Shivalingam la Tour Saint-Jacques à Paris.
Shivalingam : symbole de Shiva en un cylindre au bout arrondi, sortant d’une base, installé dans tous les temples consacrés à Shiva et considéré par les adorateurs comme une manifestation de Shiva même ; le mont Arunachala selon Ramana Maharshi EST Shiva Lui-même. Cette absence de forme en forme phallique constitue LE TROU, LA POINTE, LA FLÈCHE OU L’ABSOLU. Le BLANC de l’Instant (en hébreu ”blancheur” se dit : loven (לוֹבֶן). Comm déjà écrit, la BLANCHEUR « TRANSPORTE », et Shiva se retrouve dans la langue moderne ”esquif”, ”ship”, Isis de ”Parisis” (Paris et Ys : la ville sous l’Eau). Transport ou embarcation en forme de fuseau ou de lingam. Dans les tombeaux antiques cette embarcation a une tête de Serpent correspondant à Shiva, et la proue a une tête de Sanglier ou de Cheval, emblème de Vishnu, une des principales divinités de l’hindouisme incarnant la fonction de conservation.
Dans les pays scandinaves, ces embarcations servaient de cercueil. Ce mode d’ensevelissement a évidemment donné lieu à la légende de Noé et de son Arche, ce FUSEAU-LINGAM, CETTE TOUR SAINT JACQUES À PARIS.
Refrain sur l’Arche ou Vraie Loi de Succion.
Pour les coincés de 2000 ans de christianisme puis par la psychanalyse du freudisme, Dionysos symbolise la destruction des inhibitions, des répressions refoulées. Dionysos = PANique, variation de PAN, car il symbolise totalement les forces obscures et terribles de l’inconscient, ce qui fait terriblement peur à « l’ordre établit »… (en premier lieu bien-sûr « l’ivresse sur la voie publique », ou le « trouble à ”l’ordre publique” »).
DIONYSOS = SHIVA : INCARNATION DE LA FONCTION DE DISSOLUTION ET DE DESTRUCTION, SHIVA TRANSFORMATEUR DES ÊTRES. Le rôle de Shiva est central dans l’existence de Ramana Maharshi. « Le simple fait de penser à Shiva procure moksha [la Libération, la délivrance spirituelle] ». Il en est évidemment de même de Dionysos-Bacchus. Shiva : « Danseur cosmique » sous la forme de Natarâja.
Comme tout symbole est double : Osiris-Seth, Dionysos est : ou bien spiritualité, ou bien matérialisme ; il est une électricité, une foudre, un OURS (voir plus bas).
CASTRATION DE LA VIE.
– Pénis de Dionysos et d’Oriris détruit.
– Adgitis châtré par la Vierge Nana, fille du Dieu fleuve Sangarios, par le roi de Pessinonte,
– Participants à la noce aussi émasculés,
– Attis émasculé et exposé telle la Belle au Bois dormant.
Il ne reste plus que la VULVE, représentée par Déméter, épouse de Zeus eurent une fille : Koré. Un jour dans un champ, Koré en voulant cueillir un beau narcisse fut « happé » par la terre et Hadès sur son chariot d’Or se saisit de Koré pour l’entraîner dans l’enfer. Soleil et Lune furent témoins du rapt. Koré dans sa détresse invoqua sont père Zeus, évidemment trop occupé à recevoir des offrandes ne s’aperçu de rien. Déméter sa mère entendit les plaintes de Koré, et durant neuf jours elle survolant les terres et les mers. Le Soleil la prenant en pitié l’informa que Hadès avait déjà épousé sa fille Koré. Déméter affligée prit alors les formes d’une vieille femme et, sous des vêtements de deuil, elle s’assit à l’ombre d’un olivier, dans le voisinage de la fontaine fleurie d’Eleusis, tout près du château royale. Les filles de Chéléos venant prendre de l’eau à la fontaine, la vieille femme leur demanda de la conduire au château de leur père.
