Petite CAVE OU CHAT BOTTÉ : LA HAINE DU JUIF OU DU RUSSE est ce PETIT CAVE ou POINTE aspirante (anti-gravité) : Miscouri (petite cave en chipriote à cause des lieux où il vit) le Blanc de l’Instant attire Toujours et les Juifs et les Russes le savent : ILS SONT COMME DES AIMANTS (magnétite ou LOI DE SUCCION VULGAIRE ou MATÉRIEL, UTILITAIRE, mais aussi SPIRITUEL : loi de succion vulgaire et Vraie Loi de Succion).
Juifs comme Russes, et plus anciens : SCYTHES, sont INSAISISSABLES DONC INNOMMABLES, CACHÉ COMME DES TERRORISTES.
INSAISISSABLE : AUCUN MIROIR NE PEUT SAISIR LE REFLET DE L’UNIVERS COMME AUCUN ŒIL NE PEUT VOIR LE CORPS DE LA VIERGE NOIRE, OU D’UNE AUTRE COULEUR TOUT AUSSI PENSÉE.
L’Univers est SINGULARITÉ, c’est ce qui entre dans le PARADOXE et problème depuis des millénaires du Néolithique du Moi-Collectif et Moi-Individuel.
INSAISISSABLE COMME LA RECHERCHE DE SA PROPRE IDENTITÉ : dès que le Vrai est saisi, il devient faux. Car le Vrai ou Seul Réel étant l’Instant, le Ici et Maintenant, il est sans double, sans la dualité d’un sujet examinant son double : l’objet. Le Dedans-Dehors n’existe que dans le mental.
IDENTITÉ = NON-IDENTITÉ EN UN ENSEMBLE ILLIMITÉ. CAR S’IL ÉTAIT IDENTIFIÉ IL SERAIT PAR LÀ-MÊME LIMITÉ. C’EST POURQUOI IL NE PEUT EXISTER DEUX UNIVERS, DEUX GLOBALITÉS DE CONSCIENCE ET D’EXISTANT, CAR AUCUN NE POURRAIT ALORS ÊTRE DIT « UNIVERSEL », PARCE QUE NE CONTENANT PAS L’AUTRE ET ÉTANT LIMITÉ PAR LUI. Cela pour la même raison que, si l’on tient que le Soi, l’Instant, Dieu, est infini, il y en a nécessairement un seul, puisque s’ils étaient deux, chacun étant limité par ce qui le distingue de l’autre, aucun ne pourrait être dit ”infini”.
Le concept d’Univers, d’où découle la notion d’universel, se présente donc comme identique au concept du TOUT INSAISISSABLE ET ILLIMITÉ.
SINGULARITÉ, INSAISISSABLE, PARCE QUE RIEN NE PARAÎT CE QU’IL PARAÎT ÊTRE.
INSAISISSABLE COMME CE QU’ON APPELLE DE NOS JOURS : « INCONSCIENT » (mot récent daté, d’après le Dic. Le Robert, de 1820), et équivalent du SOMMEIL PROFOND (ou dans le sens médical actuel : COMA, comme si le corps était réduit à l’état de ZOMBI, coma en grec : kôma : sommeil profond).
SOMMEIL PROFOND (en sanskrit, état de sushupti) : « il n’y a plus
d’identification avec le corps et donc pas de perceptions ; de même, dans l’état transcendantal, l’identité avec le brahman [l’Absolu] met l’homme en harmonie avec toutes choses, et il n’y a rien qui soit séparé du Soi ». (Ramana Maharshi, entretien 2 du 15-5-1935).
Dans l’entretien 3, même date : « Dans le sommeil profond, l’homme ne possède rien, pas même son propre corps. Et au lieu d’être malheureux il est parfaitement heureux. Chacun désire dormir profondément. La conclusion en est que le bonheur est inhérent à l’homme et n’est pas dû à des causes extérieures. Pour ouvrir les réserves du bonheur parfait, il faut réaliser le Soi ». Le Soi qui est le témoin dans les états de sommeil profond, de rêve et de veille. « Ces trois états appartiennent à l’ego. Le Soi transcende même l’ego.
