Ugo Morichini précision
En 1938, il inventa un télescope, pourvu d’une lentille biconvexe, et d’une lentille concave et d’un filtre, ce qui lui permettait de concentrer les rayonnements d’un astre sur de l’eau bi-distillée ou sur une solution à base de chlorure de sodium.
Morichini braque son appareil sur un aspect céleste, une heure avant sa formation. L’eau chargée d’énergie cosmique, n’acquière sa force électrique qu’au bout de deux à trois semaines.
Son premier appareil ne pouvait être utilisé que pour des aspects cosmiques à angles très aigus ou pour des conjonctions planétaires.

Morichini eut alors l’idée de remplacer l’aspect céleste par sa figuration dessinée, puis en la synthétisant à l’extrême, par son symbole.

» Aussi extraordinaire que le fait puisse paraître : l’eau astrale obtenue par ce procédé jouit des mêmes vertus que celle impressionnée directement par les planètes.
Elle dérange les cristallisations ; se charge d’électricité comme on peut le contrôler au galvanomètre ; Impressionne les plaques photographiques ; Guérit et favorise la prolifération cellulaire ».

« J’ai arrosé avec de l’eau astrale du trèfle et des haricots, nous dit encore le professeur Morichini, et j’ai obtenu des récoltes en plein hiver (un haricot en reproduit quarante-huit) et bien que les grains aient été semés dans la plus ingrate des terres (décombres) à Rome même, sur une terrasse orientée au Nord et soumise au vent, au gel et à la grêle.
La récolte eut lieu en janvier, et alors que mes plantes témoins semées tout près, mais non arrosées d’eau astrale, étaient, depuis longtemps, mortes de froid et de misère (en novembre).
J’obtins un résultat identique avec des roses, des œillets et toutes les fleurs traitées avec une eau spécialement étudiée, par exemple, pour les plantes : eau chargée par des groupes planétaires tels que Soleil dans Bélier, Lune dans Sagittaire, etc. Enfin les corps en solution dans l’eau astrale ”dérangement” » (production d’une nouvelle géométrie cellulaire).

Ainsi le chlorure de sodium à cristallisation cubique — c’est une loi en chimie — me donne invariablement des cristaux en prismes et en rhombes.
Nous demandons :
— Ces résultats ont-ils été contrôlés par les milieux scientifiques ?
– J’ai fais constater mes cristallisations par des professeurs de chimie, et mes expériences sur les plantes ont été tentées et réussies à l’Institut de Chimie agraire de l’Université de Rome.

Précision : Ugo Morichini fut un réalisé en Astrologie, ce qui est extrêmement rare (quelques cas seulement en l’espace-temps des deux derniers millénaires…..)

L’Eau astrale guérit les affections chroniques : rhumatismes, paralysie, asthme, etc., par applications de l’eau sur les parties malades. Dix tuberculeux d’un hôpital de Rome (l’Italie et Rome le lieu de vie de Morichini), soignés chacun avec l’Eau astrale étudiée pour, ont été guéris.
En 1943, en pleine guerre, il n’y avait pas une seule goutte d’insuline (traitement du diabète) à Rome, et des médecins demandèrent à Morichini de leur fournir un ersatz.
Morichini en s’aidant du pendule de radiesthésie, leur donna de l’Eau astrale jouissant des mêmes propriétés que l’insuline, à telle enseigne qu’un lapin piqué avec une dose forte reçut un choc insulinique caractérisé et mourut.

Il est évident que puisque NOUS SOMMES L’UNIVERS, l’énergie cosmique, c’est comme un POSTE DE RADIO : SUFFIT DE L’ACCORDER SUR LA BONNE FRÉQUENCE DÉSIRÉE (l’accorder sur le ”bon Soi”, sur la ”bonne santé”).
Le même principe fréquentiel se retrouve dans l’appareil à rayonnement ”électromagnétique” d’Antoine Priore ; et dans l’oscillateur à ondes multiples de Georges Lakhovsky.

La Pierre Philosophale ou Médecine Universelle procède du même Thème vibratoire : TROUVER LE BON ACCORD DE LA ”STATION” OU RÉALISER son Soi. Ce qui peut se résumer par le mot PARADIS : de para-, protection, comme para-pluie, la Médecine Universelle ou ÉLIXIR D’IMMORTALITÉ, LA PIERRE PHILOSOPHALE, le mot ”Philosophale” pouvait renvoyer au Soi, et Pierre renvoie direct à la Linga et aux Pierres dressées en général, tel le Menhir breton, Pierres dressées symbole universel. Donc une fois le mental ACCORDÉ sur le ”bon” Soi ou la ”bonne Station”, la conscience vulgaire du spatio-temporel PASSE AU-DELÀ du Plomb-Pesanteur, passe au-delà du ‘moi’ ou de l’ego périssable, pour RE-trouver le Monde Originel qui, depuis le chamboulement du Saint Chaos, est MÉCANIQUEMENT séparé du nostre par un VOILE, UN MASQUE, UN RIDEAU, UN ”COMME SI” ou GRAND JEU DU FAIRE SEMBLANT : LE PARA- du paradis. Ce VOILE est illustré par l’histoire de l’éjection d’Adam-Ève du Paradis…

Cela en est tellement SIMPLE, que depuis des millénaires Nous en avons fait une COMPLEXITÉ tel que le Soi est depuis longtemps pris pour un CORPS, un Plomb-pesanteur, et ce corps-mental dans son langage appelle ça : ”réalité”…. Tout est à l’envers, FAUX…..