Déméter fut accueillie par la reine Métanire. La reine portant son fils Démophon, demeura sidérée par le charme émanant de la l’apparence Déméter en vieille femme. Elle offrit un gobelet de vin à Déméter, qui le refusa, et qui demanda à la place un mélange d’eau, d’orge et de pavot. La rein le lui servit et lui demanda si elle voulait bien prendre soin de son fils. Déméter s’éprit d’affection pour l’enfant et, tel un transhumaniste moderne, décida de le rendre immortel. Pour cela, elle l’oignait d’ambroisie le jour et le soumettait aux flammes purificatrices la nuit. La reine l’apercevant poussa un cri de PANique et Déméter toujours déguisée révéla son identité : « Je suis Déméter, la vénérée, celle qui procure l’allégresse, l’enthousiasme et la fertilité la plus incomparable, aussi bien aux mortels qu’aux Dieux impérissables. Il convient maintenant que tout le peuple m’élève un grand temple et un autel en ville qui est sur la mer mugissante, en ce lieu même dominé par la colline. Je vous enseignerai moi-même les orgies sacrées, afin qu’à l’avenir vous puissiez me rendre un culte et apaiser ma détresse et mon courroux ». Ce disant, elle rejeta son déguisement et se manifesta dans sa beauté rayonnante, répandant autour d’elle un parfum merveilleux… Après quoi elle disparut.
Métanire et Chéléos se hâtèrent de faire édifier le temple demandé, et le monument était tout juste terminé quand Déméter, voilée de noir, s’y manifesta pour confier sa douleur de n’avoir pu encore revoir le visage de sa fille Koré ; c’est pourquoi elle rendait stérile la terre et les femmes ; et les Dieux étaient privés de leurs offrandes habituelles. Dès lors, Zeus décida d’envoyer son messager, Hermès, après d’Hadès afin de le persuader de libérer Koré – qui désormais porte le nom de Perséphone. Hadès se soumit mais non sans faire goûter à son épouse divine quelques pépins de grenade qui l’assuraient de son retour [pour pouvoir quitter les enfers sans retour il fallait observer le jeûne]. Ainsi Zeus, à demi vaincu, décida que sa fille Perséphone séjournera les deux tiers de l’année auprès de sa mère Déméter et le tiers restant auprès de son époux souterrain.
Déméter permit ainsi à la végétation de reprendre son essor, aux femmes d’enfanter et elle apprit aux souterrains d’Eleusis les profonds arcanes de son culte. (En référence à Pierre Solié, Médecines initiatiques, aux sources des psychothérapies).
Ce mythe de Déméter plonge ses racines dans les RYTHMES de tous les noms-les-formes, est est du Thème MATRIARCAT : La Grande Mère Nature, les puissances de la BROUSSE-INCONSCIENCE ou PUISSANCES SOUTERRAINES, LES GROTTES AMÉNAGÉES DANS LES MONTAGNES, LES ROCHES, LES FONTAINES AUX SOURCES PROFONDES. Cela sera remplacé par le PATRIARCAT des religions gréco-indogermaniques du Thème du Père, tel qu’exprimé dans le panthéon olympien d’Homère, qui se sont efforcées de supplanter les courants spirituels premiers. Évidemment l’olympisme n’y a pas réussit complètement, et n’ont fait que déguiser, sous forme de « mutation archétypique », le Patriarcat en Matriarcat « secourable » (RÉ-confort).
À Éleusis, Déméter est une mère éprouvée par la perte de son enfant. Bien que son enfant soit devenu Perséphone et Déesse des Enfers, rien de rappelle la PANique les personnages des régions de l’Après-Vie. De plus, le mythe de Déméter invente le courant mère-fille. À Éleusis, semailles et renouveau devinrent le symbole de la mort et de la résurrection : mariage du CHAUD-HUMIDE/FROID-SEC ou Déméter/Perséphone.
- Bref, au final tout tourne toujours autour de la Réalisation du Soi : Phédon dit ceci : « Il apparaît que les hommes illustres qui ont fondé nos mystères savaient bien ce qu’ils faisaient : en réalité, dans leur manière énigmatique, ils ont indiqué que celui qui se présente devant Hadès en état d’impureté et non initié [ou ignorant] demeurera embourbé, tandis que le pur, l’initié, au terme de son voyage [de réalisation du Soi ou de Retournement de la Lumière (2)], habitera avec les Dieux ».
(Voir la pesée de l’âme chez les Anciens Égyptiens…)
« L’illusion n’est pas différente du mental, et il est impensable qu’elle en soit non différente [Tout est dans Tout, on ne sort pas de l’Univers pour le voir]. Si le mental est réel, comment l’illusion n’en est-elle pas différente ? Si elle n’est pas différente, le mental ne peut pas être réel ». (Shântideva, Bodhicaryâvatâra – La Marche vers l’Éveil, IX Connaissance, 26).
