Rappel pour la censure d’État de la nouvelle Clara Chappaz et ignorances de malades du Pour-Voir et preuve qu’ils commencent à avoir le feu aux fesses et paniquent, et qui confondent opinions-faits et vérité, et qui veulent de plus en plus être les détenteurs de la Vérité qu’ils veulent faire gober à tous.
Une ”vérité” déguisée en neutre, comma la CROYANCE EN LAÏCITÉ DÉGUISÉE EN NIHILISME : elle ne croirait en rien, ce qui lui permettrait de TOUT consommer (tout croire) !
« Il est étrange que les gens ne veuillent rien savoir du présent dont personne ne
peut mettre en doute l’existence, mais sont avides de connaître le passé et le
futur dont on ignore tout.
Qu’est-ce que la naissance et qu’est-ce que la mort ? Qui naît et qui meurt ? »
« Pourquoi vous occupez-vous de la naissance et de la mort pour comprendre ce que vous
éprouvez quotidiennement dans le sommeil et en veille ? Quand vous dormez, ce corps et
le monde n’existent pas pour vous et ces questions ne vous tracassent pas.
Pourtant vous existez, le même ‘vous’ qui existe à présent à l’état de veille.
C’est seulement en vous réveillant que vous avez un corps et que vous percevez le monde.
Si vous comprenez correctement la veille et le sommeil, vous comprendrez la vie et la mort.
Veille et sommeil ont lieu quotidiennement, si bien que les gens n’observent pas cette
merveille et s’interrogent seulement sur la naissance et la mort [le causisme à l’égal
du Big Bang] ».
(Day by Day with Bhagavân, 19-6-1946).
Naissance et mort sont comme l’opinion.
C’est-à-dire une errance dans l’espace-temps lui aussi opinion : ainsi l’humain se fabrique naissance et mort à la façon d’un carrelage comme les carreaux noirs-blancs symbolisés dans les loges judéo-maçonniques des spéculatifs ou travailleurs du chapeau (du capital, du chef).
Conséquence : toute opinion est comme une construction géométrique dont les paramètres sont fonction de la croyance à cette naissance et mort, et donc à l’expérience AU DEHORS ou état d’ego ou état de veille.
Or, la loi de succion et l’espace-temps fabriquent la diversité, il faut en conclure que de toute évidence il ne peut exister deux opinions identiques.
C’est pourquoi il est complètement illusoire de rechercher une prétendue ”paix” fabriquée par une illusoire possibilité de l’unité d’opinion comme le croit le mirage appelé ”démocratie” ou ”république”.
Il ne peut pas exister d’« opinion vraie », car ce ne sera jamais plus que ”ma vérité” (la chose possédée par les sens du corps ou le mental, ET PIRE : la chose possédée par le Pour-Voir qui dicte la vérité du jour et ce que sera celle du lendemain, alors que la Vérité ne peut être un objet de possession. La vérité, si elle EST, CELA, doit nécessairement transcender le conflit du sujet et de l’objet (la racine du mal, le causisme).
Seule l’illusion est diversité, histoire, et va et vient, donc ils sont instables par essence.
Il ne peut pas exister d’« opinion vraie » COMME IL NE PEUT PAS Y AVOIR « D’INFORM-ATIONS VRAIES ». Car par essence l’information DÉFORME, SACRALISE des faits ET LE SACRÉ EST PAR ESSENCE AMBIVALENCE ET NON VÉRITÉ, qui ne peut qu’ÊTRE ou ne PAS ÊTRE.
- L’historien des événements politiques ou religieux, l’ethnologue, le sociologue, le psychologue, l’archéologue, ne sont pas des entités qui opèrent en dehors du temps qui coule dans le spatio-temporel. Ce ne sont que des humains engagés, d’une part, dans une situation « concrète », et d’autre part, dans une logique déterminée par la mode du moment, suivant une évolution (histoire), dont ils prétendent rendre compte. Ainsi cette « logique » n’est pas autonome, elle n’est pas un étalon, un dogme, mais une opinion, soit elle ne représente qu’une superstructure qui recouvre, dans le mental de l’observateur, tout une idéation caché, où des mythes nouveaux ont été substitués par la culture, par l’opinion de l’enseignement universitaire, associé à des opinions de mythes anciens !