TOUT EST COMPLEXIFIÉ PAR L’ACTUEL MONDE NUMÉRIQUE DES INDUSTRIES DU CAPITALISME, qui fonctionnent encore sur la complexité de la thermodynamique suite à la découverte du feu vulgaire. C’EST NÉCESSAIREMENT LA MISE EN PLACE D’UN TOTALITARISME ET D’UN ARRANGEMENT DU MONDE AVEC DES PROGRAMMEURS EMPLOYÉS PAR LES INDUSTRIES DU CAPITALISME DEVENU LE DÉMIURGE NOUVEAU, ET SA RÉALITÉ ALTERNATIVE, FAUSSE ÉVIDEMMENT, AVEC AUSSI SES PIRATES INFORMATIQUES ET ARNAQUES DU NUMÉRIQUE. NUMÉRIQUE QUI TUE, DÉTRUIT LES SOLS ET LES ESPÈCES NATURELLES.

Cette civilisation de technologie ne produit aucunement du bien-Être, mais du FAUX, et de plus en plus rapidement, c’est son ”progrès”, c’est sa mise en valeur du temps doublée d’un gigantesque COMPLEXITÉ et donc ANTI-NATURE, ANTI-SIMPLICITÉ.

L’humain contaminé par la découverte du feu vulgaire devient en même temps contaminé par le mentaL, IL NE POUVAIT QU’ÊTRE JAMAIS SATISFAIT : ALORS IL VIVRA À L’ÉCART DU SEUL RÉEL, il vivra à l’écart du Soi-Instant, COMME SI il y avait un autre univers ou autre monde, qui n’existe pas encore ; il se prive ainsi de ce qui existe en inventant des besoins et d’autres mondes ; depuis sa découverte du feu vulgaire il est incapable de vivre dans l’Instant, mais seulement dans le futur et le passé, dans l’angoisse et le regret. ET C’EST LA CHUTE, au sens Ancien Testament ; la CHUTE DANS LA DUALITÉ DU MANQUE ET DU RESTE, LA DUALITÉ DU DEDANS-DEHORS(2). L’expérience de la vie sera alors une expérience CRUELLE de l’absence de l’Ici et du Maintenant, l’Instant, qui ne se donnera JAMAIS, sinon par le biais et par le regret du DÉJÀ LOIN, LE BIAIS DU ”COMME SI” OU DU GRAND JEU DU FAIRE SEMBLANT : « ITINÉRAIRE N’EST PAS ITÉRER » : Saint Bonaventure : « Jamais l’âme et Dieu ne peuvent coexister ».

L’insignifiant, LE SIMPLE, le loser, le dernier devenant le Premier, marquera enfin la FIN DES CRIMINELS « RÉSULTATS OBJECTIFS » DE CE MONDE DE L’AVOIR, DE L’UTILITARISME, DE L’ORDINATEUR, ET DE SE FAIRE AVOIR PAR SES CALCULS (”intelligence artificielle”)

Les êtres humains usagers, consommateurs sous domination du capitalisme ont rendu toutes choses profondément aliénantes de complexité, À CAUSE DE LEURS ARTIFICES sans cesse renouvelés, dans une nostalgie perpétuelle mais jamais avouée, en un PARADIS désormais irrémédiablement perdu, À MOINS QU’UN MIRACLE NE S’OPÈRE, ENFIN !

MIR-ACLE : ACCORDER LA STATION, RÉALISER son Soi : la pureté originelle n’admet aucun mélange donc aucun artifice ; elle recherche seulement sa qualité propre, sa VRAIE DEMEURE DU SANS DEMEURE : SON FOYER POUR ALIMENTER SA FLAMME….
TOUTES LES QUALITÉS, DONC LA ”ROUE VÉRITABLE”, SONT DANS SON « JE-SUIS » : LA SPIRALE : « La seule chose permanente est la Réalité ; et cela est le Soi. Vous dites : « Je suis », « Je suis en train de marcher », « Je suis en train de parler, de travailler, etc. ». Ajoutez un trait d’union à « Je suis » chaque fois, et cela devient « JE-SUIS ». Cela est la Réalité permanente et fondamentale. Cette vérité fut enseignée par Dieu à Moïse quand Il lui dit « Je suis ce JE-SUIS ». « Sois tranquille et sache que JE-SUIS Dieu ». Donc « JE-SUIS » est Dieu ». (Ramana Maharshi 503, 17-8-1938).

