Un Vide qui ne pense pas à sa vacuité est en Zéro Indien

Un Vide qui ne pense pas à sa vacuité est en Zéro Indien : un Être en Lui-même de ”Je suis ce JE-SUIS” est par définition INACTIF, SANS FAIRE/FER, et en ce sens IL est COMME Dieu, caché, innommable ; ce qui permet l’Agir véritable du NON-AGIR et de l’efficacité de ses ustensiles(1), c’est l’absence du ‘je’ ou ego. C’est pourquoi ce monde fonctionne selon l’entretien ou enseignement 264 de Ramana Maharshi : « Dieu créa l’homme ; et l’homme créa Dieu. Ils sont tous deux les créateurs des noms et des formes. Mais en réalité, ni Dieu ni l’homme n’ont été créés ».
Dès lors qu’il y a création de l’ego, du ‘je’ avec le ‘j’ minuscule, IL Y A NÉCESSAIREMENT UNE CHEFFERIE À VENIR, UN ÉTAT qui mange du ‘je’ ou du consommateur ne sera jamais loin, et ses diarrhées de lois avec.

Le Zéro Indien du Non-Agir est résumé dans Le Secret de la Fleur d’Or : « Un mental purifié est élixir, un mental vidé est remède. On dit du mental qu’il est purifié quand il ne s’attache plus à rien. On le dit vidé lorsqu’il ne garde plus rien en lui. Mais si l’on s’attarde sur le vide de cette vacuité, c’est que la vacuité n’est pas encore vide. Un mental vide et qui ne pense pas à sa vacuité, voilà ce qu’on appelle la véritable Vacuité », dit Le Secret de la Fleur d’Or, traduction de Thomas Cleary.
Prendre une expérience de « vacuité » pour LA Vacuité même est une erreur prouvant que le mental n’est pas authentiquement vide, comme peut le rapprocher la devise du psychiatre Henri Ey (1900-1977) : « N’EST PAS FOU QUI VEUT » (un fou ne dira jamais qu’il est fou ou pas fou ! La voie des psychoses et des névroses graves n’est pas ouverte à tout le monde).
Le Lourianisme mentionné dans la page – Société du Spectre-Spectacle et de nanotrucs MONTRENT et sont le CONTRAIRE de l’INNOMMABLE, du CACHÉ, de la VACUITÉ – montre que cette théologie du judaïsme est comme une NÉVROSE BLANCHE CONSTITUANT L’HUMAIN ”NORMAL” OU ”NEUROTYPIQUE”, avec ses deux variantes : variant rose : « tout cela ne durera pas, car ça va s’arranger », grâce par exemple avec la fameuse TRANSITION, tâche à la mode à laquelle se dévouent soudain nombre d’humains consommateurs soumis au capitalisme productiviste de « valeurs ». Transition et empressement suspects, car il n’y a pas de plus certaine façon de dévier, de polluer la vie que celle qui consiste à voir la vie en rose « grâce à Dieu » = CEUX QUI TRAVAILLENT À L’AMÉLIORATION DE LA VIE ONT DEPUIS LONGTEMPS CESSÉS DE VOULOIR DU BIEN À QUICONQUE, notamment tous les tiqounistes et Lourianistes du monde.
Dans la variant grise : « tout cela ne durera pas, car ça va empirer, et aboutir à une catastrophe finale, genre disparition finale de l’humanité ».
Les humains sont soumis au capitalisme construit sur la valeur d’échange, grâce justement à la participation des consommateurs du : « Votre ceci, votre cela ».