N’existiez-vous pas durant le sommeil profond ? Saviez-vous alors que vous dormiez et que vous étiez inconscient du monde ? Ce n’est qu’en état de veille que vous décrivez cette expérience de sommeil comme étant inconscience ; pourtant votre conscience quand vous dormez est la même que lorsque vous êtes éveillée. Si vous savez ce qu’est cette conscience de veille, vous connaîtrez la conscience qui se tient comme témoin dans les trois états. Cette conscience peut être trouvée en cherchant la conscience telle qu’elle était durant le sommeil profond [c’est le site qui souligne] ». (Entretien 13a du 7-1-1935).
Si on vous répond que c’est le vide, le néant, le Maharshi répond ainsi dans le même entretien 13a : « Pour qui est le vide ? Cherchez. Vous ne pouvez vous nier vous-même à aucun moment. Le Soi est toujours présent et subsiste dans les trois états [veille, rêve, sommeil profond (appelé ”coma” par des médecins)] ».
Le Juif ERRANT, le Russe tout aussi errant.
Le Juif est protégé depuis 1945 par le ”Camp du Bien”, la même fausse protection que celle de l’étatisme du régime républicain de 1789 qui se croit « ARRIVÉ » (dans sa logique du ”Plus jamais ça”, c’est-à-dire : toujours [moins de liberté]).
Le Russe ne sera protégé par PERSONNE, sauf par sa SINGULARITÉ, DONC AU-DESSUS DU JUIF qui lui a besoin des autres pour se faire VALOIR : LE RUSSE ARRIVE AINSI AVANT le Juif, et ce temps est venu.
LE RUSSE C’EST CARABAS, LE CHAT MISCOURI, LA PETITE CAVE.
Le Juif est un FAUX JUIF ERRANT en forme de commerce dans un « monde-hôtel » où l’argent erre puisqu’il est accepté partout comme la langue anglais : IL N’A PAS D’ODEUR, IL N’EST DONC PAS SALE, PAS CACHÉ, IL SE MONTRE, IL SE WINNERISE : voyez les BIG-BOYS ET LEUR GIGANTISME PAR L’ARCHITECTURE DANS LAQUELLE ILS VIVENT.
Le Russe est un VRAI HUMAIN ERRANT, ce serais-ce que par la géographie où il vit. Le ”camp du bien” le fabrique en LOSER : infériorité matériel, technologique et économique, et bien-sûr politico-social : comme si le Russe était un sauvage et un ivrogne buveur de vodka.
Le Russe en tant que VRAI RUSSE ERRANT, EN GATE GATE, est OUPOUAOUT (aussi appelé Ophoïs), le Gate gate d’Assiout : Celui-qui-ouvre-la-voie, le préposé au bon déroulement du Voyage de Ré. Représentation applicable bien-sûr à tous les chiens de chasse et les chiens de policiers qui effectuent des recherches. Sa nature divine recouvre deux aspects distincts : Dieu guerrier et Dieu funéraire, tous deux associés aux divinités canines.
OUPOUAOUT est une Variation du Chat Botté.
Oupouaout ou Ophoïs devenir le Thème Osiris.
Ici une prière à Ophoïs, stèle (893) 47 du British Museum lignes 11-18 : les lignes 1-11 constituent un hymne à Osiris reproduisant le chap. 128 du Livre des Morts.
Salut à toi, Ophoïs, qui est à la tête des baïs [Ankh, Ka, Ba : éléments constitutif de la Personne et des Dieux, le Ba est souvent représenté comme un oiseau jabirou]].
Toi qui apportes et qui fais ce qui est bon,
apporte ce que tu as fait de bon pour moi [la qualification de ”le bon” le rapproche d’Osiris et explique la démarche du suppliant confiant en son intervention bienfaisante].
Salut à toi, Rê, Seigneur de l’Énnéade,
Ophoïs le parfait,
Harsaphès [une Variation d’Osiris] qui es à la tête d’Abydos,
Qu la vie soit à toi !
Que ton sceptre hepet [insigne du roi lors d’un parcours rituel d’intronisation] soit à toi !
Que ta couronne oureret [couronne blanche caractéristique d’Osiris] soit à toi !
Que le septre-hepet soit donné au Seigneur du hepet,
Harsaphès qui est à la tête d’Abydos.
Salut à toi, Ophoïs,
à qui a été donnée a parole (?) de l’Unique.
Ton ka vit de tes formules,
ô Nema [Dieu nain en une Variation du Thème Osiris], Dieu unique, doux d’allégresse !