UNE SEULE BOUÉE DE SAUVETAGE : PUTRÉFACTION-RENONCEMENT…. Et enfin arrivera, plutôt se retrouvera : LE VRAI FEU : LE BLANC DE L’INSTANT, L’ÉCLAIR, L’ARC-EN-CIEL au sept Couleurs contenant le Blanc de l’Instant, la ROUE, qui tourne et en Elle se trouve le NOIR ENFANT DE LA VIERGE NOIRE : la clarté du Noir est devenu l’éclatement de toutes les couleurs : l’éclat de la Lumière est la TEINTURE (équivalence du ”rayonnement” des Priore, Morichini, Lakhovsky). L’Enfant de la Vierge Noire est la MÉDECINE UNIVERSELLE, L’EAU ASTRALE DE MORICHINI ACCORDÉE SUR LE PATIENT : LEQUEL AINSI RÉALISE SON Soi(1) : remède ou Médecine Universelle = Réalisation du Soi (être accordé ”sur la station”) et c’est aussi la PERLE DU BLANC DE L’INSTANT, INSAISISSABLE (Perle = le Vrai devient faux dès qu’il est vu ou saisi, copié donc faux ; et toute cette civilisation SOUMET les humains aux faux ; CE FAUX QUI DEVRA NÉCESSAIREMENT BÉNÉFICIER AUX RENTIERS DE LA TECHNOLOGIE DU CAPITALISME).

Notes.
1. « Vous concédez alors que le ‘Je’ n’est pas le corps, mais quelque chose à l’intérieur du corps. Voyez alors d’où s’élève le ‘Je’ depuis le corps. Voyez s’il apparaît ou disparaît où s’il est présent en permanence. Vous allez admettre qu’il y a un ‘je’ qui se manifeste dès que vous vous réveillez, qui perçoit le monde et tout le reste, et qui cesse d’exister dès que vous dormez ; et aussi qu’il y a un autre ‘Je’ qui existe indépendamment du corps et qui est toujours là, même quand le corps et le monde n’existent pas pour vous, par exemple dans le sommeil profond. Demandez-vous alors si vous n’êtes pas le même ‘Je’ dans le sommeil (profond) et dans les autres états (rêve et veille). Existe-t-il deux ‘Je’ ?
Vous êtes toujours la même personne. Alors, lequel des deux est le ‘Je’ réel, celui qui apparaît et disparaît ou celui qui est là en permanence [dans l’Instant ou Ici et Maintenant] ? Ainsi vous découvrirez que vous êtes le Soi. C’est ce que l’on appelle Réalisation du Soi.
La Réalisation du Soi n’est pas un état qui vous est étranger ou qui est loin de vous et que vous devez atteindre. Vous êtes toujours dans cet état. Vous l’oubliez et vous vous identifiez au mental et à tout ce qu’il crée. Vous devez simplement cesser de vous identifier au mental. Nous nous sommes identifiés depuis si longtemps au non-Soi qu’il nous est difficile de considérer que nous sommes le Soi [le ‘Je’-‘je’].
Ce qu’on entend donc par Réalisation du Soi n’est rien d’autre que RENONCER [PUTRÉFACTION] à cette identification au non-Soi. Comment réaliser, rendre réel le Soi ? Nous avons réalisé, considéré comme réel, ce qui est irréel, le non-Soi. Abandonner cette fausse réalisation est la Réalisation du Soi. […] Tout le monde recherche uniquement ce qui lui procure le bonheur [la loi de succion ou attraction ”universelle” copiée par Newton]. Pensant que le bonheur vient de tel ou tel objet [donc du DEHORS], vous cherchez à obtenir cet objet [racine du mal Dedans-Dehors et tentative de ”sortir” de l’Univers et évidemment COMMERCE]. Voyez d’où vient réellement le bonheur, y compris le bonheur qui vous semble provenir des objets des sens [et du capitalisme]. Alors vous comprendrez que la seule source du bonheur est le Soi [Instant, le Blanc du Silence…] et vous demeurerez à jamais dans le Soi ». (Ramana Maharshi au jour le jour, 17-8-1946).

2. LA VALEUR D’ÉCHANGE ENTRE DEDANS ET DEHORS et RESTE ET MANQUE DE LA SOUMISSION AUX MARCHANDISES, LA SOUMISSION À LA LOI DE SUCCION, LE PLOMB PESANTEUR.
– Quelle est donc la racine du mal ?
– La « saisie » [loi de succion vulgaire à distinguer de la Vraie Loi de succion ou Eucharistie, mais ne pas tomber dans la gloutonnerie spirituelle qui existe aussi, c’est-à-dire ne pas tomber dans LA FIXATION OU COAGULATION D’UNE SPIRITUALITÉ COMME FIN EN SOI OU COMME « FIN DES TEMPS » !].
– La saisie de quoi ?
– La saisie du triple monde [de la Forme, du Désir, du Sans-Forme ; le connaisseur, la connaissance et le connu].
– Comment arrêter cette saisie ?
– En recourant à l’introuvable, car dans l’introuvable il n’y a pas de saisie.
– Qu’est-ce que l’introuvable ?
– La fin du dualisme.
– Qu’est-ce que le dualisme ?
– La vision d’un dedans et d’un dehors, lesquels sont introuvables.
(Soûtra de la Liberté inconcevable, chapitre V, 14)