Blanche, noire ou grise, la névrose de la NOSTALGIE DU PARADIS consiste à se mettre À L’ABRI DES MÉFAITS DU TROP CRU DU SEUL RÉEL.
LA MANIÈRE LA PLUS DOUCE D’ACCEPTER LE TROP CRU DU SEUL RÉEL EST DE LE CUISINER UN PEU, pour qu’il ne soit pas trop cru et ENFIN, MANGEABLE, DIGESTE : ACCEPTER LE SEUL RÉEL À LA FAÇON DU CHEF ”COMME SI” : ON Y CROIT, ON FAIT SEMBLANT D’Y CROIRE, SOUS RÉSERVE QUE LE SEUL RÉEL SOIT PORTEUR DE SIGNIFICATION, FOI DE COMMERÇANT ET DE POUR-VOIR OBLIGE, DEPUIS LE NÉOLITHIQUE ET SA VOIE DE L’AGRICULTURE : LE GAIN, L’UTILITARISME, LE CALCUL ! Il n’y a donc pas ici de rejet du Seul Réel, pas de nihilisme, mais DÉGUISEMENT, DÉPLACEMENT, MESSIANISME, OU MISE EN VALEUR DU TEMPS, on met un espace-temps protecteur entre l’humain et le Seul Réel. Le CROIRE, le SENS, la SIGNIFICATION, en bidouille par le mental permet de présenter une version édulcorée, adoucie, bien cuite, nettement plus digeste du Seul Réel.
CET ESPACE PROTECTEUR CONTRE LE SEUL RÉEL EST ÉVIDEMMENT LE MENTAL, CELUI QUI BOUFFE SANS ARRÊT COMME UN GARGANTUA.

CUISINER LE SEUL RÉEL = LE GRAND JEU DU FAIRE SEMBLANT !!! Surtout faire semblant DE croire; faire ”COMME SI”. C’est d’ailleurs pourquoi, en France, la LAÏCITÉ, C’EST DIEU…

Tout au long du politisme étatique depuis le Néolithique, les contaminés par le POUVOIR et de l’argent et de la manipulation d’autrui n’ont cessés de rêver à l’institution d’un royaume « universel », ou mondial, réunissant sous la direction d’un seul tous les peuples de la Terre. De nos jours ce pouvoir, c’est la finance internationale et le dollar. Mais ce POUVOIR a une naissance et naturellement une mort.
Quel est le ferment de la Mort de cet empire ?
Le FAIRE/FER bien-sûr, le winnerisme ou la fatuité, l’orgueil, se croire « arrivé », ou se croire ”indestructible”, c’est-à-dire la tentation de se croire ”autonome” ajouté à l’excroissance permanente de l’État, l’ensemble entraînant l’écroulement de la Tour de Babel. Tout ce qui est ”historique” est périssable.

Car là où le social est déficient, et de nos jours il devient DE PLUS EN PLUS DÉFICIENT, c’est alors l’individualisme qui s’y substitue, ou qui comble le vide. Évidemment une telle substitution ne peut qu’aggraver la situation sociale, car alors arrive LA LOI DE SUCCION VULGAIRE AU PROFIT DU PLUS FORT EN EGO, EN PAROLES-OPINIONS ET EN ARGENT. Dans ces conditions, le comportement se trouve commandé par la cupidité des ego et non par le respect que devrait inspirer une communauté humaine véritable. Calculs ou intrigues et convoitises de toutes sortes régleront, ou plutôt dérègleront la marche de la production et consommation naturelles des biens temporels. Un tel état des choses du social entrave évidemment la marche de la communauté humaine en son entier, tant au point de vue matériel que spirituel. Et Nous y sommes en plein dedans !

  • Comme « ni Dieu ni l’homme n’ont été créés » comme l’exprime Ramana Maharshi cité en début de page, la VACUITÉ rejette ce qui est en soi et par soi, tel l’ego, le ‘je’, le ”prendre sur soi”. Rien n’est en soi et par soi dans un univers en ”COMME SI”, UN UNIVERS DANS LE GRAND JEU DU FAIRE SEMBLANT comme l’indique l’entretien 264 : TOUT EST VIDE. TOUT ÉTANT VIDE, TOUT EST PUR ET RÉEL ET N’A BESOIN D’AUCUNE RÉPARATION OU DE « MIEUX ». ALORS, QUEL ÉVEIL CHERCHER, QUEL « MIEUX » OU QUEL ÉVOLUTIONNISME CHERCHER, AILLEURS ???
    Et s’il n’y a pas davantage de Réel en soi et par soi, évidemment le Seul Réel est indéniable quand il jaillit des ”flammèches”(2) des réalités dont il est le « côté » absolu-obscur.

