate est la formation d’un ÉGRÉGORE : la pensée du groupe, laquelle peut alors favoriser la création d’égrégore, surtout par la méditation en groupe ; égrégore ou FORME-PENSÉE pouvant à terme devenir une entité autonome ET AUSSI INCONTRÔLABLE QUE LE CAPITALISME. La conséquence de formation d’un tel égrégore est de pouvoir L’AMPLIFIER PAR LE TOUT CONNECTÉ DE GROUPES EN GROUPES (phénomène des réseaux sociaux liée à l’industrie capitaliste de l’informatique), ÉGRÉGORE AMPLIFIÉ DEVENANT AUTONOME, ce qui est appelé de nos jours ”désinformation” par ceux-là mêmes soumis à cet égrégore devenu autonome (style ”Petits Gris”), afin de mettre en place un VERROU PLANÉTAIRE PERMETTANT LE BLOCAGE DE TOUTE RÉALISATION du Soi, donc permettant de bloquer AUSSI tout ce qui est pensé comme
« extraterrestre » ou pensée en dehors du sens humain conventionnel.
Car DÉSINFORMATION = OFFICIEL = toute ”vérité” officielle ou médiatique EST UN MENSONGE PARCE QU’ELLE S’APPUIE SUR LA DEHORS, SUR LA RACINE DU MAL (la saisie en dedans-dehors ou sujet-objet), ELLE S’APPUIE SUR L’OPINION CONSTRUITE SUR LE DEHORS DE L’ESPACE-TEMPS, ELLE S’APPUIE SUR LE BRUIT, LA CACOPHONIE. En l’état actuel du tout connecté informatique, paradoxalement les Terriens sont MOINS BIEN INFORMÉS que du temps où les informations circulaient de bouches à oreilles grâce aux pieds des colporteurs qui passaient de village en village ou grâce aux cavaliers à cheval qui faisaient de même. C’est pourquoi et paradoxalement au tout connecté technologique les Terriens n’ont jamais été autant manipulable, et les égrégores devenus autonomes peuvent opérer sur des BOUTS DE PENSÉES DU TERRIEN, lequel soumis à la tyrannie de l’opinion sera limité sur un segment de données, et il rejettera celles qui ne s’accordent pas avec sa tendance. Ainsi l’ensemble de tous segments de données possibles sera vu comme des petits bouts de machins. En politique étatique ou du Pour-Voir cela s’appelle DIVISER POUR RÉGNER.
Notes.
1. – SHUN : Peut-on atteindre la Voie [Tao ou Soi-Instant, la Réalisation de la Libération] et la Garder ?
– ZHENG : Vous ne pouvez garder votre corps, comment pourriez-vous garder la Voie ?
– SHUN : À qui est donc mon corps, s’il n’est pas à moi ?
– ZHENG : C’est une forme qui vous est fournie par le Ciel et la Terre. La vie ne vous appartient pas : c’est une harmonie qui vous est fournie par le Ciel et la Terre. La Nature ne vous appartient pas : elle vous est fournie par l’Univers. Vos descendants ne vous appartiennent pas : ils ne sont que mues confiées par l’Univers. C’est pourquoi vous marchez sans savoir où vous allez, vous vous arrêtez sans savoir où vous restez, vous mangez sans connaître les saveurs. Telle est la force du souffle Yang de l’Univers. Comment pourriez-vous posséder quelque chose ?
(Lie Tseu, Traité du vide parfait, chapitre Présages célestes 14).
Pas de possession de l’existence. De même la vie n’appartient pas au réseau républicain étatique ou à un ”nouvel ordre mondial”.
2. Deux Soi ou la fameuse SORTIE de l’Univers : la dualité du sujet qui étudie en pa(e)nsée, en calcul donc, l’objet étudié, et comme l’Humain est LUI-MÊME L’UNIVERS, LA GLOBALITÉ – comme l’indique Ramana Maharshi cité plus haut à 146 : « Le mental ne peut pas se tuer lui-même. Par conséquent, ce que vous avez à faire, c’est rechercher la nature réelle du mental. Vous découvrirez alors qu’il n’y a pas de mental » – cet Humain est de ce fait dans l’impossibilité de se poser comme sujet étudiant d’un ”Univers” qui lui serait extérieur. C’est géométrique et temporellement impossible, surtout à l’état de veille à cause de la raison qui calcul ou pense !