Vous ne posséderez rien et vous serez heureux parce que

Vous ne posséderez rien et vous serez heureux parce que vous posséderez TOUT. Comme l’énonce si clairement la Stance 16,9 de Nagarjuna : L’EGO WINNER ET PROMÉTHÉEN VEUT TOUT POSSÉDER, MÊME LA MORT (”aide à mourir” conformément à cette civilisation de Genèse 1,1-2 QUI CONDAMNE VIVRE, À CONSOMMER, LA VIE ÉTANT DEVENU UN CHÂTIMENT, UN EXIL : Adam c’est la BOUE ou le SOMMEIL, au sens de la CONTEMPLATION, et Éve signifie ”la Vie” : elle sera condamnée pour avoir croqué la Pomme de la Vie, et donc en sera condamnée….. à vivre, sans oublier son Adam ainsi TIRÉ DE LA CONTEMPLATION, L’ÉTAT NATUREL.
« Le samâdhi [contemplation] est notre état naturel. C’est le courant sous-jacent à chacun des trois états [veille, rêve, sommeil profond]. Celui-ci – c’est-à-dire, le ‘Je’ – n’est pas dans les trois états, mais ces trois états sont en Lui. Le samâdhi obtenu à l’état de veille se maintiendra aussi durant le sommeil profond. La distinction entre conscience et inconscience relève du domaine mental, lequel est transcendé par l’état du Soi réel [le scribe de la page souligne] ». (Ramana Maharshi 136, 15-1-1936).

Par Genèse 1 et ses suites, la vie naturelle de Contemplation va devenir cette vie de FAIRE/FER le contraire un NON-AGIR, conduisant irrémédiablement à ce FAUX AGIR de la THERMODYNAMIQUE DU CENTRIFUGISME. La Contemplation étant l’énergie naturelle CENTRIPÈTE.

Le ‘je’ ego étant celui du consommateur, il est devenu PRIVATISATION DE L’EGO : UN CITOYENISME AMPLIFIÉ par rapport à celui du 1789 français, et tout ce privatise : l’État n’existe plus, chacun « ne possède rien et possède tout », selon le système Schwab-Harari, L’ÉTAT EST DEVENUE UN ÉTAT-OBJET, UNE MARCHANDISE PUBLIQUE COMME UNE AUTRE, COMME UN SMARTPHONE, L’ESPACE PUBLIQUE DEVIENT UNE MARCHANDISE : les SDF sont chassés de l’espace publique (voir les systèmes anti-sdf installés dans une ville, installés dans l’espace publique), le SDF ne pouvant pas s’acheter sa place, sera refoulé comme un voleur.

  • COMPARONS :
    Nouvel Ordre Mondial :
    1789 – LOIS NOACHIQUES :
    Commandements ou lois de :
    – établir des tribunaux ;
    – interdiction de blasphémer [c’est raté avec Charlie Hebdo et le régime républicain] ;
    – interdiction d’idolâtrie [c’est raté, l’argent, à ce hui : le dollar et sa langue anglaise, est l’idolâtrie suprême, la CLÉ) ;
    – interdiction d’unions illicites [aussi raté avec les gens de même sexe qui
    se pénètre…] ;
    – interdiction d’assassiner [aussi raté, voir ce qu’il se passe surtout en Palestine et ailleurs, à cause du dieu dollar] ;
    – interdiction de voler [aussi raté… dollar, valeur, objet] ;
    – interdiction de manger la chair arrachée à un animal vivant (arracher la chair de son chien ou de son chat ?].
    Sur 7 lois Nous avez 6 interdictions !!!
  • Comparons avec les devoirs moraux et du social chez les Bouddhistes :
    – Ne maudire en aucune circonstance, car la malédiction retombe sur celui qui la profère.
    – S’aimer les uns les autres et même vos ennemis.
    – Donner notre vie, même pour les animaux.
    – Remporter la plus grande victoire en se vainquant soi-même.
    – Éviter tous les vices.
    – Pratiquer toutes les vertus, spécialement l’humilité et la douceur.
    – Obéir à ses supérieurs.
    – Chérir et respecter ses parents, les vieillards, le savoir, les hommes vertueux et Saints.
    – Donner nourriture, abris, réconfort aux hommes et aux animaux.
    – Planter des arbres au bord des routes et creuser des puits pour le bien-être des voyageurs.
    (Dans : Isis Dévoilée. Vol 2, part 2. H.P. Blavatsky)

Précepte de l’Égypte ancienne :
« Un homme affamé ne passera pas la nuit dans ma ville sans manger [il aura à manger et pourra dormir tranquillement à l’abri]. Louange, Chanter, Dire [LCD] ». (Traduction).