Tu as donné la force, les fleuves, les offrandes, les eaux (?)
lors de ta venue ;
ô Ophoïs, Seigneur de l’Oliban [résine odoriférante],
qui produit l’encens.
Hathor [Divinité céleste] te contente en ce jour où je suis entré vers Ophoïs,
en qualité d’Horus, Seigneur de justice [assimilation de ce Dieu à Osiris, on est toujours dans LA MUSIQUE DE THÈME ET VARIATION ET DE TRANSMUTATION DE L’UN EN L’AUTRE SELON LE PRINCIPE DU GATE GATE],
et o où j’ai reçu les faveurs d’Ophoïs,
où j’ai répandu ma crainte sur la terre.
Ô toi qui protège (?) sans cesse,
je suis le quatrième de ces quatre Dieux
qui écartent le faux-pas [glisser et allusion obscure possible au mythe d’Osiris].
Que Chou [Dieu de l’air] démembre [massacre] et frappe de stupeur quiconque forme un dessein (mauvais, la finale du texte a une coloration magique).
tout Dieu qui se sera opposé à Ophoïs.
Qu’il entende la bonne parole en ce jour !
Qu’il me protège contre tout mal
de cette <année ?>, de cette nuit, de ce jour ;
de la main de […….]
(Hymnes et prières de l’Égypte ancienne, par André Barucq et François Daumas).
Oupouaout un Abaris le Scythe avant l’heure !]
OUPOUAOUT est une Variation du Chat Botté : PETITE CAVE, LE TROU, L’OUVERTURE, LE GATE GATE QUI OUVRE LES CHEMINS : NE POINT ATTACHER UN INSTANT QUI PASSE À UN AUTRE INSTANT. « Gate gate pâragate pârasamgate bodhi svâhâ », du Soûtra du Diamant (Allé, allé, allé au-delà, allé complètement au-delà, l’Éveil, ainsi).
Rien de plus difficile que le sans trace, l’insignifiant. LE RUSSE EST LE SANS TRACE. LE JUIF LAISSE DES TRACES PARTOUT OÙ IL PASSE, COMME L’ARGENT, IL SE PLANQUE MÊME DANS LE SANS TRACE : IL SE PLANQUE MAINTENANT DANS LE VIRTUEL (Google etc. du sionisme en vallée siliconnée).
Le Russe est en OUPOUAOUT, EN GATE GATE ou en DHYANA (contemplation) : ENGAGÉ SUR LA VOIE, COMME EN GATE GATE, COMME OUPOUAOUT. OUVRIR sans arrêt des PORTES, OUVRIR LA PORTE DES PORTES, SANS FIN. Et c’est le Mystère d’Oupouaout ou du Miscouri, la Petite Cave, LA POINTE, LE TROU, L’INNOMMABLE, LE NOIR-BLANC DE L’INSTANT, LE CELLIER, TOUT CE QUI EST CACHÉ : O, EAU, ORIGINALE.
Le Russe en tant qu’OUPOUAOUT ou Petite Cave ne dévoile JAMAIS ses possibilités. C’est pourquoi Vladimir Poutine pouvait déclaré récemment :
- « Aujourd’hui, la Russie dispose de toutes sortes d’armes dans l’histoire du monde, je le souligne. (J’ajoute : vous n’en avez aucune idée.)
Vous n’avez rien vu de la Russie et de ses possibilités en Ukraine, car l’Ukraine est notre pays historique, et il y a des Russes en Ukraine, et nous les sauvons, et il ne s’agit pas d’une guerre, mais d’une opération militaire. (C’est vrai.)
En revanche, ce ne sera pas comme en Ukraine ; Voilà ce que vous devez savoir.
Quant à savoir si nous sommes prêts à négocier la paix, nous l’avons toujours été, mais personne ne voulait négocier avec nous.
Bien sûr, la Russie n’a pas d’amis parmi les dirigeants de l’OTAN et de l’Europe, car elle est un pays puissant et immense, ce que vos collègues de l’OTAN et de l’Europe ne souhaitent pas. - Mais acceptez-le !
Vous aurez beau répéter qu’un jour la Russie sera vaincue… Je crois en Dieu, et Dieu est avec nous. La fin du monde peut arriver plus tôt, mais la Russie ne tombera pas ».
Nous n’avons pas besoin d’un monde sans Russie ».