– M. : Ayez confiance en Dieu.
– Q. : Nous nous soumettons à Sa volonté et cependant aucune assistance ne nous est donnée.
– M. : Si vous vous êtes vraiment soumis, vous devez pouvoir vous conformer à la volonté de Dieu et ne pas vous plaindre de ce qui vous déplaît. Les choses prennent parfois un tour différent de ce qu’il semble. Le désespoir conduit souvent les hommes à la foi en Dieu.
– Q. : Mais nous sommes dans le monde. Nous avons famille, femme, enfants et amis. Nous ne pouvons pas ignorer leur existence et nous résigner à la volonté divine sans retenir quelque parcelle de notre personnalité.
– M. : Cela prouve que vous ne vous êtes pas complètement abandonné à la volonté divine comme vous le prétendez. Vous ne devez avoir confiance qu’en Dieu.
(Ramana Maharshi 43, 28-3-1935).
IDEM : 4 points de jonction entre les qualités produites par la PRATIQUE et NOSTRE NATURE PRIMORDIALE ;
– 1 : Le fruit n’est pas le produit de la pratique parce que les pratiques méritoires ne sont pas vaines.
– 2 : Le fruit est PRÉSENT DEPUIS TOUJOURS puisqu’il n’est rien qui ne coïncide avec le Seul Réel [la Singularité, la Vierge Noire et son Enfant confirmant la Singularité]
– 3 : Le fruit PRÉSENT DEPUIS TOUJOURS, est produit par la pratique, puisque le Corps absolu est ce qui se manifeste dans la Réalisation de sa cause, de son Soi : par exemple ce qui est appelé ”Élixir d’Immortalité” appliqué à la Pierre Philosophale, qui, une fois absorbée, DÉVOILE un MONDE NOUVEAU SÉPARÉ du nostre par un RIDEAU (de feu) : au sens du mot PARA-DIS, le voile étant le para-, comme le para-pluie qui voile ou protège de la pluie.
– 4 : Le fruit naît par la pratique, la soumission dans le cas ci-dessus de l’entretien 43, du fait qu’il EST PRÉSENT DEPUIS TOUJOURS, puisque la sagesse non discursive, sans dualité sujet-objet, jaillit de l’Ainsité, qui Elle, ne se brise pas comme les Vases du Lourianisme et ses « étincelles de Dieu »(2).

Concernant ce fruit, comparable à la SOUMISSION dans l’entretien 43, le fruit est comme un bijou en or : 1) il est uniquement un bijou, 2) il est uniquement en or, 3) c’est l’or qui est synonyme de bijou, 4) ce sont les bijoux qui révèlent l’or dont ils sont faits. Bref, ces quatre exemples se dissolvent les uns dans les autres et tous sont inséparable d’un bijou, le mot ”bijou” renvoyant là encore à l’entretien 43 de Ramana Maharshi. L’entretien 43 exprime le « FRUIT DE LA BOUDDHÉITÉ, tel qu’exprimé par Fazang (né en 642 et troisième patriarche de l’école Huayan), dans ses commentaires sur le Soûtra de l’Entrée à Lankâ.
Fruit Unique : permanent-impermanent, ni permanent-ni impermanent, car on risque de tomber dans la mémorisation de la vacuité ou POSSESSION DE LA VACUITÉ : UN COMBLE !!!