LOIS NOACHIQUES OU DROITS DE L’HOMMISTES SONT LOIS DU COM-merce-politique appelées ”liberté” (qui donnera le libéralisme, donc un système, un uniforme mortifère par amplification de l’ego à l’état de veille : « Je définirais la mondialisation comme la liberté pour mon groupe de s’implanter où il veut, le temps qu’il veut, pour produire ce qu’il veut, en s’approvisionnant et en vendant où il veut, et en ayant à supporter le moins de contraintes possibles en matière de droit du travail et de conventions sociales ». (Percy Barnevik, PDG d’ABB, 1995).
Tout est dit : l’État devra avoir de moins en moins d’importance, LA CHOSE PUBLIQUE devra passer au DERNIER RANG : le bien commun est un drame pour le libéralisme.
DISPARITION DES BIENS PUBLIQUES = en moins de 20 ans tous les bancs publiques ont disparus de Paris. De nos jours dans une grande ville il y a 1 place, un banc publique pour 86 habitants, et la récente mode évidemment commerciale des « places en terrasses » atteint une place pour 8 habitants !!! Bientôt le libéralisme fera payer l’air qu’on respire, et l’air polluée, NON FILTRÉE, NON ÉPURÉE, ce sera pour les SFD et les pauvres. TOUJOURS CETTE LOI DE SUCCION VULGAIRE, CE PROFIT DE LA GENÈSE 1,1-2 : LA THERMODYNAMIQUE DU CONSOMMEZ.
Aller, en terrasse ! Tu vas consommer espèce de salaud d’ego à
l’état de veille !

Et par rapport au Précepte de l’Égypte ancienne cité, en France il y a 10 plus de logements vides que de SDF ! Sur 37 millions de logements, plus de 3 millions sont laissés vacants par leurs propriétaires (étude récente Insee relayée par France-inter il y a quelques années).
ELLE EST OÙ, LA FRATERNITÉ ? L’ÉGALITÉ ? LA LIBERTÉ ?

Vous ne voulez plus de SDF dans les rues ? Si vous êtes contaminés par le Pouvoir, alors avec VOTRE pouvoir appliquez le précepte de l’Égypte ancienne cité plus haut, qui d’ailleurs sera modestement appliqué par les REFUGES DE L’ABBÉ PIERRE en leurs très modestes économies et pouvoir, refuges qui hébergea Jean Coulonval auquel le blog https://mo.fangpo1.com/ti/ est dédié.

  • Où se trouve la valeur d’échange ou le troc de marchandises, sans l’invention du social et son « vivre ensemble » républicain ?
    Et « l’altruisme talmudique » est un énorme bout de la concrétisation de la loi de succion vulgaire : la TRINQ (en hébreu TR-INQ), qui signifie la LOI DE SUCCION, LE PLOMB-PESANTEUR OU ATTRACTION : « Rien n’est bon pour les Juifs si ce n’est bon aussi pour ceux qui les entourent », une définition possible de la république, du social, et de sa trinité judéo-maçonnique spéculative ”liberté-égalité-fraternité”, pages 166, 340, 359, 365 du livre de Jacques Attali, Les Juifs, le monde et l’argent, de ces « bons citoyens qui ne veulent rien d’autre qu’apporter leurs fruits [leur aide] à ceux qui les entourent….. », et ainsi fabriquer le « vivre ensemble » utilitaire et commercial républicain
    RÉSEAUX ATTRACTION UTILITAIRES DES JUDÉO-MAÇONS À GROSSE OBÉDIENCES, RÉSEAUX UTILITAIRES des Blackroc-POMME, Vanguard, State Street, Berkshire Hathaway inc., etc.
    LA TRINQ ou « DIVINE BOUTEILLE » (Bout-œil : vas-y-voir !, ou le POUR-VOIR, qui là encore rejoint ”Jean 14,2” cité et les ”nombreuses Demeures.