La Russie ne tombera pas parce qu’elle est LA PARÈDRE (ou la Variation du Thème) de PAR-ISIS (Paris en France) : LE PAYS DU SURFEU.
PARISIS LE SURFEU. ISIS = LA FRANCE – OCCIDENT DE ”OCCIR” = MORT, PUTRÉFACTION, RENONCEMENT, LIQUÉFACTION = PARIS NOUVEL ATLANTIDE = YS.
L’ESSENCE DE LA FRANCE, DE L’EUROPE, EST DANS L’ANCIENNE ÉGYPTE, et dans la RUSSIE comme l’indique PARIS LA VILLE D’YS (Cassiopée) ; DANS LE NOIR, LA NUIT OBSCURE, COMME LE SILENCE ; Paris et Par (pair) YS, PARISIS en proclamant que la fin de la capitale PARIS SERA la re-découverte de la ville engloutie d’YS… YS l’Eau Primordiale, TIAMAT, le SAINT CHAOS, le NIRVANA…
PARIS C’EST LA VILLE D’YS (Cassiopée) ; DANS LE NOIR, LA NUIT OBSCURE, COMME LE SILENCE ; Paris et Par (pair) YS, PARISIS en proclamant que la fin de la capitale PARIS SERA la re-découverte de la ville engloutie d’YS… YS l’Eau Primordiale, TIAMAT, le SAINT CHAOS, le NIRVANA… et bien-sûr LA CHAISE D’ISIS, genre celle des montagnards auvergnats du 19è siècle avec son pied unique (en forme de T) qui s’enfonce en terre quand le paysan s’apprête à traire sa vache. Là on est dans le Thème de l’Aiguille, du Point Focal (et de la MASSE au sens ”électronique” ses débuts avec les tubes, TERRE-CIEL : en Haut comme en Bas et l’inverse. IMPORTANT puisque une forme de l’électronique devait bien exister dans l’Égypte ancienne en un mélange d’électricité statique, de magnétisme, et de minéraux divers….).
Les deux voies les deux vagues raciales. RE-TROUVER LA VRAIE VOIE, CELLE DE L’EAU PRIMORDIALE.
Avant “la Chute Trinitaire” (biblique) la Matière était arrangée autrement : la 3ème race androgyne les Lémuriens, ceux d’avant la Chute dans la Matière, là où l’Espace n’avait pas de “temps”. C’est leurs “parties matériels” qui ont donné naissance aux Atlantes d’où la Chute EN DEUX VOIES : LA SAGESSE DE VIE DE CERTAINS ATLANTES, LE MERCANTILISME COMMENÇANT-COMMERÇANT CHEZ D’AUTRES. alors arrive la Chute et l’abus du Savoir, l’abus de la Connaissance, comme ce qu’il se passe actuellement.
Une cité hyperboréenne pourrait bien se situer « vers » la Sibérie. Ce n’est pas par dérision que l’écrivain russe Ossip Senkovski, dans : Voyages fantastiques du baron Brambeus, trad. Paul Lequesne, où il est question de la découverte du sens concret de la lecture des Hiéroglyphes de l’Ancienne Égypte AVANT Champollion, découverte par l’égyptologue Ivan Alexandrovitch Goulianov (1749-1841), dans son Archéologie Égyptienne, qu’Ossip Senkovski, héritier d’un esprit frondeur à la Savinien de Cyrano de Bergerac, aborde l’origine de la naissance des Hiéroglyphes de l’Égypte ancienne.
FUSEAU-FUSÉE À RAPPROCHER DE L’ARCHE (d’Alliance et celle de Noé du déluge) ; ARCHE OU SHIP, ESQUIF… Embarcation en forme de FUSEAU, aussi du Thème de Shiva le destructeur et transformateur. Dans les pays scandinaves ces fuseaux-embarcations servaient de cercueil. Ce vaisseau devait conduire le Viking dans la Vraie Demeure : celle de l’éternité. L’arche de Noé embarque tous les noms-les-formes de l’inconscient collectif du moment, idem avec la barque de Charon. Si bien que l’archétype de l’Arche pourrait être d’origine boréale (au Nord, et les Hiéroglyphes égyptiens pourraient avoir naissance AU NORD, vers l’ÎLE AUX OURS, mais à une époque où tous ces pays du Nord avaient un climat tropical, qui se transformera en Sibérie septentrionale et glaciale, et pays tropicaux qui seront englouti pour partie par l’océan Arctique, « comme le démontre assez la configuration de la Lena. Voila pourquoi nous trouvons des inscriptions égyptiennes sur l’Île aux Ours » (page 93, Ossip Senkovski, Voyages fantastique du baron Brambeus).