L’histoire ou le mot-à-dire, les ”infos” : en Occident la « pensée moderne » est une pensée CONDITIONNÉE, et plus que jamais avec l’Empire anglo-saxon et judéo-maçonnique spéculatif (née à Londres en 1717). En Occident, le mythe de la « raison » qui, lui-même, a été élaboré à partir d’éléments irrationnels multiples qui donneront des « évidences » ou des « bons sens » sur lesquelles reposeront les « principes d’intelligibilité » que finalement, personne ne saurait expliquer ni définir de façon rationnelle. - « Le domaine de l’histoire n’est pas le domaine des « faits » ni, encore moins, celui des « phénomènes ». Il est celui de la reconstitution de l’événement, d’une « re-composition » de ce qui a été « dé-composé » par le temps (et par l’ego possessif). L’histoire « re-créé » une durée intellectuelle, un enchaînement logique entre des moments abolis en tant que tels, elle « re-fait » les faits et les déforme d’autant. Il y a des faits proprement dits et scientifiquement observables dans la seule mesure où ces faits peuvent être reproduits dans les mêmes conditions SELON LE CONVENTIONNEL DU MOMENT. Le « fait religieux » et le « fait magique » n’existent pas en tant que « phénomènes observables » car, dans les sciences humaines, l’observateur est lui-même engagé dans le système qu’il observe et il y apporte tant d’éléments d’incertitudes que l’on ne saurait accorder quelque crédit à une méthode qui, prétendant décrire « objectivement » les faits historiques, prouve ainsi qu’elle méconnaît et la notion de fait et la notion d’objectivité ».
(En référence à René Alleau : Aspects de l’Alchimie Traditionnelle, qui donne une bonne définition du sens « moderne » de l l’histoire). -
Comment se ”fabrique” l’inform-ation ?
Justement, elle se FABRIQUE : comme l’histoire, comme un film, une fiction : ON Y CROIT, TOUT SEMBLE SE TENIR.
Ce que démontre il y a plusieurs siècles Nagarjuna dans la Stance 17, 31-33 : « De même que le Maître [le jnani ou Libéré vivant] par son pouvoir miraculeux [le Zéro Indien], crée un être magique [Adam par exemple, ou un big bang] et que cet être magique, magiquement créé, en crée un autre [le ”Croissez et multipliez” tel le FRUIT) à son tour, de même que l’agent se présente comme un être magique, et l’acte accompli par lui est comme un deuxième être magique créé par le premier [une copie, un socialisme, une fractale].
Passions, actes, agents, fruits ressemblent à une ville de génies célestes, sont pareils à un mirage, à un songe ».
De ce fait, Dieu et l’homme sont du domaine du ”COMME SI”, comme LE JEU D’ENFANT : « On fait comme si le loup y était », afin de se CRÉER UNE PEUR, UNE SOUMISSION comme dans le cas du judaïsme et de l’islamisme, UNE CAROTTE-MESSIE POUR AVANCER, UN SCÉNARIO, UNE HISTOIRE-ESPACE-TEMPS : un monde ni réel ni irréel, CAR DE L’ORDRE DE L’ILLUSION : ON FAIT ”COMME SI”, tout SEMBLE COLLER, OU TOUT SEMBLE SE COAGULER UN MOMENT (Quand une magie parle, toutes les magies parlent, et quand un se tait toutes se taisent). Donc ON FAIT SEMBLANT D’Y CROIRE….
INFORM-ATIONS = un langage, un Verbum-opinion en un ’isme” de signes-informations SANS PLUS, sans référent, SANS RACINE AU DEHORS AUX SIGNIFIANTS.