« Le Maharshi ne voit personne hors de son Soi. Pour lui, il n’y a donc pas de disciples. Sa grâce est omniprésente, et il la communique en silence à quiconque la mérite ». (Un fidèle, à propos de la question si le Maharshi initiait des disciples, entretien 23 du 2-2-1935).
« Un visiteur demanda à Shrî Bhagavân : « Vous êtes Bhagavân [glorieux, vénérable, divin]. Par conséquent, vous savez quand j’obtiendrai le jnana [Connaissance, Éveil, Sagesse]. Dites-moi quand deviendrai-je un jnânî [un Réalisé] ? »
Shrî Bhagavân répondit : « Si je suis Bhagavân, il n’y a pour moi personne d’autre que le Soi – par conséquent ni un jnanî ni un ajnanî [ignorant]. Si je ne le suis pas, je suis comme vous et je n’en sais pas plus que vous. Dans un cas comme dans l’autre, je ne peux pas vous répondre ».
(Entretien 48 du 20-4-1935).

Si Ramana Maharshi répondait à ce genre de question concernant la « valeur », il tomberait dans cette « valeur d’échange » et loi de succion vulgaire liée au social et donc liée au SUPERFICIEL : LA COUVERTURE SOCIALE, LA SURFACE, LA DUALITÉ SUJET-OBJET.

Un exemple de la créativité de l’énergie CENTRIPÈTE :
« Le silence de la solitude est forcé. La retenue de la parole en société équivaut au silence. Car c’est alors que l’homme contrôle sa parole. Il faut que celui qui parle existe avant de parler. S’il est engagé ailleurs, la parole est retenue ; le mental tourné vers l’intérieur est occupé à autre chose et ne tient pas à parler.
Le mauna [le Silence], conçu comme une mesure de discipline, a pour objet de limiter les activités du mental provoquées par la parole. Si le mental est déjà contrôlé, la discipline de mauna n’est pas nécessaire, car alors, le mauna devient naturel.
Vidyâranya a dit que douze années de mauna forcé entraînent le mauna absolu, c’est-à-dire rendent incapable de parler. Cet état ressemble plus à celui d’un animal muet qu’à autre chose. Cela n’est pas le mauna.
Le mauna est éloquence incessante. L’inactivité est activité constante [le NON-AGIR du TAO] ». (Ramana Maharshi 60, 5-7-1935).

LE SILENCE ENNEMI DE LA LOGIQUE (le spatio-temporel de l’idéation, son vagabondage] : « Le mauna [le Silence], conçu comme une mesure de discipline, a pour objet de limiter les activités du mental provoquées par la parole ».
Comme il n’y a que : « Écoute, ton état communique avec toi, il n’y a rien d’autre ». Alors, où est la logique qui demande une dualité du sujet face à l’objet : l’autre, le DEHORS, L’IDENTITÉ-IDENTIFICATION, LA SAISIE DE LA LOI DE SUCCION, L’ATTRACTION ?
Nostre époque est tellement celle du Plomb-Pesanteur et donc de la logique, de
la « raison »…. que ÇA CALCUL, ÇA PÈZE TRÈS LOURD.

« Si le mental est tourné vers l’intérieur, vers la source de lumière, la
connaissance objective cesse et seul le Soi resplendit en tant que Coeur. […] Le mental est utile en raison de la lumière qui s’y réfléchit, ce qui permet de voir les objets. Lorsqu’il est tourné vers l’intérieur, la source de son illumination resplendit par elle-même et le mental pâlit et ne sert plus à rien, comme la lune en plein jour ». (Ramana Maharshi 98, 19-11-1935).
Entretien 99 même date : « Pour discerner les objets, la lumière reflétée du mental est nécessaire. Pour voir le Coeur, il suffit que le mental se tourne vers Lui. C’est alors qu’il se perd et le Coeur resplendit ».