Shiva est le principe de construction-destruction : la mort en forme de SURFEU où le corps s’INSTANTISE (s’actualise) exprimant telle la flamme de la bougie ou la BRAISE si lumineuse avant de s’éteindre la preuve absolue de son EST, de son ÊTRE.
Le culte du VOILE ou du RIDEAU institué par Moïse était inspiré des Lévites qui l’avaient probablement importé de la Baltique, dont comme ci-dessus vers l’Île aux Ours, avant d’atterrir en Égypte par les tribus sémitiques déjà envahissant la Palestine. L’apparition du « Buisson Ardent » en fournit une preuve. « Le nom d’Herta, la terre vierge, se retrouve dans l’assyrien Irsit, dans l’hébreu Herets (à rapprocher du hepet égyptien cité plus haut dans la prière à Oupouaout) et dans le chypriote Ersa ou Arsos, qui veut dire hérissé, et par extension RONCE, FOURRÉ, à rapprocher de la Pierre levée, LINGA, et la Couronne d’épines : les rayons lumineux qui émanent du corps du Rédempteur. La RONCE et ses épines évoquent évidemment OUPOUAOUT : le Sentier est encore vierge, il est couvert de RONCE, la terre est vierge, Oupouaout ouvre le chemin, comme le Christ….
Le buisson ardent dans lequel apparaît « Élohim » se nomme en hébreu Çnah, d’où est venu le nom de Sinaï. C’est le genre de ronce qui produit chez nous la mûre sauvage (1), et la mûre est elle-mêle la Déesse Myrrha ou Miriam, fille du Buisson. Aussi porte-t-elle toujours dans sa coiffure des fleurs de cet arbuste épineux, qui, en latin, se nomme sentis. Zan est resté le nom du vieux Jupiter doriens, et la capitale des Chétas se nommait ”Sanis”. Le même Dieu se nomme en étrusque ”Tinia”. Tous ces mots sont synonymes et veulent dire ÉPINE, du latin TENUIS, AIGU (pointe). C’est donc un équivalent de Shiva, qui s’applique à tout ce qui finit en pointe [comme le trident de Shiva et des déités de l’Eau, Neptune, Chalchiutlicue, Satan] » (Archéologie mystérieuse, de Grasset d’Orcet, page 87).
- La CAVE, CAVITÉ est le GATE GATE ou lieu de PASSAGE : DESCENTE AUX ENFERS ET MONTÉE AU CIEL. En Chine les êtres célestes descendent à la cave ou dans la GROTTE. TROU OU GROTTE, GATE GATE, sera transformé en PURGATOIRE : la Caverne elle-même de Platon est une Variation du Gate Gate Purgatoire, où la lumière n’est perçue que la L’ÉCHO, LA COPIE, LE VRAI ÉTANT DEVENU FAUX PAS COPIE, PAR PROJECTION ET DONC PAR MISE EN VALEUR DU TEMPS : les noms-les-formes de la grotte attendent leur transmutation VERS MAÂT OU VERS LE BLANC DE L’INSTANT. La caverne, la CAVITÉ symbolise non seulement L’ANTI-GRAVITATION (voir : Grebennikov découvre en 1988 les effets antigravitationnels de l’enveloppe de chitine de certains insectes), MAIS SYMBOLISE DE CE FAIT, DE « S’ENVOYER EN L’R » : LA RÉALISATION du Soi : PADAM, LE PIED EN SANSKRIT : L’ÊTRE DEVIENT ENFIN L’ÊTRE VÉRITABLE, le Soi : PADAM.
Padam, le Réel, existe et brille comme vide omniprésent sans ni survenir d’où que ce soit, ni engendre quoi que ce soit.
Padam est la forme du Soi véritable qui existe si immuable, qu’on ne peut ni le perdre ni l’acquérir [comme la Vraie Foi, elle ne s’acquière pas ni ne se perd].
Bien que Padam existe, imprégnant chaque (objet) du Dedans comme du Dehors, aucun objet n’existe jamais en Lui.