Seule l’opinion, comme le transhumanisme, singe l’infini, le ”Zéro défaut” de l’industrie du capitalisme, le sans limite, car une opinion ou polémique n’a pas de fin mais a toujours faim comme la chaîne sans fin de causes et d’effets : l’ar-gourmant ou argument en loi de succion ou ar-gent (raison, preuve…) n’a pas de fin et est comme une dialectique à histoire matérialiste sans fin, parfait fond de commerce ou de social et politique pour nourrir le langage humain et nourrir son mental (même logique dans le couple thèse-antithèse et son soi-disant sel : synthèse-inquisition : ”Circulez ya plus rien à voir” (le messie est arrivé et c’est la ”paix”... forcément du commerce).
« Quelque chose de nouveau peut-il apparaître hors de ce qui est éternel et parfait ? [seuls les tikkounistes pouvaient inventer la CHUTE et ce qui va avec : LA RÉPARATION et en conséquence LE COMMERCE]. Une telle polémique est en elle-même éternelle. Ne vous y engagez pas. Tournez-vous vers l’intérieur et mettez fin à tout cela. Il n’y a pas de finalité dans de telles discussions ». (Ramana Maharshi, entretien 132 du 6-1-1936).
« Il n’y a pas de limite aux polémiques » (Entretien 332 du 18-1-1937).
IL N’Y A PAS DE LIMITE AUX OPINIONS-POLÉMIQUES DU BINAIRE POUR-CONTRE, OFFRE-DEMANDE, etc., comme il n’y a pas de limite à la cause-effet, par exemple dans « l’œuf et la poule » : L’idée de « création » ne peut venir que dans la dualité SUJET-OBJET ou CAUSE-EFFET !!! « C’est parce que vous dites que vous êtes né, que les Écritures [abrahamisme] vous disent « d’accord » et ajoutent que Dieu vous a créé » (Ramana Maharshi, entretien 238).
Avec un Dieu créateur on fabrique une sanctification de la dualité. C’est ce que symbolise parfaitement Jean Coulonval dans son livre Synthèse et Temps Nouveaux, dans « L’œuf et la Poule » : « Une jeune cousine, élevée par les bonnes sœurs, me disaient un jour : ”Pour avoir un œuf il faut une poule et pour avoir un monde il faut un Dieu”. À quoi je répondais : ”Pour avoir une poule il faut aussi un œuf. Tu t’enfermes dans une chaîne de causes et d’effets dont les deux bouts ne se rejoignent pas, et que tu peux allonger à l’infini, sans que ton raisonnement soit valable” ». Notre monde malade actuel fonctionne de cette façon : l’évolutionnisme en une course sans fin (ou vers la Super Carotte « fin des temps »). « Pourquoi une ligne aurait-elle une fin, puisque après un pas je peux en faire un autre ? ». Je « progresse », donc je « construis » (Faire/Fer), JE CAPITALISE… Après l’achat de telle chose je puis en acheter une autre, et ainsi de suite, c’est la loi de succion (appelée aussi : ”citoyen”, ”consommateur”, ”opinion publique”) ; c’est le capitalisme qui se croit aussi « éternel » que l’opinion de naissance et de mort.
« S’il y a naissance [cause] il doit y avoir non seulement une, mais toute une succession de naissances. Comment et pourquoi avez-vous eu cette naissance ? Pour la même raison et de la même manière vous devez passer par des naissances successives [réincarnation]. Mais si vous vous demandez qui est né et si la naissance et la mort vous concernent ou concernent quelqu’un d’autre que vous, alors vous réaliserez la vérité et cette vérité brûlera tout karma et vous libérera de toutes les naissances [le cycle infernal couche-culotte, éducation, salariat-retraite-vieillesse et mort qui s’en suit] » (19-6-1946).
PARABOLE DU GRAIN DE SÉNEVÉ OU SURFEU.