– Q. : Comment peut-on voir Dieu ?
– M. : En vous. Si le mental est tourné vers l’intérieur, Dieu se manifeste comme conscience intérieure [Jeanne d’Arc « entendait des voix », de nos jours le psychiatre la bourrait de psychotropes ; alors, question de mode ? Plutôt de conventionnel à l’état de veille].
– Q. : Dieu est en tout, dans chacun des objets que nous voyons autour de nous. On dit que nous devons voir Dieu en chacun d’eux.
– M. : Dieu est en tout et aussi en celui qui voit. Où peut-on voir Dieu ailleurs ? Il ne peut être trouvé à l’extérieur. On doit Le sentir en soi [le scribe de la page souligne]. Pour voir les objets, le mental est nécessaire. Concevoir Dieu en eux est une opération mentale. Mais cela ne correspond pas à la réalité. Dieu est ressenti comme la conscience intérieure, purgée du mental [purgé du mental, c’est fondamental ici].
[…]
Le plaisir consiste à tourner le mental vers l’intérieur et à l’y maintenir ; la souffrance, à le tourner vers l’extérieur. Seul le plaisir existe. L’absence de plaisir est appelée souffrance. Notre nature est plaisir – Félicité (ânanda).
(Entretien 244, 29-8-1936).

Dans le même entretien 244, il est dit que LE SOMMEIL, sens de contemplation, EST NOSTRE ÉTAT NATUREL
Même entretien :
– M. : Le sens du corps est une pensée ; la pensée appartient au mental, le mental s’élève après la pensée ‘je’ et la pensée ‘je’ est la pensée-racine. Si celle-ci est tenue fermement, les autres pensées disparaîtront. Alors il n’y aura plus de corps, plus de mental, ni même d’ego.
– Q. : Que restera-t-il alors ?
– M. : Le Soi dans toute sa pureté.
– Q. : Comment s’y prendre pour faire disparaître le mental ?
– M. : Il n’y a pas besoin de vouloir le détruire. Penser cela ou le souhaiter est en soi une pensée.
Si on cherche le penseur, les pensées disparaîtront.
– Q. : Vont-elles disparaître d’elles-mêmes ? Cela semble si difficile.
M. : Elles disparaîtront parce qu’elles sont irréelles. L’idée de difficulté est en soi un obstacle à la Réalisation. Elle doit être dépassée. Rester le Soi n’est pas difficile.
– Q. : Il paraît facile de penser à Dieu dans le monde extérieur alors qu’il semble si difficile de rester sans pensées.
– M. : C’est absurde. Regarder le monde extérieur est facile et regarder à l’intérieur est difficile !
Cela doit être l’inverse !
– Q. : Je ne comprends pas. Tout cela est si difficile.
– M. : Cette idée de difficulté est le principal obstacle. Un peu de pratique vous fera penser différemment [comme par exemple la pratique de l’aquarelle sur un motif comme un paysage, on arrive alors à faire UN avec le paysage, la dualité sujet-objet disparaît totalement].

– Q. : Quelle est la pratique ?
– M. : Trouver la source de la pensée ‘je’.
– Q. : C’était l’état avant ma naissance.
– M. : Pourquoi pensez-vous à la naissance et à la mort ? Êtes-vous réellement née ? Le mental se manifeste, et cela est appelé naissance. Après le mental, s’élève la pensée du corps – le corps est perçu ; puis s’élève la pensée de la naissance, celle de l’état avant la naissance, de la mort, de l’après-mort… Toutes ces pensées n’appartiennent qu’au mental. De qui est-ce la naissance ? [ Toutes ces pensées n’appartiennent qu’au mental…. [FORMANT AINSI LA LOI DE SUCCION VULGAIRE OU PLOMB-PESANTEUR…..].
– Q. : Ne suis-je pas née en ce moment même ?
– M. : Tant qu’il s’agit du corps, la naissance est réelle. Mais le corps n’est pas le ‘Je’. Le Soi ne naît ni ne meurt. Il n’y a donc rien de nouveau. Les Sages voient tout dans le Soi et tout venant du Soi.
En lui, il n’y a pas de diversité. C’est pourquoi il n’y a ni naissance ni mort [et en conséquence il n’y a plus l’imbécilité du Big Bang et de l’évolutionnisme].
– Q. : Si le sommeil est un si bon état, pourquoi ne cherche-t-on pas à y rester toujours ?
– M. : On n’est jamais qu’en sommeil [en ”COMME SI”, en GRAND JEU DU FAIRE SEMBLANT]. L’état présent, celui de veille, n’est pas plus qu’un rêve. Et
le rêve ne peut se dérouler que durant le sommeil. Le sommeil l’état de ‘COUR’ OU ABSENCE DE PLOMB-PESANTEUR est donc à la base de ces trois états [veille, rêve et sommeil profond]. Et la manifestation de ces trois états n’est encore qu’un rêve qui, à son tour, est un autre sommeil. Ainsi, ces états de rêve et de sommeil n’ont pas de fin [elles sont FRACTALS EN FORME DU GATE GATE(1).
Il en va de même de la naissance et de la mort qui sont, elles aussi, des rêves dans un sommeil.
En vérité, il n’y a ni naissance ni mort.
(IMPORTANT ENTRETIEN 244 qui résume à lui seul l’Alchimie authentique, dont la clé est évidemment le Plomb synonyme de POIDS et de LOI DE SUCCION VULGAIRE : L’ATTRACTION dite faussement ”universelle” parce qu’elle est CONVENTIONNELLE).