(Padamalai, recueil de courts aphorismes, par Muruganar (1890-1973) l’un des proches disciples éveillés de Ramana Maharshi). - La Caverne symbolise LA SUPPRESSION DE LA RACINE DU MAL : LA DUALITÉ DEDANS-DEHORS QUI ENGENDRE LA SAISIE, le dilemme Moi-Collectif/Moi-Individuel disparaît. C’est en ce sens que le GATE GATE ou OUPOUAOUT se révèle éternel : LA PORTE DES PORTES TOUJOURS À OUVRIR (et non la chaîne stérile sans fin des causes et effets). Le BLANC DE L’INSTANT OUVRE TOUJOURS D’INSTANT EN INSTANT, ET ÇA TRANSPORTE : LA FÉLICITÉ……. LE POINT OU BINDU, LA GRAINE DE LUMIÈRE : LE SOUFFLE VITAL DE CHAQUE NOMS-LES-FORMES, et du principe de la lumière de la conscience(2), ou raison. L’Ensemble se nomme FÉLICITÉ.
Ce qui est caché est depuis la découverte du feu vulgaire considéré comme : sale, innommable, FLÉAU, enfer style ASMODÉE, une VARIATION DU TROU OU DU CHAT CARABAS LA PETITE CAVE, LE FROID HUMIDE DE PUTRÉFACTION-RENONCEMENT ce Feu froid. A fortement rapprocher de COLÈRE : BILE, NOIR (”colère noire”), FOIE OU FIEL. COLÈRE : LA POINTE, LE PIQUANT du ”Un Point c’est le TOUT”, le TROU du Point sur le I, l’Axe…..
ASMODÉÉ ou FLÉAU : CE QUI PORTE LE NOM D’OMNISCIENCE EST ASSOCIÉ AUTANT AU WINNERISME DE L’EGO HUMAIN QU’À L’ILLUSION PRODUITE PAR LA LOI DE SUCCION VULGAIRE, PARCE QUE RÉELLEMENT, LE FAIT DE CONNAÎTRE DE FAÇON « OBJECTIVE » EST L’ILLUSION, EST ASMODÉE, C’EST VOULOIR VOIR LE TROU, DOMPTER OUPOUAOUT. ASMODÉE-AGITATION, SPEED contemporain.
ASMODÉ SOUFFLE SUR LE TROU comme si Il-Elle voulait en remplir de quelque chose, COMME SI il fallait former du social, de la quantité, du chiffre :
Cité dans Padamalai, page 344 : « Guru Vachala, strophe 926, Pozhippurai : Comme Nous ne connaissons aucun autre être en dehors de nous-même ou nature véritable du Soi (Atma svarupa), seule la pure Conscience libre des attributs qui brille (les ”eyes candy”, ou la ’démocratie’ du ”camps du Bien”) en tant que plénitude, sans limitation aucune, est en vérité omniscience sans égal ; elle n’est pas l’autre connaissance qui comprend l’entière et simultanée connaissance des trois temps (passe, présent, futur) et des trois mondes (veille, rêve, sommeil profond) ».
« Les Véda proclament haut et fort que Dieu est omniscient simplement par égard pour ceux qui sont dans la confusion, car ils pensent maîtriser la connaissance limitée. Après un examen minutieux (on s’apercevra qu’) à aucun moment Dieu ne sait quoi que ce soit parce que dans Sa Nature même Il est la plénitude d’ÊTRE (Je suis ce JE-SUIS) ».
« Étant donné qu’en vérité il n’existe rien en dehors de la Conscience [le Soi], l’omniscience est ignorance puisque par nature elle implique des différences [le sujet en face de l’objet à analyser donc à différencier, À IDENTIFIER, À POSSÉDER…..] »
De nos jours l’omniscience c’est le MONOTHÉISME UNILATÉRAL RÉPUBLICAIN : L’INCLUSIVISME DE L’INDIFFÉNCÉ ENGENDRANT LE PRODUCTIVISME, LA QUANTITÉ INDUSTRIELLE ET L’INTELLIGENCE ARTIFICIELLE ET LE ROBOT…..
Notes.
1. En Chine ancienne le mûrier est l’arbre du levant et résidence de la Mère des soleils et l’arbre par où s’élève le soleil levant. Ovide raconte que les fruits du mûrier étaient à l’origine BLANC, mais qu’ils sont devenus rouge à la suite du suicide de deux amants, Pyrame et Thisbé, qui se donnaient rendez-vous à l’ombre d’un mûrier près d’une source. (Réf. dic. des Symboles, de Chevalier et Gheerbrant).