Tour Saint-Jacques ou embarcation, comme la BARQUE DE CHARON, l’Arche et l’origine boréale : Nord, Blanc, Taïga, Arctique, comme le culte d’Osiris Lui-même : voir la page sur l’Île aux Ours (Inconscient, Sommeil profond : le NOIR-BLANC de la Caverne, domaine de l’OURS, l’invisible, le caché étant lié pour le conventionnel à L’INTERDIT, CE QUI RENFORCE SA FONCTION D’INITIATEUR. L’Ours, l’inconscient chtonien : de la terre, souterrain. En Alchimie l’Ours est le Noir PRIMITIF, SAUVAGE, INDOMPTABLE, mais apprivoisable, un moment, par le miel, donc instable). Voir aussi la page : Petite CAVE OU CHAT BOTTÉ : LA HAINE DU JUIF OU DU RUSSE est ce PETIT CAVE ou POINTE aspirante. Car pourquoi depuis au moins un millénaire, certains ont la haine du Russe ?
LA BARQUE POUR LA SORTIE AU JOUR (le Livre des Morts ou de la Sortie au Jour, chez les Anciens Égyptiens).
Les Grecs ont leur Navire Argo à la recherche de la Toison d’Or : SORTIR DE LA MORT OU DU VAISSEAU, SORTIR DE LA TOUR SAINT-JACQUES. Le PILOTE du Vaisseau est le Soleil Noir : Charon (l’Ours).
Barque ou Arche, Déluge ou Cataclysme, autant de ”BAPTÊME” en SURFEU, EN EAUX PRIMORDIALES, AUTANT DE SHIVA LE NOIR DE PUTRÉFACTION ET DESTRUCTEUR-TRANSFORMATEUR : la fausse vie terrestre ou péché de vivre, condamnation à vivre, est détruite par le Vrai Feu sans flamme ni cendre, qui engendrera le Nirvana(1) au Centre de l’Être, quand l’énergie se retourne contre soi, c’est alors la PUTRÉFACTION : L’ÊTRE DEVIENT, GLOBAL, LE TOUT, L’UNIVERS, À L’INSTANT DE SA PERTE : RENONCIATION OU PUTRÉFACTION, apportant la certification, l’Absolu de Singularité du « Je suis ce JE-SUIS ».
Saint-Jacques de la Boucherie : le Maître-autel dans l’axe de la nef.
LA VIERGE NOIRE DONT L’ENFANT NOIR EST LA PUTRÉFACTION :
« Salut, Marie, pleine de grâce, le Seigneur est avec toi !
Tu es bénie entre toutes les femmes.
Et Jésus, le fruit de tes entrailles, est béni ! » (Version des Églises orthodoxes)
Et la version en grec barbare, traduction de Grasset d’Orcet, Archéologie mystérieuse, vol.1, chapitre Paphos, ses monastères et la fête de Vénus :
« Au moment d’expirer
Puissance voilée,
Force génératrice
Visible,
Souveraine de l’abîme [le Noir],
Puissance de la destruction [Shiva],
Délivre-nous
Des ténèbres du Tartare ».
Portail de Saint-Jacques de la Boucherie à Paris.
Nostre époque ne peut comprendre, puisque elle est totalement soumise à ce qu’elle appelle « la vie », et qu’ainsi elle a une effroyable peur de la mort, ce qui n’était pas le cas des Anciens, et même de ceux d’avant le 1789 français déclencheur d’un UTILITARISME MONDIAL, DONC D’UN DÉSIR DE VIVRE AU SENS DE CONSOMMER-CONSUMER, AU SENS BIBLIQUE : CROQUER LA POMME (si bien qu’un constructeur actuel d’ordinateurs en a choisit l’emblème avec une étonnante pertinence quasi spirituelle).
L’apparition d’Elohim dans un buisson ardent fournit la preuve du SURFEU : la RONCE DU BUISSON, CES POINTES-ÉPINES comme la couronne d’épines ou de POINTES : SINAÏ, mot très proche de SHIVA : aigu, pointe, épine. AIGU en effet sonore Doppler c’est le BLEU du ”futur” (ou du ciel)
Quelle est la POINTE, LA PIQUE, L’OURS, maintenant mondial, apparue aux yeux de tous récemment ?
C’EST L’ANNÉE 1945, particulièrement le 8 mai, LE JOUR NOIR DE PUTRÉFACTION METTANT EN MARCHE LA DESTRUCTION PAR SHIVA (le trumpisme de ce début 2025 en est une ptiote preuve). Les winners de 1495 déclenchèrent une ptiote « danse cosmique » avec leurs deux bombes nucléaires sur le Japon : le DÉCOUPAGE À LA OSIRIS COMMENÇAIT : CE MONDE EST MAINTENANT EN MORCEAUX, tout le prouve paradoxalement par son ”tous connectés” par les machines des industries du capitalisme.