« Si vous voyez le Soi, pur et simple, c’est la nivritti ; si vous voyez le Soi avec le monde, c’est la pravritti. En d’autres termes, le mental tourné vers l’intérieur (antarmukhi-manas) est la nivritti. Le mental extraverti (bahirmukhi-manas) est la pravritti. De toute façon, il n’y a rien qui soit séparé du Soi. Les deux sont identiques.
Il en est de même pour la hiérarchie spirituelle ; elle ne peut exister séparée du Soi. Elle est et reste toujours dans le Soi et comme étant le Soi. La réalisation du Soi est le seul but de tous ». (Ramana Maharshi 274, 27-10-1936).

« Ce mental ou cerveau sert à l’Être éternel comme un verre grossissant, à travers lequel Il apparaît comme l’Univers. En état de veille et de rêve, le mental est tourné vers l’extérieur et dans le sommeil profond il est tourné vers l’intérieur. L’Être suprême prend, par l’intermédiaire du mental, l’apparence de la diversité en état de veille et de rêve, tandis qu’il reste replié sur lui-même dans l’état de sommeil profond, d’évanouissement, etc. Par conséquent, vous êtes toujours Cela et ne pouvez pas être autrement.
Quels que soient les changements, le même Être unique reste toujours vous-même ; il n’existe rien en dehors de vous-même ». (Ramana Maharshi 323, 7-1-1937).

« Écoute, ton état communique avec toi, il n’y a rien d’autre ».

NOUS SOMMES TOUS MOINE : de monos (être seul : on nait seul et on meurt seul, on essaye alors tant bien que mal et plutôt mal, de ”vivre ensemble”).

La « production sociale » (la conscience collective, la dialectique liée forcément au spatio-temporel de l’idéation) existe-t-elle ?
Si elle existe, elle n’est qu’une pensée à l’état de veille ou de rêve.

Du BLANC de L’INSTANT IDENTIQUE À LA FÉLICITÉ NATURELLE.

« Le mental dirigé vers l’extérieur est le siège de la dualité et du désir. Si on sait que la félicité n’est autre que le Soi, le mental se tourne vers l’intérieur. Quand le Soi est atteint, tous les désirs se trouvent exaucés [suppression du Plomb-Pesanteur ou TRANSMUTATION]. C’est apta-kâma [qui a atteint l’objet de son désir], âtma-kâmah [qui ne désir que l’âtman [le Soi], akâmash ca (la satisfaction des désirs) de la Brihadâranyaka-upanishad [v. IV4, 6]. C’est le moksha [la Libération] » (Ramana Maharshi 502, 17-8-1938).

« Le mental est la faculté d’extériorisation de l’individu. S’il est tourné vers l’intérieur, il devient peu à peu tranquille. C’est alors que seul prévaut le « JE-SUIS ». « JE-SUIS » est toute la Vérité ». (Ramana Maharshi 503, 17-8-1938).

« Mais l’intellect de l’homme ne prend pas facilement ce chemin [du Dehors vers le Dedans, le Centripète, le Centrum Centri]. Il est rare qu’un individu se tourne vers l’intérieur. L’intellect se délecte à examiner le passé et à spéculer sur le futur plutôt que de considérer le présent ». (Ramana Maharshi 644, 3-3-1939).