2. La partie essentielle du Secret de la Fleur d’Or explique : « ”La lumière jaillit dans la chambre vide”. Cette lumière n’est pas lumineuse mais, explique-ton, il s’agit d’une preuve d’efficacité au début, avant qu’on n’ait vue la lumière. Si vous la voyez sous forme de lumière et que vous fixez votre attention là-dessus, vous tomberez dans la conscience conceptualisante qui N’EST PAS la Lumière de l’Essence [la Conscience Infinie].
Quand le mental forme une pensée, cette pensée est le mental, dans l’Instant. Ce mental est Lumière, il est remède. Lorsqu’on regarde les objets et qu’on les perçoit spontanément tous ensemble, sans discrimination, c’est la Lumière de l’Essence, pareille à un miroir qui reflète tout, sans intention de le faire [sans calcul, sans concept].
Mais il suffit d’un Instant de discrimination [et donc de saisie] pour que cela devienne la lumière de la conscience [les Bulles-Sucres [effet dominos], ou attacher un instant à un autre instant]. Lorsqu’une image occupe l’espace du miroir, il n’y a plus réflexion [d’autres images]. Lorsque la conscience occupe l’espace de la lumière, quelle lumière reste-t-il ? ». (Le Secret de la Fleur d’Or, trad. Thomas Cleary).
Comme l’exprime le Secret de la Fleur d’Or, si on « pense » on chute dans la raison ou conscience relativiste, et comme l’exprime Ramana Maharshi cité dans Padamalai : « Aucune investigation ne peut porter sur le Soi [Atman]. L’investigation [”Qui suis-je ?”] ne peut porter que sur ce qui n’est pas le Soi. Seule l’élimination du non Soi est possible. Étant constamment évident de Lui-même, le Soi resplendira seul de Lui-même ».
« L’essence qui voit est la seule chose qu’on ne puisse attribuer à rien » dit Le Secret de la Fleur d’Or. « Mais, lorsqu’on voit le voir, si ce voir n’est pas le voir, l’essence qui voit est alors aussi attribuable à quelque chose. Cela renvoie à l’essence qui voit, telle qu’elle s’exerce dans la continuité répétitive de la conscience habituelle – ce que les Écritures bouddhiques évoquent en ces termes : « Faire usage de la conscience habituelle et répétitive, c’est faire erreur ».
Lorsqu’on pratique les huit formes d’attribution liées à la perception discriminante [la raison, le Pour-Voir, l’opinion], les sept premières montrent que chacune est attribuable à quelque chose de précis [l’identification, la saisie] et que l’essence qui voit est temporellement conservée comme béquille pour l’Adepte. Mais à terme, tant que l’essence qui voit continue à nourrir la huitième conscience, elle reste toujours imputable [sous la cause] de quelque chose. Ce n’est que lorsque ce dernier point a été dépassé que se fait jour l’authentique Essence qui voit [être COUR, comme ”distant”, comme dans un état insaisissable], celle qu’il est véritablement impossible d’attribuer à quoi que ce soit [donc INSAISISSABLE, NON-OPINION].
Retourner la Lumière [ou Réaliser le Soi] consiste à correctement retourner la Lumière Primordiale qu’on ne peut attribuer à rien, de telle sorte que n’intervienne aucune pensée consciente [le scribe de la page souligne].
[…]
Retourner la lumière sans tomber dans la conscience [la raison], c’est faire usage de l’ESSENCE ORIGINELLE des sens.
Retourner la lumière en tombant dans la conscience [la raison], c’est user de la nature de la conscience inhérente au sens. Là se trouve la différence, aussi fine qu’un cheveu (Asmodée….).
Quand la méditation s’accompagne d’un effort, c’est la lumière de la conscience qui se fait jour. Lâcher prise pour que jaillisse la lumière de l’essence. Un cheveu de différence vaut autant qu’un bon millier de kilomètres : aussi faut-il faire preuve de discernement.
Tant que la conscience ne s’arrête pas [donc tant qu’il y a idéation ou vagabondage des pensées], le mental n’est pas vivant. Tant que le mental n’est pas vidé, l’élixir ne se cristallise [Christ] pas.