Paradoxal ce monde actuel de la ”vertu républicaine” est un monde ANTI-FEU, ANTI-SEXE, un monde mécanique, le monde des arnaques en tous genres conséquence des machines des industries informatiques du capitalisme.
« Les instructions spirituelles diffèrent selon le tempérament des individus et leur maturité spirituelle. Il n’est pas possible d’instruire en masse ». (Ramana Maharshi 107, 29-11-1935).
IL N’Y A PAS DE PIRE DRAME SOCIAL QUE D’ACCULER LES PEUPLES À LA SAINTETÉ. ET C’EST CE QU’IL EST EN TRAIN DE S’ACCOMPLIR AVEC LES BÉTHARRAM, LES METOO, LES ABBÉ PIERRE ET GÉRARD DEPARDIEU.
Ce monde est infesté par les ”lumières”, ces prêtres « alliés de Dieu » : LES LUMIÈRES DU VICE, SUPRÊME PRODUCTION DE LA DÉCADENCE, ENGENDRE LES « LUMIÈRES RÉPUBLICAINES DE LA VERTU », SOIT UN MONOTHÉISME UNILATÉRAL RÉPUBLICAIN.
De nos jours le « sécuritaire » ou tout confort par la technologie des usines du capitalisme donnent au MAL lui-même les apparences du « bien ». Et ce péché, qui est nécessairement celui des ”Lumières”, ou des METTEURS EN VALEUR DU TEMPS (juif) est toujours plus difficile à guérir que n’importe quel péché de démesure, car le pécheur par la pollution du puits qui le rend inutilisable en prend conscience, alors que les prêtres des ”Lumières” et de leur république se croient vertueux parce qu’ils respectent la configuration du puits ; l’eau la plus polluée leur paraît vierge pourvu qu’elle soit contenu au fond du puits des conventions sociales et de leur ”bon sens”.
La société actuelle avec sa prudence et sa mesure tout confort dans l’impureté donnent à son mal profond lui-même les apparences du bien : les « loupiotes », les « Lumières », le « peuple élu », l’utilitarisme aliénant.
La Bétharramisation et le Metooisme de la communauté humaine = LE symptôme de la décadence de la communauté humaine. Le symptôme du « MIEUX » de l’évolutionnisme juif et de Leur Lourianisme : « alliance avec Dieu », EST UN ENGIN DE MORT DE L’HUMANITÉ : tout dans l’Ancien Testament tourne autour du PÉCHÉ DE VIVRE : ADAM est éjecté du Paradis et condamné à vivre, et biens-sûr à produire ! LA VIE AVEC LES JUIFS ÇA DEVIENT UN EXIL, UN CHÂTIMENT, alors ils vont inventer l’usure et les banques POUR « RACHETER LES PÉCHÉS » ; TOUT EST COM-MERCE POUR EUX, TOUT EST CALCUL AUGMENTÉ PAR L’HORMONO-DÉPENDANCE PSYCHIQUE SUITE À LEUR CIRCONCISION AU HUITIÈME JOUR DE LEUR NAISSANCE.
Transhumanisme et autres ARN messager sont des CONDAMNATIONS JUIVE À VIVRE, DES CONDAMNATIONS À METTRE EN VALEUR LE TEMPS ET L’ILLUSION DU GRAND JEU DU FAIRE SEMBLANT, ET FAIRE DU COM-MERCE BIEN-SÛR.
QUE RENVOIE LE CONCEPT DES « LUMIÈRES » ?
L’éclairage bien-sûr, soit : LA RAISON, LE MENTAL.
LE PHÉNOMÈNE MENTAL :
Phénomène du mental qui nécessairement engendre le phénomène de l’éclairage ou du FEU VULGAIRE. L’éclairage sera nécessairement en premier, ensuite, viendra la CUISSON (métallurgie, fondre, et par là-même la naissance de la thermodynamique). Car seuls les changements pas le feu sont des changements À VUE D’ŒIL, RAPIDES, PROFONDS ET DÉFINITIFS.
ÉCLAIRAGE OU LUMIÈRE = LE PREMIER CONCEPT DE PHÉNOMÈNE (spectre-spectacle, fantôme, apparence, manifestation, illusion, fait, expérience et par là-même dualité DEDANS-DEHORS ET SAISIE, surtout dans la dualité du manque et du reste). DE LÀ VA NAÎTRE le concept d’évolutionnisme, de « mieux » : « L’évolution ne peut se faire que d’un état à un autre. Quand aucune différence n’est admise, comment peut-il y avoir évolution ? » (Ramana Maharshi 264, 20-10-1936).
PHÉNOMÈNE DU FEU VULGAIRE = NAISSANCE DU CONCEPT ET DUALITÉ DE CAUSE-EFFET, avec le ”Big Bang” moderne. « L’homme rattache toujours un effet à une cause ; et puisque la cause elle-même doit avoir une cause, cette argumentation devient interminable. En rattachant un effet à une cause, l’homme est obligé de penser. Finalement, il est conduit à découvrir qui il est lui-même. Quand il connaît le Soi, il atteint la paix parfaite. Ce n’est que pour aboutir à cette perfection que l’homme doit évoluer ». (Ramana Maharshi 644, 3-3-1939).