  • Comme « il y a plusieurs demeures dans la maison de mon père » (Jean 14,2), il y a plusieurs Plomb dont le PLOMB VRAI.
  • LE MONDE EST À JAMAIS I-DIOT (du I Axe du I-d’I-Ot : sans copie, SIMPLE, UNIQUE, UN, UNITÉ, sans complément). Il faudra ATTENDRE la machine ou système Adam-Ève POUR TOUT FOUTRE EN PLOMB-PESANTEUR : LA CONDAMNATION À VIVRE ET À TRAVAILLER À LA SUEUR DE SON FRONT OU DE SON CORPS-MENTAL.
    Le I du « Un Point c’est le TOUT » et de « Mettre les choses au Point » (faire le Point). Dante Nous dit que le Premier Nom de Dieu fut I, avant d’être EL, ou AL. Le mot ISLE (île) renvoie à la SINGULARITÉ ORIGINELLE (et aux Eaux Primordiales du Point, l’Île, c’est le Tout).
    Le POINT c’est le TROU du « il n’y a point », et comme dans un Trou il n’y a rien d’autre à voir que le Trou : PAS DE TROU À VOIR, au sens de « occupez-bous de vos affaires » avant de vous occuper de celles des autres en faisant « des affaires », du commerce…..
    I a la neuvième place, le 9 le chiffre du Ciel en Chine : LE CIEL DE TOUS LES POSSIBLES, comme 9+2=11 (=2) et 11 le nombre du TAO, PIERRE DE TOUCHE ALCHIMIQUE (preuve par 9 de la Phase des Multiplications.
    Le I sera la LOI : LOI-SIR : être permis, conformément à l’adage Alchimique de Roger Bacon : « Tout est possible mais tout n’est pas permis », sinon, effectivement LES ÉTOILES DANS LE CIEL S’ÉTEIGNENT UNE À UNE.
    LE I DANS L’EAU DEVIENT LE TRIDENT DU E ET DES DIVINITÉS DE L’EAU……
    LE I DANS L’EAU DEVIENT « LE MÉTAL DANS L’EAU » OU VRAI PLOMB, SANS PESANTEUR : LA FLEUR D’OR.
  • Le Vrai Plomb n’est pas bien-sûr celui des tuyaux ! Le Vrai Plomb désigne l’immatérialité qui demeure dans l’être humain (le sans caractéristique). Cette Vrai immatérialité est une énergie SOMBRE au Dehors mais lumineuse au Dedans, capable de repousser les afflictions venant du Dehors et d’arrêter les aberrations venant du Dedans. Symbolisé par le plomb ou l’appelle « Le Plomb Vrai ». Parce qu’il est l’apesanteur comme sa lumière, il illumine des myriades d’êtres, on l’appelle aussi ”La Fleur d’Or”. Parce qu’elle est le PUNCTUS, LA FUSÉE FUSEAU, LA LINGA, LE MENHIR, LA PIERRE LEVÉE, LE TAUREAU ; bien-sûr aussi la TOUPIE, L’AXE comme l’Étoile Polaire.
    Parce que la Lumière INSAISISSABLE qui illumine des millions de mondes SE CACHE DANS L’OBSCURITÉ DU GATE GATE(1), on l’appelle aussi « LE MÉTAL DANS L’EAU », des Eaux Primordiales.
    Le VRAI PLOMB LE BLANC DE L’INSTANT, LE BLANC DU SILENCE, LA FRÉQUENCE X (1)…….

L’humain qui était la mesure de toutes choses est réduit de plus en plus jusqu’au paroxysme actuel par le capitalisme à en être mesuré par les choses de la loi de succion vulgaire, la TRINQ INVERSÉ, il est de ce fait UN MORT VIVANT, UN ZOMBI, UNE MÉCANIQUE, UN ROBOT ; bref, UN IGNORANT, une I.A., qu’il fabrique…

Note.
1. « Gate gate pâragate pârasamgate bodhi svâhâ » du Soûtra du Diamant (Allé, allé, allé au-delà, allé complètement au-delà, l’Éveil, ainsi). S’accompagne nécessairement de la Connaissance transcendante par le Principe du ”N’EST PAS X” : revient à dire que les choses ne sont que des désignations, des pointages sur les choses, de simples imputations nominales (en tibétain : tha-snyad), elles sont dépourvues d’être en et par soi, ELLES NE SONT PAS POSSÉDABLES PAR LE MENTAL, ON NE DOIT PAS EN FAIRE UNE VALEUR POSSÉDÉE.
”Allé, allé, allé au-delà, allé complètement au-delà, l’Éveil, ainsi”, ou : ”Parti, parti, passé au-delà, traversée la rive, Éveil, Salut !”, ou encore : ”Venant, venant par-dessus, venant directement, Éveillant, Bienvenu !”

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