  • « N’oubliez jamais que la Vérité est sous-jacente à tous les phénomènes », dit Ramana Maharshi dans l’entretien 133 du 6-1-1936.
    « Voilà l’obstacle à la Réalisation. L’individu peut-il exister sans Shiva ? Même en ce moment Il est vous. Ce n’est pas une question de temps. S’il y avait un instant de non-Réalisation, la question de la Réalisation pourrait se poser. Mais la réalité est que vous ne pouvez pas être sans Lui.
    L’individu est déjà réalisé, toujours réalisé et jamais non réalisé.
    Soumettez-vous à Lui et à Sa volonté, qu’il apparaisse ou qu’il disparaisse ; attendez Son bon plaisir. Lui demander d’agir selon votre bon plaisir, ce n’est pas se soumettre à Lui, mais Le commander. Vous ne pouvez pas attendre qu’il vous obéisse et en même temps penser que vous Lui êtes soumise. Il sait ce qui convient le mieux et quand et comment y parvenir. Laissez donc toute chose à Ses soins. Le fardeau est pour Lui ; vous n’aurez plus de soucis. Tous vos soucis sont à Lui.
    C’est la soumission. C’est la bhakti.
    Ou bien, cherchez à qui ces questions se posent. Plongez au plus profond du Coeur et demeurez le Soi. L’une ou l’autre de ces deux voies est ouverte à tout aspirant ». (Ramana Maharshi 450, 3-2-1938).
  • De nos jours, l’être humain survivant en A-voir veut ”PRENDRE SUR SOI”, synonyme de SOUMISSION ABSOLUE AU PRINCIPE D’UTILITÉ : LE GAIN, LE PROFIT, LA SAISIE, LA ”RAISON”, le MATÉRIEL, l’OBJET. Gaston Bachelard, dans La psychanalyse du feu, page 30, appelle cette soumission absolue « Le complexe de Prométhée », cet évolutionnisme du ”mieux” en tout qui pousse l’humain a faire ”mieux que nos pères”, ”mieux que Dieu”, ”mieux que la Nature”, alors que son ”Mieux” naturel, son Soi, est laissé en friche…… alors il court vers les machines de l’industrie du capitalisme, les machines ou ”intelligence artificielle”.

Notes.
1. Le TROU du ’N’EST PAS X’, le mode du ’N’ÊTRE PAS’ ou du NON-AGIR qui permet ce qui est indiqué dans le Verset 43 du Tao-tö king :
Le plus tendre en ce monde
domine le plus dur.
Seul le rien s’insère dans ce qui n’a pas de failles.
À quoi je reconnais l’efficace du non-agir.

L’enseignement sans parole
L’efficace du non-agir,
Rien ne saurait les égaler.
(Traduction : Liou Kia-hway)

2. Le cabaliste Isaac Louria. Il voit un Dieu si omniprésent que ce Dieu sombre dans la dualité du MANQUE ET DU RESTE : il est obligé de renoncer à ce qu’il a en reste de sa création et donc de renoncer à une ”partie de Lui-même” pour continuer à créer. Ce Dieu dans la dualité du manque et du reste SE LIMITE pour ”fonder l’Univers” en y laissant ”DES RESTES” (de sa divine Lumière] : dix petits restes contenus dans dix vases, les ”Sephiroth”.
Évidemment, un vase, QUI CONTIENT (et paradoxe par rapport au PUITS, voir plus bas) ça peut se casser, et laisser passer à travers les cassures ”la Lumière de Dieu”, mais en temps que lumière devenant VULGAIRE, ou THERMODYNAMIQUE, elle de disperse et perd de sa force, elle devient ”malade” au contact de l’impure ou du méchant. Le soumis à ce Dieu aura donc à cœur de libérer chaque ”étincelle” ou flammèche soit-disant emprisonnée par les forces impures ou du mal, et restaurer l’Origine de la Lumière. Évidemment pour cette ”restauration” ou RÉPARATION il faut respecter la Loi ou la religion du Livre, et ensuite faire en sorte que le moindre geste du quotidien délivre les flammèches prisonnières de la matière. Bref, l’acte le plus banal de la vie quotidienne contribue du même coup à « SAUVER DIEU DU MAL » = SOUMISSION INVERSÉE DANS LE PRODUCTIVISME DU FAIRE/FER QUI NE POUVAIT QUE DONNER LE CAPITALISME ET LE BANQUIER JUIF : puisque ce banquier par ses TRANSACTIONS à WALL STREET ET À LA CITY DE LONDRES, facilitera la ”libération de Dieu”.