FEU = FLÉAU : tout écart est fatal, la pièce est ruinée. Si le Feu s’emporte ou est trop violent, ou s’il s’assoupit, là encore le désastre sera son caprice.
- À partir de la découverte du feu vulgaire, tout le langage de l’Homo-Religiosus en sera perturbé, car il passera D’UNE PENSÉE DIRECTE SUR LES CHOSES À UNE PENSÉE SUR LE SPECTRE-SPECTACLE : UNE PENSÉE SUR LES REPRÉSENTATIONS DES CHOSES. REPRÉSENTATION ÉQUIVALENTE AUX « SPÉCIALISTES », AUX INTERMÉDIAIRES, REPRÉSENTATION ÉQUIVALENT AU « PEUPLE ÉLU » CES GRANDS-PRÊTRES « CHOISIT » PAR DIEU (COMME REPRÉSENTANT DE COM-MERCE : L’ALLIANCE). AVEC LA DÉCOUVERTE DU FEU VULGAIRE, L’HUMAIN TOMBAIT DANS UNE PENSÉE SUR LA PENSÉE, UN FAUX DEDANS DE LA DUALITÉ DEDANS-DEHORS, UN FAUX « PRENDRE SUR SOI » (le citoyenisme notamment, le consommateur). Depuis la découverte du feu vulgaire, Nous avons rompu, dans nostre vie consciente à l’état de veille, le contact direct avec les étymologies premières puisque Nous sommes passés à une pensée sur la pensée.
- DÉCOUVERTE DU FEU VULGAIRE = RAISON, CONSCIENCE : le feu devient alors LE TRAIT D’UNION de tous les symboles : il unit la conscience et l’objet, et inversement, Il devient LA Conscience en idéalisant l’objet, la matière ; il matérialise donc la connaissance : IL ÉCLAIR, ALORS DÉSORMAIS, IL DEMANDE UNE CONNAISSANCE OU UN CONTRÔLE TOTAL, celui du « Je suis ce JE-SUIS, AFIN DE NE PAS SOMBRER DANS L’UTILITARISME (le ”mieux”, la métallurgie ou le productivisme utilitaire). PARCE QUE LE VRAI FEU, C’EST NOUS, C’EST LE Soi, le ”Je suis ce JE-SUIS”.
Cet éclairage demande donc un contrôle absolu par le ”Je suis ce JE-SUIS”, CAR MAINTENANT IL EST IMPOSSIBLE DE L’ÉTENDRE : LA SUBSTANCE EST CAPRICIEUSE COMME TOUT HUMAIN, ELLE EST DOIT DONC ÊTRE, le Soi, et non sombrer comme maintenant dans l’A-voir, de l’ego du ”Votre ceci, votre cela”. Le Vrai Feu ne peut qu’être UNE PERSONNE (d’où l’idée du ”Buisson ardent” symbolisant la Présence de Dieu, le ”Je suis ce JE-SUIS”. Dans la tradition celtique, Buisson : godeu, signifie à la fois arbrisseau et pensée).
Le feu vulgaire est celui de la MANIPULATION SOUS LE NOM « ÉCLAIRAGE », DE LA MAIN-MISE (COM-merce), de l’utilitarisme productiviste. LES « LUMIÈRES » = COM-merce, UTILITÉ, éclairage ou raison (FAUSSETÉ, CALCUL, MENSONGES, etc.)
BANQUE = FEU VULGAIRE BOULIMIQUE MALADE QUI MANGE SANS ARRÊT. Ainsi, la banque est maintenant devenu comme une personne VIVANTE…
Le GATE GATE « Gate gate pâragate pârasamgate bodhi svâhâ » du Soûtra du Diamant (Allé, allé, allé au-delà, allé complètement au-delà, l’Éveil, ainsi). S’accompagne nécessairement de la Connaissance transcendante par le Principe du ”N’EST PAS X” : revient à dire que les choses ne sont que des désignations, des pointages sur les choses, de simples imputations nominales (en tibétain : tha-snyad), elles sont dépourvues d’être en et par soi, ELLES NE SONT PAS POSSÉDABLES PAR LE MENTAL = le FOYER, le RÊVEUR : l’humain devant son FOYER (Retournement de la Lumière(1)) devient l’humain des profondeurs et donc du GATE GATE et de l’absence de la dualité la racine du mal du Dedans-Dehors et de la saisie. L’humain du Gate Gate est bien celui du ZÉRO INDIEN ou DEVENIR.
Le feu vulgaire est le premier
phénomène nommé « DIEU ».
CONSÉQUENCE : Bétharramisation
et Metooisme de la communauté
humaine = LE symptôme de la
décadence de la communauté
humaine. Le symptôme du ”MIEUX”
de l’évolutionnisme juif et de
Leur Lourianisme : ”alliance
avec Dieu”, EST UN ENGIN DE
MORT DE L’HUMANITÉ.