- « La karpûra-ârati [flamme de camphre offerte dans une cérémonie] symbolise la destruction du mental par le feu de l’illumination ; la vibhûti (la cendre sacrée) symbolise Shiva (l’Être absolu) et le kumkuma (la poudre vermillon) la Shakti (la Conscience).
La vibhûti se présente sous deux aspects : la para-vibhûti et l’apara-vibhûti. Les cendres sacrées appartiennent au dernier. Le para est ce qui reste une fois que toute la gangue a été brûlée par le feu de la Réalisation. C’est l’Être absolu ». (Ramana Maharshi 89, 6-11-1935).
L’Être absolu par le SURFEU ABOLISSANT LE PÉCHÉ DE VIVRE. - PUTRÉFACTION OU RENONCEMENT = S’OUBLIER SOI-MÊME : ANNULATION DU SUJET ET DE L’OBJET :
« Ceux qui sont peu doués pour l’investigation [‘Qui suis-je ?’ ou Retournement de la Lumière]] doivent pratiquer la méditation. Dans cette pratique, l’aspirant, s’oubliant lui-même, médite sur « Je suis le brahman » ou « Je suis Shiva » ; ainsi il s’accroche au brahman ou à Shiva ; cela le conduira finalement à l’Être, qui subsiste en tant queb rahman ou Shiva, et il réalisera que Celui-ci est l’Être pur, c’est-à-dire le Soi.
Celui qui adopte la voie de l’investigation commence par s’accrocher à lui-même en demandant « Qui suis-je ? » et le Soi lui apparaîtra clairement ». (Ramana Maharshi 172, 28-2-1936).
Note.
1. Le NIRVANA du I’M SAFE (en bonne santé et ”compétitif”).
Ainsi l’impur, le SALE, c’est ce qui est CACHÉ, COMME L’EXCRÉMENT, COMME DIEU, COMME LE DIABLE, COMME L’OR MÉTAL, COMME LA VÉRITÉ.
DÈS LORS QUE LE SALE EST IDENTIFIÉ, IL DEVIENT LE PUR OU L’EXISTANT DANS LA MISE EN VALEUR DU TEMPS. On comprendra alors ce désir du Pour-Voir de VOIR ou de NUMÉRISER LE MONDE POUR MIEUX LE CONTRÔLER….
Car enfin, qu’est-ce qui peut être considéré comme « sale » ou « impur » ?
La réponse est simple : est considéré comme impur ou sale tout ce qui, après identification, ne fût apparu ni comme excrément, ni comme tâche d’huile, ni comme tâche de goudron, etc., ni comme quoi que ce soit d’identifiable. Seul serait impur ou sale l’objet caché, non identifié, c’est-à-dire « INNOMMABLE », le TERRORISTE CACHÉ, LE DÉVIANT TOUT AUSSI CACHÉ, L’OR, DIEU SONT CACHÉS. Alors il sera très facile de comprendre le sens républicain des ”LUMIÈRES” ET DE L’ACTUELLE NUMÉRISATION DE LA PLANÈTE AFIN DE CONTRÔLER TOUS LES TERRIENS PAR UN POUVOIR OMNIPOTENT PYRAMIDALE, CERTIFIÉ D’UNE ”INTELLIGENCE ARTIFICIELLE”.
Le NIRVANA du I’M SAFE (en bonne santé et ”compétitif”) = DÉPASSER LA SOUFFRANCE DU CORPS-MENTAL. Le véritable Nirvana a un autre nom : l’ÉVEIL authentique et parfait, aussi appelé : « Éveil sans demeure » (sans possession), lequel dépasse aussi bien le samsâra [cercle ou roue des morts et des renaissances, dépourvu de commencement et de fin, sauf pour celui qui s’en extrait, où les êtres souffrent de leurs actes et de leurs émotions négatives ou opinions], que le nirvana des Arhats (individu qui a écrasé ou vaincu tous ses ennemis, soient les émotions négatives et les souffrances du samsâra, mais qui n’a pas encore vaincu la VACUITÉ et ne peut donc pas dissiper le VOILE COGNITIF OU RAISON QUI L’ATTACHE ENCORE À LA RÉALITÉ DES PHÉNOMÈNES).