De là, on rejoint l’antienne talmudiste des WINNERS et RÉPARATEURS TIQOUNISTES, LE PEUPLE ÉLU, RÉSEAU-ŒIL QUEUE DU PAON DE L’ANTIENNE TALMUDISTE OU « L’ALTRUISME YAHVISTE » :
« Rien n’est bon pour les Juifs si ce n’est bon aussi pour ceux qui les entourent », une définition possible de la république, du social et de sa trinité judéo-maçonnique spéculative ”liberté-égalité-fraternité”, pages 166, 340, 359, 365 du livre de Jacques Attali, Les Juifs, le monde et l’argent, de ces « bons citoyens qui ne veulent rien d’autre qu’apporter leurs fruits [leur aide] à ceux qui les entourent….. »
RÉSEAUX UTILITAIRES DES JUDÉO-MAÇONS À GROSSE OBÉDIENCES, RÉSEAUX UTILITAIRES des Blackroc-POMME, Vanguard, State Street, Berkshire Hathaway inc.
Vanguard = fondé par un calculateur, un mentaliste ou travailleur du chapeau : John C. Bogle.
State Street c’est guère mieux bien que plus ancienne car fondée à la pleine effervescence des « Lumières » (les flammèches…) par la même géométrie mental du travailleur du chapeau.
Même géométrie mentale chez un Warren Buffet portant si bien son nom.
Même géométrie mentale chez son compère en calcul Charles Thomas Munger.

« Bons citoyens qui ne veulent rien d’autre qu’apporter leurs fruits [leur aide] à ceux qui les entourent….. Et ainsi « délivrer Dieu »…..
PRINCIPE LOURIANIQUE : son Dieu intervient sans cesse dans l’histoire ou dans le spatio-temporel : les invasions, les guerres, les famines, etc., et par là même, ce Dieu fait ”COMME SI” Il révélait SA volonté. Les faits historiques en deviennent des ”situations” ou des OBJETS de Dieu face au SUJET humain, et comme tels ils acquièrent un valeur religieuse que rien auparavant ne pouvait leur assurer. Ainsi le Lourianisme ne fit que prolonger le fait que les Hébreux furent les fabricants de l’histoire devenue épiphanie [manifestation] de Dieu.
Le Lourianisme est donc, anti-laïcité absolue : puisque Dieu est dans les moindres gestes de la vie quotidienne, même quand on va « faire caca »….. Afin de RÉPARER DIEU.

LE PUITS par rapport aux VASES.
« Qu’y a-t-il à réaliser ? Le Réel est toujours tel qu’Il est. Comment peut-on le réaliser ? Nous avons réalisé l’Irréel [la Chute], c’est-à-dire considéré comme réel ce qui est irréel [la Chute, l’Adamisme]. Nous devons renoncer [Putréfaction] à cette attitude. C’est tout ce qui est requis pour atteindre le jnana [Connaissance, Éveil]. Nous ne créons rien de nouveau [sauf les transhumanistes-Dieux et leur ARN messager etc.] et Nous n’obtenons rien que Nous ne possédions pas déjà auparavant [sauf les transhumanistes-Dieux et…..].
Dans les Écritures, voilà comment c’est illustré : pour creuser un puits, il nous faut évider une énorme fosse. L’âkasha (espace) ainsi dégagé n’a pas été créé par Nous [sauf chez les transhumanistes-Dieux]. Nous avons simplement enlevé la terre qui remplissait l’espace [il en est d’ailleurs de même concernant le moyen de ”déplacement” des ’engins extraterrestres’ et tout le concept erroné, à l’envers, de la thermodynamique…]. L’espace était toujours là et il l’est aussi maintenant. De la même manière, Nous devons simplement évacuer tous les vieux samsakâra [tendances, habitudes] qui Nous habitent. Quand ils auront tous été abandonnés [Putréfaction-Renoncement], le Soi resplendira
seul ». (Ramana Maharshi, 9-1-1946 après-midi).

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