Verset 29 du Tao-tö king :
Qui cherche à façonner le monde,
je vois, n’y réussira pas.
Le monde, vase spirituel (2), ne peut être façonné.
Qui le façonne le détruira.
Qui le tient le perdra.
Car tantôt les êtres vont de l’avant,
tantôt ils suivent,
tantôt ils soufflent légèrement,
tantôt ils soufflent fort,
tantôt ils sont vigoureux,
tantôt ils sont débiles,
tantôt ils restent fermes,
tantôt ils tombent.
C’est pourquoi le Saint évite tout excès
tout luxe et toute licence.
(Lao-tseu : Tao-tö-king, Verset 29, traduction du chinois de Liou Kia-hway)
LE VRAI FEU OU VRAIE LUMIÈRE EST INTIME, elle n’est pas une conscience collective ou républicaine, une conscience de la QUANTITÉ, DU CALCUL, DU CHIFFRE INFORMATIQUE. LA VRAIE LUMIÈRE EST INDIVIDUELLE, elle est le Soi, la Conscience Infinie.
Le Vrai Feu est donc en NOUS, avant d’avoir été découvert par l’intermédiaire de la foudre tombant sur un grand arbre. La Lumière est en NOUS, et certainement pas dans « les Lumières », du Dehors : les spectres-spectacles, les Grands Prêtres du « peuple élu » ou « choisit » (alliance avec Dieu, et de nos jours L’ALLIANCE AVEC L’INTELLIGENCE ARTIFICIELLE, L’ALLIANCE AVEC LES MÉCANIQUES ET LA SPIRITUALISATION RÉPUBLICAINE DES MASSES).
Notes.
1. « Lorsqu’on utilise cette technique pour la première fois, on a l’impression d’un non-être dans l’être. Mais une fois le travail achevé, quand on a un corps au-delà du corps, on a l’impression d’un être dans le non-être [le « sentiment océanique » de Jean Coulonval] ».
« Ce n’est qu’au bout de cent jours de travail concentré que la lumière est réel, qu’elle est le feu du mental. Car au bout de cent jours, la lumière jaillit spontanément : de même que le rapport entre une femme et un homme forme l’embryon, soudain, d’un point d’authentique énergie positive, surgit une perle. Il convient de l’observer, calmement, tranquillement. Le retournement de la lumière est le processus de « mise à feu ». […] La Lumière n’est ni en soi ni en dehors de soi. Les montagnes, les rivières, le soleil, la lune et toute la Terre participent aussi de cette Lumière qui ne se trouve pas seulement en soi. Toutes les opérations de l’intelligence, la connaissance et la sagesse, participent également de cette Lumière qui ne se trouve donc pas en dehors de soi. De même que la Lumière du ciel et de la terre emplit l’univers, la Lumière d’un seul Être s’étend naturellement aux cieux et embrasse la Terre. Voilà pourquoi si l’on retourne la Lumière, le monde entier se retourne également », dit si clairement le Secret de la Fleur d’Or. Centrum Centri, se concentrer là-dessus « pour passer la Porte [Stargate] », pour vivre le Point Focal…
Riplée (Ripley) définit la Putréfaction, la mort des corps et division de la Matière, comme la conduisant à la division, donc au démontage, soit LA CORRUPTION SUIVIT DE LA GÉNÉRATION (voir plus bas la recomposition de la Barque du Passeur (a)) : « la Putréfaction est l’effet de la chaleur des corps entretenue continuellement, et non d’une chaleur appliquée manuellement. Il faut donc se donner garde de pousser la chaleur excitante et extérieur au-delà d’un degré tempéré : la matière se réduirait en cendre sèche et rouge, au lieu du noir, et tout périrait », dit fort à propos Dom Antoine-Joseph Pernety à l’article Putréfaction dans son Dictionnaire Mytho-Hermétique.
a. La MAIN VIVE EST DU THÈME DU PASSEUR, DU PONTIFE, CELUI QUI FAIT PASSER LE PONT, CELUI QUI OUVRE, comme l’Égyptien ancien qui arrivé à un cours d’eau aurait besoin de le traverser, il appellerait alors un passeur et lui demanderait de lui amener la barque et de le faire traverser, comme le Pontife, comme la Main vive ou la Main Ouverte (rien à cacher).
2. L’expression « vase spirituel » évoque quelque chose de très fragile, d’imprévisible et de terrible (comme tout le sacré).
La notion de vase évoque aussi quelque chose qu’on peut casser à tout moment. Le vase est un symbole de contenant quelque chose d’aussi précieux qu’un trésor, d’où le vase alchimique et hermétique contenant les secrets de la jonglerie d’atomes, ou métamorphose, ou transmutation.
Le feu vulgaire, le ”COMME SI” : ON Y CROIT !
C’EST LE SPECTRE-SPECTACLE, LA REPRÉSENTATION