Même jour du 19-6-1946 : tout ce cycle infernal de succions de loi de succion et de vie prend fin par le GRAIN DE SÉNEVÉ OU LE SURFEU : « la petite étincelle de l’Éveil ou jnana, Connaissance, tout comme une simple étincelle de feu ferait sauter une montagne de poudre à canon. C’est l’ego qui est la cause du monde entier et des innombrables sciences dont les recherches sont si importantes qu’elle défient toute description. Et si, par l’investigation intérieure [le Retournement de la Lumière], l’ego est dissous, tout cela s’écroule sur-le-champ et seule subsiste la Réalité, le Soi ».
Cela montre l’extrême fragilité de l’espèce humaine et de son « réel » reposant sur l’opinion : on dit qu’il suffit de deux Anglais pour faire un match de football, et après au maximum cinq siècles, de trois pour former un empire accompagné de la finance juive, cela veut dire qu’il suffit de deux êtres humains du même avis pour fabriquer une opinion suffisamment solide pour winneriser ce qu’ils pensent comme « réel ». C’est dire la fragilité de l’espèce humaine QUI REPOSE UNIQUEMENT SUR L’EGO, LE MENTAL.
NAISSANCE-MORT : OPINION = CROYANCE AU CORPS ET DONC À LA NAISSANCE ET FORCÉMENT À LA MORT ET À LA PEUR (d’en mourir), ÉQUIVALENCE DU FAIRE-FER, QUI NÉCESSAIREMENT ROUILLE OU MEURT, COMME LE MÉTAL FER. AINSI LA QUESTION DU FAIRE/FER OU « AGIR » (à nostre époque plutôt du bavardage cacaphonie), SE POSE UNIQUEMENT SI L’ON CROIT AU CORPS OU À LA RAISON).
Consommation ou loi de succion en république : les gens préfèrent ses « valeurs », ils aiment les choses qui sont « coûteuses », au sens de loi de succion et de v(o)aleur, aussi bien en positif qu’en négatif (de nos jours c’est le couteux en négatif : inflation, l’onéreux à l’envers car l’action d’acquérir coûte cher).
« L’opinion prétend toujours se baser sur une logique [une ”valeur”]. L’ennui, c’est que tout système logique, si correct qu’il soit, part toujours de prémisses qui sont nécessairement, par définition, des postulats incontrôlables [issus de l’égrégore du moment ou de l’inconscient collectif], adoptés pour le seul motif de la satisfaction de penchants sentimentaux fort obscurs [et très utilitaristes et en confort tous sous la loi de succion]. Ces prémisses prennent nécessairement valeur de dogmes, qu’on en soit conscient ou pas. Et ce dogmatisme est d’autant plus intraitable qu’il est plus inconscient [ce qui est appelé « réel »], parce que tout danger de n’y plus croire crée la panique devant le vide, devant la possibilité de ne plus avoir de raison de vivre.
Le vrai mystique n’a pas à craindre cette panique, parce qu’il ne croit pas le dogme, il le ‘sait’ ; et c’est pourquoi, s’il a des dogmes, il n’est pas dogmatique ». (Jean Coulonval, Synthèse et Temps Nouveaux, lettre 26 du 25-11-1973).
Il n’y a pas plus mortelle que l’opinion.
« L’opinion n’est jamais en sécurité, elle porte en elle l’angoisse de pouvoir être remise en question [c’est bien pour ça que les Juifs de France disent une prière pour la république…]. Aussi est-elle toujours en position de défense, ou d’attaque [défendre « ses valeurs »]. Aussi, l’opinion est nécessairement sectaire, intolérante [puisqu’il s’agit de « défendre ses valeurs »]. Tout ce qui n’adhère pas à l’opinion absolutisée collectivement sous ne nom de « parti » [ou de « république »], est ennemi ». (Jean Coulonval, lettre 4 du 27-1-1969 à Mrg Combes Professeur à l’Université du Latran).